Encore quelques fuites concernant le HTC Ville, le probable nouveau smartphone haut de gamme de la manque tawaïnaise. Une coque en métal, un écran de 4,3 pouces en résolution 720p, une architecture double-coeur Snapdragon S4, du NFC… les caractéristiques font rêver mais tout ceci n'a rien d'officiel pour le moment. La nouvelle information, c'est qu'il pourrait être plus fin que les 0,7 cm d'épaisseur du Motorola RAZR.
Vous aviez compris que c'est la période des rumeurs ? Vivement le CES et le MWC !
Vous songez prochainement à vous acheter un Nexus S ? Vous possédez un Nexus One et souhaitez changer pour un Nexus S ? Vous souhaitez connaitre les différences entre ces deux androphones ?
En regardant de loin, on peut se dire que ces deux Nexus ont un matériel identique, proposant tous deux un processeur cadencé à 1 GHz, 512 de RAM, un appareil photo de 5 mégapixels avec un flash (LED), un port jack et micro-USB, ainsi que le Bluetooth, le Wi-Fi et la 3G.
Pour le Nexus S, on notera un écran Super Amoled (à 235 ppi) de 4 pouces capacitif et anti-trace de doigt avec une résolution WVGA (800 x 480 pixels), tandis que le Nexus One se contente d’un simple écran Amoled de 3,7 pouces (à ~250 ppi) de meme résolution. Cependant, il existe des Nexus One avec un écran SLCD, mais cette édition est arrivée bien plus tard dans la chaine de production.
Les deux écrans sont totalement différents, puisque le Nexus S embarque un Multi-touch, et le Nexus One un Dual-touch. Le souci du Dual-touch est d’avoir une très mauvaise gestion du multi-points, puisqu’il ne prend pas en charge plus de deux points, mais aussi de s’inverser au croisement de vos doigts. Faites un test avec l’application MultiTouch Visible Test, vous aurez la réponse.
Concernant le chipset graphique, le Google Nexus One devient vite contraignant dans les jeux, j’ai comparé Avatar 3D avec un GPU Adreno 200 (Nexus One) et un PowerVR SGX 530 (Motorola Milestone) et ça n’a juste rien à voir, le Milestone couplé à son Texas Instrument à 550 MHz met une grosse claque au Nexus One qui ralentit beaucoup. Celui présent dans le Nexus S est le PowerVR SGX 540, qui équipe déjà le Galaxy S et qui fera partie intégrante de la future architecture de Texas Instrument cadencée à 1,5 GHz. Donc ça nous laisse une idée du potentiel de la puce graphique.
Là où le Nexus S marque un petit point c’est sur sa mémoire interne, on est à 16 Go. Contrairement au Nexus One qui lui ne dispose que de 512 Mo de ROM, avec FroYo l’installation d’applications sur la carte micro-SD ne suffit pas, puisqu’il suffit que vos caches d’applications soient tous pleins et boom vous perdez déjà 50 Mo de place. Donc pas de carte SD, mais une large place de stockage, dont 1 Go de mémoire dédiée aux applications Android, en plus des 15 Go de mémoire interne.
Un petit plus sur la présence d’une caméra frontale qui permettra enfin de faire de la visio nativement sur Android, que ce soit via les applications et l’intégration propre à Google Talk qui arrive. Je ne sais pas vous, mais je ne me vois pas tourner mon smartphone pour faire de la visio, et ce, sans savoir si je cadre bien ou non.
On retiendra un gyroscope à trois axes qui offrira de futures intégrations intéressantes dans les applications et jeux avec une maniabilité améliorée. L’absence de led de notification est à souligner pour le Nexus S. Comment ça se passe maintenant ? Un petit pixel lumineux indicateur sur l’écran en veille ? Et puis cette histoire de trackball non présente sur le Nexus S, mais la mise à jour vers pain d’épice peut palier à ce souci, puisque le copier/coller a été grandement amélioré, et puis la navigation sur un écran de 4 pouces est plus confortable.
La puce NFC (Near Field Communication) pour l’instant c’est en développement, vu qu’en France c’est pas courant du tout, mais ça pourrait se développer. En gros, c’est une technologie polyvalente sans-fil à courte portée qui peut être intégrée à toutes sortes d’objets du quotidien comme des affiches de cinéma, des autocollants et des t-shirts.
