vendredi 17 septembre 2010

Chrome to phone disponible sur l’Android Market

Chrome to phone avait été annoncé il y a plusieurs mois pour Android 2.2.

Mais il n’était pas disponible sur l’Android Market français (entre autre).

C’est désormais corrigé :

Pour rappel, le lien de téléchargement :Merci à epok pour l’information.

Le Motorola Flipout incessamment sous peu chez Orange

Le Motorola Flipout, que nous avons testé cet été (voir test du Motorola Flipout), va être référencé incessamment sous peu par Orange France pour compléter leur gamme Android. On peut se procurer le Motorola Flipout depuis quelques semaines chez certains distributeurs comme Rue Du Commerce.

A un prix de 299 euros sans subvention opérateur, le Motorola Flipout devrait être très accessible chez Orange. La page produit est disponible sur le site e-store d’Orange mais nous n’avons toujours pas accès aux prix.

Quels sont les retours des premiers acquéreurs de cet OVNI ? :)

L’UFC-Que Choisir assigne Orange et SFR sur de la notion d’illimité

Orange SFR BouyguesUne actualité qui n’a pas de rapport direct avec Android, mais qui pourrait en intéresser certains…

Sur nos forums, comme sur d’autres, on constate que les offres des opérateurs français de téléphonie mobile sont assorties d’une quantité négligeable de conditions, ou « petites lignes ». Il n’y a pas besoin de détailler pour constater que ces dernières sont tout sauf évidentes à comprendre pour la plupart des technophiles, a fortiori pour l’utilisateur lambda.

C’en est trop pour l’UFC-Que Choisir, qui a déclaré mardi dernier avoir assigné Orange et SFR en justice pour “pratiques commerciales trompeuses” (Article L121-1 du Code de la Consommation) relatives à cette notion d’illimité dont usent et abusent nos opérateurs.

Cela se traduit notamment en jouant sur la confusion entre Internet et Web, par exemple pour SFR qui vend ses forfaits Illimythics 5 Connect comme disposant d’Internet en illimité 24h/24, alors qu’on constate que la quasi-totalité des protocoles autres que HTTP et HTTPS, servant à la navigation Web, sont tout simplement bloqués.

De même, on pourra remarquer la distinction faite par les opérateurs entre Internet et Mails, quand bien même le second est compris dans le premier. En particulier chez Orange, dont les forfaits Origami Star/First incluent l’ “internet illimité”, mais sur lesquels l’usage d’un client mail vous sera facturée à la consommation, en hors forfait.

Enfin, parlons de la limite bien connue d’ “usage raisonnable”, ou Fair-Use, qui fera passer votre débit de 7,2 Mb/s à 128 kb/s si vous utilisez par exemple un forfait Illimythics 5 Webphone chez SFR dès la barre des 1 Go de transfert mensuels dépassée. Tout cela sous couvert d’éviter une “saturation du réseau”. Sauf qu’il ne faudra pas aller plus loin que de l’autre côté de la Manche pour trouver au Royaume-Uni des offres proposant un volume de données 5 fois plus important pour moins cher, dans un pays pourtant plus densément peuplé. Accessoirement toujours chez Orange.

“On leur reproche d’utiliser dans leurs publicités la notion d’internet illimité, alors que dans la pratique le service fourni n’est pas illimité parce qu’il y a des restrictions d’usage”, a souligné Mme Patetta, directeur juridique à l’association UFC-que Choisir, à l’AFP. Avant de rajouter que “vous ne pouvez plus utiliser internet comme vous le souhaiteriez, c’est-à-dire que vous ne pouvez plus télécharger car le débit n’est plus assez fluide et le téléchargement se fait mal, vous ne recevez plus vos e-mails, vous ne pouvez pas téléphoner sur internet, alors que quand on parle d’internet illimité ça doit prévoir toutes les possibilités d’utilisation d’internet”.

On se rappellera que Stéphane Richard, président de France Télécom, avait annoncé en début d’année que sa société avait “un peu trop abusé des publicités avec des astérisques”, et admis qu’à “côté du mot illimité il y a trois astérisques qui expliquent en réalité toutes les limites qu’on met à ces offres”. Un peu plus tôt, Didier Lombard, son prédécesseur, déclarait “Il nous faut avant tout être transparents vis-à-vis de tous les consommateurs. Nous réfléchissons par exemple à l’utilisation d’autres termes que le terme « illimité » dans nos offres, y compris pour des forfaits de grosse consommation”. De belles déclarations de principe, dont l’application dans la pratique se fait cependant encore attendre.

