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lundi 16 juillet 2012
Etui Tradition Noreve Galaxy Nexus
- l’étui sur lequel est fixée une fiche cartonnée détachable rappelant les objectifs de la marque “Protéger vos appareils mobiles [...] avec style et élégance”.
- une pochette plastique contenant : un petit tournevis, une vis et une attache qui permettra de pouvoir fixer l’attache servant à porter, par exemple, votre appareil à la ceinture ou en bandoulière.L’étui dit “à clapet” enferme bien l’ensemble du smartphone en n’épaississant pas trop l’appareil, ce qui est trop souvent le cas avec les étuis et coque : l’épaisseur est ici maitrisée et ne donne pas la sensation que son smartphone a pris 400 grammes, en s’habillant !
Les différentes parties de la coque sont collées et surpiquées. Le logo de la marque est placé sur une clapet (à hauteur de la caméra frontale). Les contours de la coques sont renforcés et cela semble réellement solide ! Le clapet se referme et se clippe par le haut de l’appareil.Si vous ne souhaitez pas mettre en place la fixation ceinture, une vis distincte permettra de protéger l’orifice utilisée pour la fixer.Coté découpe, là encore, rien à redire : elles sont parfaites sur l’ensemble des partie du smartphone devant rester dégagée. Seul le connecteur microUSB ne sera pas accessible lorsque le clapet sera fermé avec le clip.Bref, Noreve reste l’une des marques phares si vous souhaitez un étui qui sent bon le cuir, dont l’esthétique et la qualité sont toujours à la hauteur des plus exigents.Le prix du modèle en test : 44.99€Retrouvez tous les produits de la gamme Noreve Saint-Tropez.Etui Tradition Noreve Galaxy Nexus Voir toutes les galeries
samedi 14 juillet 2012
[Infographie] La portabilité des numéros avant et après l'arrivée de Free Mobile
Free Mobile a fortement bouleversé le paysage mobile français et notamment les portabilités des numéros.
Vous le savez probablement, lorsque vous quittez votre opérateur, vous avez la possibilité de transférer votre numéro de téléphone vers votre nouvel opérateur. L'opération est gratuite et rapide et permettait très facilement de basculer d'un concurrent à l'autre, sans devoir rappeler tous ses contacts pour annoncer son nouveau numéro.
Free Mobile est arrivé en France au début de l'année 2012 et une grande partie de ses nouveaux abonnés avaient déjà un abonnement auparavant. Après une période de crise où la portabilité était effectuée, mais sans avoir réceptionné de carte SIM, tout semble être revenu à la normale chez ce trublion qui a bouleversé le marché de la téléphonie en France.
Le site Portabilité-du-numéro aide dans la démarche de changement d'opérateur et a notamment pu collecter des statistiques intéressantes. Combinées avec les chiffres de l'ARCEP, ils sont représentés dans l'infographie au-dessous avec :
- Les demandes de portabilité pour chaque opérateur avant l'arrivée de Free Mobile
- Les demandes de portabilité pour chaque opérateur après l'arrivée de Free Mobile
- Les régions ayant le plus de mobiles
- Les régions les plus demandeuses en portabilité
- Le pourcentage d'intention de portabilité par région
- La portabilité depuis l'étranger
- La répartition des demandes de portabilité par OS
- Des anecdotes comme les demandes de portabilité sous Internet Explorer 6 par opérateur
(Cliquez pour agrandir)
vendredi 13 juillet 2012
Odroid-X, une plateforme de développement basée sur Ice Cream Sandwich à 129 dollars
HardKernel remet le couvert avec sa nouvelle solution low-cost basée sur la version d'Android 4.0.4 Ice Cream Sandwich au tarif de 129 dollars.
Appelée plateforme de développement, l'Odroid-X est une carte mère regroupant une suite de composants qui constituent la presque totalité d'un terminal, mais en retirant l'écran, la batterie et la coque.