Néanmoins on pourrait regretter certains choix, changements d’emplacement des boutons sensitifs, pas de port micro-SD, le bouton Power situé à droite et un port jack 3,5 mm au pied (à coté de l’USB) de l’appareil et non à la tête comme le Nexus One. L’avantage pour le Nexus S, c’est qu’il possède un jack 3,5 mm à 4 canaux, dont audio et vidéo à la fois.
Le poids reste quasiment similaire à 1 grammes près, mais la batterie gagne 100 mAh supplémentaire. Un avantage à ne pas négliger. Le Nexus One possède une batterie de 1 400 mAh et le Nexus S de 1 500 mAh.
Le système d’exploitation supporté nativement dans le Google Nexus S est Android Gingerbread (2.3), que le Google Nexus One devrait recevoir assez rapidement (espérons-le). Qu’advient-il des futures mises à jour du Nexus One, parce que Google ne pourrait plus supporter le Nexus One, dont HTC va devoir prendre le relais à part entière du smartphone ?
Après la distribution du pain d’épice le suivi officiel est inconnu pour le Nexus de HTC, tandis que pour les bidouilleurs il vivra encore très longtemps, au minimum une année. Il serait dommage d’abandonner un téléphone avec des capacités matérielles aussi importantes que le Nexus One.
Si vous cherchez un Google Nexus One neuf, il est un peu tard puisqu’il est en fin de fabrication, cependant l’achat en occasion reste toujours abordable et vous pouvez facilement en trouver dans les 250 euros.
Modèle
Google Nexus S
Google Nexus One
Version
Android Gingerbread (2.3)
Android FroYo (2.2)
Support Adobe Flash Player
Oui
Oui
Ecran
4 pouces (100 mm)
3,7 pouces (94 mm)
Résolution
(WVGA) 800x480 pixels
(WVGA) 800x480 pixels
Technologie
Super Amoled en technologie capacitive multi-point
Amoled en technologie capacitive dual-point
Processeur (CPU)
Hummingbird @1GHz
Qualcomm Snapdragon QSD8250 @ 1 GHz
Chipset graphique (GPU)
PowerVR SGX540 (OpenGL ES 2.0)
Adreno 200 (OpenGL ES 2.0)
Mémoire RAM
512 Mo
512 Mo
Mémoire Interne
16 Go (1 Go applications)
512 Mo
Support micro SD
Non
Oui
APN / Caméra
Oui, 5 mégapixels avec led flash (480p) avec flash + autofocus
Oui, 5 mégapixels avec led flash (480p) avec flash + autofocus
Webcam (caméra frontale)
Oui
Non
Wi-Fi
802.11 (b/g/n)
802.11 (b/g) (n présent, mais non activé)
Boussole/GPS/Bluetooth
Oui / Oui / Oui, 2.1
Oui / Oui / Oui, 2.1
Réseaux
3G (DL : 7.2 Mbps / UL : 5.76 Mbps)
3G (DL : 7.2 Mbps / UL : 2 Mbps)
Dolby® Mobile & SRS / DLNA
Non / Non
Non / Non
NFC (Near Field Communication)
Oui
Non
Accéléromètre
Oui
Oui
Capteur de proximité et lumière
Oui / Oui
Oui / Oui
Sortie jack 3,5 mm
Oui, audio/vidéo (4 canaux)
Oui, audio (2 canaux)
Un port micro-USB (standard)
Oui
Oui
Tuner FM (Radio)
Non
Non (pas activé)
Support DivX
(inconnu)
Non
Formats vidéos supportés
(inconnu)
.3gp, .h.263, .h.264, .mp4
Formats audio supportés
(inconnu)
.mp3, .aac, .aac+, .eAAC, .wav, .amr, .ogg. MIDI
Batterie
1 500 mAh
1 400 mAh
Dimensions
63.0mm x 123.9mm x 10.88mm
119 x 59.8 x 11.5 mm
Poids
129 grammes (batterie incluse)
130 grammes (batterie incluse)
Date de sortie
Décembre 2010
Janvier 2010
Prix à sa sortie
(inconnu)
~500 euros
Quant au Google Nexus S, sa disponibilité est prévue dès le 16 décembre chez Best Buy, et le 20 décembre chez The Carephone Warehouse. Donc avec un peu de recherche, il sera facilement trouvable en France sur des sites web. Mais attention aux arnaques !
Le voici, le dernier né de Google. Le Google Nexus S est l’union entre le géant du moteur de recherche et Samsung. Un smartphone aux couleurs de Google qui se présente avec beaucoup d’avantages, mais aussi quelques défauts.
