Maxthon Browser sera préinstallé sur plus de 100 millions de mobiles en 2014

Alors qu’il est disponible depuis déjà trois ans sur Android, on peut vraiment dire que le navigateur mobile Web qu’est Maxthon a rencontré le succès qu’il méritait avec déjà plusieurs millions de téléchargements à son actif sur le Google Play.

Grâce à un partenariat signé entre Maxthon et Rolltech, le navigateur mobile web Maxthon sera pré-installé dans plus de 100 millions de smartphones sous MediaTek en 2014. Bien que nous ne connaissons pas encore les smartphones qui en bénéficieront, le communiqué précise que certains constructeurs comme LG, ZTE, Lenovo, Philips, TCL/Alcatel One Touch ou encore LavaMobile seront de la partie.

Selon Maxthon, l’intégration de ce navigateur mobile Web ciblerait principalement les produits vendus sur les marchés émergents comme le Brésil, la Russie, la Chine, l’Inde et l’Indonésie. À l’avenir, il n’est pas impossible que ce partenariat s’étende vers d’autres contrées, mais cette initiative prouve bien que les applications ont une importance croissante aux yeux des grands constructeurs.

Maintenant, il ne reste plus qu’à voir jusqu’où cette intégration sera poussée. Mais couplé à d’autres services, il est probable que Maxthon grappille quelques parts de marché sur ce placement avancé dans le secteur des périphériques mobiles d’entrée et de milieu de gamme. Dans la liste, on peut également distinguer l’apparition de Philips. Le constructeur néerlandais se serait-il finalement décidé à entrer dans la course ?

Le navigateur Internet Maxthon
Maxthon

Ne vous méprenez pas, avec plus de 550 millions de téléchargements de son navigateur Web pour PC, Maxthon sait comment rendre votre Internet attrayant. Maxthon Mobile est doté de fonctionnalités très intéressantes comme :Synchronisation avec le Cloud – Vos bookmarks/favoris voyage avec vous du Bureau au mobile.Thêmes/Skins – Une...

Télécharger Free Disponible sur Google Play

L’application Twitter de la Galaxy Note 10.1 (2014) est compatible avec d’autres tablettes

Lors de l’évènement Samsung Unpacked 2013 Episode 2, AndroidNext a remarqué l’intégration d’une nouvelle interface de l’application Twitter optimisée avec la tablette Galaxy Note 10.1 (2014 Edition) qui s’annonce être compatible avec plusieurs tablettes de 7 et 10 pouces, en plus d’être disponible en téléchargement depuis quelques heures.

Pour ceux qui l’utilisent régulièrement, vous saviez certainement que Twitter était déjà disponible sur les tablettes, cependant le design de l’interface n’était pas aussi avancé. En plus de cela, il faut noter que la version trouvée dans la Galaxy Note 10.1 2014 n’est pas la même. En effet, elle est basée sur Twitter 4.1.1, alors que la version actuelle est là 4.1.7. De ce fait, il est susceptible que certaines des fonctionnalités qui ont été ajoutées entre 4.1.1 et 4.1.7 ne soient pas incluses (comme l’amélioration des discussions, la sécurité des comptes, etc.).

Pour se procurer cette version de Twitter, rendez-vous à cette adresse.

EI Telecom reprend l’activité d’Auchan Telecom

Auchan Telecom, opérateur virtuel du magasin éponyme, cède la totalité de son activité et de sa base de clients à EI Telecom. Le montant de la transaction n’a pas été dévoilé.

Ce n’était qu’une question de temps. L’opérateur virtuel Auchan Telecom a finalement cédé son activité, non pas à SFR, qui lui loue ses fréquences, mais bien à EI Telecom, opérateur virtuel détenu à 95% par le groupe Crédit Mutuel-CIC et à 5% par NRJ Group. La transaction dont on ignore la valeur permettra au nouvel acquéreur de reprendre l’ensemble des clients Auchan Telecom ainsi que d’exploiter sa marque.

