mercredi 31 juillet 2013

BOINC : aidez la recherche scientifique avec votre téléphone

BOINC est disponible sur le Play Store. L'application, du même nom que le projet lancé par des universitaires de Berkeley, permet aux mobinautes de participer à des projets scientifiques sans débourser un centime. 


boinc_logo

 

Aidez la cause scientifique avec votre androphone, et ce, sans même vous en rendre compte. Voilà le concept qu'a développé un groupe d'universitaires de Berkeley avec le projet BOINC (Berkeley Open Infrastructure for Network Computing).

Le principe de cette invention est d'utiliser la puissance de calcul des processeurs de vos terminaux mobiles pour en faire bénéficier des projets scientifiques. Il s'agit donc d'une plateforme de calcul partagé qui permet de faire avancer la Recherche que ce soit en mathématiques, en physique, en astronomie, ou encore en biologie. L'utilisateur peut choisir la cause qu'il préfère soutenir parmi une liste de 6 projets scientifiques.

Ne vous inquiétez pas, une fois installé, le logiciel ne devrait pas faire ramer votre appareil puisqu'il s'active uniquement pendant le chargement de sa batterie (à partir d'un certain seuil) et lorsqu'il est connecté au Wi-Fi.

Le dispositif n'est pour l'instant disponible qu'à partir de l'OS de Google dont le grand nombre d'utilisateurs pourrait s'avérer utile pour la Science. A noter qu'avant l'arrivée de son application mobile, BOINC existait déjà sur ordinateur et sur console de jeu.

BOINC
Space Sciences Laboratory, U.C. Berkeley

Use your phone or tablet to study diseases, predict global warming, or discover pulsars! BOINC harnesses the unused computing power of your Android device and runs jobs for scientific research projects. You can choose from projects in several areas of science, from leading academic institutions. BOINC computes...

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Le Huawei Honor 3 se dévoile un peu plus

Les fuites se sont répétées ces derniers mois, laissant entrevoir une sortie prochaine du Huawei Honor 3. Le terminal de milieu de gamme vient d'apparaître dans des clichés qui n'ont rien d'officiel, mais qui en dévoilent le design au côté de bribes de fiche technique.

Huawei Honor 3

Selon le site chinois Anzhuo, le Huawei Honor 3 embarquera le système d'exploitation Android dans sa version 4.2.2. Il devrait arborer un écran HD de 4,7 pouces (1280 x 720 pixels) et abriter un processeur maison de Huawei, à savoir un K3V2 quadri-coeur (génération sortie en 2012 et présente notamment dans le Huawei Ascend Mate) ici cadencé à 1,5 GHz. Le Honor 3 embarquerait en outre 2 Go de RAM, plutôt intéressants pour un terminal positionné en milieu de gamme, mais aussi 8 Go d'espace de stockage (extensible via un port microSD), un capteur photo de 13 mégapixels et une batterie de 2230 mAh. Il serait en outre traité pour être aussi bien étanche que résistant à la poussière. Voici quelques unes des photos qui ont filtré sur ce smartphone attendu sous la barre des 250 euros :

Honor 3

Honor 3

Honor 3

Honor 3

Microsoft Office Mobile disponible sur Android !

Microsoft Office s'invite sur toutes les plateformes. Après s'être exporté sur iOS, le voici qui débarque sur la plateforme Android, aux USA pour commencer, via une application dédiée à Office 365. Pour rappel, ce pack Office de nouvelle génération mise sur un système d'abonnement annuel aux services de Microsoft et permet d'accéder à l'ensemble du pack Office sur plusieurs terminaux.

Office Mobile

Editer vos documents Word, créer des PowerPoint, enregistrer vos documents sur SkyDrive… Avec un peu de retard sur iOS et conformément à ce qui était prévu depuis plusieurs mois, Microsoft Office pour Office 365 arrive sous Android.

Comme sur les autres plateformes, l'application requiert un abonnement à Office 365, mais n'est pas optimisée pour tablette, même si on s'attend à une mise à jour rapide de l'application qui lui apportera cet aspect. En attendant, les utilisateurs de terminaux sous Ice Cream Sandwich (4.0) au minimum peuvent :

  • Accéder à leurs documents stockés en Cloud
  • Editer les pièces jointes Office dans des emails
  • Utiliser Word, Excel et PowerPoint avec les SmartArt Graphics
  • Reprise de la lecture là où l'on s'était arrêté sur un autre terminal
  • Editions (sommaires) de documents Word
  • Sauvegarde des anciennes versions des documents
  • Edition de documents hors-connexion
  • Création de documents Word et Excel sur le smartphone
  • Commentaire de documents Word et Excel

Office

L'application est en cours de déploiement (gratuitement, lorsque l'on a déboursé 99 dollars par an pour un Office 365), à commencer par le Play Store américain. Elle devrait nous arriver prochainement !

Storage Cleaning Simulator vous met à la place d'un compilateur informatique

Jeu indépendant issu de l'imagination d'un programmeur, Storage Cleaning Simulator est un puzzle game proche de tetris censé figurer l'activité de certaines activités d'un logiciel, comme Recycle_bin. Un jeu par SeptemberCrab.