En effet, ce n’est peut-être pas l’androphone que vous espériez. Beaucoup blâment Samsung pour leur première entrée ratée sur le marché, mais sachez qu’il ne faut pas tout mettre dans le même panier, et que tout le monde peut faire des erreurs. Entendons-nous bien, Samsung en est bien le fabricant, mais il ne gère en aucun cas le partie logicielle de ce smartphone.
Je l’ai récupéré mercredi 22 décembre dans l’après-midi. Vous pensez peut-être que ce test est fait à la va-vite, mais pas du tout. Je me base sur un ressenti, et j’ai clairement vu un coup de punch en comparaison au Nexus One que je possède depuis un an. Depuis deux jours, je le teste un peu dans tous les sens, et je dois dire que je suis assez impressionné. A ce sujet, nous préparons un comparatif assez poussé entre ces deux smartphones de Google pour plus tard.
Le Google Nexus S est clairement le petit nouveau de la lignée, nous allons essayer de vous expliquer pourquoi. De plus, sachez que nous avons pris en compte et en considération certains de vos souhaits, afin de vous offrir le test le plus complet possible.
Le design & la finition
Le Google Nexus S est très sombre, pour ne pas dire ténébreux de part ses couleurs très foncées avec un léger décolleté carbone pointilleux à l’arrière. L’écran éteint, il ferait presque penser à un monolithe.
Commençons par le commencement, et parlons de l’apparence avec sa tête et son pied courbés sur la façade. Surface courbée qui ne l’est plus une fois le téléphone démonté, puisque en réalité l’écran est totalement plat comme une planche de bois.
On retrouve de part et d’autre les cotés arrondis qui améliorent grandement la prise en main de l’appareil en offrant un confort très appréciable. L’arrière de l’appareil n’y est pas pour rien, car il y a comme le Galaxy S une courbure légèrement bossue qui perfectionne un peu plus cette prise en main.
Les mises à jour
Si vous cherchez un smartphone Android mis à jour fréquemment, c’est le mobile qu’il vous faut. Aucune contrainte constructeur, aucune attente puisque Google développe continuellement son système d’exploitation dessus, et ce, de semaines en semaines, en y partageant et apportant ses améliorations. Pour être plus clair, c’est la racine même des androphones, du moins le Google Nexus One et le Google Nexus S sont les deux téléphones mères, pour ne pas dire les premiers de la classe. Je ne vous parle même pas pour les bidouilleurs, Android est un système très flexible et se porte sur presque n’importe quel androphone. On peut prendre exemple sur l’avant dernière version d’Android, la 2.2.1. Eh bien tous les androphones ou presque ont officieusement cette version, il suffit simplement qu’il y ait une communauté active derrière, et ça roule. Je pense que dans l’avenir, la simplicité viendra s’y installer et permettra de grandes choses, et ce, bien plus facilement. Il faut dire que cette simplicité a grandement évolué depuis le lancement d’Android, maintenant on peut installer une rom alternative avec deux applications (universalandroot et rom manager). Oui, oui.
La maniabilité du système
Je ne vous cache pas que lorsque j’ai récupéré le jouet j’ai eu assez peur… Oui, le téléphone présentait quelques petits ralentissements pas très appréciables, mais la mise à jour vers Android 2.3.1 a rapidement corrigé le tir en apportant une meilleure stabilité au système. Après l’avoir pas mal essayé, je peux donc affirmer que le système ne ralentit plus du tout. Je me souviens encore sur le Nexus One, et même en 2.2.1 de ses ralentissements fréquents qui ont d’ailleurs disparus avec les premières roms de Gingerbread.
Pour le reste, on vous en a parlé à plusieurs reprises (ici et là). La mise à jour saute d’une virgule et porte sur de petits changements qui ont toute leur importance. Une petite touche d’esthétisme dans l’intégralité du pain d’épice avec un système plus sobre, prestant et panaché. On peut ne pas en aimer les couleurs, mais il faut avouer que la dernière refonte du clavier Android est juste exceptionnelle. Les touches sont plus espacées, puis avec ce nouveau système de copier/coller intégré au système le confort n’en est que renforcé.
J’ai un avis divisé en deux sur la gestion de l’énergie, puisque je n’ai aperçu aucune amélioration de batterie significative… Comme nous l’avions expliqué, la gestion améliorée de l’énergie rime avec un meilleur multitâche ce qui explique la rapidité accrue du système Android. Plus précisément, on a évolué de deux versions sur la machine virtuelle Dalvik (1.2.0 -> 1.4.0), et ça se sent.