C’est en juin dernier que la rumeur commençait à circuler autour d’une éventuelle cession du MVNO. Aujourd’hui, EI Telecom s’engage à poursuivre l’activité de l’opérateur en lançant de nouvelles offres à partir de novembre prochain “dans les hypermarchés Auchan, par téléphone et sur Internet”, indiquent EI Telecom et Auchan Telecom dans un communiqué commun. Et d’ajouter que “cette solution permet [pour Auchan] de toujours proposer une offre de téléphonie exclusive et différenciante à ses clients et de faire vivre la marque Auchan Telecom développée par ses équipes depuis 7 ans.”

Le MVNO, dont les collaborateurs sont au nombre de 17, verra tous ses salariés repositionnés au sein d’Auchan France dans les semaines à venir. La transaction sera entièrement finalisée d’ici la fin de l’année.

Prise en main des HTC One et One mini Vivid Blue

L’IFA est bien morose pour HTC qui, contrairement à ses concurrents Sony ou Samsung, s’est contenté de présenter ses Desire 300 et Desire 601, ainsi qu’une déclinaison de son fer de lance 2013, le HTC One en version Vivid Blue. Le One mini a également été présenté dans un coloris analogue, histoire de séduire un plus grand nombre de consommateurs.

La nouveauté peut sembler anecdotique, présentée ainsi : plutôt que de renouveler sa gamme de smartphones, HTC préfère se contenter d’une version colorée de ses terminaux One. Mais cela relève plutôt d’un virage stratégique cherchant à se différencier des autres acteurs du secteur, qui multiplient les haut de gamme à chaque nouveau salon : il s’agit de laisser vivre un peu plus qu’un trimestre un smartphone qui, à sa sortie, s’est positionné autour des 650 euros et qui, s’il n’embarque pas le dernier Snapdragon 800, ne démérite pas (encore) face à nombre de ses concurrents. Et patienter quelques mois avant de sortir un nouveau smartphone, c’est se laisser le temps nécessaire pour développer un nouvel appareil capable de créer le buzz, en laissant aux équipes de R&D de la marque de peaufiner leur bébé. Et limiter les coûts de développement chez les haut de gamme…

Quoi qu’il en soit, il faut avouer que HTC propose de beaux terminaux avec ses One et One mini Vivid Blue. Le turquoise pétant sur une coque métallisée semble assez féminin, mais après tout, il pourra séduire un public assez large qui en a assez des éternels noir / blanc /gris…, d’autant plus que cette couleur franche est présente à l’avant, au dos et sur les tranches des terminaux. Pour le reste, le One mini (en photos ci-dessous, au côté du One version rouge) comme le One ne voient pas leurs caractéristiques varier d’un iota. Tous deux sortiront à un prix analogue à leur prédécesseur gris ou noir au tarif de 449 euros (One mini) et de 649 euros (One) d’ici le mois d’octobre. (test du HTC One et du HTC One mini)

Photos du HTC One mini Vivid Blue et du One rouge Voir toutes les galeries

Cinq anciens thèmes accessibles sur le Clavier Google d’Android

En plus des fonctionnalités de base, beaucoup d’entre vous savent déjà que le système d’exploitation mobile Android profite de quelques aspects cachés, qui se dévoilent notamment aujourd’hui avec ces cinq thèmes du Clavier Google.

En plus de pouvoir paramétrer d’autres options, le mode Android keyboard Debug settings vous permettra également de modifier le thème du clavier avec cinq autres modèles : Basic (normal ou high contrast), Stone (normal ou bold), ainsi que Gingerbread (normal).

Voici les instructions à suivre pour accéder à ses thèmes :

• Procurez-vous un lanceur d’applications de type Nova Launcher ou Apex Launcher
• Ensuite faites une pression longue du doigt sur l’écran, sélectionnez Raccourcis et Activités
• Une fois dans Activités, cliquez sur Clavier Google et Android keyboard Debug settings
• La dernière action aura pour effet d’ajouter un raccourci sur votre écran accueil
• Ouvrez le raccourci et choisissez quel thème vous souhaitez appliquer

L’application Clavier Google est toujours disponible gratuitement sur le Play Store :

Clavier Google
Google Inc.