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Pour ceux d'entre vous qui n'y connaissent rien, un peu de vulgarisation. Lorsque vous utilisez une application ou un logiciel, celui-ci crée ce qu'on appelle des variables. Ces dernières servent à stocker toutes sortes de données, allant de votre score sur votre pinball à l'adresse mail que vous souhaitez utiliser chaque fois que vous vous connectez à votre compte. Certaines de ces variables doivent être conservées (comme l'adresse mail, sinon aucun intérêt de la sauvegarder). D'autres, non. Si par exemple le logiciel utilise le nombre d'ennemis tués pour calculer votre score, inutile de conserver ce chiffre une fois la partie terminée et le score enregistré.

A plus forte raison sur les mobiles où la place mémoire est précieuse, les applications font donc beaucoup de nettoyage. Ce jeu s'inspire de quelques méthodes de nettoyage en programmation et imagine une manière fun de voir cette activité logicielle. Le gameplay est simple : des briques tombent deux par deux à la manière de Docteur Mario. Mais le but n'est pas de les aligner, mais de grouper les couleurs identiques puis d'y accoler une brique percée. Celles-ci provoquent des réactions en chaîne et “neutralisent” les blocs.

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Les lignes entières de briques neutralisées de cette façon disparaissent, il faut donc en plus veiller à répartir vos briques quand vous les détruisez. Le jeu comporte 2 modes : arcade classique et un mode où le bas de l'écran monte d'une ligne à chaque double bloc qui descend par le haut de l'écran. Avec autant de nouveaux blocs. Dans le premier mode, vous perdez quand un bloc atteint le haut de l'écran. Dans le second, uniquement quand l'écran est rempli de blocs, les blocs trop hauts chutant sur leur droite ou leur gauche selon les possibilités.

Un jeu de puzzle sympa, original et très propre. Les termes peuvent paraitre obscurs aux néophytes (le Game Over remplacé par le CRITICAL_DATA_OVERFLOW est le genre d'idée qui donne une vraie ambiance au jeu), mais le jeu est en fait très accessible.

Vous le procurer ne vous coûtera pas un centime. Il est compatible dès la version 2.2 d'Android et prendra 1,1 Mo sur votre appareil. N'hésitez pas à faire des retours au développeur (en anglais) via les adresses de contact données dans le jeu (en anglais lui aussi, mais le fonctionnement est aussi simple que ce que je vous explique dans cet article).

Storage Cleaning Simulator
SeptemberCrab

Brave USER!GARBAGE_COLLECTOR feel into slumber and cannot be awoken. Your computer is in danger.Avoid data overflow by managing your memory resources or obliterating useless sectors.Game consists of two modes:RECYCLE_BIN - Managing memory in puzzle game, without time pressure.FULL_FORMAT - Obliterating tons of data, whilst avoiding data overflow. ...

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Test du Huawei Ascend P6

Table des matières Review of: Huawei Ascend P6
testé par:
Ulrich Rozier

Reviewed by:
Rating:
4
On 31 juillet 2013Last modified:31 juillet 2013

Summary:

Comment peut-on le comparer au Galaxy S4... le champion actuel parmi les smartphones Android ? Ce n'est vraiment pas si compliqué. Le Galaxy fait plus de choses, le Galaxy est plus puissant, néanmoins le P6 possède une finition, un design et un rapport qualité/prix que le Galaxy S4 n’a jamais eu.Aucune de ses caractéristiques n’est révolutionnaire. Ensemble, elles sont significatives : l’Ascend P6 est un réussite. Huawei a choisi de mieux faire, plutôt que de faire quelque chose de radicalement différent. Mais à en juger l’attente des technophiles, l'approche est risquée. Beaucoup de gens s’attendent à de l’innovation.

Ceci est le Huawei Ascend P6. Mettez de côté vos préjugés sur les constructeurs chinois : tout comme l'iPhone 5, le Huawei Ascend P6 est un smartphone composé d’aluminium et de verre. Avec l'iPhone, la presse high-tech avait sougliné qu’Apple avait atteint un niveau de qualité sans précédent dans l'histoire de la fabrication de masse. Que dire alors de ce Huawei Ascend P6 ?

Huawei-Ascend-P6

Voilà, il devient difficile de ne pas parler de l’iPhone 5, sans traiter ses fans de demeurés, ses acheteurs de pigeons ni les testeurs qui lui ont accordé des notes dithyrambiques de gros vendus.

Apple a effectivement réussi à créer un téléphone qui est tellement bon qu'il est devenu un archétype. Et quand les choses deviennent des archétypes, elles deviennent intrinsèquement moins intéressantes pour les gens qui prospèrent sur la dissonance et la perturbation. C'est pourquoi l'iPhone 5 a suscité une telle réaction inverse de la presse technique quand il a été révélé.

Passons au test du Huawei Ascend P6.

