mercredi 21 août 2013

Star Wars: Force Collection sur Android (et iOS) arrivera le 4 septembre

Bonne nouvelle pour les amateurs de Star Wars. La Gamescom, actuellement en cours en Allemagne, a permis à Konami d’annoncer son projet pour la rentrée, à savoir le jeu Star Wars: Force Collection, prévu pour le 4 septembre prochain sur Android (et iOS).

Star Wars

Que la force soit avec les mobinautes : ils pourront s’essayer à un jeu de cartes à collectionner avant de livrer bataille, le tout dans le jeu Star Wars: Force Collection. Il s’agit ici d’un jeu de cartes à collectionner et à assembler pour livrer bataille contre ses ennemis. Attention à ne pas basculer du côté obscur de la Force… à moins que vous ne le souhaitiez ! 230 personnages issus des six épisodes de la saga signée George Lucas ainsi que des véhicules en masses seront inclus dans ce jeu dont la sortie est officialisée par Konami pour le 4 septembre prochain. L’éditeur indique au passage qu’il s’agira d’un free-to-play.

Star Wars

Voici les principales fonctionnalités du jeu :

  • Récoltez et organisez vos cartes représentant personnages et véhicules présents dans les six épisodes de Star Wars
  • 230 personnages de Star Wars disponibles pour vous seconder dans la bataille
  • Voyagez sur vos planètes favorites de la galaxie Star Wars
  • Vos actions détermineront si vous basculerez du côté obscur de la Force… ou non
  • Récoltez des morceaux de plans pour construire des véhicules
  • Combattez des boss et d’autres joueurs dans des quêtes et dans des événements in-game spéciaux en créant de formations de bataille avec vos cartes et véhicules
  • Récupérez les plans d’autres joueurs et améliorez votre rang de joueur

T-Mobile dévoile le build JWR66Y d’Android 4.3 sur le Nexus 4 (+ Galaxy Nexus et Nexus 10)

MàJ : Les Google Samsung Galaxy Nexus (téléchargement direct) et Nexus 10 (via OTA) bénéficient également de cette même mise à jour.

Depuis hier, l’opérateur de téléphonie américain T-Mobile a débuté le déploiement d’une nouvelle mise à jour d’Android 4.3 Jelly Bean (~ 1,8 Mo) basée sur un nouveau build nommé JWR66Y qui était jusqu’à ce jour encore inconnu.

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Concrètement, il n’y aurait aucun changement notable à l’horizon, si ce n’est que l’efficacité de la sécurité aurait quelque peu été améliorée. Bien que cela ne soit pas indiqué, on peut également supposer que ce nouveau build sera sujet à quelques corrections de bugs mineurs.

Comme nous vous l’indiquions en début d’article, pour l’heure, cette mise à niveau mineure est uniquement disponible en Amérique du nord chez T-Mobile, mais on imagine bien qu’elle viendra à se généraliser dans le futur sur les Nexus 4 nus, ainsi que tous les autres périphériques mobiles. Nous ne manquerons pas de revenir vers vous dès que nous en saurons un peu plus sur ce build JWR66Y.

google lg nexus 4 android 4.3 jelly bean jwr66y

Vine passe le cap des 40 millions d’utilisateurs… mais combien l’utilisent régulièrement ?

C’est un peu la success-story de l’année dans le monde des réseaux sociaux. Les fans de partage photo découvraient en début d’année l’application Vine, une application de partage vidéo permettant de publier de courtes séquences de 6 secondes mettant en scène tout et n’importe quoi. Disponible tardivement sur Android, l’application annonce avoir franchi le cap des 40 millions d’utilisateurs dans le monde.

Vine

40 millions d’utilisateurs revendiqués à ce jour, contre 13 millions recrutés entre janvier et le début du mois de juin, à l’arrivée de l’application dans le monde d’Android : Vine s’est démocratisé à la vitesse de l’éclair, porté par une disponibilité – presque – multiplateformes (Windows Phone 8 attend toujours son tour).

 

Pas trop d’angoisse chez le principal concurrent de Twitter, propriétaire de Vine, à savoir Instagram : le célébrissime réseau, qui a inclus, suite à l’arrivée de Vine sur Android, la possibilité de capturer des vidéos de 15 secondes via son service, annonçait en juin dernier le chiffre pharamineux de 130 millions d’utilisateurs actifs chaque mois. Vine s’appuie sur une base d’utilisateurs de Twitter de plus de 200 millions d’utilisateurs actifs du site de micro-blogging (données de mars dernier), et fait partie des ascensions les plus fulgurantes parmi les applications de 2013, et ce même s’il nous manque un détail d’importance : sur ces 40 millions d’utilisateurs, combien sont actifs chaque mois, et quelle proportion d’inscrits a délaissé son compte après s’être rendu compte que finalement non, un réseau social supplémentaire ne lui était pas nécessaire ?

Vine vs. Instagram

On remarquera qu’à la sortie de la vidéo sur Instagram – propriété de Facebook, l’éternel concurrent de Twitter – certaines études constataient que le nombre de liens partagés depuis l’application Vine chaque jour avait sensiblement décliné, passant sous la barre du million de partages contre plus de deux millions de liens envoyés quotidiennement les journées précédentes. Le service de Twitter, loin d’être un échec malgré les quelques réserves que l’on peut émettre au sujet de son nombre d’utilisateurs, ne s’avouera pas battu de sitôt. Le mois dernier, il annonçait sur son blog que “les prochaines semaines, [il] présenter[ait] de nouvelles fonctionnalités formidables de Vine“. On peut donc s’attendre, pour la rentrée, à quelques rebondissements.

