De nouvelles informations sont tombées sur les prochaines Kindle Fire HD qu'Amazon serait en train de préparer. On peut s'attendre à une nouvelle Kindle Fire HD 7 pouces et une autre de 8,9 pouces. Tandis que la Kindle Fire HD 7 pouces vient de voir ses prix revus à la baisse, Amazon serait en train de travailler
mercredi 31 juillet 2013
Dernier jour pour le pré-enregistrement au futur Heroes War
Com2us organisait du 25 au 31 une session d'enregistrement pour son futur jeu “Heroes War”, permettant d'obtenir un pack spécial à la sortie du jeu. C'est donc aujourd'hui le dernier jour pour en profiter.
Le jeu s'annonce comme un RPG au tour par tour, dans lequel vous combattez à l'aide d'un groupe de héros que vous pouvez former vous-même parmi une sélection de champions disponibles. Vous pouvez également personnaliser votre héros avec des objets et des armes, changeant leurs caractéristiques et leurs effets. Les missions se présenteront sous la forme de donjons dont il faudra vaincre les occupants.
Le pack de pré-enregistrement comprend 20 Treasure Keys et 2000 Medals. Les clés serviront probablement à ouvrir des coffres d'objets (seront-elles obligatoires ? payantes ? des questions importantes pour savoir la qualité future du jeu), tandis que les médailles sont presque sans aucun doute le nom d'une des monnaies du jeu. Reste à savoir s'il s'agit de monnaie payante ou de celle gagnée lors des combats.
Toutefois, puisque l'enregistrement est gratuit, ce n'est pas si important, et l'offre est de toute façon intéressante pour les amateurs de RPG sur Android (ou iOS). Seul bémol : aucun détail sur le futur modèle économique du jeu, même s'il est très improbable qu'il ne soit pas gratuit, et aucun détail non plus sur la puissance ni la mémoire nécessaire sur votre appareil pour le faire tourner correctement.
Pour participer, il faudra vous rendre ici.
Samsung Galaxy S4 : des résultats favorisés pour les benchmarks ?
Un Luxembourgeois aurait découvert que Samsung donnait un coup de pouce aux résultats de benchmark du Galaxy S4 en boostant la fréquence de son GPU.
Samsung aurait-il influé sur les résultats de benchmarks ? C’est en tout cas ce que pense le site AnandTech, qui reprend la découverte d’un Luxembourgeois. En effet, après avoir effectué quelques tests, le site en est arrivé à la conclusion que le Samsung Galaxy S4 favorisait les résultats de différentes applications de benchmark par rapport aux autres applications qui tournent sur le téléphone. Le constructeur coréen aurait fait en sorte que son smartphone haut de gamme dans sa version équipée d’un processeur huit coeur Exynos 5 affiche des résultats, authentiques toutefois, en-dessus de la puissance réellement livrée sur les applications normales, elles-mêmes légèrement bridées.
La puce est composée de quatre processeurs ARM Cortex-A15 cadencés à 1,6 GHz et de quatre autres processeurs ARM Cortex-A7 cadencés à 1,2 GHz, supportés par un GPU PowerVR SGX 544MP3 dont la cadence est plafonnée à 532 MHz. Et c’est là que se pose justement le problème : les résultats de benchmark sur AnTuTu, GLBenchmark et Quadrant affichent la cadence maximale c’est-à-dire 532 MHz sur les applications, alors qu’en réalité, cette cadence maximale n'atteint que 480 MHz sur les jeux les plus gourmands. On assiste alors à une puissance boostée de près de 11 % lors des tests.
Pour AnandTech, la raison est à chercher du côté du code du smartphone. C’est en examinant celui-ci que les spécialistes du site ont réussi à trouver une liste d’applications de benchmark ! Le système du Galaxy S4 autoriserait le processeur graphique à pousser sa fréquence au maximum pour ces applications et non pour le reste des logiciels qui tournent sur le smartphone.
