Les Sony Ericsson Xperia Ray, Arc, Play et Mini Pro achetés chez SFR devront être mis à jour manuellement pour obtenir Ice Cream Sandwich, respectant ainsi les recommandations du constructeur.
Sony a mis en ligne il y a quelques jours un article expliquant le défi de passer d'Android 2.3 (Gingerbread) à la version 4.0 (Ice Cream Sandwich). Outre l'interface utilisateur retravaillée, les services fournis par Google sont toujours plus avancés et consomment logiquement plus de calculs et nécessitent plus de mémoire vive. Tous les modèles 2011 sont sortis avec 512 Mo de RAM. Or, le Linux user space, qui contient notamment le launcher ou le gestionnaire d'activités occupe 340 Mo. Il ne reste donc plus que 172 Mo pour des fonctions comme la caméra, la connexion 3G, le multimédia ou les améliorations Bravia Engine. Lorsque la RAM est inférieure à 40 Mo, l'activity manager va s'occuper de fermer les processus qui sont lancés selon leur priorité.
Ce défi a été relevé avec brio par le constructeur, car nous avons déjà vu des ROMs en bêta être proposées. Pour cela, les ingénieurs ont réduit l'impact mémoire des applications internes, mais ont aussi travaillé sur un assistant de Performances. Il permet de choisir manuellement quels services vous ne voulez pas que le smartphone utilise et ainsi libérer de la mémoire inutile.
L'article conclue en disant que c'est avant tout pour proposer la meilleure expérience d'Ice Cream Sandwich que ces informations ont été divulgées. Mais cela n'empêchera pas la sortie d'ICS sur ces terminaux. Or SFR a décidé d'annuler la mise à jour des Xperia Ray, Arc, Play et Mini Pro, car “Sony ne serait pas confiant quant à cette mise à jour”. Cela nous semble étrange, car les ROMs bêtas sont certes dépourvues de fonctionnalités, mais sont loin d'être inutilisables et continuent d'offrir une expérience utilisateur satisfaisante. L'opérateur au carré rouge renchérit en indiquant que “Sony prévoit que les mobiles upgradés en Ice Cream Sandwich qui seraient envoyés en SAV (pour diverses raisons) seraient restitués en version Gingerbread” !
Difficile de juger qui est fautif dans cette histoire, mais les possesseurs de ces smartphones achetés chez SFR devront utiliser PC Companion pour effectuer la mise à jour. Elle sera donc invisible pour le grand public, mais disponible pour les connaisseurs. Le message est d'autant plus dur à attendre que le Xperia Play est un téléphone dédié aux jeux… et que les vendeurs SFR ont souvent mis en avant cette possibilité de mise à jour.
La concurrence est rude depuis l'arrivée de Free Mobile sur le marché. NRJ Mobile y va de sa publicité pour tacler le nouvel arrivant.
Tout le monde est d'accord sur un point : Free Mobile a vraiment dépoussiéré le marché de la téléphonie mobile en France. En tapant tout azimut, Xavier Niel ne s'est pas fait que des amis dans cette histoire. Mais aujourd'hui, elle tend à se retourner contre lui suite aux nombreux problèmes de réseau.
Chez Bouygues Telecom et Orange, la riposte low-cost marche à merveille (B&You et Sosh), tandis que chez SFR c'est bien plus timide, à tel point que le PDG y a laissé sa place. Les MVNOs ont aussi eu la vie dure, car Free est clairement venu sur leur terrain de jeu.
Mais NRJ Mobile ne se laisse pas faire et défend un argument très simple : la vente d'un smartphone avec un forfait à partir de 12,99 €. Dans sa nouvelle publicité, l'homme sandwich fait son retour… et c'est plutôt réussi :
Après 7 ans d'absence sur le marché européen de la téléphonie mobile, le constructeur Panasonic confirme son retour sur celui-ci avec deux nouveaux mobiles basés sur Android, les Eluga et Eluga Power.