Vine
Vine Labs, Inc.

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Edito – Quelles conséquences pour la panne de Google ?

Retour sur la panne qu’a connu Google la semaine dernière et toutes les élucubrations qui ont suivi la “catastrophe”. 

Google

Dans la nuit du 16 au 17 août, le moteur de recherche de Google, ainsi que 16 autres services de la firme, ont connu une panne entre 1h37 et 1h48 du matin, heure française. Les services en question sont Gmail, Google Agenda, Hangouts, Google Drive, Documents, Tableur, Présentations, Dessins, Sites, Groupes, la console d’administration, les services Postini, Analytics, Maps, Voice et Blogger. Disons tout de suite qu’il s’agit tout de même des services les plus importants de l’entreprise (et les plus utilisés également).

Il n’a pas fallu longtemps aux médias et notamment à une entreprise de statistiques Web, GoSquared, pour crier au loup. En effet, la société a constaté lors de cette panne une baisse de 40 % de l’activité sur les sites qu’elle surveille. On pouvait après coup lire partout sur les supports (et pas des moindres) que Google représentait 40 % du trafic web et qu’il suffisait d’une seule petite panne pour paralyser la toile à l’échelle internationale.

28 ans de SMIC… et alors ?

D’aucuns ont également titré sur les pertes financières provoquées par cette micro panne. La Tribune, qui a tourné son papier de manière à informer ses lecteurs sur les conséquences économiques de ce “crash”, a estimé à près de 370 000 euros le coût de la panne pour Google. Un coût proratisé en fonction des revenus publicitaires glanés par les services de l’entreprise et comparé à 28 années de SMIC net… de quoi faire paniquer la pauvre ménagère.

Mais la réalité est tout autre. En vérité, la panne n’a pas démontré que Google représentait 40 % du trafic sur le web. Elle a encore moins causé de dégâts au niveau des finances de l’entreprise. GoSquared, l’entreprise de statistique web, s’occupe d’un échantillon de sites anglosaxons très limité et ne représente en rien la totalité de la toile. Il est ainsi naïf de penser que la panne s’est répercutée sur 40 % du trafic web mondial, sans oublier ce que l’on appelle le “web profond”, qui représenterait près de 80 % de l’ensemble des pages contenues dans la toile et non indexées par les moteurs de recherche, ou encore les applications mobiles et les échanges de données en peer-to-peer.

De plus, si les pertes économiques engendrées par la panne peuvent évidemment être estimées à 370 000 euros, il s’agit d’une somme qui ne représente toutefois pas grand chose en regard des revenus de la firme. Surtout lorsque Google indique avoir récolté 26,058 milliards de dollars au cours du premier semestre, essentiellement grâce à la publicité en ligne. En langage de statistiques, cela correspond à 0,001 % des revenus semestriels de la société. Cela peut naturellement apparaître comme une grosse somme d’argent pour le commun des mortels. Ce qu’il faut savoir, c’est que cela n’a un impact ni au niveau microéconomique, ni macroéconomique. Et si Google s’en sort plutôt bien après ce léger gaspillage, on a du mal à voir comment nous aurions pu être touchés à notre tour. Il faut garder en tête également à quel point il est difficile voire impossible d’effectuer un calcul de ce genre. Le chiffre d’affaire a été considéré par le journaliste comme un montant linéaire. Or, Google vend sa publicité à des prix différents en fonction des jours et des heures.

En somme, la panne n’aura coûté qu’une bagatelle au géant américain, qui a réparé la panne au bout d’une minute. Le moteur de recherche et les services affectés ont repris 4 minutes après la réparation…

Test du HTC One Mini

Table des matières

Quelques mois porté par son seul One dans sa série haut de gamme, HTC n’a pas tardé à prévoir une déclinaison “mini” de son terminal phare, tout comme on en attend également une version phablette. Le Taïwanais, fors du succès de son androphone au boîtier métallique, élégant en termes de design mais aussi porté par une interface Sense revue pour l’occasion et par un capteur photo UltraPixel rompant avec l’approche de ses concurrents, récidive avec un HTC One mini. Que vaut cette déclinaison du One dans un format 4,3 pouces ? C’est l’objet de ce test.

HTC One mini

Comparé au One “classique”, le One mini perd quelques précieux millimètres qui le font basculer du côté des terminaux de format moyen, avec une diagonale d’écran de 4,3 pouces. Pour la modique somme de 449 euros, vous trouverez un smartphone aux dimensions accessibles à toutes les mains, puisqu’il mesure 132 x 63,2 x 9,25 mm pour un poids de 122 grammes. Sous son écran HD se cache un processeur double-coeur Qualcomm Snapdragon 400 (contre un S600 chez le One) cadencé à 1,4 GHz et couplé à 1 Go de RAM. A l’intérieur, 16 Go de stockage mais aussi du Bluetooth 4.0, du WiFi 802.11 a/b/g/n, un GPS avec Glonass et une compatibilité avec les réseaux 3G et 4G. Le One Mini compte également un appareil photo UltraPixel de 4 millions de points, à l’instar du One, mais aussi une batterie de 1800 mAh. Le smartphone tourne sous Android 4.2.2 Jelly Bean et embarque l’interface Sense 5. Un vrai mini qui ne lésine ni sur le système Boomsound, ni sur le capteur photo de son ainé.