Là où ça devient intéressant est que cet outil embarque une suite de composants offrant des avantages et performances réellement intéressants pour son prix avec une architecture quadruple-cœur Exynos 4412 cadencée à 1,4 GHz (celle du Galaxy S III) accompagnée par la puce graphique Mali-400, 1 Go de mémoire vive (RAM) LPDDR2, six ports USB (soit quatre Host et deux Device), un port microUSB, un port microHDMI FullHD (1080p), un port Ethernet (10/100), un port jack audio (x2 entrée + sortie), et bien sûr la disponibilité du code source et autres drivers pour compiler soi-même sa propre version d'Android (même si une image de boot semble aussi fournie avec l'appareil).
En option, il est aussi possible d'y ajouter une caméra, une mémoire eMMC.. même si l'emplacement pour les cartes SD peut aisément la remplacer.
- Disponible au niveau mondial pour un prix d'achat qui s'élève à 129 dollars.
- Egalement disponible, il y a l'Odroid-Q qui est une variante en tablette de 10 pouces (3G, tous les capteurs, la mémoire, la batterie, la coque et divers accessoires) pour 850 dollars.
via ARM Devices
Ouya : 4 millions pour une console fantôme
Le projet Ouya, si vous suivez un petit peu l'actualité technologique, vous en avez forcément entendu parler : cette console Android à 99 dollars, financée par les consommateurs via Kickstarter et propulsée par un processeur Tegra 3 ne cesse d'intriguer la presse et les commentateurs. Et il y a de quoi ! A l'heure où les consoles de salon de nouvelle génération se font attendre, Ouya, c'est faire le pari audacieux et ambitieux à la fois que le public est prêt à payer pour un concurrent low-cost. Mais payer pour quoi ? C'est toute la question.
Car le problème est bien là : qu'est-ce que les gens achètent en donnant de l'argent au projet Ouya ? Pour l'instant, rien du tout. Des concepts en 3D, des promesses, et des caractéristiques techniques. La magie de Kickstarter opère et d'un coup, l'argent virtuel coule à flots : 4 millions de dollars ont été récoltés à l'heure où ces lignes sont écrites et pas un seul des contributeurs n'a pu faire tourner la bête. Avantage du crowd-funding, comme il se fait en amont, personne n'a pu faire l'expérience du produit, aucun test assassin n'a pu freiner les ardeurs des acheteurs compulsifs.
Résultat, nous avons un produit fantôme, plein de promesses, qui a suffisamment enthousiasmé le public pour qu'il sorte la carte bleue à l'aveugle. Soit, très bien. Admettons que cela ne nous pose pas de problème en soi, que ce soit parfaitement normal d'acheter du vide et qu'une solution économique de ce type permet à de petites entreprises talentueuses de créer des objets qu'elles n'auraient pas pu financer si le peuple ne s'était pas fait banquier, le temps d'un don. Reposons alors la question : pour quoi avons-nous payé ?
D'abord, pour un objet aux caractéristiques techniques de décembre 2011, date théorique de sortie du premier modèle Tegra 3, la Transformer Prime, prévu pour mars 2013. Quand un constructeur de console sort sa “nouvelle génération”, il essaie de créer un appareil techniquement durable, souvent similaire à ce que l'on retrouve sur les PCs haut de gamme au moment de la sortie de l'engin et qui ne sera rattrapé que quelques mois plus tard par l'industrie milieu de gamme. Les composants à l'intérieur sont des produits pensés pour des appareils fixes : non, un Tegra 3 quad-core, processeur conçu pour la mobilité, n'a pas grand chose à voir avec le quad-core équivalent que l'on retrouverait dans un PC ou une Playstation 3
Un processeur ou un GPU mobile respecte un cahier des charges qui prend en compte la dissipation de chaleur et la consommation minimale d'énergie. Ce n'est pas pour rien que vous avez un ventirad de 15cm avec deux ventilateurs sur le processeur de votre ordinateur de bureau et une alimentation de 650 watts. Les composants mobiles, même s'ils tendent à rattraper leur retard, cherchent pour l'instant à remplir parfaitement leur rôle : afficher un OS mobile ou des jeux sur des écrans de petite taille.
