La Galaxy Gear sera compatible avec tous les terminaux sous Android 4.3

Le jour de la présentation le 6 septembre, Samsung nous avait précisé que sa montre connectée était uniquement compatible avec les périphériques mobiles Samsung Galaxy dotés du Bluetooth 4.0 et d’Android 4.3 (TouchWiz), mais il semblerait bien que le constructeur sud-coréen ait revu ses plans vers une compatibilité beaucoup plus large.

Plus clairement, la bonne nouvelle, c’est que Samsung aurait changé ses plans en termes de compatibilité avec la Galaxy Gear. Si on en croit ReadWrite, la compatibilité de la montre intelligente ne se limiterait plus aux Galaxy Note 3, Galaxy Note 10.1 2014 Edition et Samsung Galaxy sous Android 4.3, mais s’étendrait à tous les terminaux mobiles dotés de la version d’Android 4.3 Jelly Bean accompagnés d’une compatibilité Bluetooth 4.0 (LE).

Partant de cette hypothèse, il est envisageable que des mobiles et tablettes installés sur une ROM Custom puissent eux aussi être compatibles. Sachant qu’il est nécessaire de posséder l’application Galaxy Manager pour paramétrer la Galaxy Gear depuis son mobile, Samsung mettra très certainement l’application en téléchargement sur le Google Play, même si on ne sait pas encore si toutes ses fonctionnalités seront de la partie, sachant que certaines d’entre elles sont exclusivement disponibles avec l’interface maison de Samsung TouchWiz Nature UX 2.0.

En termes de caractéristiques, la Samsung Galaxy Gear est dotée d’un écran tactile Super AMOLED de 1,63 pouces en 320 x 320 pixels et environ 277 pixels par pouce. Installé sur un processeur mono-cœur cadencé à 800 MHz, avec 512 Mo de RAM et 4 Go de mémoire interne, cette montre connectée intègre aussi une mini caméra BSI de 1,9 mégapixels capable de réaliser des photos claires et de courtes vidéos de 10 secondes. Sans oublier l’apport de certaines fonctionnalités grâce aux gyroscope et accéléromètre intégrés dans la Galaxy Gear.

Pour en savoir plus, voici notre prise en main de Samsung Galaxy Gear.

Les applications à l’origine de près de 800 000 emplois en Europe

L’Association pour la Technologie compétitive (ATC) a publié vendredi une étude portant sur l’impact de l’économie des applications en Europe. Ces logiciels destinés aux smartphones et tablettes ont créé 529 000 emplois en Europe depuis 2008.

L’industrie des applications ne connaît pas la crise. D’après un rapport publié ce vendredi par l’ATC, une association représentant des milliers de développeurs et d’entreprises numériques dans le monde, les applications mobiles ont des retombées très positives sur l’économie européenne et particulièrement sur son marché de l’emploi. L’étude estime à 529 000 les créations d’emplois directement liés aux applications depuis 2008. En comptant les emplois indirectement créés par ce marché, ce chiffre atteint 794 000.

Au total, le secteur contribue à hauteur de 10 milliards d’euros par an à l’économie européenne. Or cette industrie a prospéré alors même que l’Europe traversait de grandes difficultés économiques avec un taux de chômage supérieur à 10% depuis quelques mois. Et l’expansion de l’économie des applications devrait se poursuivre puisque l’étude prévoit qu’elle rapportera 15 milliards d’euros en 2016 en se basant sur une hausse annuelle de 10 % de l’adoption de smartphones par les consommateurs.

Pour que ce secteur continue à créer de l’emploi, l’ATC préconise notamment d’aller plus loin dans le marché commun européen afin de faciliter les collaborations entre pays mais aussi de mettre en place “un marché du travail flexible pour permettre l’innovation” dans le domaine de l’application mobile.

Brave Guardians, un nouveau Tower Defense héroïque

Chundos Studios sort un nouveau Tower Defense basé sur un mélange de tours de défense et de héros armés jusqu’aux dents. Petit tour d’horizon d’un jeu à la croisée des genres.

Brave Guardians emprunte à plusieurs écoles. Tenant du Tower Defense avant tout puisque le but est de construire des les défenses d’une route, il ajoute des éléments de stratégie  avec le “recrutement” de héros pour vous défendre. L’histoire est celle de Pepo, Tiko, Zagi et Rapu, quatre héros destinés à pour sauver le monde, pour changer.