Caractéristiques

Version Android4.2.2 Jelly Bean
ProcesseurDouble coeur Qualcomm Snapdragon 400 cadencé à 1,4 GHz
RAM1 Go
ROM16 Go
Carte SDNon
Ecran4,3 pouces
Nombre de couleurs16 millions
Résolution1280 x 720
Batterie1800 mAh
Réseau2G/3G/3G+
Réseau 4GOui
CaméraUltraPixel 4,1 mégapixels
Webcam1,6 mégapixel
Taille132 x 63,2 x 9,25 mm
Poids122 g
Branchement secteur et PC/MACmicro-USB
Voyant LEDOui, multicolore
DASNC
ColorisNoir
NFCNon
Prix449 € "nu"

Tour du propriétaire

Pour un Mini, on peut dire que le dernier opus de HTC ressemble presque à s’y méprendre au HTC One. Un peu plus petit il est vrai (132 x 63,2 x 9,25 mm), il est agréablement léger en main avec ses 122 grammes. Une qualité que l’on a tendance à oublier avec la mode des smartphones des très grande taille qui ne peuvent éviter de gagner en embompoint. Le One Mini conserve une coque en aluminium brossé, mais cette fois à une nuance près : HTC a eu l’étrange idée d’ajouter à notre appareil, pourtant élégant dans sa sobriété, un pourtour en plastique blanc qui tranche nettement avec l’aspect métal du reste du téléphone, qui en conséquence perd sérieusement en noblesse. C’est bien dommage, car la qualité de finition est là, et l’assemblage suffisamment bien fait pour que l’arête du smartphone n’accroche pas la main. Cependant, visuellement, c’est décevant.

HTC One mini

En façade, l’écran limite l’espace vide et s’entoure de deux bandes métalliques percés de haut-parleurs ; un choix lié au système sonore BoomSound et qui fait la part belle à rendu stéréo limitant les vibrations. Au-dessus de l’écran, le haut-parleur est entouré des capteurs d’usage, mais aussi d’un capteur BSI de 1,6 mégapixel capable d’enregistrer des vidéos en 720p. Notez qu’une petite LED de notifications est cachée sous le haut-parleur, toujours utile pour ne rater aucune notification, mais un peu petite et se contentant d’une fréquence de clignotement un peu lente.

Alors que le port micro USB se situe sous le terminal, sa tranche supérieure est occupée par une touche power (à gauche) et une prise jack 3,5 mm (à droite). Vous aviez apprécié le port infrarouge du One ? Il est passé à la trappe chez le One Mini, et c’est bien dommage. Sur un smartphone de cette taille, le placement de la touche power à gauche tombe assez naturellement sous l’index, en tout cas plus agréablement que sur le One.

HTC One mini

N’oublions pas que le One Mini ne dispose pas d’une coque amovible ; pour insérer votre carte micro-SIM, il vous faudra le petit outil fourni avec le smartphone ou un simple trombone. Vous pourrez ainsi ouvrir la trappe située sur l’arête gauche du terminal, où fait défaut une seconde trappe : celle qui serait dédiée à une carte microSD.

HTC One mini

Sur la tranche droite, on retrouve les touches de réglage du volume habituelles.

HTC One mini

A l’arrière, on croirait presque avoir affaire à un One premier du nom. Le capteur photo UltraPixel est centré vers le haut de l’appareil, et surplombé d’un flash LED (un Smart Flash à cinq niveaux). L’inscription HTC figure plus en bonne place sur cette coque ornée de deux bandes blanches par ailleurs dédiées à son antenne. Comme toujours, le logo Beats Audio est lui aussi de la partie.

Dans l’ensemble, pas grand chose à redire sur ce smartphone qui limite les concessions (absence de port IR et pourtour plastique), en conservant les qualités de son aîné (finition au cordeau) comme ses limites (mémoire non-extensible et batterie inamovible).

HTC One mini

Écran

Le HTC One Mini dispose d’un écran Super LCD2 de 4,3 pouces, pour une définition HD de 1280 x 720 pixels. C’est sensiblement moins qu’un HTC One classique, lui-même Full HD, mais sur une dalle qui perd 0,4 pouce de diagonale sans oublier une conception en Super LCD 3. Dans les faits, l’affichage est particulièrement agréable, sans cette sensation irritante de percevoir les pixels des icônes dès l’écran d’accueil (environ 342 ppp, ce n’est effectivement pas mal). Notez également qu’il s’agit ici d’une dalle Gorilla Glass 3, la dernière génération de traitement anti-rayures de Corning, qui a su résister à une semaine de cohabitation avec mes clés.

Dans l’ordre, on retrouvera, dans ce comparatif, deux smartphones qHD Super AMOLED que sont les Samsung Galaxy S4 Zoom et Galaxy S4 mini, puis le HTC One mini SLCD2 HD, et pour finir le Sony Xperia L à l’écran TFT de 480 x 854 pixels. Tous ont leur luminosité réglée au maximum.

Lorsque l’on observe le blanc sur ces photos, on perçoit une réelle prédominance du HTC One mini, qui fait preuve d’une belle luminosité, quand les AMOLED sont à la peine. Entre les deux, le Xperia L ne souffre pas trop, sans parvenir à rejoindre le smartphone taïwanais.

HTC One mini

Côté rouges, le Super AMOLED fait son office, produisant des couleurs vives, voire un peu trop ; le One mini se situe dans une moyenne plus naturelle, quand le Xperia L tire vers l’Orange.

HTC One mini

Le vert produit le même type de résultat, jouant en faveur du rendu plus harmonieux d’un One mini. Quant au bleu, il souffre de fuites lumineuses chez le Xperia L, mais est globalement semblables chez les trois autres smartphones.