Ouya, c'est tout le contraire. Les créateurs de l'engin vont utiliser du matériel mobile pour un objet fixe, qui, en plus, n'est pas en avance et pensé pour durer, mais en retard d'un an, pour limiter les coûts de production. Cette console au rabais aura, comme ses soeurs de salon, la dure tâche d'afficher des jeux sur des écrans 1080p de plusieurs dizaines de pouces : pas de problème, le Tegra 3 gère parfaitement cette résolution… occasionnellement, car ce processeur est avant tout pensé pour équiper des appareils mobiles et faire tourner des jeux pour smartphones et tablettes.
D'ailleurs, les jeux, parlons-en. A quoi va servir cette console ? A afficher les titres du Google Play Store et des productions indépendantes. Et là, on a un autre problème de taille. Nous qui pestons à chaque fois qu'un développeur essaie de cloner le gameplay d'un jeu vidéo conçu pour un support classique sur un support tactile, nous sommes bien embêtés avec cette Ouya qui veut faire du jeu tactile avec un gamepad. Ou, plus incroyable encore, du jeu non-tactile tactilisé re-détactilisé.
Après les bizarreries hardware viennent donc les bizarreries ergonomiques et la question que tout le monde aurait dû se poser : ai-je envie de jouer à Angry Birds, Canabalt et autres Draw Race 2 sur une télé, avec un pad ? Outre le fait que ces titres ne sont pas adaptés au support, l'affichage risque d'être au mieux médiocre, du niveau des jeux de la Freebox Revolution. Oui, Shadowgun est magnifique, mais les textures restent pauvres et grossières si elles sont affichées sur un écran plus grand que celui prévu par les développeurs, à savoir à peu près 10 pouces. 90% de jeux du niveau graphique de ceux codés en Flash il y a 10 ans, 10% de jeux qui ressembleront à ceux que l'on trouve sur PlayStation 2, 100% de jeux pensés pour être joués sur un écran tactile, le tout au pad : l'Ouya ne cesse d'étonner.
Mais continuons et admettons que ce soit complètement normal de récolter 4 millions de dollars pour un concept de console dépassée permettant de jouer au pad à des jeux tactiles graphiquement en retard. Enlevons les considérations liés au support, et pensons gameplay et contenu. Quand fait-on du jeu vidéo tactile ? Le plus souvent, dans les transports, aux toilettes, à la pause café au boulot : c'est pour cela que les hits qui ont trouvé un public ont tous une base “casual”, qui consiste à répéter des actions simples qui se complexifient, pour passer de tableau en tableau ou faire péter les high-scores. C'est ce qui constitue la base du jeu mobile, sur tablette comme sur smartphone.
Veut-on jouer à ces jeux assis sur un canapé, sur un écran de 120cm ? Non, ils ne sont pas pensés pour ça. D'ailleurs, le jeu “casual” mobile est un plaisir solitaire, alors que le party game de salon est conçu pour être joué avec des potes en soirée. Au mieux, on trouve des jeux au tour par tour ou en multi-joueurs, mais jamais sur le même écran en même temps. A la limite, les jeux de plateau qui ont prévu un mode “jouer et passer l'appareil” auront une légitimité, mais encore, il faudra dire à l'adversaire “bon maintenant tu vas dans la cuisine pendant que je joue pour ne pas voir mon jeu”. Brillant.
Voilà 90% des jeux mis hors-circuit - si les jeux Freebox étaient un hit, ça se saurait -, que reste-t-il ? Les grosses productions, les jeux de course, les FPS, les TPS et autres shooters. Et là encore, il y a un problème. Un joueur ne joue pas à un jeu mobile comme à un jeu de salon et n'attend pas la même chose du premier et du second. De même, les développeurs d'un jeu mobile vendu 5€, même le meilleur, n'ont pas l'ambition de faire un jeu console ou PC vendu de 45 à 70€. A la limite, on nous ressortira le “console quality gaming” qui fait bien sur la fiche produit.
Même les meilleurs “gros jeux” mobiles sont limités, que ce soit du côté du gameplay, de l'histoire ou de l'intelligence artificielle des ennemis. Prenez n'importe quel Shadowgun ou NOVA, le scénario est écrit par un gamin de CM1, l'univers est convenu et les ennemis vous foncent dessus en tirant – parfois, miracle, un script les fait se mettre à couvert. Il y a quinze ans, Half Life faisait déjà mieux. Pas ou peu de moteur physique, une traduction faite par Google Trad, un voice acting à la limite de l'auto-dérision, voilà ce que l'on retrouve sur ces jeux vendus une bouchée de pain.