Ensuite arrive le support du NFC, une technologie polyvalente sans-fil à courte portée qui peut être intégrée à toutes sortes d’objets du quotidien comme des affiches de cinéma, des autocollants et des t-shirts. Par exemple devant une borne de métro, à la boulangerie ou au magasin de vêtements, vous n’aurez plus besoin de votre carte bleue puisque votre téléphone en prendra le rôle. Pour le moment, cette technologie n’est pas (vraiment) démocratisée en France, mais elle est très utilisée dans d’autres pays du monde. Je pense que ça commencera à se développer en Europe vers la moitié de l’année 2011, mais pas avant.
Le système Android se voit supporter nativement le gyroscope pour les téléphones qui l’embarquent. Un gyroscope à trois axes est un capteur de position angulaire, qui offrira dans le futur de meilleures intégrations dans les applications et jeux quant à la maniabilité et l’ergonomie. Cependant, la technologie n’est présente que dans le Google Nexus S, mais devrait investir le marché dans les mois à venir sur certains terminaux Android.
L’intégration des appels en VoIP & SIP sont désormais directement intégrés à Android. Beaucoup d’utilisateurs m’ont aussi rapporté que ce n’était pas abouti, que l’utilisation n’était pas assez poussée pour un usage intensif. L’outil doit donc être amélioré, puisque d’autres applications font bien mieux cela, en se servant par exemple de flux bas débits (edge) avec une réception et émission de qualité correcte.
Un support des caméras embarquées amélioré a été remarqué. Le système d’exploitation mobile a maintenant la capacité de détecter automatiquement les caméras présentes, le changement entre les deux est rapide et les captures de photos ou vidéos sont pratiquement instantanées. En gros, l’application Caméra fait une requête automatique à l’appareil pour connaître le nombre de périphériques disponibles et en établir les caractéristiques de chacun. A ce sujet, on attend une intégration à Google Talk qui se voit pour l’instant absente, mais prévue.
Le reste porte sur de petits atouts et changements assez mineurs dans le système. On a l’intégration d’un gestionnaire de téléchargements, une amélioration des paramètres d’applications, et divers autres menus et paramètres sur le bureau, ainsi que le menu d’applications, etc.
Sincèrement, je pense qu’Android Gingerbread (2.3/2.3.1) est une passerelle vers Android Honeycomb, qui apportera son lot de nouveautés plus conséquentes. Le système est très rapide et stable, on se sent à la veille de son apothéose. Comme je le cite précédemment, je pense qu’il faudra encore une ou deux virgules pour consolider ces nouvelles bases et passer à un système “Android” dans toute son excellence. Vous me suivez ? : )
Dans la vidéo de prise en main présente plus bas, je n’ai pas eu le temps de parler du navigateur Android, mais il est assez rapide et il est bien géré par le système. Avant la mise à jour c’était une autre histoire, puisqu’il avait quelques ralentissements, mais ils sont bel et bien moins présents. Le confort est très agréable et avec un tel écran multipoints, c’est du pur bonheur à manier. Néanmoins l’interface de ce dernier reste inchangée comparativement aux versions précédentes du système. On espère tout de même une évolution pour Android 4.x.
La partie matérielle
Au départ, je n’adhérais pas vraiment au plastique noir que l’on retrouve autour et derrière le smartphone. Cependant il semble assez résistant, même si je ne me suis pas risqué à l’essayer. Il n’a même pas encore passé son premier baptême de l’air.
Sur le coté gauche se présentent les touches de volume, à sa droite le bouton “power”, puis au pied une entrée micro-USB 2.0 et jack 3,5 mm (audio/vidéo). J’aurais bien fait une vidéo de démonstration sur une télévision, mais je n’ai pas encore reçu la connectique.
L’avant se définit d’un noir perçant avec un écran tactile capacitif Super Amoled (235ppi) de 4 pouces d’une résolution WVGA (800 x 480 pixels) avec une bonne résistance aux traces de doigts. Au dessus de l’écran une caméra frontale, presque invisible. En dessous, 4 touches tactiles totalement cachées lorsque l’écran est éteint. Dans l’ordre, on a Retour / Menu / Recherche / Home.