 

Caractéristiques techniques

ModèleHTC One miniSamsung Galaxy S4 miniHuawei Ascend P6
VersionAndroid 4.2.2
Jelly Bean
Android 4.2.2
Jelly Bean
Android 4.2.2
Jelly Bean
Écran4,3 pouces4,3 pouces4,7 pouces
Résolution720 x 1280 pixels (HD)540 x 960 pixels (qHD)720 x 1280 pixels (HD)
TechnologieSuper LCD2Super AMOLEDIPS-LCD
Densité de pixels~ 342 dpi~ 256 dpi~ 312 dpi
Traitement contre les chocsOui, Gorilla Glass 3Oui, Gorilla Glass 3Oui, Gorilla Glass 2
Processeur (CPU)double-cœur
Snapdragon 400 à 1,4 GHz
(Krait 300)
double-cœur
Snapdragon 400 à 1,7 GHz
(Krait 300)
quadruple-cœur

Huawei K3V2 à 1,5 GHz
Chipset graphique (GPU)Adreno 305Adreno 305GPU 16 cœurs
Mémoire vive (RAM)1 Go1,5 Go2 Go
Mémoire interne (ROM)16 Go8 Go8 Go
Support microSD-HCNonOui, jusqu'à 64 GoOui, jusqu'à 32 Go
APN (Caméra vidéo)UltraPixel 4 mpx (1080p)8 mpx (1080p)8 mpx (1080p)
Caméra frontale1,6 mpx (720p)1,9 mpx (720p)5 mpx (720p)
Carte SIMMicro-SIMMicro-SIMMicro-SIM
WiFi - Wi-Fi DirectOui, a/b/g/nOui, a/b/g/nOui, b/g/n
DLNA - Hostpot WiFi
Hotspot Bluetooth - Hotspot USB
Oui - Oui

Oui - Oui
Oui - Oui

Oui - Oui
Oui - Oui

Oui - Oui
Bluetooth4.0 avec A2DP4.0 avec A2DP, LE, EDR3.0 avec A2DP, LE, EDR
RéseauxHSPA+ / LTEHSPA+ / LTEHSPA+
NFC (Near Field Communication)NonOui (modèle GT-i9195)Non
Boussole - GPSOui - OuiOui - OuiOui - Oui
Accéléromètre - GyroscopeOui - OuiOui - OuiOui - Oui
Capteur de proximité et lumièreOui - OuiOui - OuiOui - Oui
Port micro-USB - HDMIOui - NonOui - NonOui - Non
Tuner FM (Radio)NonOui avec RDSOui
Sortie jack 3,5 mmOuiOuiOui
Amélioration sonoresBeats audioNonDolby Digital
Batterie1800 mAh1900 mAh2000 mAh
Dimensions132 x 63.2 x 9.3 mm124.6 x 61.3 x 8.9 mm132.7 x 65.5 x 6.2 mm
Poids122 grammes107 grammes120 grammes
DAS/0.33 W/kg0.64 W/kg
Prix conseillé~ 449 dollars/euros~ 449 euros~ 399 euros

 

Le tour du propriétaire du Huawei Ascend P6

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L’aspect général

La qualité de la finition est exemplaire, notamment autour de ses bords. Il a été conçu pour la discrétion plutôt que pour se montrer, contrairement au dos brillant d’un Galaxy S4 bleu. Le téléphone est très agréable en main. Ce qui est surprenant, c'est que l'ensemble est très léger malgré sa taille.

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Le cache du port casque (3,5 mm) sert à ouvrir les slots microSD et microSIM… Astucieux, néanmoins c'est le genre de babiole que vous aurez vite perdue.

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La batterie (2000 mAh) est bien entendu inamovible. Sur le côté droite, les deux slots sont côte à côte. D'ailleurs, difficile de les différencier d'un simple coup d'oeil… ils sont identiques !

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Huawei Ascend P6

Tout comme nous avions pu être frappés par changements entre l’iPhone 4S et l’iPhone 5, nous sommes frappés par les différences entre l’iPhone 5 et l’Ascend P6. Avec ses coins arrondis, une façade recouverte de verre, une bande métallique sur les bords de l’appareil, le tout avec un aluminium brossé très soigné. Jusqu’aux détails, par exemple les bords biseautés pour éviter d’avoir des bordures trop tranchantes.

 

L'écran

Le Huawei Ascend P6 est équipé d'une dalle IPS+ en résolution 720p. Le “+” du IPS vient du fait que cette technologie est plus lumineuse que la technologie classique IPS. Ce sont des technologies que l'on retrouve sur les appareils LG (Optimus G par exemple) ou encore les Asus (les Transformer). Nous les avons confronté aux autres technologies d'écran du marché. Merci à Edouard pour ce test d'écrans.

  • Samsung Galaxy Note 2 : Super AMOLED HD (Haut à gauche)
  • Sony Xperia T : LCD – Mobile Bravia Engine 2 (Bas à gauche)
  • Sony Xperia Z Ultra : LCD Triluminos – X Reality (Centre)
  • Huawei Ascend P6 : IPS+ (Haut à droite)
  • Sony Xperia Z : LCD – Mobile Bravia Engine 2 (Bas à droite)

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La photo ne montre hélas pas suffisamment la réalité, mais le Huawei Ascend P6 est celui qui offre la reproduction du blanc la plus fidèle avec une belle luminosité. Le Sony Xperia Z le suit de près mais une teinte jaunâtre s’en dégage nettement. Le Xperia Z Ultra renforce cette sensation de couleur jaune, tout en gardant une luminosité forte mais légèrement moins élevée. Le dernier Sony, à savoir le Xperia T est vraiment en retrait avec à la fois une teinte très jaunâtre, mais aussi une luminosité en berne. Enfin le Galaxy Note 2 montre ses faiblesses en penchant beaucoup trop sur le gris/bleu et surtout avec une luminosité très insuffisante.