Le clavier Google facilite la saisie de texte et la rend plus intelligente. Faites glisser vos doigts d'une lettre à l'autre avec la saisie gestuelle. Pas besoin d'insérer d'espace : il vous suffit de soulever le doigt à la fin de chaque mot. Rédigez vos notes lors de vos déplacements avec...

Télécharger Free Disponible sur Google Play

Prise en main du Sony Xperia Z1

Le bal des annonces pré-IFA a commencé deux jours avant l’ouverture officielle du salon berlinois. Deux des principaux acteurs du secteur de la mobilité ont choisi de se livrer bataille de front, organisant leur conférence presque simultanément : alors que Samsung dévoilait ses Galaxy Note III et Galaxy Gear, Sony présentait son Xperia Z1. Sur le papier, c’est un monstre : écran de 5 pouces FullHD, capteur 20,7 mégapixels et processeur Qualcomm Snapdragon 800. Retour sur ce photophone proposant une approche différente de certains de ses concurrents.

Si l’on devait citer les photophones du moment, la liste serait bien maigre : dans le monde d’Android, Samsung montre ses muscles avec son Galaxy S4 Zoom (notre test), tandis qu’il faut aller chercher du côté de Windows Phone 8 pour s’offrir les services PureView d’un Nokia Lumia 1020 misant sur un capteur photo de 41 mégapixels. Strictement chez Android, aucune expérience n’est réellement satisfaisante, car la difficulté est de taille : il s’agit de proposer à la fois un capteur, un objectif et un traitement photographique dignes d’un compact numérique tel que peut en fabriquer Nikon ou… Sony.

Le smartphone Cyber-shot

Le Nippon connaît son sujet puisqu’il démontre son expertise aussi bien dans le domaine des réflex (Alpha) que des compacts – les Cyber-shot aux indénombrables références. Ce sont ainsi les équipes techniques de Cyber-shot qui ont travaillé à équiper le Xperia Z1 d’un capteur photo Exmor RS de 1/2,3″ et de 20,7 mégapixels, la dernière génération de Sony en la matière, d’une optique G Lens et d’un processeur d’images BIONZ.

Capteur du Sony Xperia Z1

Il ne s’agit pas tout à fait de ce que l’on peut trouver dans un compact numérique, mais développé par les mêmes équipes à l’attention d’un smartphone, il vise à assurer des performances optimales en conditions de basse luminosité. De ce point de vue, il nous sera difficile de vous donner une opinion définitive dès à présent, le Z1 méritant des tests aboutis et des comparaisons précises avec d’autres modèles de la même trempe.

Dos du Sony Xperia Z1

Ce Xperia Z1, parlons-en. Smartphone haut de gamme prenant la relève du Xperia Z lancé début 2013 (lequel basculera à un tarif situé autour de 500 euros à la commercialisation du Z1, contre 649 euros à sa sortie), en conserve le format, à peu de chose près : une épaisseur qui passe de 7,9 mm à 8,5 mm. C’est qu’il faut loger des composants un peu plus haut de gamme à l’intérieur, et cette fameuse partie photo qui, à force de promesses alléchantes risque d’en décevoir plus d’un. Comptez sur un processeur Snapdragon 800 cadencé à 2,2 GHz, sur 2 Go de RAM et avec une mémoire interne de 16 Go extensible via une carte microSD.

Sony Xperia Z1

Vraiment mieux qu’un Xperia Z ?

Avec cette nouvelle mouture, Sony entend améliorer son Xperia Z. Même si l’appareil pèse 170 grammes (bien répartis au demeurant), il bénéficie d’un châssis en aluminium apparent sur les pourtours du smartphones, ce qui lui confère un aspect premium, quoi qu’assez masculin. Son aspect photo a certes été amélioré, tout comme le reste de son hardware et sa certification d’étanchéité (IP58 sans cache sur le port Jack 3,5 mm au lieu d’IP57, soit une capacité à plonger jusqu’à 1,50 mètre pendant 30 minutes) ; à ce titre, rappelons que l’appareil photo peut désormais être utilisé sous l’eau (opération facilitée par un à un bouton physique). Sony a clairement écouté les consommateurs et testeurs du premier modèle Xperia Z. Cela fait du bien d’être entendu de temps en temps.