A l’arrière se définit un appareil photo/caméra de 5 mégapixels (+ Flash et Autofocus) qui peut enregistrer des vidéos en 480p d’assez bonne qualité, le 720p étant peut-être pour plus tard ou via un hack quelconque pour les bidouilleurs. On notera deux ouvertures dans la façade : ce sont les haut-parleurs qui permettent de laisser s’échapper les différents effets sonores (musiques, sonneries, alertes…).
Une fois la façade ouverte, on apercevra deux petits bouts de métal dépassant à coté de la carte SIM. Il s’agit du NFC qui se propage discrètement dans la coque afin d’en capter les éléments. Juste en dessous se situe l’emplacement de la batterie avec celle-ci qui fait 1 500 mAh. Pour l’instant, je n’ai pas remarqué de bonus ou malus sur la batterie, c’est comme un autre androphone. Je pense que des batteries alternatives verront très prochainement le jour chez Seidio & BoxWave. Ils ont la réputation de rajouter entre 150 et 400 mAH de capacité pour une taille similaire.
La partie cachée abrite une architecture ARM Cortex-A8 Hummingbird cadencée à 1 GHz soutenue par une puce graphique PowerVR SGX 540. Le tout est couplé avec 512 de mémoire RAM et 16 Go de mémoire interne, dont 1 Go dédiée aux applications. A ce sujet, nous ne l’avions pas encore soulevé mais la version d’Android Gingerbread supporte bien mieux le déplacement des applications sur la carte SD. Dans ce cas là, on parle bien de l’autre partie de la mémoire interne du téléphone (hors système).
Après la Galaxy Tab, c’est le premier androphone à supporter un gyroscope à trois axes, il y a aussi une boussole et un accéléromètre. Le reste étant standard avec le Bluetooth 2.1 + EDR, le Wi-Fi dans ses normes b/g/n et la 3G.
Il est aussi à souligner que le Google Nexus S ne dispose d’aucun voyant de notifications (LED, Trackball coloré…). Cependant, il est possible de passer outre ce problème avec des applications telles que NoLED, Missed Message Flash, etc….
Audio, photo, vidéo & 3D
La qualité audio dégagée à l’arrière de l’appareil est assez bonne, on entend bien les distorsions, les aigus et les graves ainsi que les basses sans aucune saturation ou gribouillis répugnants. J’ai fait une capture vidéo, mais je ne pense pas que ça prouve quoi que ce soit. Il faut vraiment avoir le téléphone en main pour s’en rendre compte.
Voici deux photographies en 5 mégapixels prises depuis le téléphone. Soulignez qu’elles ont été compressées, notre blog ne peut pas complètement les héberger.
Étant sur la version brute d’Android Gingerbread les formats vidéos sont assez restreints, vu que les licences n’ont pas été ajoutées par Google. Cependant, le Nexus S a la capacité de lire les vidéos dans les formats H.264, H.263 MPEG4. Il est évidemment possible de lire des vidéos aux formats DivX, XviD et MKV avec diverses applications présentes sur l’Android Market.
Test de jour
Test de nuit
Un peu plus haut, je vous ai parlé de l’architecture ARM Cortex-A8 Hummingbird cadencée à 1 GHz soutenue par une puce graphique PowerVR SGX 540. A l’heure actuelle, c’est l’une des meilleures architectures mobiles. Les performances sont assez importantes, vous en aurez la preuve un petit peu plus bas avec les quelques benchmarks présentés.
Les petits tests
Voici une petite liste de benchmarks utilisés durant le test. Il est toujours avantageux de connaître les performances de son androphone, et si vous êtes bidouilleur ces performances pourront prochainement sans doute se décupler. La communauté commence déjà à être assez active quant aux Google Nexus S. Modaco a déjà sortie une alternative, et CyanogenMod existe en version Alpha.
On démarre avec Quadrant, c’est une application qui se base sur la puissance du processeur, les performances 2d/3d de la puce graphique, la mémoire RAM et la mémoire interne de votre androphone. Cependant, il a eu beaucoup de mal à fonctionner. L’application n’étant plus très suivie… Bref. Les deux versions ont été utilisées (Standard & Extended) et le score tourne autour des 1750.
Voici deux autres tests de benchmarks qui se basent sur l’OpenGL ES 2.0 en tirant sur les performances de la puce graphique. En premier, il y a GPUBench chiffrant en Absolute à 33767 et Relative à 27265. En second, Nenamark1 atteint aisément les 47,5 fps.