Sony-Xperia-Z-Ultra-Ecrans-noirs

La reproduction du noir est le domaine de prédilection des écrans AMOLED, car les pixels sont éteints, permettant alors d’obtenir le noir le plus profond possible. Du côté des LCD, la problématique est tout autre car l’objectif est de reproduire au mieux ce coloris avec le rétroéclairage : le Samsung Galaxy Note 2 domine ainsi ses concurrents.

Comme vous le voyez sur la photo, la différence saute aux yeux et le Sony Xperia T se démarque avec des tons très foncés, mais qui tirent légèrement sur le vert. Le Huawei Ascend P6 suit avec une teinte bien plus claire. Le Sony Xperia Z Ultra devance le Xperia Z qui est vraiment à la traîne dans ce domaine.

Bref, comme vous pouvez vous en apercevoir, l'Ascend P6 surprend ! La technologie IPS+ est une des plus abouties et équilibrées.

 

Logiciel

Le Huawei Ascend P6 tourne sous Android 4.2 (Jelly Bean). Ce n'est pas la dernière version d'Android, néanmoins la 4.3 vient tout juste d'être présentée par Google et n'est disponible que sur la gamme Nexus pour le moment.

Le bureau (launcher)

Huawei propose “son expérience”, baptisée EmotionUI.

Elle ressemble en effet à d'autres launchers que l'on peut trouver sur le Google Play. Son intérêt est simple : on peut personnaliser à fond son téléphone grâce à une énorme collection de thèmes.

Personnellement, je n'accroche pas du tout. Aucun menu, tous les icônes et widgets se retrouvent sur le bureau, ce qui peut perturber lors des premières prises en main. Je vous encourage grandement à installer un launcher plus classique, que vous pouvez retrouver sur le Google Play. Personnellement, je conseille Apex.

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L'offre logicielle

Au delà du launcher qui est franchement de mauvais goût, l'offre logicielle installée nativement sur le téléphone est… une bonne surprise. On retrouve des applications très utiles. Par exemple, une application capable de sauvegarder l'essentiel du téléphone pour le restaurer rapidement sur un nouveau, grâce à un fichier ZIP stocké sur la carte microSD.

fonctions

On retrouve également une application pour accéder et partager des fichiers sur son réseau domestique (DLNA et tutti quanti).

profils

Un système de profil pour paramétrer d'un seul clic son téléphone en fonction de l'environnement.notifs

Une fonction très utile pour mieux contrôler les notifications (pushs) des applications. Vous pouvez les activer ou les désactiver en fonction de chaque application installée.

permissions

Un système de sécurité natif poussé est destiné à de mieux gérer les permissions des applications. Vous savez d'un coup d'oeil si telle ou telle application peut utiliser l'appareil photo ou connaître votre position géographique, et cela peut éviter certaines mauvaises surprises.

Bref, Huawei semble maîtriser l'intégration d'Android. Néanmoins, j'insiste sur le fait que le launcher doit vraiment être remplacé. Enfin, l'offre logicielle est quasi-complète, avec très peu de superflu !

À quand Android 4.3 ?

 

Capteur photo / vidéo

À l’arrière, on retrouve un appareil photo 8 mégapixels couplé avec un certain nombre d’outils d’édition de photos. La lentille est produite par Sony avec une ouverture f/2.0. Durant la conférence, Huawei n’a pas hésité à comparer ce capteur à celui du Galaxy S4 ou de l’iPhone 5, nous l'avons donc confronté… à l'iPhone 5. Voilà un comparatif sans trucage.

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Globalement, le moins que l'on puisse dire, c'est que l'Ascend P6 propose des résultats très satisfaisants. L'accent est mis sur les détails, même de près, ce qui satisfera les amateurs de photo macro. La gestion de la luminosité est elle aussi un point fort de ce capteur, qui ne souffre pas trop en plein soleil, et propose des détails un peu plus précis (cf. la photographie dans le parking souterrain) et une meilleure gestion des couleurs dans une atmosphère sombre. Un bémol toutefois, parce qu'il en faut bien un : le dernier cliché, lui aussi dans des conditions de lumière difficile, montre un accent mis sur la luminosité (encore !) mais au détriment de la précision de l'image, très bruitée ici, qui souffre dans certaines zones de reflets blancs à la limite de la surexposition. Dans l'ensemble, et surtout pour son tarif de vente, l'Ascend P6, qui propose en outre de la vidéo Full HD, propose des performances photo convaincantes pour un usage quotidien, et même un peu plus.

Quelque chose à ajouter ?

 

Les performances

Benchmark

Le Huawei Ascend P6 est propulsé par un SoC maison : il s'agit du (HiSilicon) K3V2 quadruple-coeur cadencé à 1,5 GHz. Le K3V2 (Hi3620) est un SoC fondu par TSMC, sorti en 2012, comprenant notamment 4 cœurs ARM Cortex A9, 16 cœurs GPU, un bus de 64 bits, et contient un mécanisme nommé A.I.PS (pour Artificial Intelligence Power Scaling, signifiant en anglais ; échelonnage de puissance par intelligence artificielle), capable de gérer le nombre de cœurs fonctionnant et l'état des CPU et GPU automatiquement et de façon matérielle, ceci se faisant jusqu’à présent à l'aide du noyau du système.

