lundi 19 août 2013

Test des oreillettes intra-auriculaires Razer Hammerhead Pro

Review of: Razer Hammerhead Pro
Oreillettes intra-auriculaire Razer:
Tony Balt
Price:
69,99 €

Reviewed by:
Rating:
3
On 17 août 2013Last modified:19 août 2013

Summary:

Pendant quelques jours, nous avons eu l’occasion d’essayer le Razer Hammerhead Pro, des oreillettes intra-auriculaires destinées aux joueurs sur smartphones, mais aussi tablettes et ordinateurs (PC/Mac).

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Si vous ne connaissiez pas Razer, il s’agit d’une entreprise fondée en 1998 par une équipe d’ingénieurs marketing qui avait pour objectif de développer et commercialiser la première souris haut de gamme avec une résolution optique de 2000 dpi. Il faut également savoir que Razer fut l’une des premières entreprises à avoir contribué à l’émergence du pro-gaming, en faisant remporter des prix à des joueurs et des teams lors des premiers tournois Counterstrike il y a plusieurs années. Aujourd’hui, Razer est devenue une société qui se veut proche de la communauté et qui co-développe sa gamme de produits avec la communauté.

 

Fiche technique

Informations générales

  • Corps en aluminium léger
  • Isolation phonique passive avancée
  • Embouts auriculaires interchangeables avec doubles brides
  • Haut-parleurs puissants pour une fidélité sonore de haut niveau et des basses élevées
  • Compatible avec iPhone, Android et appareils portables
  • Microphone omnidirectionnel
  • Adaptateur séparateur Audio/Micro pour connexion PC

Écouteurs

  • Réponse en fréquence : 20 – 20 000 Hz
  • Impédance : 16 Ω à 1 kHz
  • Sensibilité (@1 kHz, 1 V/Pa) : 106 ± 3 dB à 1 kHz Max
  • Puissance d’entrée : 1 mW @ 126 mV
  • Haut-parleurs : 9 mm, avec aimants en néodyme
  • Longueur de câble : 1,3 m / 4,27 ft. + adaptateur séparateur 2 m / 6,6 ft.
  • Poids approximatif : 12.5 g / 0.03 lbs.
  • Connecteur : prise jack combinée analogique 3,5 mm (écouteurs et micro)

Microphone

  • Réponse en fréquence : 300 – 3 000 Hz
  • Rapport signal/bruit : 55 dB
  • Sensibilité (@1 kHz, 1 V/Pa) : -40 ± 4 dB
  • Directivité : omnidirectionnelle

Compatibilité

  • Les écouteurs et le microphone fonctionnent tous les smartphones Android, tous les ordinateurs portables et ordinateurs fixes disposant d’une double entrée/sortie écouteurs/micro, ainsi qu’avec l’iPod, l’iPhone, l’iPad, et la Kindle Fire.

 

Prise en main

Rares sont les oreillettes intra-auriculaires qui peuvent se vanter (même si elles ne le peuvent pas) d’avoir tenu dans mes oreilles. Jusqu’à ce jour, tous les intras que j’ai pu essayer ou acheter ne tenaient tout simplement pas.

Que je tourne, incline ou penche la tête sur le côté, les écouteurs intra-auriculaire que j’ai eus ne cessaient de glisser des oreilles en permanence. Oui, c’est énervant. Dernièrement, c’était encore le cas des intras de marques Samsung ou encore Alcatel.

Maintenant, parlons des Razer Hammerhead Pro ! Et pour les avoir essayés pendant plusieurs jours, je dois tout de même dire que j’ai été bluffé par la qualité sonore, même si les basses demeurent tout de même assez intenses. Je ne pensais pas que de si petits écouteurs pouvaient offrir une telle étanchéité au monde extérieur.

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En termes d’isolation aux bruits environnants, on pourrait presque le comparer à un casque gaming Asus Vulcan PRO qui, pour atteindre une telle étanchéité, doit activer la réduction active du bruit avec la pile. Ici, nul besoin d’activer quoi que ce soit. Il suffit simplement de le mettre dans les oreilles pour filtrer les bruits extérieurs. Pour vous donner un ordre d’idée, l’Hammerhead Pro filtre environ 75% des bruits extérieurs avec le volume à 40%.

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Au quotidien, il faut dire que les oreillettes sont relativement légères pour 12,5 grammes, mais le fil est tout de même un peu long avec 1,3 mètres de câble. En ce qui concerne sa solidité, le fil a une certaine, et peut-être même une trop grande finesse, cependant tous les coins sensibles sont protégés par un aluminium brossé d’une finition très correcte.