Si vous cherchez une bonne alternative à Quadrant, il y a An3DBench qui exécute 6 tests sur la partie graphique en jouant des scènes assez complexes en se basant sur une solution 3D de l’OpenGL (JCPT). Le score le plus haut, c’est le plus performant et son résultat grimpe à 6839.
Après suit Neocore, un benchmark conçu par Qualcomm qui s’appuie sur l’OpenGL ES 1.1. Il détermine le nombre d’images par seconde (FPS) que votre appareil peut afficher en tirant partie des performances du processeur (CPU) et de la puce graphique (GPU).
Et pour combler les inquiétudes du Samsung Galaxy S, voici un petit test de GPS Status montrant le bon fonctionnement de ce dernier. Il a été fait en hauteur et en intérieur.
Les avantages
Android Gingerbread (2.3.1)
Les mises à jour OTA (Over The Air)
Le Gyroscope
La puce NFC
La caméra frontale
L’architecture (Hummingbird + PowerVR SGX 540)
La qualité sonore du haut-parleur
La résistance aux traces de doigts sur l’écran
L’écran Super Amoled de 4 pouces
Les défauts
L’absence du support micro-SD
L’absence d’un voyant de notifications (des applications corrigent ça)
L’absence du DLNA pour les écrans TV
La non gestion native des DivX/XviD/MKV (Souci logiciel, la partie matériel les supportent)
Les caractéristiques techniques
Modèle
Google Nexus S
Version
Android Gingerbread (2.3)
Support Adobe Flash Player
Oui
Ecran
4 pouces (100 mm)
Résolution
(WVGA) 800x480 pixels
Technologie
Super Amoled en technologie capacitive multi-points
Processeur (CPU)
Hummingbird @1GHz
Chipset graphique (GPU)
PowerVR SGX540 (OpenGL ES 2.0)
Mémoire RAM
512 Mo
Mémoire Interne
16 Go (1 Go applications)
Support micro SD
Non
APN / Caméra
Oui, 5 mégapixels avec flash (led) + autofocus (vidéo 480p)
Webcam (caméra frontale)
Oui
Wi-Fi
802.11 (b/g/n)
Boussole/GPS/Bluetooth
Oui / Oui / Oui, 2.1
Gyroscope
Oui
Réseaux
3G (DL : 7.2 Mbps / UL : 5.76 Mbps)
Accéléromètre
Oui
NFC (Near Field Communication)
Oui
Dolby® Mobile & SRS / DLNA
Non / Non
Sortie jack 3,5 mm
Oui, audio (2 canaux)
Capteur de proximité et lumière
Oui / Oui
Un port micro-USB (standard)
Oui, 2.0
Tuner FM (Radio)
Non
Support DivX
Non
Formats vidéos supportés
.3gp, .h.263, .h.264, .mp4
Formats audio supportés
.mp3, .aac, .aac+, .eAAC, .wav, .amr, .ogg. MIDI
Batterie
1 500 mAh
Dimensions
63.0mm x 123.9mm x 10.88mm
Poids
129 grammes (batterie incluse)
Date de sortie
Décembre 2010
Prix à sa sortie
Entre 529 € et 699 €
Le contenu de la boite
Un câble USB
Un chargeur électrique
Un casque intra-auriculaires
Un carnet explicatif pour la garantie
Et la belle boite du Google Nexus S
Le prix & la disponibilité
Le Google Nexus S est prévu d’arriver chez SFR à partir de Février 2011. Il se pourrait que d’autres opérateurs ou revendeurs se l’approprient, mais ça sera un petit peu plus tard. Le prix est d’environ 529 à 699 euros.
Partagé par iNicc0lo de HDBlog, voici les différences entre le Galaxy Nexus LTE et HSPA+.
Comme vous le savez certainement déjà, la version LTE ne sera pas compatible avec nos réseaux mobiles, du moins, ceux présents en Europe et dans les pays du Maghreb, pour ne parler que de la communauté francophone. Au Canada, c'est une autre histoire car le pays se dote, comme aux Etats-Unis, de couvertures réseaux différentes, qui lui permette de faire fonctionner les appareils mobiles LTE et HSPA+.
Dans l'article publié par notre confrère, on peut constater les différences entre ces deux versions :
la version LTE fait 9,47 mm d'épaisseur avec une batterie de 1.850 mAh
la version HSPA+ fait 8,9 mm d'épaisseur avec une batterie de 1.750 mAh
La raison à cela ?