Ce chipset a été présenté en janvier 2012 au CES, il est désormais remplacé par le K3V3 (architecture big.LITTLE ; 2 Cortex-A15 et 2 Cortex-A7, Le GPU est quant à lui un Mali-T658) sur les modèles les plus “haut de gamme” de Huawei.

Pas étonnant qu'il ne tienne pas la comparaison avec le SoC Snapdragon 600 de Qualcomm. Le K3V2 est un SoC qui peut se vanter de faire mieux que le quadruple-coeur MediaTek MT6589 cadencé à 1,2 GHz (ARM Cortex-A7) qui équipe le Wiko Cink Five.

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Performances du Huawei Ascend P6 sur AnTuTu

Des performances moyennes qui ne posent pas de soucis lors de l'utilisation classique d'un smartphone. J'ai ressenti quelques ralentissements seulement lorsque j'ouvrais un peu trop d'applications. Par contre, le gros bémol de ce SoC c'est qu'il chauffe trop – on ressent rapidement une chaleur gênante à l'endroit où se trouve le processeur. Attention à votre main lorsque vous jouez (par exemple).

Autonomie

Avec une batterie de 2000 mAh, rien de vraiment spectaculaire. Vous tiendrez la fameuse journée classique avec une utilisation normale de votre smartphone.

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On apprécie tout de même l'application qui permet d'optimiser l'autonomie en maitrisant intelligemment la consommation de chaque application.

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Qualité de réception (appel)

Pas grand chose à déclarer dans cette partie. J'ai utilisé le smartphone pendant 10 jours en tant que téléphone principal, j'ai donc dû passer au moins 5 heures d'appels. L'accroche est correcte, même sur la ligne 8 du métro parisien. C'est dire…

 

Mon verdict

autonomie Avec une batterie de 2000 mAh, rien de vraiment spectaculaire. Vous tiendrez la fameuse journée classique avec une utilisation normale de votre smartphone. On apprécie tout de même l'application qui permet d'optimiser l'autonomie en maitrisant intelligemment la consommation de chaque application 6 design La qualité de la finition est exemplaire, notamment autour de ses bords. Le téléphone est très agréable en mains. Ce qui est surprenant, c’est que l’ensemble est très léger malgré sa taille. Avec des coins arrondis, une façade recouverte de verre, une bande métallique sur les bords de l’appareil, le tout dans un aluminium brossé très soigné. 10 logiciel Huawei semble maîtriser l'intégration d'Android. Néanmoins, le bureau (launcher) est vraiment de mauvais goût et peu pratique. Heureusement, l'offre logicielle est quasi-complète, avec très peu de superflu ! 7 caméra Cette lentille Sony de 8 mégapixels fait des merveilles, sûrement l'une des meilleures du marché ! Enfin, les 5 mégapixels à l'avant sont une bonne surprise, je vais peut-être finir par utiliser ce capteur avant... 9 écran L'écran IPS+ de 4,7 pouces nous a clairement surpris ! Il bat les AMOLED, Bravia et autres S-LCD. Enfin, la définition d'écran de 720p permet d'avoir une bonne lisibilité, même avec les petits caractères. Du tout bon ! Une définition 1080p aurait eu un impact énorme sur l'autonomie avec une très faible différence de rendu. 10 10Meilleure note Notre avis 08/10 Comment peut-on le comparer au Galaxy S4... le champion actuel parmi les smartphones Android ? Ce n'est vraiment pas si compliqué. Le Galaxy fait plus de choses, le Galaxy est plus puissant, néanmoins le P6 possède une finition, un design et un rapport qualité/prix que le Galaxy S4 n’a jamais eu.

Aucune de ses caractéristiques n’est révolutionnaire. Ensemble, elles sont significatives : l’Ascend P6 est une réussite. Huawei a choisi de mieux faire, plutôt que de faire quelque chose de radicalement différent. Mais à en juger l’attente des technophiles, l'approche est risquée. Beaucoup de gens s’attendent à de l’innovation.
autonomie 06 design 10 logiciel 07 caméra 09 écran 10
  • Design en aluminium
  • Finition exemplaire
  • Moins de 400 euros
  • Capteur photo de 8 mégapixels
  • Offre logicielle complète et utile
  • Qualité d'écran
Pour Contre
  • Pas de 4G (LTE) !
  • Il peut vraiment chauffer
  • Batterie inamovible
  • Interface Huawei à changer !
  • Performances moyennes
  • Où se trouve la NFC ? Huawei a oublié...

 

Disponibilité

Grepolis bientôt disponible sur Android

Pour ceux qui ne connaitraient pas beaucoup les jeux sur navigateur, Grepolis est un jeu de gestion de cité antique, grecque en l’occurrence, qui possède une grosse communauté de joueurs (20 millions revendiqués).

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Le jeu vous propose de construire vos bâtiments les uns après les autres, chacun prenant un certain temps. Vous amassez des ressources, de l'or, mais aussi des troupes militaires, et de la main d’œuvre pour vos bâtiments. Autrement dit un Ogame-like. Le jeu disposait déjà d'une application, Grepolis Toolbox, mais il s'agissait d'une version incomplète, servant surtout à gérer en urgence sa cité en déplacement. Innogames pense visiblement que cela ne suffit pas.