HTC One mini

HTC One mini

Au final, comme le montre la mire, le HTC One mini n’est pas le meilleur en ce qui concerne les noirs, puisqu’en l’absence de technologie AMOLED, il simule au mieux du noir, quand ses concurrents éteignent tout bonnement leurs pixels. Mais il bénéficie de couleurs harmonieuses, pas trop flashy, pour un rendu finalement homogène et agréable à l’oeil. Au final, on apprécie lors de l’affichage de vidéos ces couleurs, même si, comparativement à la Full HD du One premier du nom, on reste légèrement sur’ sa faim… On peut lire des textes sans zoomer dans le navigateur web, mais il faut toutefois se concentrer un peu. La question ne se pose pas chez un One.

HTC One mini

Logiciel

Comme le HTC One, le One mini est équipé de l’interface Sense 5, cette fois couplée d’office avec Android 4.2.2. On y gagne donc les quelques améliorations apportées par cette dernière version de Jelly Bean, à savoir des widgets sur l’écran de verrouillage, la possibilité de dérouler la barre de notifications à deux doigts afin d’accéder directement à des commandes rapides (toggles), etc. L’écran de veille interactif (avec des dégradés de couleurs seulement, quelle drôle d’idée… gourmande en énergie) fait également son entrée sur le smartphone qui conserve par ailleurs les caractéristiques du One classique.

Interface HTC

On trouve donc chez le One le désormais bien connu BlinkFeed, c’est à dire un flux d’actualités paramétrable en panneau d’accueil. Pour accéder à des panneaux vides et personnalisables, il faudra passer à la page suivante, vers la droite. Et si vous souhaitez revenir en arrière, que faire ? Inutile de cliquer sur la touche de retour, puisque celle-ci ne sera d’aucune utilité. Pour revenir à la première page d’accueil, il faudra cliquer sur le bouton Home.

Notez que l’implémentation des touches de contrôle n’a pas varié d’un iota par rapport au One : elles ne sont pas incluses à l’écran, histoire d’y économiser de l’espace. Une intention louable, mais on reste toujours aussi dubitatif devant le système de commandes à deux boutons choisi par HTC. En effet, il ne faut pas oublier que pour accéder au multitâche, il faudra double-cliquer sur le bouton Home, tandis qu’un appui long sur ce même bouton vous renverra vers Google Now. Ce n’est bien sûr pas rédhibitoire, mais il faut avouer que la pratique n’est pas évidente ; disons qu’en quelques jours, on prend le coup de main, tout en regrettant que le bouton central (rappelez-vous, l’espace situé sous le logo HTC au milieu du smartphone restait tactile, donc potentiellement activable) n’ait pas été affecté à une quelconque commande. HTC est “Here’s To Change”… mais pas trop vite, dirait-on.

De même, la grille 4 x 4 sur laquelle l’utilisateur affichera ses raccourci n’a pas changé. Un peu moins d’espace libre et une ligne d’icônes en plus n’aurait pourtant pas été de refus.

Pour en revenir aux apports logiciels de HTC à proprement parler, on soulignera plusieurs faits. D’abord, on apprécie l’arrivée des commandes rapides dans la surcouche de HTC, qui faisait l’impasse sur la question depuis des années, obligeant l’utilisateur à farfouiller dans ses menus pour activer des commandes toutes simples. Et comme on trouve chez le One mini une interface Sense 5, BlinkFeed est toujours de la partie. Cet agrégateur d’actualités conserve son fonctionnement habituel : il est possible d’y afficher quelques titres de médias pré-sélectionnés par HTC, et d’y ajouter des catégories d’actualités (au hasard, Technologies et sciences… dont fait partie FrAndroid). Mais à l’intérieur de ces catégories, il n’est toujours pas possible de sélectionner le média précis qui vous intéresse. Une petite quinzaine de catégories au total compose l’offre de BlinkFeed ainsi que 17 titres individuels. BlinkFeed permet en outre d’afficher les actualités des réseaux sociaux du mobinautes, incluant Facebook, Flickr, Instagram, LinkedIn, Twitter, mais aussi quelques applis telles que l’Agenda, la Galerie le Mode enfant et Best Deals (recommandations d’offres commerciales de HTC).

Applications ajoutées par HTC

On connaît les sessions restreintes d’Android 4.3, mais en attendant, il existe des modes “enfants” à paramétrer sur les terminaux HTC, un peu à la manière du monde des enfants sur Windows Phone 8, mais pas tout à fait. Il ne s’agit plus tout à fait de laisser accès à une sélection d’applications à l’intérieur du smartphone, mais d’ouvrir une application Mode Enfant fournie par le service Zoodles. A l’intérieur, des applications, des livres dont les parents peuvent en enregistrer la lecture vocale, des outils de dessin… Pour des services Premium, le tout est cependant payant. Les paramètres sont accessibles dans le Menu des Parents (rangé dans le dossier Outils du menu). Pour que l’enfant n’accède pas à l’ensemble du smartphone, il faudra donc continuer à utiliser un code de verrouillage ou un schéma.

Enfants

Par défaut, de nombreuses applications sont présentes dans le smartphone : HTC Watch (service de VoD), TuneIn Radio, une radio FM, 7 Digital, le système de reconnaissance musicale SoundHound, mais aussi un mode Voiture (affichage des icônes en grand format) et bien sûr les réseaux sociaux Facebook et Twitter. Notez que pour le stockage, Dropbox est implémenté d’office au smartphone, avec 25 Go offerts pendant deux ans… Pour compenser les 16 Go de mémoire non-extensible, n’est-ce pas ?

