dimanche 27 février 2011

Pig Rush : un jeu de saut et… c'est tout !

En plein week-end, un jeu de saut change les idées…

Le week-end est synonyme de repos. Hier, nous vous avons présenté un jeu de pousse pièces et aujourd'hui un jeu de saut ! Les concepts ne sont pas révolutionnaires, mais permettent de passer un bon moment. Vous ne jouerez peut-être qu'une fois à ce jeu, mais vous y aurez certainement passé du bon temps.

L'éditeur Reign-Design a porté sur Android, le jeu à succès Pig Rush. Il totalise près d'1,5 millions de téléchargements sur iOS. Pour vous expliquez brièvement le contexte, vous entrez dans la peau de Jumpy the Pig, un cochon. Il s'est échappé de sa ferme et vous devez l'aider à quitter le lieu, le plus rapidement possible. Pour corser son aventure, vous devrez l'aider à sauter les ravins et obstacles. Des bonus seront aussi à collecter, mais vous devrez sauter pour les atteindre, tout en faisant attention de ne pas tomber. Pour augmenter la difficulté, le cochon accélère au fur et à mesure de sa cavale.

Plusieurs thèmes sont déblocables : Halloween, Pixel, Desert, Ninja… à condition d'avoir atteint un seuil de points, dans vos précédentes aventures. Au niveau des contrôles, si vous appuyez en bas de l'écran, vous ferez un petit saut. Si c'est en haut, il sera plus élevé. Un double clic, permet alors de faire un “combo” de deux sauts consécutifs.

Vous pouvez retrouver une vidéo du jeu :

Pour vous procurer ce jeu gratuit sur Android 2.1+, suivez ce QRCode :

Sony Ericsson Xperia X10 ne supportera pas le DLNA… même s'il avait été promis !

En Mai 2010, Sony Ericsson avait promis de supporter le DLNA sur sa famille de téléphones Xperia X10. Il n'y aura finalement rien…

En mai dernier, Sony Ericsson avait annoncé une mise à jour de ses téléphones Android vers 2.1, à la fin de l'année 2010. On devait notamment y retrouver le support du DLNA. La première partie s'est bien déroulée, mais le protocole n'a malheureusement pas été implémenté. Pourtant ce standard permet de lire, partager et contrôler des appareils multimédia, quelle que soit leur marque. Il fonctionne selon le principe du client (télévision, cadre photo…) qui récupère les vidéos, musiques…, et d'un serveur (téléphone, ordinateur…). On retrouve notamment ce protocole dans la Sony Playstation 3, ce qui laissait un espoir concernant son intégration. Malheureusement, il n'en sera rien. Dans le cadre de Questions/Réponses après le MWC 2011, Sony Ericsson a clarifié les choses :

Q : Le DLNA n'était-il pas censé être dans la dernière mise à jour de l'Xperia X10 ?
R : C'était notre plan, comme indiqué au mois de mai dernier. Cependant beaucoup de choses ont changé depuis, comme le fractionnement de la mise à jour en deux parties, le Pinch to Zoom… Une des conséquences de tous ces changements a été, malheureusement, que le DLNA a été supprimé des objectifs. Je sais qu'il existe des applications tierces qui permettent le DLNA, alors j'espère que vous allez en profiter avec l'une d'entre elles.

La nouvelle est difficile à entendre, quand on sait que la politique en matière de mise à jour de Sony Ericsson est déjà très mauvaise. Nous espérons que le constructeur ne réitérera pas les mêmes erreurs avec les Xperia Arc, Neo, Play et Pro.

Coin Pirates : un jeu de pousse pièces !

Vous ne savez pas quoi faire de votre samedi, jouez à Coin Pirates !

Depuis la sortie de Motorola Xoom, on assiste à l'arrivée de jeux exclusifs pour la plateforme nVidia Tegra 2. Seulement, très peu d'utilisateurs peuvent en profiter aujourd'hui. C'est dans ce cadre, que je suis très heureux (à prendre avec un zeste d'humour) de vous présenter Coin Pirates compatible avec l'ensemble des téléphones. Il s'agit d'un jeu de pousse pièces (ou pousse jetons) que l'on retrouve dans les fêtes foraines.

L'objectif est de faire tomber les pièces dans un bac, afin de les réutiliser. Si des objets sont sur le plateau, vous pourrez également les récupérer. Pour faire chuter les pièces, vous devez en rajouter depuis des fentes, pour qu'elle s'ajoutent ensuite sur la table. L'objectif est de ne pas les mettre par dessus les autres, mais derrière elles, pour qu'elle puissent être poussées. En effet, un mécanisme de va-et-vient pousse l'arrière des pièces.