Sony Xperia Z1 (gauche) et Xperia Z (droite)

Mais pas seulement, puisque sa partie logicielle inclut désormais une application photo affublée d’options logicielles en nombre, dont une app de réalité augmentée qui divertira les plus jeunes. Le système est ouvert au développeurs, et ne demandera qu’à être développé – n’importe quel développeur pourra proposer des applications “photos”. Le tout est compatible avec le réseau 4G de catégorie 4, sans oublier l’écran Full HD de 5 pouces Triluminos (qui doit affiché une palette de couleurs plus large) doté de la technologie X-Reality (traitement des photos). A première vue, on retrouve les qualités et défauts perçus lors de notre test du Xperia Z Ultra… Et l’on regrette que le traitement anti-rayures du terminal n’ait pas été revu, le Xperia Z ayant été très sensible aux rayures, et le Z1 conservant son design vitrifié à l’arrière.

Sony Xperia Z1 (haut) et Xperia Z (bas)

Sony Xperia Z1 (haut) et Xperia Z (bas)

Sony Xperia Z1 (haut) et Xperia Z (bas)

Faut-il craquer ?

Les efforts de Sony en matières de hardware mobile et photographique, mais aussi ses améliorations logicielles ont un prix : 699 euros dès le 16 septembre prochain, la plupart des opérateurs hexagonaux étant déjà partis pour commercialiser le terminal d’emblée. N’oublions pas qu’il sera affublé de nombreux accessoires, dont ces QX10 et QX100, des modules photographiques reliés au smartphone en WiFi et qui permettront, moyennant au minimum 199 euros, de transformer un smartphone, et a fortiori le Xperia Z1, en un véritable appareil photographique. Le virage premium de Sony s’accompagne de tarifs parmi les plus élevés du marché : autant dire que le quatrième vendeur de smartphones en France, et acteur espérant reconquérir les parts de marchés grignotées par la concurrence chinoise à l’international, ne peut s’octroyer le droit à l’erreur avec ce smartphone.

 

L’avis d’Ulrich :

Il faut l’avouer, c’est un téléphone impressionnant qui intègre tellement de technologies qu’il est bien difficile à critiquer – l’offre est suffisamment travaillée pour mettre en avant toutes ces caractéristiques – à travers son écran en passant par sa puissance sans oublier son capteur.

C’est une bête trapue, ce qui peut rebuter certaines personnes, mais le châssis métallique est une belle évolution qui pousse l’aspect premium encore plus loin. Sony a écouté attentivement les retours du Xperia Z et semble les avoir intégrés plutôt intelligemment.

Enfin, son prix est élevé traduit bien évidemment le positionnement de Sony : du premium à tout va. Une stratégie qui semble payer, même si à contre-courant de ce que nous proposent la plupart des constructeurs asiatiques.

 

PS : Enfin, notez que Sony va baisser le prix du Sony Xperia Z sous les 500 euros dès le mois d’octobre. La gamme “premium” de Sony semble désormais assez claire : Xperia Z, Xperia Z1 et Xperia Z Ultra, de 500 à 750 euros. Dernière chose, Sony va offrir 100 euros de contenus avec le Xperia Z : du film, de la musique et du jeu vidéo.

Sony Xperia Z1 Mini, un aperçu photo et une confirmation ?

À l’instar de Samsung avec son Galaxy S4 mini et HTC avec son One mini, il se pourrait bien que Sony soit en ce moment même en train de finaliser une variante haut de gamme miniature du Xperia Z1 (Xperia Honami) en Xperia Z1 Mini.