Vous disposez de quatre tours évolutives et quatre héros. Les tours s’achètent avec de l’argent gagné lorsque vous tuez des ennemis. Elles s’améliorent également avec cet argent, en cinq étapes. D’abord, deux étapes augmentent la puissance de la tour, puis trois évolutions coûtent autant qu’une tour de base et ajoutent une petite tourelle à côté de la tour. Au final, la tour est donc constituée d’un gros corps principal et de trois tourelles autour. Assez original, même si l’impact en jeu de cette différence reste assez mineur. Les héros, eux, s’invoquent par du mana que vous récupérez progressivement avec le temps. Chaque héros a son coût, sa puissance de feu et sa résistance propre. Il est important d’en invoquer régulièrement, même sans s’en servir tout de suite, car votre réserve de mana est faible et les héros coûtent assez cher. Il vaut donc mieux les invoquer dès que vous le pouvez. Enfin les batailles vous font gagner des cristaux que vous pouvez utiliser entre les parties pour améliorer vos tours ou vos héros.

Niveau graphismes, le jeu a un style assez proche du cartoon ou du manga, très coloré et lumineux. Les effets sont totalement illogiques mais très joliment réalisés et amusants à regarder. Globalement, Brave Guardians a une bonne cohérence visuelle, un style affirmé et réussi, un vrai plaisir pour les yeux.

Pour conclure, Brave Guardians est un jeu bien réalisé, avec un gameplay à la base simple mais avec assez de ramifications pour ne pas se lasser trop vite. Le mélange de genres stratégiques donne une touche originale au jeu sans l’éloigner trop des joueurs habituels de Tower Defense. Un ensemble cohérent et de qualité.

Lien Youtube

Brave Guardians est gratuit, et nécessite 100 Mo et une version Android 4.0 ou mieux sur votre appareil pour fonctionner.

Brave Guardians
Chundos Studio

Brave Guardians is an epic 3D action fantasy defense game that narrates the story of four heroes (Pepo, Tiko, Zagi & Rapu) -- each with extraordinary abilities.Be prepared for an epic journey to defend your world against nasty fiends. This time you will take control of the brave guardians to...

Télécharger Free Disponible sur Google Play

Mediatek : un chiffre d’affaires de 425,21 millions de dollars au mois d’août

Le fabricant de processeurs MediaTek a enregistré un chiffre d’affaires de 12,75 milliards de dollars taïwanais (soit 425.21 millions de dollars) au mois d’août.

MediaTek continue sa progression. Le constructeur, dont le chiffre d’affaires atteint 425,21 millions de dollars en août, connaît une hausse de revenus de plus de 38 % sur un an, malgré une légère baisse par rapport au mois de juillet précédent (3,56 %, les résultats de juillet ayant été particulièrement élevés). D’après un rapport du journal United Evening News, Mediatek aurait livré 67 millions d’unités sur le troisième trimestre 2013, dépassant les prévisions du groupe qui tablait sur 60 à 65 millions.

MediaTek, qui cible le marché des smartphones et tablettes d’entrée de gamme, avait présenté en mai le MT6582, un processeur quadruple-coeurs destiné à ce type de terminaux, avant d’annoncer quelques mois plus tard l’arrivée prochaine d’une puce à huit coeurs capables de fonctionner simultanément.

En 2012, MediaTek se plaçait encore à la dixième place des meilleures ventes de processeurs destinés aux terminaux mobiles (IC Insight). Mais le groupe est parvenu à augmenter ses parts de marché, grâce au faible coût de ses appareils et à son positionnement d’entrée de gamme, un segment en pleine expansion notamment sur le marché asiatique. Il en faudra cependant un peu plus pour inquiéter Qualcomm, le leader des processeurs ARM, grâce à sa gamme Snapdragon, qui n’a pas hésité à tacler le nouveau projet octo-coeurs de Mediatek en parlant d’une simple multiplication des “mêmes vieux coeurs“.

L’Alcatel One Touch Idol X sera disponible en septembre à 299 euros

C’était un véritable foisonnement de smartphones auquel nous avons assisté, il y a maintenant six mois, au Mobile World Congress de Barcelone. Alcatel One Touch y avait dévoilé une foule de terminaux réunis sous la bannière “Idol”, dont l’un des plus aboutis, l’Idol X, sera commercialisé dès le mois de septembre prochain.