Comme toujours, HTC fait relativement complet mais dans la sobriété. On ne peut qu’apprécier ce choix, même si, pour éviter de scroller pendant des heures, il faudra changer l’affichage de la grille dans le Menu de 3 x 4 à 4 x 5, nettement plus fonctionnel. Pour ceux qui ont télécharger un grand nombre d’applications, il existe une fonction de recherche dans les applis. Et les widgets, de leur côté, se sont fait plus discrets, à l’instar de l’élément horloge/météo, emblématique de la marque, désormais très sobre avec son affiche en blanc sur noir.

Launcher

On envoie des SMS, MMS et emails (presque) plus souvent que l’on ne passe des appels. Le clavier est donc un élément capital. Celui de HTC est clair, avec des touches accessibles à une seule main, ce dont on avait presque perdu l’habitude, en ces temps de smartphones géants ! Vous pouvez choisir d’y afficher des flèches de navigation dans le texte (dans la petite molette de paramètres incorporée au clavier, à gauche de la barre d’espace), mais aussi basculer de l’AZERTY au QWERTY, voire passer à un pavé alphanumérique classique. La fonction swipe est elle aussi disponible dans les options du clavier qui, au demeurant, apprend relativement rapidement vos habitudes de saisie et corrige efficacement les erreurs. Comme toujours, l’accentuation est désactivée par défaut, une hérésie pour ceux qui accordent un minimum d’importance à l’orthographe. Même s’il n’est pas désagréable à utiliser, ce clavier pourra aisément être remplacé par ceux qui souhaitent revenir au clavier Google, voire tout simplement retrouver sur ce terminal leurs habitudes de saisie (voir notre dossier consacré aux claviers alternatifs sur Android). Un aveu, tout de même : à force d’utiliser de grands claviers, en mode portrait, j’ai tendance à multiplier les fautes de frappe. Heureusement que la saisie prédictive est de la partie !

 

Performances

Le One mini n’a rien de décevant, mais il n’offre pas le Snapdragon 600 de son aîné. HTC a en effet opté ici pour un Snapdragon 400, toujours chez Qualcomm, soit du dual-core cadencé à 1,4 GHz et couplé à 1 Go de RAM. Autant dire que le One mini n’est pas fait pour faire tourner des jeux hyper gourmands en ressources, et que sur certains points, il se montre un peu décevant si on le compare à un Samsung Galaxy S4 mini, lui aussi doté d’un Snapdragon 400 (1,7 GHz, légèrement plus que le One mini). On remarquera d’ailleurs qu’il est impossible d’installer un jeu tel que Real Racing 3 sur notre smartphone, alors qu’il est tout à fait accessible sur le terminal de Samsung.

Voici un comparatif des différents benchmarks que nous avons réalisé avec ces deux terminaux “mini” :

 Samsung
Galaxy S4 mini
HTC
One mini
LG
Optimus F5
Linpack Single-Thread168.679 Mflops158.575 Mflops123.103 Mflops
Linpack Multi-Thread385.965 Mflops269.006 Mflops220.768 Mflops
AnTuTu14572 pts11381 pts12050 pts
Quadrant6774 pts6309 pts5804 pts
Nenamark160,0 fps60,4 fps59,9 fps
Nenamark260,0 fps57,3 fps59,9 fps
Epic Citadel
en High Performance
55,0 fps57,5 fps52,2 fps
Epic Citadel
en High Quality
53,6 fps55,3 fps/
Epic Citadel
en Ultra High Quality
47,0 fps29,5 fps/

La puce graphique retenue est quant à elle une Adreno 305. On remarquera, dans ce test, que l’optimisation du One mini n’est pas tout à fait au top. Pourquoi donc ? Sa définition d’écran est HD contre de la qHD chez Samsung, et la cadence de son processeur est inférieure. Autant de raison de plomber des résultats de benchmarks. N’allons pas jusqu’à assurer ici qu’il ne tient pas la route : c’est faux, et au quotidien, nous n’avons pas rencontré de ralentissement, bien au contraire. Par contre dans certains jeux un peu plus gourmands, c’était un peu moins vrai. C’est donc un point à prendre en compte pour ceux qui attachent une importance toute particulière à la puissance. Ceux dont les ambitions “gaming” ne dépassent pas Temple Run & cie n’y verront que du feu, puisque le multitâche ne lui pose aucun problème et que les applications tournent très bien.

Benchmarks

Quadrant à gauche, AnTuTu à droite.

Autonomie

Pas de souci à noter du côté de l’autonomie du One qui, chez nous, a su tenir une journée réglementaire sans encombre. Lors de nos tests, nous n’avons ainsi utilisé que 18 % de la batterie du smartphone pour regarder une vidéo de 50 minutes (en streaming) avec la luminosité comme le son poussés à leur maximum, sachant que le WiFi et la connexion réseau étaient activés.

Communications et son

Le HTC One mini a beau souffrir de certaines lacunes, notamment en termes de puissance brute ou de mémoire, il présente l’indéniable avantage d’être doté d’une connectivité 4G. Comprenez que l’obsolescence n’est pas tout à fait pour tout de suite chez ce smartphone qui, pour un mobinaute dans une zone encore non-couverte en 4G, offre une bonne accroche réseau. On constate au passage une bonne qualité sonore chez ce terminal, auquel des haut-parleurs stéréo en façade (système BoomSound) assurent une puissance sonore notoire pour sa taille. De ce côté, c’est du tout bon. Les autres connectivités sont également de la partie, avec du Bluetooth 4.0, du WiFi 802.11 a/b/g/n ou encore du DLNA. Quid du NFC ? Comme le port infrarouges présent sur le One, voilà un détail qui fait défaut au One mini. Ils fallait bien faire des concessions quelque part, mais mieux vaut en tout cas être prévenu.