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En plus d’être présente sur les écouteurs, on retrouve également cette conception en aluminium sur le microphone. Sur l’autre face du micro, on aperçoit également un bouton d’interaction qui permet de décrocher et raccrocher, et ainsi d’utiliser les oreillettes comme kit mains libres. Hélas, il se dispense de boutons de gestion de volume. Un point noir.

Pour continuer sur la conception en aluminium brossé, on peut également la retrouver au niveau de l’intersection des deux fils des écouteurs. Il faut tout de même savoir que le seul le contour du séparateur est en aluminium, tandis que l’intérieur est en plastique. Ce n’est pas vraiment grave, l’aluminium est là pour renforcer a structure et réduire les chances de casse.

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En plus d’être destiné à plusieurs utilisations (kit mains libres, jeux mobiles et écoute de musiques), le Razer Hammerhead Pro peut également être utilisé sur un ordinateur portable ou fixe qui embarque une sortie audio et une entrée microphone. De ce fait, vous pourrez utiliser les oreillettes dans les jeux ou pour dialoguer sur Skype.

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Accessoires

En plus des doubles brides, Razer fournit également trois embouts interchangeables.

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Ce sont trois paires pour six embouts au total, afin de s’adapter au mieux aux oreilles, même si les doubles brides originales restent les meilleures en termes d’isolation et immersion sonore.

Tout cela s’accompagne d’une pochette de transport que l’on peut placer dans une poche de pantalon ou dans un sac à dos.

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Conclusion

Notre avis 07/10 Pour les amateurs de basses, la gamme d'oreillettes intra-auriculaires Razer Hammerhead et Razer Hammerhead Pro est sûrement adaptée. À chaud, j'ai moi-même été convaincu par la finition et la qualité générale du produit lors mes essais, que ce soit lors de l'écoute de musiques, en jeux et en communication téléphonique.
Toutefois, il faut prendre en compte que ce type d'oreillettes est réservé à un certain public avec une apparence un peu geek et aux couleurs de la marque Razer. Pour conclure, vous pourrez profiter d'une suite d'accessoires utiles tels que des embouts supplémentaires (3 paires au total) et une pochette de rangement discrète et utile, mais pour un prix relativement élevé.
  • Conception en aluminium brossé
  • isolation phonique excellente
  • Embouts auriculaires interchangeables avec 3 autres paires
  • Adaptateur avec double sortie (audio/micro) pour PC/Mac
Pour Contre
  • Finesse du câble
  • Aucune gestion du volume
  • Prix de vente trop élevé
  • Basses peut-être trop accentuées, mais réglables par le biais d'un égaliseur sur Mobile/PC/Mac

Disponibilité

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Les oreillettes intra-auriculaire Razer est disponible en deux modèles :

  • Razer Hammerhead standard (sans micro) à 49,99 euros
  • Razer Hammerhead Pro (avec micro) à 69,99 euros

vendredi 16 août 2013

Sony Honami : quelques photos avant son annonce officielle

Le Sony Honami a nourri la catégorie “Rumeurs” tout l’été. Il faut dire que le prochain flagship de Sony promet d’être à la hauteur des meilleurs smartphones Android. Voici quelques photos “fuitées” du “Honami” a côté de l’iPhone 5.

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“Honami”, c’est son petit nom de code. Nous ne connaissons ni son nom officiel, ni sa date d’annonce officielle. Néanmoins, le “Honami” a de grandes chances d’être présenté au salon IFA (Berlin) au début du mois de septembre lors d’une conférence prévue le 4 septembre. Pour rappel, Sony a présenté le Xperia Z au CES 2013, puis le Xperia Z Ultra au cours du mois de juin.

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Le “Honami” serait la nouvelle version du “Xperia Z” avec un capteur Exmor RS de 20 mégapixels, un processeur Qualcomm Snapdragon 800, 2 Go de mémoire RAM, une batterie de 3000 mAh et un écran de 5 pouces en définition 1080p (FullHD).

Ce capteur d’une taille de 1/2.3″ et d’une définition de 20 mégapixels serait une merveille technologique, capable de monter à une sensibilité de 12800 isos. Il pourrait capturer des vidéos en 4K. Nous savions déjà la plupart de ces informations début juillet, néanmoins les photos “volées” étaient encore très rares.