Pour un prix fixé à 299 euros, soit une cinquantaine d’euros de plus qu’un Alcatel One Touche Scribe HD, l’Alcatel One Touch Idol X propose des caractéristiques légèrement supérieures. Sur le papier, tout est pour le mieux : ce terminal de grande taille propose un écran de 5 pouces Full HD (1920 x 1080 pixels) sur une dalle IPS anti-rayures (Dragontrail) et dotée d’un revêtement oléophobique. Ce terminal de 140,4 x 67, 5 x 6,9 mm (nous attendions 7,1 mm il y a encore six mois) pour 120 grammes sera équipé d’un processeur quadricoeur cadencé à 1,5 GHz (a priori un Mediatek MT6589) et couplé à 2 Go de RAM. Côté mémoire interne, Alcatel propose 8 Go en single-SIM et 16 Go en version dual-SIM, chaque fois extensible par le biais d’une carte microSD jusqu’à 32 Go.

Le smartphone, qui tournera sous Android 4.2, sera compatible avec le réseau H+ jusqu’à 42 Mbps, mais aussi avec le Bluetooth 4.0. Il comptera une batterie de 2000 mAh ainsi qu’un capteur photo dorsal de 13,1 mégapixels associé à une caméra frontale de 2 millions de points. Il faut espérer ici qu’Alcatel One Touch parviendra à améliorer l’autonomie et la qualité du rendu photo chez son Idol X, là où les autres smartphones de la gamme peinent à sortir du lot. Alcatel indique que son terminal, disponible dès le mois de septembre au prix de 299 euros, sera très prochainement proposé en pré-commandes sur son site web.

Orange couvre Paris en 4G et vise les 40 % de la population couverte en fin d’année

La rentrée est propice aux nouveautés, aux annonces voire aux petites piques entre camarades de classe et aux effets de manche. Orange, le premier opérateur hexagonal, annonce aujourd’hui la couverture de l’ensemble de Paris et de la majorité des communes d’Île de France, et se targue d’investir le premier la capitale.

L’été a été, pour Orange, une période délicate marquée par un litige financier qui s’est soldé par un redressement fiscal propre à faire bondir : plus de deux milliards d’euros versés ces deux derniers mois, voilà de quoi freiner les ardeurs de l’opérateur. Et pourtant, son PDG Stéphane Richard préfère botter en touche, renvoyant plutôt aux investissements pratiqués par Orange pour damer le pion à ses concurrents : à Paris, l’ensemble des arrondissements est aujourd’hui couvert en 4G, tout comme 37 villes d’Ile-de-France. Parmi elles, on peut noter Saint-Mandé, Evry sur Seine, Issy-les-Moulineaux, Boulogne-Billancourt, Clichy, Saint-Ouen ou Montrouge. D’autres agglomérations majeures en France bénéficient également d’antennes 4G actives dès ce jour, dont notamment Besançon, Caen, Boulogne-sur-Mer, Brest, Cavaillon et Tarbes. Au total, ce seront 70 agglomérations françaises qui seront couvertes en 4G d’ici la fin septembre, soit plus de 500 villes réparties dans l’Hexagone… ou presque. Voyez vous-mêmes, la région Centre ou la Corse sont encore délaissées par les antennes d’Orange, qui ne promettent rien de moins que des débits montant à 150 Mbps (115 Mbps chez la concurrence).

Orange bande ses muscles

Si Orange insiste tant sur le nombre de villes qu’il couvrira d’ici la fin de l’année, c’est bien parce que la décision de l’ARCEP, qui autorise Bouygues Telecom à refarmer ses antennes 1800 MHz 2G  afin de les utiliser pour déployer son réseau 4G à partir du 1er octobre, lui reste en travers de la gorge. “Orange a fait plus de trois millions d’euros pour la 4G, mais il y a un manque d’équité. Sur cette même bande de fréquences, il n’y a pas d’égalité entre les opérateurs, et je dénonce cette inégalité scandaleuse“, lâche Stéphane Richard. Rappelons qu’au 1er octobre, Bouygues Telecom a annoncé la couverture d’une centaine de villes françaises, c’est à dire environ 40 % de la population. Chez Orange, alors que le taux de couverture en fin d’année devait être sensiblement équivalent, on annonce une très probable avance sur les objectifs définis pour 2013 : “on sera à au moins 40 % de la population couverte“, assure Stéphane Richard.