Photo et vidéo

Pour la partie théorique, les choses sont simples : le HTC One mini reprend l’essentiel du One, puisqu’il s’offre lui aussi un capteur UltraPixel de 4,1 mégapixels. S’il met l’accent sur la qualité photo dans des conditions de basse luminosité, ce capteur n’atteint pas la précision de ses concurrents qui montent à ce jour jusqu’à 13 mégapixels – mais parfois au prix d’un traitement photo abîmant la qualité finale. Ici, HTC a opté pour un processeur dédié ImageChip 2, associé à ce capteur rétro-éclairé de 1/3″ et des pixels de 2,0 µm. Son objectif 28 mm offre une ouverture à f/2.0.

Photo

Trêve de fiche technique, passons aux faits : avant même de sortir les photos du smartphone, on constate un léger manque de précision dans les clichés obtenus, voire, en plein jour, une petite tendance à la surexposition lorsque le sujet comporte du blanc. Rien de très grave, mais l’UltraPixel s’étant fendu de jolies promesses, on est en droit de s’attendre à mieux. En soirée ou dans la pénombre, le capteur fait mieux, prouve ses atouts théoriques. Au prix d’un certain lissage tout de même, comme le prouve la photo ci-dessous. Avec un terminal de milieu de gamme, on aurait fait face à un bruit nettement plus présent sans flash, ou à une photo surexposée avec. Ici, nul besoin de la lampe (seulement un mode nuit). Un défaut cependant : en plein jour, la surexposition guette souvent, dès qu’il y a du blanc dans une scène.

Photos prises avec le HTC One mini       Voir toutes les galeries

Globalement, on apprécie les résultats, malgré ce manque de détails. Parmi les points forts du One mini, un temps de déclenchement réduit au minimum, des options nombreuses (modes normal, portrait, paysage, arrière-plan éclairé, texte, macro, nuit, HDR et panorama balayé). Pas facile de réaliser un panorama par balayage (quoi qu’ici, je sois à blâmer plus que le smartphone), mais on regrettera l’impasse faite sur le système PhotoSphere de Google. Autre atout de ce capteur photo : Zoe. Un peu inutile en soi, puisqu’il permet de capter trois secondes mouvement à chaque photo, il permet de créer des “HighLights”, ces petits montages vidéo automatiques assemblant les clichés et Zoe relatifs à un même événement. Pour montrer rapidement les photos de son weekend à la campagne à ses proches, finalement, c’est sympa. On peut d’ailleurs partager ces HighLights” en passant par le système HTC Share, qui revient finalement à partager un lien sur les réseaux sociaux renvoyant vers une vidéo stockée sur les serveurs de HTC. Pourquoi pas.

Et en vidéo ? L’UltraPixel perd un système de stabilisation qui n’était pas inutile. Ceci étant, la Full HD est de bonne facture, sans trop de variations de couleurs.

Lien Youtube

Notre Verdict

autonomie Pas mal, ce petit One. Une batterie de 1800 mAh n'est pas énorme pour un terminal avec écran HD, mais elle suffit à tenir une journée d'utilisation, sans plus. C'est là le cruel compromis à faire lorsque l'on souhaite aboutir à un smartphone compact et léger : il n'y a plus de place pour la batterie. A quand un mini avec une autonomie record ? 7 caméra HTC a choisi de conserver l'UltraPixel inclus au One, mais fait l'impasse sur la stabilisation optique, risquant au passage des photos floues. Mais de nuit ou dans la pénombre, on obtient un niveau de détails que la concurrence ne peut proposer, et c'est appréciable. Une qualité similaire reste difficile à trouver chez des smartphones de milieu de gamme. 7 design Nous avions adoré le design du One, et le One mini assure presque autant : on pourra lui reprocher ses tranches en plastique, mais sinon, il propose de l'aluminium en façade comme au dos, pour un rendu élégant et bien fini. Le smartphone tient bien en main, est léger, et joli : que demander de plus ? (un port infrarouge et du NFC, peut-être). 8 logiciel La partie logicielle du HTC One mini ressemble en tous points à celle du One, si ce n'est qu'elle bénéficie d'emblée d'Android 4.2.2. BlinkFeed, toujours compliqué à réellement personnaliser, Zoe et consorts sont de la partie, inclus à Sense 5. Du réussi, avec des toggles ajoutés à la barre de notifications, mais toujours sans PhotoSphere. 9 performances Le One mini n'a rien d'un foudre de guerre, mais suffit à faire tourner la très large majorité des applications du Store. Il souffre de benchmarks légèrement en deçà de nos attentes, à pondérer par son écran HD qui fait baisser ses résultats. 7 écran Avec un écran HD d'une résolution de 342 ppp environ, le One mini affiche l'un des plus beaux scores du marché. Le résultat est joli à l'usage, lumineux, avec des couleurs homogènes : du tout bon ! 9 10Meilleure note Notre avis 08/10 Pour un premier mini, HTC a limité les compromis, et c'est d'abord ce que l'on apprécie. Le format tient bien en main, donne une impression de solidité. Il est élégant, suffisamment pour un milieu de gamme, dispose d'une autonomie correcte... Beaucoup de bons points à tempérer tout de même, puisqu'il faut se passer d'une mémoire extensible, et que l'appareil UltraPixel, sans stabilisation, risque souvent le flou.
Vaut-il mieux que le Samsung Galaxy S4 mini ? Tout dépend des points de vue. Si vous cherchez un peu plus de puissance, Samsung l'emporte. Mais si c'est la qualité de l'écran et la finition de votre smartphone qui vous importe, HTC remportera certainement vos faveurs.
autonomie 07 caméra 07 design 08 logiciel 09 performances 07 écran 09
  • Ecran HD de 4,3 pouces
  • Design élégant et finition robuste
  • Même capteur que sur le One
  • Interface logicielle complète
Pour Contre
  • Mémoire de 16 Go non-extensible
  • Pas de NFC
  • Pas de stabilisation optique
  • Prix un peu élevé
  • Pas de port IR