Rendez-vous le 4 septembre prochain…

jeudi 15 août 2013

Tuto : Ne perdez plus vos numéros de téléphone

Vous avez perdu ou vous êtes fait voler votre téléphone pour la énième fois. Situation ennuyeuse, qui vous contraint à publier le fameux statut Facebook “Téléphone perdu, envoyez-moi vos numéros en MP” et pendant quelques semaines, il vous faut répondre aux SMS que vous recevez par d’impolies formules du type “désolé, mais c’est qui ?”. Bref, voici quelques petites contrariétés que vous pouvez éviter en sauvegardant vos contacts. Même si la plupart d’entre vous l’a déjà fait, voilà une rapide piqûre de rappel pour les quelques irréductibles têtus et/ou flemmards qui seraient passés à côté de ces dispositifs. Aujourd’hui, un mobinaute équipé d’un androphone, voire d’un terminal doté d’un autre OS, ne doit plus perdre son répertoire !

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Synchronisez vos contacts à votre compte Gmail

Pour les utilisateurs de smartphones Android, il s’agit de la solution idéale. A priori vous avez un compte Google et donc une adresse Gmail. Et là, miracle, vous pouvez copier vos numéros sur votre compte Google grâce au Cloud de Google qui stocke vos données. Grâce à cela, accédez à vos contacts à partir de n’importe quel terminal doté d’une connexion Internet, et ce, où que vous soyez dans le monde. Si vous n’utilisez votre smartphone qu’en 2G au quotidien, réalisez la manipulation en WiFi.

Pour ce faire, allez dans Contacts puis dans Réglages ou Paramètres.

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Puis, rendez-vous dans Comptes et Synchro ou dans Synchro des Données suivant le modèle que vous avez. 

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Ensuite dans l’option Gérer les comptes, tapez votre adresse Gmail ou si besoin vous pouvez même ajouter un nouveau compte en passant par Ajouter un compte.

Voilà une manoeuvre de quelques secondes qui vous permet de sauvegarder vos numéros de téléphone en cas de perte ou de vol de votre smartphone.

À noter qu’en principe, dès le premier usage de votre téléphone, une synchronisation automatique permet de sauvegarder vos contacts directement sur votre compte Google. Lorsque vous enregistrez un nouveau contact, pensez à choisir de l’enregistrer dans votre compte Google plutôt que sur votre SIM !

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Pour avoir accès à votre liste de contacts depuis un ordinateur, vous devez vous rendre sur votre compte Gmail et cliquer sur l’onglet Contacts.

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Les dispositifs de sauvegarde des opérateurs

Orange propose son propre service de sauvegarde mobile accessible sur le site Orange.fr via Mail & Cloud puis Sauvegarde Mobile. 

Pour l’utiliser, il vous faut télécharger l’application Sauvegarde Mobile qui vous permettra de stocker vos contacts , mais aussi vos SMS et vos éléments multimédia.

La synchronisation s’effectue d’abord sur le réseau 3G. Rendez-vous sur l’application mobile d’Orange puis appuyez sur Sauvegarder (1). Vous avez ensuite le choix de sauver vos contacts et/ou vos SMS. En revanche, pour stocker vos contenus mutimédias, vous devez obligatoirement vous connecter en Wi-Fi.

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Si vous avez stocké certaines données depuis Orange.fr, vous pouvez les importer sur votre mobile grâce à l’onglet Récupérer (2). Enfin, la touche Paramètres vous permet d’accéder à une option de Planification de sauvegarde. Vous pouvez ainsi choisir la fréquence des sauvegarde lancée automatiquement par le service.

De son côté, SFR propose SFR contacts, qui offre grosso modo les mêmes fonctionnalités de sauvegarde des contacts. Pour ce faire, il vous suffit de vous créer un compte SFR (en vous créant une adresse mail @sfr.fr).

Là aussi, vous pouvez sauvegarder votre répertoire SIM sur contacts mobiles mais cette fois-ci pour 0,50 centimes d’euros. Pour cela, rendez-vous sur Service SFR, puis c’est répertoire SIM et synchroniser. Cependant, la démarche diffère selon le modèle de votre téléphone. Si vous ne parvenez pas à faire cette opération, vous pouvez consulter le mode d’emploi des modèles vendus par SFR pour vous guider pas à pas. Vos contacts seront ainsi stocker sur sfr.fr sur le service SFR sauvegarde mobile.