Et ils sortent à l'occasion de cette annonce une vidéo inédite sur le gameplay de cette future application :

Lien Youtube

A noter que contrairement aux vidéos sur la version mobile, la chaîne youtube n'est plus “Grepolis” mais bien “Innogames”. Changement de méthode ou volonté de rompre avec cette version mobile précédente ? En tout cas Grepolis suit les traces de Guerre Tribale, et Innogames prévoit déjà la sortie future de Forge of Empires en applications iOS et Android.

Microsoft Office pour iOS et Android prévus finalement pour 2014

On vous a déjà parlé à plusieurs reprises de l'arrivée probable de Microsoft Office pour iOS et Android. Au début, les rumeurs évoquaient une sortie pour Mars 2013 mais le mois et passé et rien n'est venue. Si l'arrivée de la suite Office sur ces deux plateformes n'a jamais été réellement confirmée par Microsoft, elle n'a pas non plus été démentie. Est-ce une manière de dire que cela arrive mais que ce n'est pas prêt

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La Shield sort aujourd'hui, tour d'horizon

127 jeux, rien que ça, pour la console Nvidia Shield qui sort aujourd'hui. Soit déjà plus de la moitié du catalogue de la OUYA. Pour un démarrage, c'est plutôt bien. Attention, on parle bien de 127 jeux déjà disponibles sur le magasin. Tous sont donc jouables, finis, et plusieurs sont optimisés pour Tegra.

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La console de Nvidia décide de frapper fort. Pour tenter de s'imposer malgré ses nombreux détracteurs, elle présente un catalogue riche, y compris en jeux de qualité. Sans être des jeux AAA équivalents aux consoles, ce qui à terme devra être son champ de bataille de la même manière que sa concurrente de salon la OUYA, des jeux comme The Bard's Tale ou Riptide GP2 sont très bons et peuvent vraiment permettre à la console de décoller.

La Shield arrive sur un secteur où elle est à la fois mieux et moins bien placée que la Ouya. D'un côté, elle est portable, ce qui lui permet potentiellement d'utiliser des jeux prévus à l'origine pour tablette ou téléphone, sans avoir besoin d'une grosse adaptation du jeu. D'un autre côté, il est compliqué de défendre un appareil de ce prix face à des tablettes ou téléphones. Le principal intérêt étant la manette intégrée, plus pratique que d'ajouter une manette à un appareil Android.

Mais au-delà de l'intérêt de la console, le but de cet article est avant tout de parler de son catalogue. Catalogue plutôt  fourni, donc. Vous n'aurez pas trop de mal à y (re)trouver les grosses licences actuelles et il est probable qu'avec désormais deux consoles sur le marché, en plus des autres appareils déjà existants, les jeux Tegra se multiplient. Possible donc sinon probable que cette console fasse le jeu de la OUYA, indirectement, et de l'ensemble du gaming sur Android. Une future guerre des consoles sur Android pour les exclusivités ? En attendant voilà les jeux dont vous pourrez déjà profiter si vous vous êtes offert cette console.

Optimisés pour Tegra, gratuits

Optimisés pour Tegra, payants

Autres jeux gratuits

Autres jeux payants

Quatre jeux sont, de plus, encore indisponibles bien que présentés dans le catalogue :

  • Choplifter
  • Tainted Keep
  • Chucks Challenge
  • Blood Sword

Ces deux derniers sont officiellement annoncés pour une sortie aujourd'hui ou demain.

Play Store : le service de paiement sur facture est désormais disponible chez Bouygues

Après SFR, le système de facturation d'achat du Play Store s'invite chez Bouygues. Ce mode de paiement sera disponible dès le 1er août.

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Les clients de Bouygues et B&You n'auront bientôt plus besoin de sortir leur carte bleue pour faire leurs achats sur le Play Store. C'est ce que vient d'annoncer la firme française qui offrira un service de paiement sur facture à ses utilisateurs dès le 1er août. Les clients de l'opérateur mobile, propriétaires de terminaux Android, pourront acheter des applications ou louer des films sans avoir à donner leurs coordonnées bancaires. Après avoir acheté un produit sur le Play Store, le client recevra un sms de confirmation suivi d'un email. Le montant des achats de l'utilisateur se retrouvera ensuite sur la facture de l'opérateur mobile.

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Google avait développé ce mode de paiement dès 2011 dans certains pays européens comme l'Allemagne et le Royaume-Uni, via Vodaphone d'abord, avant que d'autres opérateurs ne suivent. En France, le paiement sur facture a un peu plus tardé à arriver puisque Bouygues Telecom n'est que le deuxième opérateur à offrir ce service. A l'automne 2012, SFR avait ouvert la voie en mettant en place un tel système de facturation sur le Google Play Store mais aussi très récemment sur le Windows Store. Orange  serait aussi en préparation d'un tel dispositif, ce n'est donc plus qu'une question de temps avant que tous les utilisateurs de smartphones Android puissent bénéficier de ce service sur leur terminal… et leur facture.