L’opérateur joue la quantité, mais assure en outre maîtriser la qualité – à demi-mot, et plus encore, Orange tacle les autres opérateurs. Tout y passe : la mutualisation des réseaux chez SFR et Bouygues Telecom, alors qu’Orange n’a pas “envie de partager ses efforts avec d’autres“, du moins pas pour le moment, mais aussi les antennes utilisées. Quand Bouygues Telecom met à profit le refarming de ses antennes 2G (1800 MHz), et Free Mobile vient d’accepter de mener la même politique, Orange mise sur d’autres bandes de fréquences : des antennes 2,6 GHz à spectre large, et d’autres en 800 MHz “capables de rentrer profondément dans les bâtiments“, mais aussi sur la qualité du réseau fixe qui relie les points mobiles les un aux autres, lui-même équipé en fibre optique à 100 %. Autrement dit, Orange laisse entendre que la qualité du réseau de ses concurrents ne serait pas à la hauteur. C’est bien simple, Stéphane Richard lance sans sourciller : “on a la meilleure 4G en termes de disponibilité et de débit“.

Des forfaits 4G dès 30,99 euros par mois

Orange ne devrait toutefois pas différer de ses concurrents sur les points qui intéresseront principalement ses abonnés : l’arrivée de la 4G s’accompagne d’augmentations tarifaires à peu près équivalentes à celles de ses concurrents (environ 10 euros par mois) et sera réservée à l’offre classique de la marque, tandis que Sosh est appelé à se contenter du réseau H+ actuellement disponible. Une bonne manière de renflouer les caisses de l’opérateurs après ses récents démêlés fiscaux et ses investissements massifs dans les infrastructures réseau.

Les offres Origami Play 4G/H+ démarrent en ce sens à 30,99 euros par mois pour toute souscription avant le 31 décembre prochain avec un engagement de 12 mois et sans subvention de smartphone (avec 2 Go de data), pour monter jusqu’à 45,99 euros pour 4 Go d’Internet. Les Origami Jet 4G/H+ aM, aux USA et au Canada, et 50 Mo d’Internet. Des services devraient également débarquer, assurant une valeur ajoutée certaine aux offres de l’opérateur, tel l’accès en exclusivité sur mobile aux matches de la Ligue 1.

Prise en main de la Galaxy Gear, la montre connectée de Samsung

Table des matières

• Matériel
• Logiciel
• Disponibilité
• Commentaires

Lors de sa conférence qui se déroulait mercredi soir, Samsung a levé le voile sur la Galaxy Gear, la fameuse montre connectée du géant coréen qui avait déjà été aperçue lors de précédentes rumeurs et fuites.

Avant de parler de la fiche technique et des fonctionnalités, nous allons aborder l’aspect conceptuel de la montre connectée Samsung Galaxy Gear, pour laquelle le fabricant a fait le choix de deux matériaux bien distincts. En premier lieu, notons que le contour de l’écran et la boucle sont entièrement en métal, tandis que le bracelet s’appuie sur un plastique qui semble à la fois mou et robuste, mais aussi qualitatif.

Présentation matérielle

En ce qui concerne son aspect extérieur, il faut savoir que c’est un premier jet pour Samsung et que le design n’est forcément pas des plus parfaits. Il faut tout de même souligner qu’il y a tout de même de bonnes idées. À première vue, tout laisse à penser que la Galaxy Gear est une montre faite pour les espions avec cette mini-caméra dissimulée au-dessus de l’écran et fondue dans le plastique et la couleur du bracelet.

En clair, cette mini-caméra de 1,9 mégapixels passera complètement inaperçue sur un bracelet noir, sachant que tous les composants sont de la même couleur. Pour continuer sur l’aspect technique et logiciel de cette caméra BSI Sensor, une application très simple vous permettra de capturer des photos claires et nettes grâce à l’autofocus, mais aussi des vidéos en haute-définition (720p) d’environ 10 secondes.

Autant sur la gestuelle que la partie logicielle, la Galaxy Gear a été pensée pour offrir les atouts d’un téléphone classique. Pour suivre, le microphone a été placé sur le haut du flanc gauche du cadran de l’écran, là où le haut-parleur est sur la boucle en métal. De ce fait, si je lève la main vers l’oreille, la montre est capable de décrocher automatiquement un appel et vice-versa grâce au gyroscope et accéléromètre intégrés.

En s’attardant un peu sur les caractéristiques techniques, la montre affiche un mini-écran tactile Super AMOLED de 1,63 pouces en définition 320 x 320 pixels, suivi par un processeur simple-cœur à 800 MHz et 512 Mo de mémoire vive RAM en soutien et 4 Go de mémoire interne. En termes de connectivités, la montre se synchronise par le biais de ses compatibilités Bluetooth 4.0 (BLE) et NFC (Near Field Communication).