Disponibilité

Le HTC One mini n’est pas encore disponible. Il sortira d’ici la fin du mois d’août au prix indicatif de 449 euros.

Facebook Home : une mise à jour pour contrôler sa musique depuis l’écran de verrouillage

La version Bêta de Facebook Home a été mise à jour et offre quelques nouvelles fonctionnalités. Grâce à cette version, les utilisateurs de Facebook Home pourront désormais contrôler la musique depuis leur écran de verrouillage.

Facebook_Home

L’application Facebook se refait une beauté. S’il ne s’agit pour l’instant que d’une version bêta testée par un groupe d’utilisateurs volontaires, elle permettra à ceux ayant choisi l’interface Facebook Home de contrôler leur musique depuis l’écran de verrouillage. Il sera possible de gérer des services tels que Spotify, Play Music ou encore Pandora depuis l’accueil de l’interface Home. S’il s’agit bien d’une amélioration pour l’interface mobile de Facebook, plusieurs constructeurs ont déjà rendu cette option possible dans leur surcouche.

Facebook Home

Au mois d’avril, alors que des rumeurs couraient sur le lancement d’un “Facebook Phone”, Mark Zuckerberg avait dévoilé la nouvelle interface du réseau social sur mobile, baptisée Facebook Home. Cette “surcouche” a été conçue pour faciliter l’accès de l’application à ses utilisateurs les plus actifs mais aussi au service Messenger ainsi qu’à Instagram.

L’interface ne parvient pourtant pas encore à séduire les foules. La firme revendiquait un million de téléchargements au mois de mai, un chiffre non-négligeable qui le devient pourtant lorsqu’on le compare au nombre d’utilisateurs de l’application mobile.

Au moment de l’annonce de Facebook Home, le réseau social au milliard d’utilisateurs avait également lancé le premier téléphone équipé de l’interface en pré-installation. Il s’agit du First produit par HTC, déjà commercialisé aux Etats-Unis. Mais ses très faibles ventes outre-Atlantique auraient poussé la firme à retarder la sortie du terminal en Europe. D’après le site d’actualité high-tech The Verge, Facebook souhaite d’abord améliorer son interface Home avant de sortir ce modèle sur d’autres marchés.

Outre ce téléphone spécialement conçu pour accueillir l’interface, d’autres modèles tournant sous Android ont accès à Facebook Home en téléchargement libre sur le Play Store. Parmi eux, on retrouve le HTC One, le One X et le One X+, mais aussi les Galaxy S III, Galaxy S4 et Galaxy Note II de Samsung ainsi que le Google Nexus 4.

Facebook Home
Facebook

Avec Facebook Home, vos amis sont au cœur de votre téléphone. Remplacez votre écran d’accueil standard par un flux continu de publications et de photos d’amis. Accédez aux applications en un glissement de doigt : faites glisser votre photo de profil vers le haut pour ouvrir le lanceur d’applications. Lorsque...

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SwiftKey 4.2 : la mise à jour intègre « Swiftkey Cloud »

Pour ceux qui l’utilisent, vous serez certainement ravis d’apprendre qu’une nouvelle version de SwiftKey 4.2 est disponible en téléchargement sur le Play Store avec l’intégration de nouvelles fonctionnalités, dont notamment « Swiftkey Cloud ».

android swiftkey cloud swiftkey 4.2

Si vous êtes un amateur de claviers virtuels, vous utilisez certainement ou avez déjà utilisé SwiftKey, l’un des concurrents directs à Swype. Quoi qu’il en soit, une nouvelle mise à jour incluant la version finale de SwiftKey Cloud (pour sauvegarder son dictionnaire) qui était jusqu’à alors disponible en version bêta, en plus de pouvoir désormais profiter d’une prévision de frappe encore meilleure et d’autres fonctionnalités assez intéressantes.

En détail, voici les nouveautés :

  • SwiftKey Cloud : fonctions “Sauvegarde et Synchronisation”, “Phrases Tendances” et nouvelles sources de personnalisation pour une meilleure expérience avec SwiftKey
  • Meilleures prédictions contextuelles basées sur le contexte du clavier
  • Clavier s’adaptant mieux : reconnait plus d’actions spécifiques, comme l’utilisation de ponctuation et touche suppr. et inclut cette information dans les prédictions
  • Nouveaux réglages pour les claviers à touches : ajout des réglages de barre d’espace et de ponctuation

Téléchargement

Le clavier virtuel Swifkey 4.2 est disponible sur smartphone et tablette en versions d’essai et payantes :

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Google Play Services passe en version 3.2

Google vient de l’annoncer : le déploiement de la dernière version des Google Play Services est désormais achevé partout dans le monde. Au programme, de meilleures performances et une consommation d’énergie amoindrie.