A titre d’exemple, AnandTech a comparé deux versions d’un même logiciel : GLbenchmark 2.5.1 et GLbenchmark 2.7, qui a été rebaptisé GFXBench. Le second est la mise à jour du premier et ne figure pas dans la liste du code du smartphone. On se retrouve donc avec un Galaxy S4 bien plus puissant sur la première version que sur la seconde.
Toutefois, il est important de se demander pourquoi Samsung aurait décidé de maquiller la puissance de son haut de gamme. La concurrence est certes une raison viable à cette question, mais pour quelle raison le géant coréen briderait-il la fréquence du GPU de son smartphone alors que celui-ci est réellement capable de faire mieux ? Samsung craint peut-être pour une surchauffe du matériel et une explosion qui s'en suivrait, comme ce l'on a pu voir cette semaine ou, tout simplement, peut-être souhaite-t-il garder quelques surprises dans sa manche face à une concurrence qui lui mène la vie dure dans la course aux performances brutes. Gardons toutefois à l'esprit qu'en marge des benchmarks, c'est l'expérience utilisateur qui doit primer.
En réponse à ces allégations, Samsung a déclaré que “dans des conditions normales d'utilisation, le Galaxy S4 pouvait atteindre une fréquence de 533 MHz”. Les applications concernées sont l'appareil photo, le navigateur, le lecteur vidéo et les outils de benchmark. Le constructeur a ajouté que beaucoup de jeux n'exigeaient pas autant de performance pour pouvoir tourner normalement.
Galaxy S4 : MoDaCo.SWITCH fera cohabiter Android Stock et TouchWiz
Entre l'Android Stock et l'interface d'un constructeur, il est généralement de bon ton de choisir, les uns préférant une version d'Android “nue” quand d'autres préfèrent une interface parfois plus lourde, mais incluant souvent des fonctionnalités logicielles dont est dépourvu l'Android de base. MoDaCo.SWITCH promet de satisfaire les indécis : elle propose de faire cohabiter les deux.
Deux ROM sur un seul smartphone ? A priori, cela représente bien des complications à l'usage, ce que MoDaCo.SWITCH, qui se place au-dessus des ROM installées sur le terminal concerné, propose de pallier. L'application se présente comme un gestionnaire de boot intelligent, et permet de basculer d'une ROM à l'autre d'un simple clic : d'un clic sur le message “Do you want to switch ?“, le terminal reboote vers la deuxième ROM installée. Une application à venir simplifiera encore le paramétrage du “switch”, quand l'intérêt de MoDaCo.SWITCH concerne principalement la conservation des mêmes applications d'une ROM à l'autre, et surtout des réglages qui leur ont été appliqués. On vous parlait plus haut du basculement entre Android Stock et TouchWiz pour le cas de Samsung, mais le système pourra également être adapté à n'importe quelle autre ROM.
Pour développer son système, déjà proposé sur le HTC One, MoDaCo s'est lancé dans une campagne de crowdfunding via le site Indiegogo. Demandant la modeste somme de 1000 livres (déjà dépassée alors qu'il reste 17 jours à l'opération) pour porter le SWITCH sur un Galaxy S4, l'équipe proposera à ses backers une bêta du système dès la fin de sa campagne, soit à partir de la mi-août. Si vous souhaitez soutenir le projet, qui aboutira sans nul doute, c'est par ici.
Dolmus Driver, les rues de Turquie sous un nouveau jour
Quand on pense Turquie, on pense souvent désert et canyons, ou bien plages et soleil, ou bien monuments comme Sainte-Sophie, ou bien simplement kebabs et autre spécialités culinaires. Mais on ne pense pas forcément aux taxis. Heureusement que Gripati Digital Entertainment est là pour corriger cette erreur.
Pensez-vous, les taxis là-bas, en plus d'être des minibus dans lesquels on entre jusqu'à 8 passagers, sont équipés de réacteurs et filent sur les routes sans limite de vitesse. Dolmus Driver est un jeu sorti le 25 juillet dans lequel vous incarnez donc un chauffeur de taxi, sur 3 circuits turcs, partant respectivement de Bakirkoy, Besiktas et Kadikoy, et allant tous à Taksim, des lieux situés à Istanbul.