Free to never play
Attention ! Ne nous faites pas dire ce que nous n'oserions pas écrire : c'est ce que le joueur mobile, consommateur de grosses productions attend et c'est ce que nous adorons sur nos smartphones et tablettes. De l'action rapide, des jeux plutôt courts et pas trop chers, un auto-aim pour viser plus simplement les ennemis et donner une sensation de contrôle, ce qui n'est pas gagné sur un écran tactile, bref, un jeu pop-corn pour patienter non pas dans le métro cette fois, mais dans le train ou dans les files d'attente. Ainsi naquirent les Shadowgun, Dead Trigger et autres Asphalt 6 Racing. Les portages de jeux comme Grand Theft Auto ou Max Payne sont plus là pour faire plaisir aux nostalgiques qui n'osent pas ressortir leurs vieux CDs et souhaitent retrouver les héros de leur enfance.
Quand un jeu de la profondeur et complexité d'un Crysis, Starcraft 2, Darksiders, Zelda ou n'importe quel grand titre sorti sur console ou PC ces 10 dernières années sortira en exclusivité sur un produit mobile, oui, la donne aura changé. Pour l'instant, c'est loin d'être le cas.
Voilà donc les promesses de la console Ouya, voilà ce que les contributeurs auront pour 99 dollars dans un an : une console au hardware mobile de début 2012, peu adaptée au jeu de salon et faisant tourner une ludothèque au mieux non pensée pour le support, au pire complètement inutile. Son seul salut pourrait venir de l'offre de Game on Demand, de type Gaikai ou OnLive, qui eux, proposent de véritables jeux de salon, mais encore faudrait-il que ces services soient suffisamment performants et développés pour pouvoir en profiter sans gêne. Et puis cela sortirait de la logique des jeux “gratuits” que veulent proposer les concepteurs de l'Ouya.
Alors que certains s'extasient sur la promesse d'une console à moins de 100 dollars, on peut encore se demander si les véritables questions ont été posées avant de proposer cette console fantôme. Ou plutôt,la véritable question : combien de jours avant que 4 millions de dollars d'Ouya ne prennent la poussière dans un tiroir ?
Deux nouveaux jeux Android : Major Mayhem et Bomb the Zombies
Au lieu d'en faire deux articles séparés, autant en faire un seul et vous parler directement de ces nouveaux jeux qui viennent d'arriver sur le Play Store.
- Major Mayhem
Un style de jeu très run n' shoot dans lequel on abat des cibles puis on avance, et etc.
Un casual game assez sympathique et prenant qui vous fera passer le temps dans les transports en commun ou lors d'une pause au travail. Vous y retrouverez des niveaux courts et rapides, bien-sûr seulement à condition que vous sachiez viser mais ce n'est vraiment pas aisé à prendre en main, même un enfant de 7 ans y arriverait facilement. Au fur et à mesure de votre avancée, vous aurez, avec l'argent récolté, la possibilité d'acheter des avantages : missiles nucléaires, améliorations de personnages, des armes, des vêtements très spéciaux, et compagnies.
Bref, un titre intéressant qui se base sur un modèle Free2Play, mais attention pas Pay2Win.
Si vous ne souhaitez pas débourser d'argent, vous êtes dans votre bon droit pour mieux savourer.
Caractéristiques du jeu
- 45 niveaux d'actions non-stop
- 4 modes de jeu différents
- 100 trophées à débloquer
- 150 objectifs de mission
- 5 super pouvoirs
- 3 environnements : Tropiques, Metropolis et Désert
- 20 armes uniques : Fusil à pompe automatique, Lance roquettes, etc
- 42 costumes et chapeaux..
Compatible à partir d'Android 2.0.1 et disponible en téléchargement gratuit :
Major Mayhem
[adult swim] games
Meet the newest recruit in the Adult Swim Games army: Major Mayhem. He's got an itchy trigger finger, some scratchy stubble, and a fondness for shooting dudes in the face. Run and gun your way through gorgeous 3D environments as you embark on a mission to rescue your kidnapped girlfriend...