J'en discutais l'autre jour avec un lecteur et la raison à cela, est que les réseaux mobiles 4G consomment bien plus qu'un appareil connecté aux réseaux 3G ou 3G+. Ce qui s'explique par la présence de la puce LTE 4G et de la batterie qui se présentent par une épaisseur légèrement plus imposante que la normale.
Après, je pense qu'une version HSPA+ aura une meilleure autonomie qu'une version LTE, du fait qu'elle consomme beaucoup moins, car 100 mAh de plus n'apporte finalement pas à une grande différence, surtout lorsqu'il s'agit d'un appareil connecté aux réseaux mobiles LTE 4G.
Evidemment, on se doute bien que Google avait des restrictions et ne pouvait pas trop se permettre de dénaturer son Google Phone de l'original.
Motorola préparerait le Droid 4 ou Milestone 4, après un Milestone 3 qui n'est sorti qu'aux US et en Asie. Comment concevoir et commercialiser un téléphone quelques mois après la sortie du Droid 3 ? Motorola aurait simplement repris le design du Motorola RAZR (le test arrive lundi prochain), en réduisant la taille de l'écran – de 4,3 à 4 pouces – et en lui ajoutant un clavier QWERTY complet avec une ouverture par glissement. Le reste est similaire au RAZR, processeur double-coeur 1,2 GHz, 1 Go de RAM, 16 Go de mémoire interne, un capteur 8 mégapixels, etc.
Notez que l'écran semble être un TFT-LCD au lieu du Super AMOLED du RAZR, la résolution n'aurait pas changé (qHD). Il serait présenté par Verizon le 8 décembre prochain aux Etats-Unis. Une bonne nouvelle pour tous les adaptes de claviers physiques.
Sony Ericsson était une co-entreprise appartenant au suédois Ericsson et au japonais Sony, jusqu'à récemment. Peu de surprise, Sony avait racheté les parts de son ex-partenaire pour prendre le contrôle totale de Sony Ericsson. Un rachat justifié par la stratégie de Sony dite des 4 écrans, la stratégie 4 écrans se résume comme la synergie et le partage de contenus entre les téléviseurs, les écrans d’ordinateur, les smartphones / tablettes et les consoles de jeux. Quatre domaines dans lesquels Sony Corp. dispose d’une solide expertise et de marques reconnues comme Playstation, Vaio ou Bravia.
En plus d'accumuler des pertes financières, Sony Ericsson ne possédait pas plus de 3% de parts du marché mondial des GSM/Smarthpone alors qu’elle était encore de 9% en 2008. En France, cette part ne dépassait pas les 10% malgré une présence assez forte de la marque à travers la gamme XPERIA sous Android.
En 2012, Sony compte donc sur son nouvel allié, Android, dans ses écrans TV, ses smartphones et ses tablettes. La marque japonaise avait déjà commencé à mettre en place des synergies avec la certification “Playstation” sur le Sony Ericsson XPERIA Play (le smartphone qui intègre un gamepad), également présente sur les tablettes Sony P et S.
La marque Sony Ericsson ne sera donc plus utilisée à partir de janvier 2012.
Square Enix va sortir le Square Enix Market le 1er décembre au Japon, il s'agit d'un market d'applications où l'on trouvera Dragon Quest Monsters Most Wanted, Chaos Ring, Crystal Defenders et bien entendu Final Fantasy. Pourquoi passer directement par un market alternatif ? Pour contrôler la distribution des jeux, se passer des 30% de marge de l'Android Market et pouvoir être déployé in-app sur les smartphones grâce à des partenariats de contenu avec les opérateurs et distributeurs.
Pour nous francophones, il est probable que la plupart de ces jeux seront disponibles directement sur l'Android Market, le Square Enix Market ne sera à priori aucunement effectif dans nos contrées.
Désormais, l'entreprise japonaise semble vouloir s'avancer, afin de s'imposer un peu plus sur les continents Asiatique et Européen. Selon nos confrères de Reuters, Panasonic aurait déjà une gamme de smartphones toute prête pour l'année 2012. On peut déjà faire allusion au Lumix 101P précédemment abordé sur le blog, qui fera très certainement partie de la gamme de smartphones prévus par la marque en 2012. En 2015, le fabricant vise les 7.5 millions de smartphones vendus.