Notons que Bouygues Télécom autant que les MVNO sont pour le moment épargnés, sans que les raisons n’aient été données. Cela pourrait cependant ne plus être le cas très longtemps, en particulier si l’UFC venait à obtenir gain de cause.

Via AFP, Numerama et PCInpact

jeudi 16 septembre 2010

Mise à jour de Google Goggles

Google Goggles vient d’être mis à jour en version 1.2.

La mise à jour apporte une latence moins importante, ainsi qu’une meilleure compatibilité matérielle.

Mais la principale nouveauté est l’apparition d’un nouvel écran de recherche, qui s’affiche après un scan :

On peut sélectionner ce que l’on souhaite rechercher (ici un logo, un livre, ou le texte reconnu).

Téléchargement :

Tweetdark : un mod pour changer les couleurs de Tweetdeck

Tweetdeck a été récemment porté sur Android en version beta.

Mais il se peut que vous n’aimiez pas l’apparence gris/jaune.

Voici un mod qui rend l’interface plus sombre, basée sur un jeu de couleurs noires et bleues :

Ce mod n’est disponible que pour les téléphones récents : Nexus One, Evo 4G (=Desire HD), Droid X…

Si votre téléphone n’est pas compatible, l’ancienne interface s’affichera.

Avertissement : Le lien est une apk. Nous l’avons testée et aucun malware n’a été détecté. Pour autant, nous ne sommes pas responsables si cette application endommageait ou corrompait vos données.

Téléchargement (nécessite de désinstaller l’application Tweetdeck) : http://www.wjddesigns.com/wp-content/uploads/modded_apks/TweetDark.apk

Source : WJD designs

Application : Custom Car Home

Custom Car Home est une application qui permet de personnaliser le Mode Voiture (disponible à partir d’Android 2.0) de son smartphone Android.

Je ne  sais pas s’il vous arrive comme moi d’utiliser votre téléphone en voiture (je sais que ce n’est pas bien mais j’ai un kit mains libres ;-) ) mais le “Mode Voiture” intégré au téléphone (en l’occurrence mon Nexus One) n’est pas très pratique. Aujourd’hui, j’ai eu la révélation qui illumina ma matinée (ok il ne m’en faut pas beaucoup) : Custom Car Home !

Cette petite application gratuite (il existe une autre version identique qui propose de faire une donation de 1$) vous permet de personnaliser complètement le mode voiture. Pour cela vous avez la possibilité d’avoir jusqu’à 3 écrans comprenant 8 raccourcis chacun.

On peut par exemple :

  • ajouter son lecteur de musique favori.
  • créer des raccourcis pour appeler une personne.
  • créer une icône avec une destination définie. (ex : maison, bureau…)
  • les préférences permettent de faire un profil qui s’appliquera lorsque vous êtes en mode voiture. (luminosité, Wifi, Bluetooth…)
    La version gratuite
    La version avec une donation de 1$

Pour plus d’info il y a aussi le site officiel.

SNCF Direct : informations en temps réel sur le réseau

L’application SNCF Direct permet d’avoir accès à toute l’information en temps réel sur le réseau ferroviaire.

Au travers de ces quelques screenshots, nous vous dirons les points forts/faiblesses de l’application.

L’écran d’accueil est très sobre :

L’application permet de :

  • Afficher les gares à proximité

La géolocalisation marche très bien, mais deux points faibles :

- Des gares sont manquantes
- Afficher des gares à plus de 100km n’est pas forcément utile

  • Afficher les prochains trains

  • Disposer d’une liste de gares personnalisée

Lorsqu’on cherche des informations sur une gare, elle est automatiquement ajoutée.

C’est dommage, car ce n’est pas forcément ce que l’on souhaite faire.

  • Afficher les services en gare

On peut consulter la liste des services et commerces disponibles dans les gares, mais aussi les parking, bus, métro, taxi, salons d’attente, toilettes, presse, restaurants…

  • Écouter la SNCF radio

Chaque région dispose de sa propre radio :

Le streaming marche très bien. Rien à noter.