Cette option existe aussi chez Bouygues Telecom et s’appelle “Mon Espace Synchro“. Le service de l’opérateur propose la même fonction de stockage en ligne des contacts que ses concurrents.

Lier ses contacts de réseaux sociaux à son répertoire

Il est également possible de rassembler ses contacts Gmail et ses contacts Facebook (voire plusieurs comptes Gmail ou autres comptes email) dans son répertoire. En général, cela est directement proposé par le téléphone. En principe, en installant l’application Facebook, il est demandé à l’utilisateur s’il souhaite synchroniser ses contacts. Autorisez la manipulation si votre smartphone vous le propose, cela vous évitera les doublons dans votre liste de contacts ! Et les photos Facebook de vos contacts apparaîtront dans votre répertoire… mais seulement sur le smartphone sur lequel vous réalisez l’opération.

Les meilleures applis pour observer les étoiles tout l’été

Table des matières

Après les nuits des étoiles, qui ont eu lieu le week-end dernier, pourquoi ne pas se pencher d’un peu plus près sur l’astronomie et ses mystères ? D’autant que la saison estivale et les belles nuits étoilées qu’elle nous offre s’y prêtent particulièrement. Dans ce dossier, nous vous proposons ainsi de découvrir quelques unes des principales applications du Play Store consacrées à l’observation des étoiles. Grâce à ces différents outils, vous pourrez vous repérer dans le ciel à travers la caméra de votre terminal et enfin savoir où se trouvent et comment se nomment les astres. Que ce soit pour séduire votre dulcinée, pour expliquer à vos enfants ce qu’est l’étoile du berger, ou tout simplement pour savoir où est cette fichue casserole qu’on a maintes et maintes fois essayé de vous faire voir, ces applications vous permettront d’acquérir quelques fondamentaux en astronomie !

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Google Sky Map

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Google Sky Map est une application gratuite qui vous permet de suivre les constellations avec les mouvements de votre smartphone ou tablette. Un bon début donc si vous souhaitez vous initier aux joies de l’astronomie. Vous pouvez également rechercher l’astre qui vous intéresse, et cette carte des étoiles virtuelle vous indiquera sa position.

Lien Youtube

Sky Map
Sky Map Devs

Open source et offert par Google.Mots clés : planétarium, astronomie, carte du cielAccédez également à l'adresse suivante : http://goo.gl/XWjRg (Google Plus)http://groups.google.com/group/google-sky-maphttp://twitter.com/skymapdevsMots-clés: planétarium, l'astronomie, skymap ...

Télécharger Free Disponible sur Google Play

SkEye

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Là aussi il s’agit d’une carte du ciel, mais elle diffère de l’application de Google sur quelques points. Cet outil vous permet de suivre les planètes, les étoiles, les constellations et tous les “objets” référencés dans les catalogues Messier et ainsi qu’un extrait du NGC. Vous pouvez observer le ciel à différentes époques, mais aussi connaître les coordonnées à chaque moment qui s’affiche en haut à gauche de votre écran. Comme sur Skymap, vous avez la possibilité de rechercher un planète ou un astre que le logiciel vous aidera à retrouver en vous indiquant dans quelle direction bouger votre tablette ou votre smartphone. Enfin, l’application dispose d’une fonction qui vous aide à utiliser votre télescope au mieux par rapport à ce que vous désirez observer.

SkEye | Astronomy
Harshad RJ

SkEye is an advanced Planetarium that can also be used as a PUSHTO guide for telescopes.Ever been on a camping trip and wondered what objects are up in the sky? Now you can get familiar with Astronomy by identifying stars, constellations and deep sky objects from the Messier and NGC...

Télécharger Free Disponible sur Google Play

Carte du ciel

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Carte du Ciel est une application payante qui vous donne accès à une carte des astres et des planètes. Vous n’avez qu’à lever votre appareil, pointer l’étoile qui vous intéresse pour en apprendre un peu plus sur ce petit point brillant. Efficace le jour comme la nuit, ce logiciel vous offre l’accès à la carte céleste de plus 5000 étoiles, de toutes les planètes de notre système solaire et de ses 88 constellations. Vous pouvez aussi observer le ciel tel qu’il est visible pour les habitants de l’hémisphère sud. Pour vous procurer cette application, comptez 3,45 euros sur le Play Store.

Lien Youtube

Carte du Ciel
Escapist Games Limited

Impossible de voir la lune? Vous voulez savoir où est-elle? Regardez dans les yeux de votre appareil Android pour ouvrir une fenêtre virtuelle dans tout l'univers visible.