Si vous l'aviez manqué, le Lumix 101P est une sorte d'hybride à mi-chemin entre le smartphone et un “vrai” appareil photo numérique, puisqu'il intègre en son sein un capteur de 13.2 mégapixels avec un Flash et qui sera très probablement capable de filmer en Full-HD (1080p) à plus de 30 images par seconde, ainsi que de réaliser de belles photos. Evidemment, il est un peu tôt pour s'avancer, mais cela n'empêche pas de spéculer.
Il s'agit d'un mobile qui se place parfaitement parmi les hauts de gamme du moment, avec un large écran tactile d'une diagonale de 4 pouces d'une résolution de 540 par 960 pixels (qHD). L'architecture double-coeur installée est identique au Motorola RAZR, la TI OMAP4430 avec une cadence de 1 GHz et il ne serait pas impossible qu'elle soit poussée à 1.2 GHz. Mise à part ça, l'appareil regroupe les connectivités essentielles et nécessaires à son usage, comme le Wi-Fi, le Bluetooth, le GPS/A-GPS et l'Infrarouge, pour une masse totale de 128 grammes confinée dans 9.8 mm d'épaisseur, avec une batterie de 1460 mAh. Un peu rude vous me direz, néanmoins, il a l'avantage de s'offrir une multi-compatibilité entre les réseaux mobiles CDMA/GSM avec un débit maximal de 21 Mbps en réception.
Dans un premier temps, cet appareil mobile serait lancé sous Android 2.3 (Gingerbread) et qui sait, peut-être rapidement mis à niveau vers Android Ice Cream Sandwich.
Il n'y a pas un mais toute une série de smartphones. Néanmoins, nous ne les connaissons pas encore tous. En plus de l'Asie et de l'Europe, le constructeur va très certainement débarquer en Amérique du Nord : il serait déjà en cours de négociation avec plusieurs opérateurs téléphoniques pour la commercialisation future et mondiale de sa gamme de terminaux mobiles.
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appXoid regroupe les BONS PLANS et coups de coeur des applications Android.Tous les jours retrouvez des promotions (jusqu'à -90%), des applications gratuites sur une durée limitée (entre 24 et 48 heures), des coups de coeur, des nouveautés... Tout cela sur l'application appXoid, mais également le site Internet (http://www.appxoid.com) ainsi que...
AirDroid est une application qui permet de gérer son téléphone, de manière sans fil (via le WiFi). On peut accéder aux fichiers, applications, sms, photos, contacts, sonneries et musiques. Il est à peu près possible de tout faire avec et son gros avantage est une interface extrêmement bien travaillée ! AirDroid regorge également de fonctionnalités au niveau de son application Android, mais nous laissons planer le mystère….
Nous avions parlé de Jelly Defense, un tower defense plutôt original avec des créatures venues d'ailleurs. Elles sont à nouveau réutilisées par leur éditeur pour une petite application musicale. En sélectionnant simplement les Jellys avec leur instrument, il est possible de composer sa propre musique. Un petit moment de détente qui plaira aux plus jeunes, comme aux plus âgés !
Tout comme sur les messageries instantanées, il est parfois utile de bloquer certaines personnes. Sur Android, il est possible d'appliquer le même schéma, en ignorant les appels selon plusieurs critères : tous les numéros inconnus, un ou plusieurs contacts et un ou plusieurs numéros. Une belle application qui fonctionne très bien et qui est maintenant distribuée gratuitement !
Les notifications sont des alertes que vous recevez directement dans le centre de notifications situé dans la barre de notifications tout en haut de votre interface Android, les notifications proviennent des applications : nouveaux e-mails, SMS, nouveaux articles, etc.
Des développeurs ont mis en place une application pour modifier totalement l'apparence des notifications avec plusieurs styles d'alertes (bannières, alertes pop-up, etc.). NotifierPro regroupe différents styles et iPhone Notifications utilise le même style que les notifications d'iOS. On attend vos retours… !
With NotifierPro you can greatly improve the way your device displays notifications.« NotifierPro really does make Android's notifications better », Lifehacker (May 2012)« NotifierPro is unique », AndroidSpin (May 2012)« If you're looking for customizability, this is it », Android Police (Apr 2012)« NotifierPro makes your notifications even better »,...
Avec Notifications iPhone, vous pouvez grandement améliorer la façon dont votre appareil affiche des notifications. Vous pouvez afficher les notifications de n'importe quelle application de la même façon qu'il serait affiché sur IOS6, de votre smartphone, ainsi que sur votre tablette.Samsung *** utilisateurs des dispositifs avec Talkback / clavier /...