Télécharger Gratuit Disponible sur Google Play- Bomb The Zombies
Celui-ci est, comment dire, un Angry Bird's-like qui ne se joue pas de gauche à droite, mais de face.
Ici aussi, il s'agit d'un casual game intéressant mais que je trouve moins prenant, car le concept est déjà bien trop exploité sur plateforme mobile. Encore une fois, des niveaux courts et rapides mais a réaliser en moins de mouvements possibles pour réaliser le score maximum. Une maniabilité qui se rapproche en tout point d'Angry Birds mais qui est cette fois bâtie dans un monde emplie de zombies.. oui, c'est à la mode depuis quelques mois. ; )
Ce titre est également un Free2Play puisqu'il vous faut des pièces d'or pour débloquer le monde suivant, et etc. Attention ces pièces d'or vous ne les gagnerez pas en débloquant les niveaux du premier monde, mais seulement en payant de votre poche ou en téléchargeant des applications à tester qui vous rapporteront des “coins” des pièces d'or quoi.
Caractéristiques du jeu
- 90 niveaux dans 6 mondes remplis d'obstacles avec un gameplay difficile
- Utilisez des tactiques stratégiques pour détruire les bâtiments zombies
- Plusieurs variétés d'outils de destruction
- Partage des meilleurs scores en ligne avec tous les joueurs dans le monde
- et bien plus à venir dans les futurs mises à jour
Compatible à partir d'Android 1.6 et disponible en téléchargement gratuit :
Bomb The Zombies
net mobile AG
# Top 10 Games in Appstore# Talkandroid.com : "...As you progress, there are other elements that make it very interesting. For example, you are sometimes given a box of dynamite (much like Angry Birds), but it’s up to you to place it where you think it’s best. Another interesting element...
Télécharger Gratuit Disponible sur Google PlayOrange Maps : l'alternative à Google Maps Navigation
Cet article est un publi-redactionnel
L’opérateur Orange met à disposition de ses clients, et ce depuis de nombreuses années maintenant, une solution de navigation routière.
Disponible sur la quasi globalité des systèmes d’exploitations mobiles, l’application Orange Maps est également proposée pour le système d’exploitation Android. Début juin, en plus du passage à la gratuité de son utilisation, l'application a connu une mise à jour majeure. Les conditions d'utilisation affichées au lancement de l'application vous le confirmeront.
Cette application, uniquement réservée aux client de l'opérateur, est gratuite au niveau navigation GPS, avec des services premiums additionnels.
L’application permet de vous guider que vous soyez piéton ou véhiculé. Il n’y a pas de gestion des transports en commun. L’application est donc directement en concurrence avec une application telle que Google Maps Navigation fournit en standard depuis la version Android 2.1 sur les appareils “with Google”.
L’application se lance après quelques secondes d’attente mais l’interface est agréable. On est étonné (ou non) par l’interface graphique qui ne ressemble pas à ce que l’on a l’habitude de voir sur la plateforme Android.
Orange Maps est très facile à prendre en main et fournit, en plus des fonctionnalités de base de guidage, des accès aux services tiers tels que :
- Guide des sorties CityVox
- Annuaires 118 712
- Connexion au service Velib
- POI (point of interest) : essence, parking, restaurant…
- Météo
- Possibilité d’acheter les voix de guidage
- Service Traffic info
- Information des zones de danger (Wikango)
L’application est donc très complète et offre un ensemble de services très intéressants.
Orange Maps pourrait trouver sa place sur les appareils ne disposant pas de la version d’Android adéquate ou n’étant pas validé par Google. Dès lors que vous êtes client chez Orange, avec un forfait données, que votre matériel dispose d’Android 1.5, d’une connexion 3G et d’une puce GPS l’affaire est dans le sac.
Un GPS gratuit : Orange Maps est une application de navigation GPS auto et piétonne offerte à tous les clients Orange mobile en France métropolitaine. C'est aussi de nombreux services pratiques avec notamment les bons plans de Cityvox et Sentinelo, la réservation de restaurants avec La Fourchette, tout le répertoire...
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