Voici le premier haut de gamme, il se nomme Panasonic Eluga et se dote d'un écran tactile OLED de 4,3 pouces en résolution 540 par 960 pixels, d'une architecture double-coeur TI OMAP 4430 cadencée à 1 GHz, soutenue par 1 Go de mémoire RAM et 8 Go en mémoire interne (pas d'emplacement pour les cartes microSD). Il est compatible HSPA+ (14.4 Mbps en réception et 5.76 Mbps en émission) et propose les connectivités sans-fil : Bluetooth 2.1 (+EDR), Wi-Fi (b/g/n), et NFC (Near Field Communication).
Avec ça, il intègre deux caméras : l'une frontale et la seconde dorsale de 8 mégapixels sans flash avec la capacité de filmer en Full-HD (1080p) à 30 fps. Pour les connectivités physiques, on y retrouve un port microUSB (2.0) et une prise casque audio (3,5 mm). Ce smartphone bénéficie de la certification IP57 (Waterproof et Dustproof) lui procurant une résistance à la poussière et à l'eau jusqu'à un mètre de profondeur. Ses dimensions sont de 12,3 cm en hauteur, 6,2 cm en largeur et 7,8 mm en épaisseur pour une masse totale de 130 grammes avec sa batterie de 1,150 mAh.
Le Panasonic Eluga sera disponible dans le courant du mois de mai 2012 avec la version d'Android Gingerbread (2.3.5), pour être mis à niveau vers Android Ice Cream Sandwich (4.0.x) dans le courant de l'été 2012. Actuellement, nous n'avons aucune information quant aux opérateurs qui le commercialiseront directement, mais il sera disponible chez plusieurs revendeurs indépendants entre 400 et 450 euros sans abonnement en deux couleurs : noir et gris.
Le Panasonic Eluga Power cible le très haut de gamme et viendra probablement concurrencer le Samsung Galaxy Note en terme de taille d'écran, puisqu'il propose une très large dalle tactile TFT-LCD de 5 pouces, une architecture double-coeur Qualcomm S4 cadencée à 1.5 GHz, aussi avec 1 Go de mémoire RAM et 8 Go de mémoire interne, avec un emplacement pour les cartes microSD. Il est compatible HSPA+ (21.1 Mbps en réception et 5.76 Mbps en émission) et intègre les connectivités sans-fil : Bluetooth 3.0, Wi-Fi (b/g/n), et NFC (Near Field Communication).
La suite des caractéristiques techniques est pratiquement identique au précédent, avec une caméra frontale et un appareil photo de 8 mégapixels sans flash avec la possibilité de prendre des vidéos en FullHD (1080p) à 30 fps. Les connectivités sont également semblables, il y a un port microUSB (2.0) et une prise jack audio (3,5 mm). Il possède aussi la certification IP57 (Waterproof et Dustproof) lui permettant une résistance accrue à la poussière et à l'eau jusqu'à un mètre de profondeur. Ses dimensions sont de 13,6 cm en hauteur, 7 cm en largeur et 9,6 mm en épaisseur pour une masse totale de 133 grammes avec une batterie de 1,800 mAh.
Le Panasonic Eluga Power sera disponible dans le courant de l'été 2012 avec la version d'Android Ice Cream Sandwich (4.0.x) installée nativement. Aucun opérateur n'a été confirmé, mais il sera aussi disponible chez des revendeurs indépendants entre 550 et 600 euros (nu) en deux couleurs : noir et gris.
Pas de prise en main possible, le smartphone n'est pas totalement fini d'après le constructeur et risque encore d'avoir quelques améliorations au niveau de sa finition.
Bien qu'il s'agisse d'un retour après plusieurs années à l'écart du marché de la téléphonie mobile, je dois avouer que je suis assez déçu par ces deux smartphones avec un Eluga qui ralentit pas mal en utilisation et un Eluga Power encore au stade de prototype sous Android Gingerbread. Bref, reste plus qu'à patienter jusqu'à leur sortie, afin de découvrir des produits finaux bien mieux optimisés. D'après ce que j'ai pu entendre, il existerait aussi un prototype de l'Eluga Power plus abouti sous Android Ice Cream Sandwich, mais pour l'instant sans interface constructeur.