Le jeu compte trois héros prénommés Genco, Dayi et Kral, chacun avec leur véhicule. De plus, vous choisissez avant votre partie le réacteur qui sera situé sur le toit de votre véhicule afin de vous offrir l'équivalent d'une “nitro”.
Le principe de jeu est une variante de Temple Run. Il s'agit d'avancer en continu, en évitant les voitures qui roulent sur la route, mais pas seulement. Il s'agit d'une grande route, aussi le passage d'un côté à l'autre se fait par des petits espaces, des trous dans les barrières centrales. De plus, vous possédez une nitro, qui vous fait accélérer mais complique donc votre travail d'esquive.
Enfin, comme tout taxi qui se respecte, vous devez rouler sur les clients disséminés sur la route afin de les embarquer à bord et de gagner plus d'argent. L'argent étant ce qui vous permet d'acheter des personnages, des circuits et des packs de nitro.
Dolmus Driver est un bon jeu d'arcade, simple, addictif et bien réalisé. S'il ne comblera pas les amateurs de jeux complexes, il satisfera les amateurs de jeux simples et rapides parfaits pour les transports ou les pauses café. Mention spéciale pour les conseils durant les chargements, dont certains font preuve d'un humour inattendu.
Si vous êtes tenté, le jeu est gratuit, et nécessite une version 2.3 d'Android et 46 Mo.
Dolmus Driver
Gripati Digital Entertainment
"You have to drive as fast as you can, without crashing or getting stopped by the police. Are you skilled enough to rule the streets of Turkey?" - www.appadvice.com Dolmus is a kind of shared taxi. These vehicles have routes without timetables, but instead departing when all seats are filled....
Télécharger Free Disponible sur Google PlayLe TRIM sur Android 4.3 préserve les Nexus 7
La mise à jour vers Android 4.3 prend en charge le TRIM, ce qui permettrait de maintenir la performance de la Nexus 7 à long terme. À l'heure où la Nouvelle Nexus 7 vient d'être officiellement présentée, on apprend qu'Android 4.3, système sous lequel elle tourne, supporte le TRIM. La fonction TRIM est une commande destinée
Le premier portage d'OUYA vers PC déjà annoncé : quelles implications pour la console ?
Si la console OUYA souffre d'un catalogue trop maigrichon pour attirer les foules, malgré une promesse plus qu'enthousiasmante à l'époque de sa première levée de fonds sur Kickstarter, elle détient des exclusivités puisque les titres développés pour la console restent sa propriété pendant six mois. Le jeu TowerFall, qui fait partie des plus gros succès sur la OUYA pour le moment, sera porté d'ici environ deux mois sur le PC.
Comment faire pour enthousiasmer les développeurs, alors même qu'il semble difficile pour eux de monétiser leurs créations ? Interrogée par The Verge, la CEO de OUYA, Julie Uhrman, minimise les difficultés rencontrée par les développeurs. Pourtant, les chiffres parlent d'eux-mêmes : au mois de juin, seuls 27 % des propriétaires d'une OUYA ont ouvert leur porte-monnaie pour acheter un jeu, et pour 13 des 20 jeux au top des téléchargements sur le store de la console, seuls 8 % des acheteurs ont basculé d'un achat gratuit à une version complète et payante. Versions gratuites préférées ou piratage fréquent, il est clair qu'il n'est pas une mince affaire pour les développeurs de convaincre les joueurs de dépenser quelques dollars. En témoigne le cas de TowerFall, qui enregistre l'un des plus grands succès sur la plateforme : 21 000 dollars générés pour son développeur, Matt Thorson, pour un prix de 14,99 dollars au téléchargement. A vue de nez, ce n'est pas signe de téléchargements massifs… Mais cela reste tout à fait lucratif pour le développeur, d'autant plus que le jeu peut constituer un tremplin pour la suite des événements.