  • Acheter des billets

Cette application est donc indispensable si vous empruntez le réseau ferroviaire.

On regrettera simplement que l’achat de billets ne puisse pas se faire depuis l’application.

Téléchargement :

Cette application a été suggérée par mikawelll.

Google Music : un tas de bonnes idées, qui soulèvent beaucoup de questions

Google Music Cela fait quelque temps déjà qu’on entend parler d’une boutique en ligne de musique par Google, qui viendrait directement menacer l’hégémonie d’Apple et de son iTunes Music Store. Rumeur confirmée par le chef de produit Android, Gaurav Jain, au magazine israélien Calcalist (כלכליסט), qui a d’ailleurs ajouté qu’elle sortirait en même temps que la future version d’Android, dénommée Gingerbread.

Aujourd’hui, le magazine Billboard nous permet d’y voir plus clair, en nous apportant un certain nombre de détails sur la manière dont Google voit son futur store. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que si les détails publiés sont vrais et que Google arrive à faire adhérer les plus gros labels à sa vision du service, la menace pour iTunes deviendrait vraiment sérieuse.

Pour commencer la présentation, Google Music s’appuierait sur le Cloud de Google. Un service de stockage, facturé $25 par an, permettrait aux utilisateurs de stocker sur les serveurs du géant de Mountain View les fichiers musicaux achetés, de manière illimitée, et de les écouter directement à partir d’un navigateur web, ou via des applications dédiées sur certaines plateformes mobiles, en particulier Android.

Lors de l’achat d’un fichier, les utilisateurs auront la possibilité soit d’enregistrer la musique sur leur téléphone mobile afin de l’emporter avec soi sans avoir à utiliser son forfait data pour les lire, soit, vous vous en doutez, de sauvegarder la musique sur le Cloud. Sachant bien entendu qu’une musique téléchargée sur un mobile pourra plus tard être transférée sur les serveurs de Google, et vice-versa.

Là où Google prendrait un peu d’avance sur iTunes, c’est en partie sur l’écoute des morceaux. Nul besoin de préciser l’importance de cette fonctionnalité pour déclencher un achat. La société californienne souhaiterait sur ce point aller plus loin que l’écoute d’un extrait de 30 secondes, devenue un standard de facto sur les services de vente de musique en ligne, en proposant aux utilisateurs d’écouter le morceau qu’ils convoitent en entier, une fois. C’était d’ailleurs une des caractéristiques de Lala, très appréciée par ses utilisateurs, mais disparue en même temps que le service lorsque la société a été rachetée par… Apple. Les écoutes suivantes seront par contre, elles, limitées aux 30 secondes habituelles.

Une autre ambition de Google est de proposer à la lecture via son service les fichiers musicaux dont dispose déjà l’utilisateur sur son ordinateur. Tous, pourvu qu’ils ne soient pas protégés par des DRM. Une excellente nouvelle pour les utilisateurs…

…mais une bonne nouvelle qui constitue aussi un des principaux points d’interrogation. Les maisons de disques vont-elles accepter de signer avec Google pour promouvoir un service qui, d’un autre côté, accueille bras ouverts les fichiers piratés contre lesquels elles se battent sans relâche ?

Selon Billboard, il se pourrait que ce soit le cas si Google consentait à faire quelques concessions sur d’autres points, comme par exemple une lutte un peu plus active contre les contenus violant le droit d’auteur sur ses services en ligne, en particulier sur son moteur de recherches ou sur Youtube. Les différentes parties impliquées dans les négociations savent bien qu’une telle indexation des fichiers des utilisateurs est une fonction primordiale pour agréger rapidement une communauté d’utilisateurs autour du service, et donc pour engranger des recettes importantes tant pour les majors que pour Google.

Beaucoup de questions restent encore en suspens. Quid du prix final des chansons sur la boutique (même s’il est probable qu’ils soient proches voire identiques à ceux d’iTunes) ? Quid de la qualité audio dont bénéficiera l’utilisateur, souvent reprochée au service d’Apple ? Quid du partage des revenus entre Google et l’industrie musicale ? Quid enfin des concessions que chacun devra probablement faire pour parvenir à un accord satisfaisant tant pour Google, que pour les labels, que pour les utilisateurs.