Google Play Services

Les Google Play Services aujourd’hui mis à jour, selon Google, dans le monde entier, concernent les appareils tournant au minimum sous Android 2.2, soit la version FroYo de l’OS, et permettent d’ajouter aux appareils Android de nouvelles fonctionnalités.

Les nouveautés incluses à Google Play Services 3.2 et à destination des développeurs sont multiples :

  • Amélioration des services géolocalisés : le Fused Location Provider autorise la sélection d’un mode basse consommation pour mettre à jour la localisation, et peut maintenant recevoir des fausses localisations pour faciliter le travail des développeurs.
  • Les appareils intégrant une puce GPS supportant le geofencing (ex : le Nexus 4) pourront utiliser cette fonctionnalité et consommeront moins de batterie.
  • Un mode Snapshot (instantané) est disponible pour l’API de Maps et retourne une image si aucune interaction n’est utile (d’où une amélioration des performances).
  • Simplification du contrôle du partage sur Google+ qui peut être inclus directement à l’application ; l’animation à la connexion dans Google+ est plus fluide.
  • La visualisation dans Photo Sphere  a été améliorée pour inclure un mode boussole qui permet aux utilisateurs d’explorer des Photo Spheres en bougeant leur téléphone.
  • Amélioration de l’implémentation d’InstantBuy avec une interface utilisateur simplifiée avec des informations contextuelles.

Afin que les développeurs puissent essayer ces nouveautés, l’image “Google APIs” d’Android 4.3 a été mise à jour. Elle est téléchargeable depuis le traditionnel Android SDK Manager.

La liste des API disponibles via les Google Play Services en version 3.2 est disponible à cette adresse.

EA et Mythic Studio associés pour porter Dungeon Keeper sur Android

La vague du retrogaming sur Android marche plutôt bien, et les éditeurs de jeux se font un plaisir d’en profiter, comme Square Enix avec Final Fantasy. Mais d’ici la fin de l’année, c’est un classique d’un autre genre qui revient sur Android : Dungeon Keeper et son humour décalé.

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Dungeon Keeper est un licence datant de 1997. L’éditeur était EA, et celui-ci décide de ressortir la licence des placards, avec Mythic au développement. Pour la petite histoire, Dungeon Keeper a été développé à l’origine par Bullfrog, studio également à l’origine de Populous, Theme Park, Theme Hospital ou encore Syndicate. Plusieurs des licences les plus célèbres des jeux de gestions moitié simulations, moitié humour permanent.

Dungeon Keeper est pleinement dans cette veine, et les gags à la pelle s’enchaînent. Le principe est en soi source de beaucoup d’humour, car ce jeu prend à contrepied tous les jeux d’aventure classiques à la Dungeons & Dragons. En effet, vous y contrôlez le grand méchant, et à l’aide de sbires (forcément idiots), de pièges (forcément déjantés) et de monstres (forcément incapables), vous devez réussir à défendre le coeur de votre donjon contre les aventuriers, justement. Cela a donné naissance à un nouveau style à part entière, et la plupart des jeux de ce genre qui ont suivi ont été désignés comme “dungeon keeper like”.

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Graphiquement, le jeu sur Android reprendra les grandes lignes de l’original mais avec juste ce qui faut de changement pour lisser et moderniser le tout. Pas sûr que cela plaise aux nostalgiques, mais ces apports rendront le jeu plus agréable aux yeux des mobinautes qui ne connaissent pas l’original.

Autre point important : le jeu est présenté comme un free to play avec des achats in-app. De quoi faire hérisser le poil à certains, d’autant qu’il est aussi annoncé que le jeu incorporera quelques nouveautés à vocation sociale. On ne peut rien en affirmer à l’avance, mais espérons pour ceux qui ont connu l’original que le jeu ne sera pas dénaturé. Dungeon Keeper pour Android est en tout cas annoncé pour la fin de l’année 2013.

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Helpouts, le service de partage des compétences de Google est officiel

Google officialise son service Helpouts, qui permettra aux internautes à travers le monde de partager et monétiser leurs compétences.

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Envie d’apprendre à préparer une Moussaka? Demandez à un cuisinier grec. Aujourd’hui, la monétisation des compétences arrive chez Google. Le service Helpouts, dont nous vous parlions il y a quelques semaines, fait officiellement son entrée parmi les services de la firme de Mountain View, mais n’est toujours pas actif. il s’agit d’un service qui permet à des personnes de partager leur expertise dans plusieurs domaines avec des personnes partout dans le monde.

Pour accéder au service, il faudra créer un compte et informer Google de vos compétences techniques. Les personnes qui auront besoin de votre aide entreront ensuite en contact avec vous via Hangouts, le service de chat vidéo de l’entreprise. Helpouts sera intégré à Google+ et utilisera Google Wallet pour les paiements. Google indique cependant qu’il prendra 20 % de la rémunération mais ajoute qu’en cas de non satisfaction, un remboursement de 100 % de la somme dépensée est garanti.

Helpouts, qui est actuellement en cours de construction, envoie d’ores et déjà des invitations à quelques privilégiés afin qu’ils soient prêts le jour du déploiement du service. L’application sera disponible sur ordinateurs, Android et iOS.

Capture d’écran 2013-08-21 à 11.51.50

Si vous souhaitez rejoindre cette communauté, vous pouvez vous aussi vous inscrire sur le site afin de recevoir une invitation de la part de Google. A noter que l’idée n’est pas nouvelle. Des services similaires existent depuis quelques temps, à l’instar du site 5euros.com, une communauté qui offre des aides de toutes natures.