Smartphone Android quadruple-coeur sous Sense 4.0 S720e:
Edouard Marquez
Reviewed by: Edouard Marquez
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On 5 avril 2012Last modified:5 avril 2012
Summary:
Le HTC One X est le nouveau smartphone porte drapeau de la marque taïwanaise. Après une année 2011 en demi-teinte, ce modèle sera-t-il de taille à affronter ses concurrents toujours plus féroces ? La réponse dans ce test bien évidemment !
La vidéo n'était pas au programme, la voici maintenant ajoutée !
Notre test du HTC One X est disponible depuis lundi. Bien que relativement complet, il manquait une vidéo pour vous permettre de vous faire une meilleure idée des matériaux, des performances… Elle a été une longue à arriver, dans la mesure où j'attendais avec impatience la mise à jour permettant de corriger de nombreux problèmes. N'étant toujours pas arrivée, le test vidéo a quand même lieu.
Le test écrit mettait en avant un défaut majeur : l'autonomie. Il se trouve que la fameuse version préinstallée n'est pas optimisée et est très consommatrice. Après quelques jours, j'ai pu dépasser les 9 heures d'autonomie, ce qui est mieux mais loin d'être satisfaisant. Toutefois avec cette mise à jour (1.27.*), l'autonomie devrait quasiment doubler. Mais avec une batterie de 1800 mAh et de telles caractéristiques techniques, il ne pourra jamais atteindre une autonomie proche d'un Galaxy Note (qui tient plusieurs jours).
Voici le programme de la vidéo, qui est assez longue (mais comme on dit “au plus c'est long, au plus c'est bon”) :
Un bug majeur semble affecter le Galaxy Nexus depuis son passage vers Android 4.0.4 : il perd sa connexion au réseau mobile, dès qu'il passe en veille et qu'il n'y a pas de travail en tâche de fond.
Le Samsung/Google Galaxy Nexus reçoit depuis quelques jours la mise à jour vers Android 4.0.4 (Ice Cream Sandwich). Corrigeant notamment des bugs, elle en introduit toutefois un et de taille ! Certains utilisateurs ont observé que lorsque le téléphone passait en veille, le signal GSM disparaissait (à priori la version 4G/LTE ne serait pas impactée). Par conséquent, si des personnes venaient à vous contacter, ce serait exactement la même chose que si vous étiez en mode avion. Mais dès que l'écran est rallumé, la connectivité est à nouveau en marche.
Pour reproduire le problème, c'est assez simple : mettre le téléphone en veille et attendre environ 2 minutes. Au retour, vous remarquez que le signal téléphonique n'était plus actif. Le délai avant l'extinction du signal dépend des tâches en fond. Par exemple, si vous uploadez une photo, le signal ne sera perdu qu'une fois l'élément envoyé.
Ce bug qui est tout de même majeur (impossible de recevoir des appels, SMS… en veille) mérite que vous laissiez une étoile sur la fiche, afin que Google sorte le plus rapidement un correctif !
La solution temporaire serait d'utiliser un noyau (ou kernel) n'utilisant pas la technologie SmartReflex.
Voici le test du Google-Samsung Galaxy Nexus, le troisième téléphone du géant de la recherche et père d'Android. Il se dote des dernières technologies et d'Android 4.0 (Ice Cream Sandwich) : la combinaison idéale ?
Avec le succès croissant d'Android, Google a voulu lancer son propre smartphone en janvier 2010, sous le nom de Nexus One. Fabriqué par HTC, son objectif principal était de montrer aux constructeurs comment bien réaliser un smartphone sous Android. L'entreprise a également expérimenté un nouveau mode de distribution : 100% par Internet, mais qui s'est révélé être un bide au niveau mondial. Toutefois, Google n'a pas qualifié son téléphone d'échec, simplement car son but premier n'était pas d'être vendu à des millions d'exemplaires.