Comble du comble, TowerFall arrivera d'ici deux mois environ sur les PC, pour un prix évalué entre 15 et 20 dollars. Matt Thorson l'a annoncé lui-même sur Twitter, puisque son engagement envers OUYA arrive a expiration. Il promet d'améliorer largement son premier opus pour OUYA : “la version OUYA est une excellente manière de faire connaître le jeu à une petite audience de hardcore players, d'équilibrer quelques détails, et de se faire connaître en amont“, indiquait-il hier à Shacknews. OUYA, un tremplin pour les développeurs ? Bonne nouvelle certes pour eux mais pas pour la OUYA si, comme Matt Thorson semble l'évoquer, les jeux pour la console Android ne leur servent que de bêta-test avant la sortie d'un jeu plus abouti sur une autre plateforme. Ce qui manque justement à cette console, ce sont pourtant les “killer games”, un Halo à la sauce OUYA, bref un jeu qui enthousiasmera à la fois les gamers et le grand public, et qui sera moteur d'achat.
Yes, I am working on TowerFall for PC. But it's going to take a couple months. There's going to be a ton of new content!
— Matt Thorson ((arobas)MattThorson) July 18, 2013
Pour pallier ses difficultés à attirer les développeurs – Julie Uhrman indique que de 8000 développeurs en mars, OUYA est parvenu à en rapatrier 21 000 dans son giron – OUYA vient d'annoncer une nouvelle levée de fonds sur Kickstarter. Prévue pour le mois d'août qui s'amorce, elle demandera à chaque créateur intéressé de s'affilier à son programme et, si l'ensemble réunit au total 1 millions de dollars, chaque projet ayant cumulé entre 50 000 et 250 000 dollars se verra remboursé par OUYA.
“The Ouya version is a great way to get the game out to a smaller audience of hardcore players, make balance changes, and get some early attention,” he answered. “I think TowerFall has proven itself, a lot of people are asking for a PC version and I'm really excited to expand the community.”
Helpouts, ou comment monétiser ses compétences grâce à Google
Google travaillerait sur un nouveau service, Helpouts, qui permettra aux internautes de monétiser leurs services en les partageant avec d'autres utilisateurs, via la vidéo.
Les services Google s’étendent pour atteindre quasiment tous les domaines. La firme de Mountain View travaillerait sur un projet permettant aux internautes de s’entraider en monétisant leurs compétences techniques. En effet, Google préparerait un service intitulé Helpouts et basé sur l’application Hangouts, présenté il y a quelques mois lors de la dernière Google I/O. Le concept est simple : les internautes pourront demander l’aide de quelqu’un pour apprendre une langue, réparer un ordinateur ou installer une application. L’interaction entre les deux personnes sera assurée par le service Hangouts qui leur permettra de partager et de se voir via la vidéo. Un informaticien russe pourra donc donner ses trucs et astuces à une personne intéressée par ses services mais habitant à l’autre bout du monde. Un chef cuisinier français pourra également transmettre ses recettes à un passionné de gastronomie japonais. En somme, le service fera tomber les barrières géographiques (et linguistique via “Babel” ?) et offrira des possibilités infinies.
Ce service, testé pour le moment en interne dans les locaux du géant, intéressera à coup sûr autant les particuliers que les professionnels, qui disposeront d’un moyen simple pour proposer leurs services à autrui. De nombreux domaines seront effectivement proposés à l’instar de l’éducation, la santé, l’informatique, l’alimentation, etc.
Helpouts se greffera probablement à d’autres services de l’entreprise comme YouTube, qui permettra aux utilisateurs de “vendre” leurs vidéos ou de les proposer gratuitement. Le moyen de paiement passera certainement par Google Wallet, qui devrait bientôt fusionner entièrement avec Gmail, comme cela a été annoncé à la Google I/O. Un procédé qui permettra d’accéder à une panoplie de services via une seule interface. Nous ne disposons toutefois pas d'une date précise pour le lancement de ce service. Néanmoins, le site Techcrunch qui a révélé l'information, avance le mois prochain comme période de présentation.