À en croire certaines sources proches du fabricant japonais, Sony pourrait très prochainement dévoiler le Sony Xperia Z1 Mini, et même dès ce mois-ci. Selon les informations recueillies, le Sony Xperia Z1 Mini (Xperia Amami SO-02F) pourrait être l’un des rares mobiles hauts de gamme à petit écran, même s’il n’est pas à exclure l’hypothèse de l’inexactitude de cette rumeur.

En premier lieu, le Xperia Z1 Mini s’appuierait sur un écran tactile de 4,3 pouces en haute définition (720 x 1280 pixels) doté de la technologie Triluminos, suivi d’un processeur quadricœur Snapdragon 800 (Krait 400) cadencé à 2,2 GHz, d’un chipset graphique Adreno 330, de 2 Go de mémoire vive (RAM) et 16 Go de mémoire interne (+ emplacement microSD).

Toujours selon les rumeurs, cette version Mini du Xperia Z1 inclurait également un appareil photo avec un capteur 1/2,3″ de 20,7 mégapixels et un objectif G Lens ouvert à f 2.0 ainsi qu’une résistance à l’eau et à la poussière grâce à la cer tification IP57. Ses dimensions seraient de 109 mm en hauteur, 58 mm en largeur et 7 mm en épaisseur avec sa batterie d’une capacité de 2400 mAh.

Aucune information ne précise une commercialisation en Europe. À suivre.

via HDBlog (1 & 2)

Xbox Music débarque sur Android (et iOS)

Xbox Music débarque enfin sur Android. L’application perd toutefois quelques fonctionnalités en route, comme le mode “écoute hors-ligne.”

On se posait la question il y a quelques mois, et Microsoft s’ouvre enfin aux autres OS. La firme de Redmond a annoncé aujourd’hui la disponibilité de l’application Xbox Music pour Android et iOS. Pour en profiter, il faudra disposer d’un compte Xbox Music qui vous donnera accès aux mêmes titres que les utilisateurs de Windows, Xbox et Windows Phone. En revanche, l’application perd quelques unes de ses fonctionnalités par rapport à son itération sur les terminaux Microsoft. Il faut noter d’abord que Xbox Music n’est (toujours ?) pas compatible avec les tablettes Android.

Ensuite, Microsoft a jugé opportun de supprimer la fonction de recherche de radios d’artistes. On est donc limité à la recherche de morceaux d’artistes à écouter et pas à des listes de lecture prédéfinies. Cette fonction devrait en revanche arriver dans les prochains mois, notamment dans la version web, qui elle, se veut gratuite (voir plus bas).

D’autre part, l’écoute hors-ligne a également été supprimée de l’application. Il faudra donc impérativement être connecté à Internet pour écouter des morceaux sur Xbox Music. Gare cependant au fair-use. Cette fonction devrait aussi arriver dans les prochains mois, a déclaré Microsoft.

Cette application qui se veut concurrente de Spotify et Deezer, permet donc également de créer des listes sur PC pour les écouter sur smartphone et inversement.

Une version web “gratuite”

La version web de Xbox Music se dote par la même occasion du streaming gratuit. Pour s’y rendre, il faudrait simplement disposer d’un compte Microsoft (Hotmail par exemple). En revanche, la réalité est tout autre. Impossible d’accéder au service, Microsoft demandant sans cesse un Pass. Financé par la publicité, ce service donne en théorie un accès illimité valable pendant les 6 premiers mois et payant au-delà, à hauteur de 10 dollars par mois.

Reste à savoir si Nokia Musique, le service musical du fabricant récemment acheté par Microsoft, finira par fusionner par Xbox Music.

Xbox Music
Microsoft Corporation

***Pour utiliser cette application, un abonnement Xbox Music Pass est requis.***Xbox Music vous apporte toute la musique que vous aimez, comme vous voulez. Maintenant, vous avez accès au Xbox Music Pass sur votre téléphone Android, votre Xbox, votre Windows 8 PC ou votre tablette, ainsi que sur le Web. ...

Télécharger Free Disponible sur Google Play

Toast Time, un grille-pain fou comme vaisseau

Force of Habit remet en question vos habitudes avec un jeu d’arcade au concept inhabituel. Dans Toast Time, vous contrôlez un grille-pain qui va devoir lutter de bon matin.