Il se pourrait cependant que ce soit, pour les maisons de production, une occasion à ne pas laisser passer. On a vu au travers des différents services qu’elles ont soutenues, comme la boutique d’Amazon qui a été la première à pouvoir vendre des morceaux sans DRM, que la dominance d’Apple sur le marché les gêne. Notamment parce que cela donne mécaniquement à la firme de Cupertino un poids très important dans les négociations. Google a en effet tout ce qui manque aux concurrents d’iTunes : de gros moyens techniques et financiers, une grosse base d’utilisateurs et, pour la première fois depuis le couple iPod + iTunes, un écosystème cohérent avec son système d’exploitation mobile Android sur lequel pourra être pré-installée l’application.

Il n’est pas à oublier non plus qu’une grosse force d’Apple est actuellement d’avoir un service bien implanté dans les habitudes et les esprits de ses utilisateurs, et surtout des contrats déjà signés avec l’industrie musicale.

On peut enfin se demander si Google a dans l’idée d’étendre les contenus proposés aux films et séries, pour attaquer Apple sur tous les fronts. La société a en effet déjà envisagé des services payants pour Youtube, de l’aveu de David Eun, vice-président du contenu pour la plateforme. Il est donc logique d’imaginer que les deux projets pourraient à terme se rapprocher pour former une seule solution cohérente, et pour diversifier les sources de revenus du géant américain. C’est sans compter le service Google Books qui pourrait également proposer une alternative crédible au Book Store d’Apple, d’autant plus avec l’actuel déferlement d’annonces concernant des tablettes Android. Nous pouvons donc raisonnablement nous demander si Google prévoit de proposer tous ces services de manière séparée, ou s’ils vont unifier tout cela en se basant sur l’Android Market déjà en place, à la manière d’iTunes.

Bref, un service très prometteur sur le papier et dans l’idée. Mais beaucoup de questions en suspens lorsqu’on détaille. En tous les cas, une affaire à suivre, et probablement une belle bataille en prévision tant il est improbable qu’Apple se laisse faire sur un terrain qu’il domine sans partage depuis plusieurs années maintenant. Affaire à suivre, donc.

Via Billboard, Cnet, Wired, Techcrunch et DigitalMediaWire.

Geocaching.com lance une application Android

Le géocaching est un loisir qui consiste à utiliser son GPS pour trouver un objet caché (appelé “cache”).

Généralement, un registre de visiteurs est disponible, afin de recenser les personnes ayant découvert le trésor.

Si cela vous intéresse, vous pouvez installer l’application de Geocaching.com.

Bien que le prix soit élevé (9,99$), l’application se révèle indispensable si vous aimez cette pratique.

En voici les principales fonctionnalités :

  • Recherche avec l’emplacement actuel, une adresse ou un code GC (= code géocache)
  • Accéder aux détails sur un “cache” : description, galerie photos, activité récente, astuces…
  • Sauvegarder une liste de “caches” (dont cartes et photos) pour un accès en mode déconnecté
  • Enregistrer les trouvailles et faire des notes
  • Utiliser le navigateur intégré à l’application pour accéder à l’intégralité du site, sans avoir besoin d’ouvrir un navigateur

Si vous souhaitez tester :Source : Geocaching.com

Une tablette par Motorola débarquerait l’année prochaine ?

Le co-directeur de Motorola, Sanjay Jha, vient de déclarer à l’occasion d’une conférence de la Deutsche Bank, que l’entreprise va mettre sur le marché une tablette, qui devrait être disponible en début d’année (via l’AFP).

En considérant les déclarations de Google à propos des tablettes et Android, il est préférable pour Motorola d’attendre et de sortir par la suite une tablette plus conviviale.

Sanjay Jha a également indiqué (traduction libre) :

“Je vois le marché des tablettes comme une opportunité ; pas de cannibalisation avec les smartphones, l’ipad est plus une extension de l’iphone, qu’une migration d’un Mac. Je pense que c’est une direction naturelle pour nous.”

Cette tablette, dont le nom de code serait Stingray, est supposée embarquer :

  • Un processeur nVidia Tegra 2
  • Android 3.0
  • Un écran 10 pouces
  • Une caméra à l’avant et à l’arrière

Source : Androidos.in