Une année plus tard, c'est Samsung qui a été choisi pour produire le Nexus S. Largement inspiré du Galaxy S, il s'est imposé comme un très bon téléphone, mais qui n'a pas autant marqué les esprits. En effet, lors de l'arrivée du Nexus One, les caractéristiques matérielles en faisait un (très) haut de gamme, alors que le Nexus S a rapidement été obsolète, car les modèles avec un processeur double-coeur sont arrivés quelques semaines après. Au niveau commercial, les erreurs ont été gommées avec une présence chez la quasi-totalité des opérateurs (situation différente en fonction des pays).
A la Google I/O en mai dernier, Andy Rubin avait indiqué qu'un nouveau Nexus était en route. Initialement connu sous le nom de Nexus Prime, nous avions alors pensé que LG avait été désigné comme constructeur, car ses smartphones Android appartiennent à la gamme Optimus (en référence à Transformers). Google a également racheté Motorola Mobility cet été et il était possible qu'il soit sélectionné. Au final, ce n'est ni l'un, ni l'autre, car c'est à nouveau Samsung qui a été choisi.
Tout comme pour le Nexus S, on sent une forte inspiration du Galaxy S II, mais il semblerait qu'il vise un segment plus élevé et ne soit pas délogé de sitôt. Il y a certes les quadruple-coeurs qui viendront envahir les rayons, mais ce seront les tablettes qui en bénéficieront en premier. Google semble donc avoir une très belle arme, d'autant plus qu'elle inclut la dernière version d'Android, à savoir Ice Cream Sandwich (4.0).
Avant même de commencer le test, nous tenons à vous rassurer, le fameux bug du son est bel et bien corrigé. Tous les modèles vendus actuellement proposent déjà le correctif (build ITL41F). Il est désormais venu le moment de passer au vif du sujet, avec le plan que nous vous avons concocté pour ce test :
Lorsqu'on reçoit le téléphone, on reconnaît l'apparenté à la gamme Nexus, avec la fameuse boîte blanche. Contrairement aux autres, on note qu'elle est bien plus longue, mais qui s'explique par un écran beaucoup plus grand (4,65 pouces). Un scotch permet de savoir s'il n'a pas été ouvert depuis sa phase de production.
Notre première déception vient du contenu de cette boîte, qui est extrêmement minimal. Nous avons exactement les mêmes accessoires que pour un entrée de gamme, ce qui, compte tenu du prix, est tout de même une mauvaise opération (la fameuse première impression).
Plus précisément, nous retrouvons à l'intérieur :
- Le téléphone - Le chargeur secteur - Un câble microUSB (qui ressemble étrangement à celui d'Apple) - Un kit main libre - Deux guides
Vous noterez que pour le casque intra-auriculaire, il n'y a aucune mousse de rechange. Très mauvais point pour le stade du déballage.
1.2] Les caractéristiques techniques
Modèle
Google-Samsung Galaxy Nexus
Version et interface
Android Ice Cream Sandwich(4.0) sans surcouche constructeur
Ecran
4,65 pouces
Résolution
1280 x 720 pixels (HD)
Technologie
Super Amoled HD, capacitif et multipoint (10)
Traitement contre les chocs & rayures
Oui
Processeur (CPU)
Texas Instruments OMAP 4460 (double-coeur) cadencé à 1,2 GHZ
Pour le processeur graphique (GPU), sachez qu'il est intégré sur la Samsung Galaxy Tab 7 pouces de 2010, les Wave 1 et Wave 2. Ce n'est donc pas le dernier né du marché, mais qui a tout de même démontré ses capacités.
Résumons
Les plus
Les moins
- Double-coeur - Ecran de 4,65 pouces - Résolution HD - NFC - DAS
- Pas de mousse de rechange - PowerVX SGX540 plutôt ancien
Une vidéo résumant les trois premières rubriques :
Enfin ! Le test de l'Asus Transformer Prime TF201 est en ligne. Cette supertablette sous Ice Cream Sandwich (Android 4.0), première tablette équipée de l'architecture Nvidia Tegra 3 et son processeur quadcore (+1), un écran 10,1 en technologie IPS+ ainsi qu'une station d'accueil qui intègre un véritable clavier AZERTY, une batterie et un touchpad… tient-elle ses promesses ?
