Voici un téléphone bien énigmatique. Présenté derrière une protection inamovible et indisponible à la manipulation, voici toutes les informations que nous avons pu obtenir du Netribes de Sagem Wireless.
Sagem Wireless ne communique que très peu sur ce téléphone car l’approche commerciale est assez particulière. En effet, le principe de la gamme de mobiles en préparation est que chaque téléphone est lié à une grande marque. Cette grande marque, dont le cœur de métier est souvent très éloigné de la téléphonie, sera mis en avant de Sagem. C’est donc cette société qui s’occupera de la communication autour de son mobile. En parallèle, nous devrions découvrir des mobiles fortement liés cette fois ci à des opérateurs. La démarche est la même, ici c’est à l’opérateur de gérer la communication autour du téléphone.
Au final, les téléphone devraient avoir un esprit très proche de celui de la marque. Par exemple, il est prévu de voir apparaitre un mobile Android pour une marque de sport (là non plus impossible de savoir laquelle…), le téléphone qui en résultera sera plus solide et suffisamment petit pour être emporté en situation de sport. De plus, Sagem Wireless prévoit de développer, et de distribuer en exclusivité sur leurs mobiles, des applications liées à de grandes marques.
Pour Sagem, Android est donc vu comme un outil pour la customisation.
Pour le cas particulier du Netribes, nous ne sommes pas arrivé à savoir à quel opérateur il est lié. Sagem semble garder un contact particulier avec 4 grands, il semblerait que ce soit deux d’entre eux. Ce smartphone est pour un milieu de gamme. On retrouve des caractéristiques connues sur d’autres concurrents : Wifi, GPRS, EDGE, 3G, appareil photo 5mpx, Ecran QVGA de 3 pouces, GPS. Cependant, Sagem Wireless propose ses services pour adapter la version Donut d’Android avec des particularités Sagem et des particularités marques/opérateur. Pour sa partie, le constructeur met l’accent sur les réseaux sociaux.
Pour finir, ce mobile devrait lancer une gamme dont 3/4 appareils sortiront dans le dernier semestre 2010. Affaire à suivre.
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