Autre information intéressante d’après les caractéristiques, la Samsung Galaxy Gear est également certifiée IP55. Concrètement, elle est protégée contre les poussières et aussi protégée contre les jets d’eau de toutes directions à la lance (buse de 6,3 mm). Une bonne nouvelle en somme !

Ses mensurations sont de 36.8 x 56.6 x 11.1 mm pour un poids plume de 73,8 grammes. La batterie installée est une 315 mAh et estimée à environ 25 heures d’autonomie en utilisation. Le rechargement de celle-ci s’effectue par le biais d’un branchement classique en micro-USB.

Présentation logicielle

Dans un premier temps, si vous souhaitez acquérir une Galaxy Gear, il vous faudra automatiquement posséder un smartphone de la gamme Samsung Galaxy sous Android 4.3 avec TouchWiz. Sans cela, il sera impossible de paramétrer la montre, car elle a besoin de la fameuse fonctionnalité “Low Energy” ou “LE” compatible avec le Bluetooth 4.0 qui a été ajouté à partir d’Android 4.3 Jelly Bean.

Par le biais de la synchronisation avec le mobile, vous aurez accès à une application nommée Gear Manager qui vous permettra alors de paramétrer facilement votre montre dans les moindres détails comme le choix de la langue souhaitée, le type de notifications à activer, les apps à installer et d’autres paramètres qui se règlent automatiquement pour la plupart d’entre eux (heure, date, météo, etc).

Une fois synchronisée, il vous sera alors possible d’interagir avec ses fonctionnalités en swipant (recevoir et effectuer des appels tout en consultant son répertoire de contacts), vérifier ses SMS, visualiser ses mails, consulter la météo et ses notifications, capturer des photos et réaliser des courtes vidéos, diriger le lecteur audio, accéder aux mémos vocaux en texte et même utiliser ChatOn (messagerie instantanée).

La Samsung Galaxy Gear est également destinée aux sportifs avec des applications telles que MyFitnessPal, RunKeeper, TripIt, mais aussi d’autres applications comme Banjo pour consulter l’actualité de ses réseaux sociaux, Evernote pour capturer des moments importants et consulter sa liste de choses à faire, Find My Phone pour retrouver son smartphone, Auto Lock pour verrouiller et déverrouiller son smartphone à distance et même S Voice… tout ceci fonctionne notamment grâce au Podomètre intégré.

Bien qu’il y ait d’autres applications plus ou moins importantes, le constructeur a également confirmé que d’autres fonctionnalités et applications seraient ajoutées à la Galaxy Gear au fur et à mesure de l’évolution de l’avancement des versions sur des mobiles compatibles.

Disponibilité

Selon les informations fournies par le fabricant, le Samsung Galaxy Gear sera disponible en 6 couleurs (Noir, Gris, Orange, Beige, Rose et Vert) pour une sortie prévue à partir du 25 septembre au niveau mondial (dans 140 pays) à un tarif de 299 dollars.

Lien Youtube

Amazon ne proposera pas de smartphones gratuitement

Amazon ne jouera pas au Père Noël en distribuant des smartphones gratuitement. La rumeur a été démentie par un porte-parole de la société. 

C’est probablement l’une des rumeurs les plus folles que l’on ait eu à traiter. Ce week-end, on apprenait que Amazon songeait à lancer gratuitement sur le marché son smartphone Kindle. Celui-ci aurait été financé à 100 % par la vente de contenus et par la publicité. Aujourd’hui, le même blogueur (Amif Efrati) qui a lancé la rumeur, revient sur ses élucubrations en publiant un démenti d’Amazon. En effet, un porte-parole de la société aurait catégoriquement réfuté l’information en indiquant que Amazon ne comptait pas écouler des smartphones gratuitement. Il a même ajouté que le magasin en ligne n’avait pas pour projet de lancer de smartphone cette année et que si c’était le cas, celui-ci “ne serait pas gratuit”.

Ce démenti ne devrait pas trop étonner. Amazon aurait eu beaucoup de mal à rentabiliser un smartphone gratuit en récupérant des subsides sur la vente de biens culturels dématérialisés. Ceci étant, le smartphone aurait de toute manière certainement été de piètre qualité, doublé d’une fonction de visionnage obligatoire de publicités intempestives. Au final, pas de regret…

Facebook 3.7 bêta, la mise à jour est disponible sur Android

Depuis maintenant quelques semaines, Facebook a lancé une version bêta de son application officielle, qui est accessible en invitation sur le Play Store. Concrètement, cette application permet à ceux qui le souhaitent de profiter des dernières améliorations qui sont disponibles depuis peu sur l’application Facebook 3.7 bêta.