L'Asus PadFone est en précommande à Taïwan pour une sortie mi-avril. Les prix s'échelonneront dans ce pays de 499€ à 799€ selon les accessoires. Mais attention, la conversion € = $ pourrait s'appliquer en Europe et on fleurterait alors avec les 1000€.
L'Asus PadFone est clairement ce que l'on peut appeler un “tout-en-un”. Vous avez un téléphone et peut-être une tablette, mais l'interaction est relativement limitée. Ici les deux ont la possibilité de ne faire plus qu'un ! Mais Asus ne s'arrête pas là, car il y a le même dock clavier que sur les Transformer (TF101 et TF201).
L'intérêt est donc de pouvoir ranger son téléphone dans la tablette et de profiter notamment de la connectivité 3G. Plus besoin d'avoir deux abonnements 3G séparés ou de créer des hotspots WiFi : ici tout se fait naturellement. Une fois le téléphone de 4,3 pouces rangé dans la tablette, il est toujours possible de passer et recevoir des appels. Le taïwanais a eu pour cela une idée originale : utiliser un stylet. Si tout cela vous semble encore obscur, n'hésitez pas à lire notre compte rendu du MWC.
Jusqu'à présent il nous manquait le prix de ce lot d'appareils uniques en leurs genres. Ce matin, Asus a tenu une conférence de presse à Taïwan pour annoncer la disponibilité de son produit dès la mi-avril, avec les précommandes débutant dès demain.
Il reste maintenant à savoir ce qu'il en est pour l'Europe et si un prix si élevé va arriver à conquérir les consommateurs. On espère que $ = € ne s'appliquera pas…
Andy tire sa révérence, pour laisser place à Cid, la nouvelle mascotte de CyanogenMod.
CyanogenMod est la ROM de référence sur Android, car elle est disponible sur de nombreux téléphones et elle permet de goûter aux dernières versions d'Android, bien avant que les constructeurs ne déploient la leur. Parti d'un projet très simple, CyanogenMod compte plusieurs millions d'utilisateurs aujourd'hui et sa communauté de développeurs est importante.
La maturité aidant, l'équipe a décidé de s'offrir une nouvelle identité visuelle, afin de mieux coller avec son image. Vous ne verrez désormais plus le bugdroid sur son skate comme logo de la ROM CyanogenMod. Après un vote sur Google+, c'est finalement le visuel ci-dessus qui a été retenu. La mascotte de ne se nomme plus Andy, mais Cid pour Cyanogendmod ID.
Motorola Mobility est propriétaire d'un certain nombre de brevets (d'où son acquisition par Google) importants pour l'industrie de la téléphonie. De fait il fait payer l'utilisation de ces derniers, jusque là rien d'anormal me direz vous.
La plainte à pour origine Microsoft et Appl, et porte sur l'utilisation de la 2G et la 3G (chose essentielle sur nos smartphones).
Le problème soulevé par les 2 constructeurs (et sûrement d'autres) sont les prix exorbitants demandés par Motorola pour ces brevets. En effet Motorola demande 2,25% du prix de vente de l'appareil (hors taxes), du coût sur un appareil à 500€, Motorola perçoit 12,5€. Je vous laisse imaginer ce que cela donne sur une voiture équipée de la 3G.
C'est pour éviter ce genre d'abus que la communauté européenne a mis en place une règle : FRAND (Fair, Reasonable and Non-discriminatory) c'est à dire, “juste, raisonnable et non discriminatoire”, valable sur certains brevets.
Car c'est un fait, ces brevets sont obligatoires pour ce marché.
Si jamais l'enquête aboutissait à une condamnation de Motorola, peu de chance que cela engendre une baisse des coûts pour nous consommateurs.
Pour Google/Motorola cela pourrait engranger une perte assez importante car ces brevets rapportent plusieurs milliards.