Une application sur Android existe donc et permet de jouer de manière quasi-infinie. Pour lancer des jetons, il suffit de cliquer sur l'écran. Seul l'axe vertical est pris en considération. Vous pourrez ramasser des cadeaux, que vous pourrez ensuite arborer fièrement dans votre collection. Si vous arrivez à mettre une pièce dans une des deux fentes noires, vous lancerez alors le mécanisme de machine à sous. Si vous avez trois symboles identiques, de nouveaux cadeaux arriveront.

Le jeu est disponible pour Android 1.5+ et gratuitement : pourquoi s'en passer ?

samedi 26 février 2011

FUJITSU expose ses prototypes à double écran et ses smartphones étanches au MWC

Présent sur le salon du MWC, FUJITSU présentait deux prototypes de smartphone à double écran.

L'un d'eux fonctionnait sous le système d'exploitation mobile “Android”. Je vous laisse le soin de découvrir cette solution via une vidéo réalisée pendant le salon :

On peut voir une interface retravaillée pour les applications tel que le client Twitter, la galerie photo, l'application mail, la consultation de la notice, Google Maps et le lecteur vidéo. Les smartphones à double écran sont une alternative aux tablettes.

Sur le même stand, FUJITSU exposait leurs smarphones compatibles avec des environnements critiques (eaux, poussières).

Ces smartphones répondent aux normes waterproof (IPX5/7/8) et dustproof (IP5X).

  • IPX5 protège contre les projection d'eau ; pas de dommage avec une fuite d'eau (en dessous de 12.5l/min) d'un tuyau (6.3mm de diamètre) situé à une distance de 3 mètres (voir la photo ci-dessus et la vidéo ci-dessous).
  • IPX7 protège contre une chute sous 1 mètre d'eau pendant 30 minutes.
  • IPX8 protège contre une immersion à une profondeur d'1m50 durant 30 minutes.
  • IP5X protège de la poussière (Jardinage, etc) pendant 8 heures.

Vidéo de présentation :

Certains sont commercialisés au Japon.

Le guide des applications Android

En cet agréable samedi de février, bien que le temps ne soit pas des plus merveilleux, j'ai parcouru un nouveau livre sur Android, cette fois-ci dédié aux utilisateurs et non aux développeurs.

“Le guide des meilleures applications Android” de Patrick Beuzit aux éditions First se propose de vous indiquer un panel d'applications connues et moins connues, afin de pouvoir enrichir votre smartphone ou tablettes de nombreuses fonctionnalités.

Ce livre, au format poche de 348 pages, se décompose en 2 grandes parties :

  • l'une de 26 pages présentant très simplement ce qu'est Android, quelles en sont les fonctionnalités possibles, comment télécharger des applications sur l'Android Market ou autres
  • l'autre, la plus important du livre, puisqu'il s'agit de son objectif, présente sous forme d'une fiche descriptive chaque application pouvant avoir un intérêt pour l'utilisateur

Les 26 premières pages sont vraiment facilement accessibles à un non initié puisque elles sont orientées pour le grand public.Cependant même les Android Addict pourront avoir un intérêt à parcourir ce livre. J'ai moi même découvert des applications dont l'intérêt était bien là !

Plus de 200 applications sont ainsi référencées et décrites sous forme de fiche d'une à deux pages en abordant des sujets connexes. Par exemple, si vous recherchez une application lisant des livres électroniques (eReader) l'auteur indique plusieurs applications ainsi que les formats possibles, tout en donnant des informations sur ces différents formats.

La présentation de chaque application est claire : description, approfondissement, lien de l'éditeur (si disponible), code QR qui vous permettra de télécharger l'application qui vous plait en scannant le code renseigné.

Les 200 applications sont classées par catégorie facilitant ainsi l'accès à un type d'application précis.

Enfin, l'auteur, chef de projet informatique à l'Ecole des Ponts – Paris Tech, nous a indiqué qu'il y aurait très certainement des mises à jour de ce livre dans le temps, sans tomber non plus dans le site web de présentation d'application ! Les applications sont ici sélectionnées pour leur intérêt, leur public et leur qualité.

Au tour de la Motorola Xoom d'être démontée…

Après le démontage du Motorola Atrix 4G, on passe à celui de la Motorola Xoom. On en finit plus avec cette tablette, mais il faut quand même l'écrire : Les nouvelles sont plutôt bonnes.

Surtout il y a quelques jours avec la découverte du bootloader déverrouillé, laissant aux futurs développeurs et bidouilleurs une passerelle vers l'intégration et la personnalisation. Chose confirmée puisque hier soir, Koush, développeur reconnu dans la communauté Android, a quelques minutes après l'acquisition de sa tablette, cassé le bootloader, installé son recovery personnalisé et pour terminer en chandelle rooté la Xoom.