Pour cette mise à jour, Facebook 3.7 bêta compte un total de huit améliorations comptant des fonctionnalités, optimisations de performances et corrections de bugs. Si vous souhaitez vous essayer à la version bêta de l’application Android de Facebook, il vous suffit tout simplement de visiter la page officielle pour y découvrir les étapes à suivre et vous inscrire à la bêta.

En attendant, voici les nouveautés :

• possibilité d’utiliser des icônes dans les messages du flux d’actualités
• éditer ses messages et commentaires, et appuyer dessus pour en voir toutes les modifications
• visualiser tous les événements à venir en un clin d’œil sur vos pages préférées
• créer et partager de nouveaux albums photos à partir de votre téléphone
• diverses corrections de bugs (notamment au niveau de certains crashs)
• le bouton des paramètres s’affiche désormais sur l’écran d’accueil
• amélioration du chargement des photos dans le flux d’actualités
• amélioration de la vitesse de chargement des nouvelles actualités

Comme précisé ci-dessus, il faudra d’abord vous inscrire pour recevoir Facebook 3.7 bêta. En général, cela prend quelques heures. En attendant, il est fort probable que ces nouveautés et d’autres déjà finalisées s’invitent sous peu dans la version finale de Facebook pour Android :

Facebook
Facebook

Rester en contact avec ses amis devient encore plus facile.• Ne ratez rien des actus de vos amis• Publiez statuts, photos et vidéos• Recevez un avertissement lorsque vos amis indiquent aimer ou commentent vos publications• Échangez des textos, discutez et participez à des conversations de groupe• Jouez à vos jeux...

Télécharger Free Disponible sur Google Play

Instagram : 150 millions d’utilisateurs et de la publicité

Le cap des 150 millions d’utilisateurs actifs a été franchi par Instagram. L’occasion pour la société de penser à sa rentabilité et d’annoncer l’arrivée de la publicité sur l’application.

Le réseau social Instagram vient d’atteindre les 150 millions d’utilisateurs actifs mensuels, dont 60 % vivent en dehors des États-Unis, indique la filiale de Facebook dans un communiqué de presse. La société ajoute que 50 millions d’utilisateurs actifs ont rejoint le réseau sur les six derniers mois. Notez que la croissance du réseau social dédié à la photo va bon train, puisque fin juin 2013, lors de l’arrivée du partage vidéo dans le service, Instagram revendiquait 130 millions d’utilisateurs actifs chaque mois. Loin derrière, Vine assure compter 40 millions d’inscrits, sans précision quant à la proportion d’utilisateurs actifs parmi eux.

Cap sur la monétisation

En marge de cette annonce, le réseau racheté à 1 milliard de dollars par Facebook, a déclaré au Wall Street Journal que la publicité allait bientôt arriver sur l’application de partage de photos. Cette stratégie qui consiste à “monétiser” Instagram, a déjà été abordée par Facebook auparavant. L’application, qui jusque-là visait l’acquisition de membres actifs pour le plus grand réseau social du monde, commence déjà à entrer en contact avec les annonceurs, indique le journal américain. Emily White, directrice financière de l’entreprise prise en charge par Facebook, a déclaré que Coca-Cola, Ford ou encore Williams-Sonoma allaient faire partie des partenaires de l’application. “Nous voulons gagner de l’argent sur le long terme, et nous n’avons aucune pression vis-à-vis du court terme”, a-t-elle ajouté dans les colonnes du quotidien.

Toutefois, nous ne savons pas comment Instagram compte intégrer la publicité à son application. Le WSJ suppose qu’elle viendrait s’ajouter à la page “Découverte” de l’application ou encore que, à l’image de Facebook, les annonceurs auraient des comptes certifiés où ils relaieraient des informations au sujet de leurs produits. Cette dernière possibilité existe déjà sur Instagram. La nouveauté serait toutefois que l’application vous proposera de “suivre” telle ou telle société en fonction de vos activités sur le réseau. Aussi, avec l’introduction de la vidéo il y a quelques mois, on pourrait assister à l’intégration de mini-clips publicitaires au coeur même d’Instagram.