Casual Connect, Jour 1 : Facebook, l'éditoriat dans le jeu vidéo et Indie Prize

Premier jour du Casual Connect, le salon des développeurs et éditeurs du monde du jeu Casual, et déjà quelques annonces entre les très nombreuses conférences. Et parfois pendant les conférences.

slide-meetings

A San Francisco où se tenait le salon, pas grand chose pour l'instant au niveau des annonces de jeux vidéos. Un jeu sur iOS et Facebook (Dragon's Up) et c'est tout pour l'instant. Mais ce n'est pas l'E3 ni la Gamescom. Ici le but ici, à la manière de la GDC (Game Developers Conference), est de mettre en relation les éditeurs et les développeurs pour des séries de conférences, le tout agrémenté de quelques annonces.

Aujourd'hui, la première annonce est venu de Facebook. Le géant du web a annoncé sa volonté de travailler dans le monde du jeu mobile. Attention, il ne s'agit pas d'éditer au sens habituel du terme, puisque Facebook ne veut pas prendre de rôle actif dans le financement du jeu. Simplement en faire la promotion, lui trouver un public et travailler, en somme, à sa distribution. Pas très convaincant, et à la manière de leur sortie plus tôt dans l'année, sur la volonté d'implanter une bibliothèque de hardcore gaming sur leur réseau, on ne ressort pas convaincu que le géant américain aura un vrai impact. Néanmoins, quelques développeurs tels que KiwiGames ou Gameloft travailleront avec lui.

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Parmi les déclarations choc de la journée, on retiendra celle de Will Harbin, Chef Exécutif chez Kixeye, l'éditeur de Battle Pirates, et présent sur des plates-formes comme Facebook. Son conseil ? Ne pas faire appel à des éditeurs. Oui, selon ce grand bonnet d'un éditeur majeur du jeu vidéo à cible casual, les éditeurs sont obsolètes. Il a tenu toute une conférence en expliquant pourquoi les éditeurs prennent contrôle de données que le développeur peut contrôler lui même, du moins dans le monde du web et du mobile.

On peut espérer qu'autant de développeurs que possible suivent son conseil (il est rare qu'un éditeur le dise lui-même), et qu'ainsi les jeux échappent à la censure morale souvent propre aux éditeurs plus qu'aux développeurs ou à leur plate-forme.

Concernant les annonces, sur Android, pas de sortie annoncée aujourd'hui mais Indie Prize a commencé “l'exposition” d'une série de jeux dont certains vont très bientôt sortir ou sont tout juste sortis. Parmi les jeux concernés, voici, pour les amateurs de jeux indépendants, les jeux Android :

L'exposition s'accompagne d'un concours, les prix étant fournis par des sponsors comme Blackberry, Unity, Tango ou AppPromo. Nous vous donnerons bien sûr le podium, avec un descriptif plus complet des jeux ou des projets, si ceux-ci sont sur Android.

A demain pour la suite du salon !

Alcatel-Lucent et Qualcomm vont améliorer ensemble la capacité des réseaux 3G/4G et Wi-Fi

Alcatel-Lucent et Qualcomm ont annoncé un travail en synergie dans le but de développer des petites cellules qui améliorent la qualité des connexions 3G/4G et Wi-FI.

Alcatel-Lucent

Deux grands de la mobilité ont annoncé leur future collaboration. Il s’agit d’Alcatel-Lucent et de Qualcomm, qui vont mettre en commun leur savoir-faire pour développer des stations de base small cells, des petites cellules qui optimisent la qualité de connexion des réseaux 3G, 4G et Wi-Fi dans les cercles résidentiels et professionnels. Ces base small cells ont pour but d’améliorer la réception des réseaux cellulaires dans des zones urbaines à forte densité, lieux d’activité professionnelle ou encore dans les centres commerciaux, indiquent les deux entreprises dans un communiqué. Et Paul E. Jacobs, président et directeur général de Qualcomm Incorporated, d’ajouter : « Les petites cellules permettent d’augmenter fortement la capacité réseau au plus près de l’utilisateur ; elles peuvent non seulement préparer les opérateurs à un trafic de données mobile qui, selon les prévisions, sera multiplié par 1000, mais également améliorer considérablement l’expérience des abonnés mobiles. Grâce à notre collaboration avec des leaders du marché tels qu’Alcatel-Lucent, nous pouvons accélérer la densification des petites cellules partout à travers le monde et faire un nouveau pas significatif en matière de technologies et de services très haut débit mobiles avancés. »

Les deux entités vont co-investir dans un programme stratégique de R&D en vue de développer la nouvelle génération de petites cellules lighRadio d’Alcatel-Lucent. Ces mêmes cellules qui utiliseront des processeurs petites cellules FSM9900 de Qualcomm Technologies. “Il s'agit aussi, vraisemblablement, d'une stratégie “d'écosystème”, qui permettra à Alcatel  de mieux placer ses produits sur le marché américain, où Qualcomm est très présent, notamment pour tout ce qui concerne la norme mobile CDMA”, explique au magazine Challenges, Olivier Ezratty, un consultant indépendant.

Hier, Alcatel-Lucent a publié les résultats financiers du premier semestre. Des résultats empreints d’une baisse annuelle causée notamment par les charges de restructuration et d’une perte de valeur sur actifs. A rappeler que le titre Alcatel-Lucent a toutefois rebondi en Bourse de Paris grâce aux premiers résultats positifs de ce plan de restructuration.