Moi-même, je ne vous cache pas qu'après ces nouvelles prouesses, je ne reste pas indifférent quant à la future acquisition de cette tablette très tentante de par ses nouvelles possibilités (amélioration et intégration au système, roms cutoms, et j'en passe…). En clair, l'avenir de la Motorola Xoom promet d'être des plus amusants.

Aujourd'hui, iFixit qui comme quoi, a une bonne part d'utilité dans le démontage de terminaux, a découvert que la tablette était hybride. Plus précisément, la Xoom pourrait supporter plusieurs réseaux mobiles grâce à l'intégration de la puce ‘Qualcomm MDM6600‘ offrant le support des réseaux HSPA+ et EVDO Rev.A (GSM et CDMA). Attention, cette compatibilité ne veut pas dire qu'elle peut fonctionner sur les deux en même temps, puisqu'il faudra tout de même appliquer une modification pour qu'elle tourne sur les réseaux GSM. Ne me demandez pas comment, je n'en sais rien pour l'instant. : )

En attendant, mon petit doigt me dit qu'elle va bientôt être testée.

Retrouvez le bon petit guide de démontage sur iFixit.

Les couleurs de l'écran du Nexus S légèrement modifiées sur Android 2.3.3

Suite à la mise à jour vers Android 2.3.3, Google a modifié les tons de l'écran du Nexus S.

La mise à jour vers Android 2.3.3 était un symbole fort pour le Nexus One, car il s'agissait du portage officiel de Gingerbread sur le téléphone. Mais le Nexus S n'était pas oublié, avec notamment l'activation du mode écriture, pour la puce NFC. Cette mise à jour a eu aussi un effet inattendu : la modification des couleurs de l'écran du deuxième téléphone de Google. La teinte serait plus jaunâtre, comme le montre la première photo (Nexus S à droite). En modifiant la luminosité, le même effet se produit. De nombreuses personnes se sont donc plaintes sur le forum officiel de Google.

La réponse officielle n'a pas tardé à arriver, par l'intermédiaire de Ry Guy. La modification est bien voulue par le géant de Mountain View :

Avec notre nouvelle OTA, vous remarquez peut-être une légère différence dans la façon dont les couleurs sont affichées sur votre Nexus S. Pour le Nexus S, nous avons ajusté les réglages de la température des couleurs, pour refléter plus fidèlement les couleurs foncées à tous les niveaux de luminosité. L'interface de Gingerbread étant plus sombre, nous avons constaté que les couleurs n'étaient pas bonnes lorsque l'appareil était utilisé avec une faible luminosité. Par exemple, certains utilisateurs ont signalé que la température de couleurs initiale était trop élevée, donnant aux gris foncés des tons rougeâtres ; avec la nouvelle température des couleurs, ce n'est plus le cas.

Des ROM comme CyanogenMod permettent de modifier les tons de l'écran. Si ce changement ne vous convient pas, vous pourrez donc rapidement pouvoir retourner vers l'ancienne configuration.

Trouvez-vous cette modification gênante ?

Source : Android Central

Les smartphones sonnent-ils le glas des GPS ?

Garmin et Tomtom ont réalisé une mauvaise année 2010, de part la forte concurrence avec les smartphones.

Les GPS sont apparus au milieu des années 2000 en Europe et depuis, de nombreux automobilistes ne peuvent plus s'en passer. Auparavant, les longs trajets étaient synonymes de cartes routières (et d'engueulades), mais rien ne vous aidait à trouver votre position exacte. Grâce à l'arrivée du “système de positionnement mondial”, cette vieille méthode s'est effacée. Sans rentrer dans un discours technique, l'outil utilise des satellites pour se repérer. Le temps de propagation du signal permet au périphérique de connaître sa position par rapport à un satellite. Lorsque l'appareil est connecté à au moins quatre, il peut alors déterminer de manière assez précise les coordonnées du dispositif.

Les premiers modèles sont aujourd'hui vendus aux alentour de 50€, preuve que la technologie s'est démocratisée. Seulement une fois que les foyers sont équipés, les fabricants doivent apporter d'importants changements, pour qu'un nouvel acte d'achat puisse être déclenché. C'est ainsi que l'on peut voir apparaître des modèles haut de gamme, avec une connectivité bluetooth ou 3G. Cela permet de communiquer plus facilement avec son portable dans le premier cas, ou d'accéder à l'info traffic en temps réel dans le second. Mais aujourd'hui, de plus en plus de véhicules disposent de manière native d'un gps intégré. L'intérêt est d'avoir un périphérique mieux intégré, mais aussi moins gênant pour le conducteur.