Toast Time est un jeu d’arcade au principe original. Vous contrôlez un grille-pain qui va de bon matin avoir affaire à de petites créatures. Le but étant de les bombarder de toasts grillés pour passer les différents niveaux du jeu.

Utilisez des capacités étonnantes et originales pour venir à bout d’adversaires tout aussi surprenants. Sautez, tirez, piégez, et prenez garde à ne pas l’être. Ça se résume à peu près à cela. Les mondes sont assez nombreux, avec 45 niveaux, et les armes variées avec 16 déclinaisons basées sur du pain et des toasts. Des modes spéciaux, “Café Time” et “Iron Man survival Mode”, viennent encore enrichir le contenu du jeu. De quoi occuper longtemps si tant est que l’on accroche à l’ambiance.

Car le jeu se veut dans un style artistique particulier. Graphismes rétro pixellisés, fonds colorés et scènes de jeu tout de blanc vêtues, de ce point de vue le jeu est original, c’est le moins que l’on puisse dire. Côté son, la bande annonce est très sympathique, agréable à écouter. De quoi rendre le tout plaisant, mais il faut encore une fois pas être allergique aux graphismes un peu particuliers, aux pixels et au style “ton sur couleurs”. C’est un bon jeu, suffisamment long, complexe et travaillé pour valoir le coup d’y mettre un peu de son argent.

Lien Youtube

Toast Time est en effet payant, 1,19 euro jusqu’au 12 septembre puis 2,38 euros ensuite. S’il vous intéresse, n’hésitez pas à profiter de ces -50 % pour la semaine de son lancement. Il nécessite un appareil sous Android 2.2 et 37 Mo d’espace sur votre appareil.

Toast Time
Force Of Habit

50% OFF UNTIL 12TH SEPTEMBER!Hear hear! The best thing since sliced bread.An appetising arena shoot-em-up garnished with tower-defence elements and served warm with awesome-sauce (probably syrup). A throwback to the golden age of video games where old-school homebrew titles fused arcade action with a distinctly British sense of humour. Inter-dimensional...

Télécharger 1,19 € Disponible sur Google Play

NSA : Android, iOS et BlackBerry OS peuvent être piratés à des fins d’espionnage

Les smartphones Android, iOS et BlackBerry OS seraient tous “piratables” par la NSA selon des documents détenus par le quotidien allemand Der Spiegel.

Stéphane Hessel aurait probablement réitéré son appel à l’indignation s’il l’avait appris : la NSA s’infiltrerait aussi dans nos poches. Le quotidien allemand Der Spiegel, désormais spécialisé dans la question de l’espionnage américain et en particulier dans le scandale Prism, affirme détenir des documents qui prouvent que la NSA est capable d’extraire les informations contenues dans les smartphones Android, les iPhone et les Blackberry. L’agence aurait donc accès au répertoire, aux SMS envoyés et reçus, les photos ainsi que les données de géolocalisation.

Le journal allemand, qui exploite des documents fournis par Edward Snowden, affirme que la NSA dispose d’unités chargées de détecter les points faibles (failles) dans les systèmes d’exploitation. A ce titre, pour intégrer le système d’un iPhone, la NSA doit simplement accéder à l’ordinateur synchronisé avec le smartphone pour pouvoir casser la barrière de sécurité du téléphone de la pomme et prendre le contrôle de pas moins de 38 fonctions du terminal.

Si l’on ne sait pas comment l’agence fait pour s’introduire dans le système des smartphones Android, on apprend toutefois que la NSA est même capable de casser la sécurité de la messagerie des smartphones sous BlackBerry OS, réputée pour être l’une des mieux sécurisées au monde.

Les constructeurs et les développeurs des OS affirment quant à mieux qu’ils n’ont donné aucun accès (backdoor) à la NSA pour l’exploitation de ces informations privées des utilisateurs. Il n’est en revanche rien dit sur les smartphones tournant sous Windows Phone…