Google Glass Explorer étend sa communauté de participants

Certains participants au programme de test des lunettes à réalité augmentée de Google ont reçu une invitation particulière du constructeur. Ces Glass Explorers ont en effet la possibilité d'inviter un de leurs amis à rejoindre le programme et à se procurer l'appareil.  

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Google étend la communauté de Google Glass Explorer. Certains participants au programme de test des lunettes intelligentes de Google ont pu recevoir une invitation du fabricant qui leur permet d'inviter un ami à se procurer lui aussi l'édition Google Glass Explorer.

Pour rejoindre le cercle très fermé de ce programme, qui compte moins de 10 000 testeurs à ce jour, l'individu “parrainé” par un autre Glass Explorer doit résider aux Etats-Unis, avoir au moins 18 ans, et être à même de venir chercher les lunettes connectées à San Francisco ou Los Angeles et accepter de payer 1500 dollars (chez Glass, Sarah Price a confirmé via Google+ qu'ils “doivent acheter les Glass ; ils bénéficient des mêmes conditions que les autres Explorers“). Les utilisateurs des lunettes doivent également remplir un document définissant leur lien avec la personne qu'ils souhaitent inviter.

Les premières lunettes à réalité augmentée mises en vente dans le cadre de cette initiative auraient déjà été écoulées, preuve d'un certain succès pour ce programme. En revanche, on ignore si ces invitations, pour l'instant envoyées à un échantillon des Glass Explorers, sera étendue à d'autres participants du programme.

Les Google Glass sortiront dans le courant de l'année prochaine, et le nouveau produit de la firme devrait rencontrer un fort succès à en juger par la curiosité qui l'entoure.

NEC ne fabriquera plus de smartphones

NEC a annoncé que sa division smartphones allait être abandonnée, mais qu'une cellule de maintenance pour les terminaux NEC toujours en circulation allait être assurée.

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La division smartphones de NEC a complètement été abandonnée. C’est ce qu’a annoncé aujourd’hui le constructeur japonais dans un communiqué. Confronté à une concurrence de plus en plus rude dans le pays du Soleil Levant, surtout de la part de Samsung et Apple et qui ont bien réussi à s’implanter, le groupe nippon n’a pu tenir le coup et a décidé de fermer sa division relative aux téléphones intelligents, afin de se concentrer sur les solutions d’entreprises, indique l’entreprise.

Aujourd’hui, NEC ne disposerait plus que de 5 % de parts de marché dans son propre pays, bousculé par les géants coréens et américains. Il indique toutefois que malgré cette fermeture, un service de maintenance sera encore assuré aux possesseurs de smartphones NEC toujours en circulation. Il a également déclaré que le secteur de la téléphonie ne sera pas totalement abandonné, avec une poursuite de la R&D dans le domaine des téléphones classiques ou ceux destinés aux seniors.

Pour rappel, fin 2012, NEC avait commencé à négocier avec Lenovo en vue de poursuivre un développement conjoint dans le domaine des smartphones. Ceci après un rapprochement de la firme japonaise et de Casio, qui lui-même avait fusionné avec Hitachi. NEC et Lenovo avaient finalement avoué leur mésentente sur l’ampleur de la participation du Chinois dans une société de joint venture. NEC a été parmi les premiers constructeurs à sortir des smartphones résistants à l'eau et à double écran sous Android.

Moto X : une nano-SIM et du 60 fps pour l'enregistrement vidéo ?

A l'aube de sa présentation, de nouvelles rumeurs voudrait que le Moto X soit compatible avec les nano-SIM et serait équipé d'un appareil photo capable d'enregistrer des vidéos à 60 images par seconde.

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A quelques heures seulement de sa présentation officielle, le Moto fait toujours autant parler de lui. Le smartphone, sur lequel quasiment tout est connu d’avance, revient avec une autre rumeur, relayée par le site GSMinsider. En effet, le téléphone serait compatible avec les cartes nano-SIM. En revanche, les personnes intéressées par le smartphone et utilisant autre chose que l’iPhone 5 d’Apple, devront absolument changer de format de carte SIM.

La photo ci-dessus a été prise à Hong-Kong, ce qui laisse penser que le Moto X pourrait être disponible, à son lancement, non seulement aux Etats-Unis mais également en Asie et sur d’autres continents, comme l'Amérique du Sud, comme le laisse entendre ce tweet de Motorola au Brésil.

Côté photo

Une autre autre information, qui nous vient tout droit du compte Google+ d’un ancien journaliste chez Android and Me, voudrait que l’appareil photo de 10 mégapixels soit en mesure d’enregistrer la vidéo en Full HD à 60 images par seconde, soit une première pour un smartphone. Quoi qu’il en soit, que ces rumeurs s’avèrent ou pas, nous n’en avons plus que pour quelques heures pour enfin découvrir ce que cache le Moto X dans ses entrailles.

Notons que selon les fuites précédentes, le smartphone serait équipé d'un écran HD 720p de 4,7 pouces et utiliserait un processeur Snapdragon S4 Pro double cœur cadencé à 1,7 GHz, et épaulé par 2 Go de mémoire vive, ainsi que 16 ou 32 Go de stockage interne.