Google étend davantage ses services
Mais au-delà de ce service qui semble être bien plus que prometteur, Google a introduit d'autres services (dont un en France) ayant pour but de comparer des produits. Il s'agit d'abord d'un comparateur d'assurances automobiles, service disponible en France, en Allemagne et au Royaume-Uni. Dans ce dernier pays, un comparateur de cartes de crédit a également été lancé récemment, doublé d'un comparateur de crédits immobiliers. Le géant de Mountain View semble donc décidé à proposer toutes sortes de services pour offrir à ses utilisateurs la possibilité de rester sur une seule plateforme, sur laquelle ils auront leurs habitudes. Big Brother is watching you ?
Retrouvez notre dossier complet sur les services Google par ici.
HTC s'attend à une baisse de revenus de 30 % au troisième trimestre
Le constructeur prévoit une baisse de 15 à 30 % de ses revenus au troisième trimestre. Après un semestre difficile marqué par un chiffre d'affaire en baisse par rapport à l'année précédente, HTC n'anticipe pas d'améliorations, pire, le fabricant pourrait enregistrer des pertes opérationnelles.
Après deux premiers trimestres délicats, même s'ils sont repartis à la hausse d'un trimestre à l'autre, le constructeur du HTC One devrait voir son chiffre d'affaires baisser au troisième trimestre par rapport au précédent. Les revenus du constructeur devraient chuter de 15 à 30 % selon ses prévisions, et son résultat opérationnel serait même sur le point de passer dans le rouge. Malgré de bonnes ventes de son HTC One qui s'est écoulé à plusieurs millions d'exemplaires entre le mois de mars et le mois de mai, HTC peine à redresser la barre. Sur cette période, la société Australienne Macquarie Securities anticipe une baisse de 40 % des ventes du One au troisième trimestre, qui expliquerait en partie le ralentissement du constructeur asiatique.
Au premier trimestre déjà, la firme avait enregistré son bénéfice net le plus bas depuis 2006. Son chiffre d'affaires s'était alors réduit de près de 40 % par rapport à 2012 en raison notamment du retard de lancement du HTC One. Au second trimestre, les résultats du constructeur s'étaient améliorés avec des profits atteignant un peu plus de 40 millions de dollars, grâce au succès du HTC One. Mais cela n'avait pourtant pas suffi à tirer d'affaire la marque Taïwanaise toujours fragile.
La sortie du HTC One mini devrait améliorer les résultats de la firme à la fin du troisième trimestre mais reste à voir si cela suffira à soutenir durablement le constructeur qui doit faire face d'un côté au géant Samsung sur les marchés matures, et de l'autre à la concurrence de Huawei et ZTE sur le segment du milieu de gamme des marchés émergents.
GoPro passe son application en 2.0 sur Android (et iOS)
Vous êtes désormais peu à ne pas connaître la GoPro, cette petite caméra casse-cou capable d'être montée sur n'importe quoi. L'application Android (et iOS) vient d'être mise à jour en 2.0.
Les versions antérieures (avec un module supplémentaire) et les nouvelles versions de la GoPro peuvent fonctionner en WiFi avec votre smartphone pour pouvoir ainsi être contrôlées à distance. En effet, la GoPro crée un WiFi ad-hoc sur lequel vous pourrez connecter votre smartphone et votre tablette. Il vous reste ensuite à utiliser l'application GoPro pour déclencher la caméra, mais également pour regarder en live ce que la caméra filme. Pratique !
Control. View. Share. NOTE: The latest camera software update is needed to use the new GoPro App features. Visit gopro.com/update to download update.The GoPro App makes it easy to control your camera remotely with your Android phone or tablet. New features let you view, play back and share select content—so...
Télécharger Free Disponible sur Google PlayCette version 2.0 de l'application permet désormais de manipuler plus facilement le contenu stocké sur la carte SD (ou microSD) de la GoPro.
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