Seulement ces nouvelles fonctionnalités font étrangement penser à ce qu'un smartphone peut proposer. Les téléphones disposent eux aussi de puces GPS. Certains critiquent toutefois leur manque de précision, pour une utilisation routière. Mais il n'y a aucun problème, d'autant plus que les logiciels lissent le résultat pour “accrocher” une route. Sur les téléphones, on retrouve plus exactement des A-GPS (assisted GPS) qui améliorent la réactivité du système. En effet, le système repose sur des éphémérides, mais qui ne sont valables que quatre heures. C'est ainsi que si vous relancez votre GPS après ce délai, il faudrait attendre environ 2 minutes en conditions optimales pour faire un fix. Mais l'A-GPS télécharge les données sur une durée de 7 jours, ce qui évitera ce problème et permettra une accroche beaucoup plus rapide.

Les smartphones ont fortement fait décliner les constructeurs de GPS classiques. Pour 2010, Garmin a vu son chiffre d'affaires reculer de 9% avec des ventes en baisse de 21%. Chez TomTom, le chiffre d'affaires est en hausse, mais l'année 2011 risque d'être difficile. Cela s'explique notamment par le prix moyen d'un GPS : 146€ en France, selon GfK. Or, pour ce prix il est tout à fait possible de se procurer un smartphone. A cela s'ajoute, que nos terminaux bénéficient d'outils comme Google Maps, qui ont des cartes mises à jour gratuitement. Il existe bien des GPS avec cartes offlines comme Ndrive ou Copilot, mais ne font pas autant recette que les outils gratuits.

Les géants du GPS comptent sur les pays émergents, mais surtout sur la diversification de leurs produits. On assiste à un développement des produits annexes comme la détection de radars (à la iCoyote), l'outdoor, le fitness ou des marchés comme l'aviation ou la marine. Il est difficile de dire si ces changements redresseront la barre.

Dire que les smartphones détruisent à petit feu les GPS est donc vrai. Utilisez-vous votre smartphone comme GPS ? Avez-vous acheté un kit voiture ou un accessoire du type ? Utilisez-vous toujours votre ‘ancien' GPS ?

Source : Les Echos

Présentation du Huawei Ideos X5 (Vidéo)

Nous avons rapidement pu tester le Huawei Ideos X5 lors du MWC 2011.

A l'occasion du MWC, Huawei a présenté l'Ideos X5. Le téléphone est vendu depuis aujourd'hui à Hong kong pour un prix de 2880$ (HKD), soit environ 270€. Il s'agit donc d'un smartphone d'entrée de gamme. Son apparence fait un peu penser aux Acer Liquid : autant par la rondeur, que par le côté plastique.

Au niveau des caractéristiques, on retrouve une puce Qualcomm MSM 7230, offrant un processeur Scorpion de 800 MHz et un chipset graphique Adreno 205. Il dispose d'un écran multitouch capacitif de 3,8 pouces, pour une résolution de 480×800 pixels. Il propose 2 ou 4 Go de mémoire interne selon les modèles, et d'un emplacement pour cartes microSD. Il possède une connectivité classique : WiFi 802.11 b/g/n, Bluetooth 2.1 + EDR avec A2DP, GPS et microUSB. Sa caméra de 5 mégapixels avec autofocus et LED flash peut réaliser des photos de 2592х1944 pixels et des vidéos en 720p. Son jack 3,5mm est compatible avec Dolby Mobile – SRS. Il utilise Android 2.2 (FroYo). Ses dimensions sont de 120 x 62 x 11.6 mm, avec une batterie de 1500 mAh. Elle lui offre un autonomie au repos de 440h (2G) ou 380h (3G) ; 6h (2G) et 4h (3G) en communication.

Voici la vidéo de présentation réalisée lors du MWC :

L'application officielle de la Nuit blanche de Montréal

J'aime beaucoup les applications dédiées à l’évènementiel et à la vie culturelle et sportive. Ce sont celles qui me permettent réellement d'être au courant qui s'organisent dans ma ville et plus particulièrement dans mon quartier (le Plateau, évidemment ;) ).

Je suis un peu en retard pour vous en parler mais à l'occasion de la Nuit Blanche et de Montréal en Lumière, une application Android a été développée.

Cette application permet d'accéder à l'ensemble des activités de la Nuit Blanche quartier par quartier (ou directement sur la carte de Montréal) ainsi que de partager du contenu multimédia de vos évènement préférés.

Disponible sur l'Android Market, elle sera votre compagnon de fin de semaine et l'on espère qu'à l'occasion de différents festivals et évènements, d'autres applications dans le même genre verront le jour.