En utilisant le mieux de la technologie GPS, un univers en 3D de haute précision, et tous les éléments de haute technologie qui propose...

Télécharger 3,45 € Disponible sur Google Play

Star Odyssey

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Star Odyssey est une application gratuite qui vous donne tout un panel d’informations sur l’astronomie. En l’installant sur votre terminal, vous pourrez découvrir plus de 70 étoiles, mais aussi la prononciation exacte des astres ainsi que leur étymologie. Star Odyssey vous donne aussi la brillance et la distance à laquelle se trouve l’étoile et d’autres informations dignes d’intérêt. Voilà une application qui devrait donc vous en apprendre sur l’astronomie. Néanmoins, cet outil nécessite de connaître l’anglais, au moins un minimum, puisqu’elle n’a pas encore été traduite en français.

À noter, enfin, que cette application peut être utilisée avec SkEye afin de localiser les différents astres.

Star Odyssey
randyl

Ever used Google Sky Map to identify a star, but wanted to know more than just the star's name? Star Odyssey fills that gap. It includes:* Over 70 of the brightest stars in the night sky* Pronunciation guides (it's not obvious how to pronounce many star names)* Origin of the...

Télécharger Free Disponible sur Google Play

What’s In My Sky

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Après avoir entré la latitude et la longitude de votre ville, What’s In My Sky vous indique tous les astres observables juste au-dessus de votre tête. L’application vous offre aussi la possibilité de planifier à l’avance votre nuit d’observation des étoiles en indiquant l’heure et le lieu de votre séance. Pour avoir accès à cet outil, vous n’aurez qu’à dépenser 0,79 euros sur le Play Store.

Cette liste d’applications ne représente évidemment qu’un échantillon de tout ce qui existe sur le Play Store sur ce sujet, et a donc valeur de proposition. Si vous avez d’autres applications à nous suggérer, n’hésitez pas à nous en faire part dans vos commentaires !

Test du bracelet Jawbone UP

Un bracelet connecté… mais qu’est ce que c’est encore que ce gadget ? J’ai beau être technophile et m’intéresser à tout ce qui touche aux objets connectés, j’avoue ne pas avoir été attiré aux premiers abords par les bracelets connectés. Sans affichage, équipés seulement d’un accéléromètre et d’une boussole, la plupart de ces bracelets ne sont que de vulgaires podomètres qui se connectent à un smartphone ou une tablette. Fitbit Flex, Nike FuelBand, Withings Pulse ou encore Jawbone UP. De nombreux acteurs se sont lancés dans l’aventure, et ça marche. Pourquoi ?

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Le mois dernier, j’ai soufflé – comme chaque année – une nouvelle bougie. Un événement que je n’attends pas particulièrement mais qui est toujours l’occasion de voir ses amis et sa famille. Justement, mes amis m’avaient réservé une surprise de taille avec un cadeau : un Jawbone UP. Étant donné que je n’avais pas eu le temps de réclamer des exemplaires de tests aux marques, et que mes finances n’avaient pas prévu ce type de dépenses, on peut dire que l’occasion était parfaite. Pourquoi je vous raconte ma vie ? Car justement, le Jawbone UP se greffe à votre vie en agrégeant toutes les données qu’il peut. Jawbone avait raté son premier essai, la marque a eu la chance de développer un second modèle. Raison de plus de l’essayer.

Bracelet UP

Bracelet UP

Alors qu’est ce que c’est que le Jawbone UP ? Il s’agit d’un assistant de vie composé d’un bracelet au design attrayant et d’une application Android (et iOS). Comme je l’ai dit plus tôt, le bracelet est tout ce qu’il y a de plus simple, résistant aux éclaboussures et à l’eau, il est composé d’un petit circuit, d’un accéléromètre et certainement d’une boussole, d’un témoin lumineux, d’un bouton, d’une petite batterie (qui permet au UP de tenir 10 jours) et d’une prise jack 3,5 mm. Pas de GPS ni d’affichage. Il existe trois tailles de bracelet en fonction de l’épaisseur de votre poignet. Jusqu’à là, ça va.

Prise jack 3,5 mm pour recharger et synchroniser le UP

Prise jack 3,5 mm pour recharger et synchroniser le UP

L’application est bien plus intéressante que le bracelet… Elle permet de synchroniser les données – en branchant le UP quelques secondes sur votre port casque, notez qu’il n’y aucune capacité de téléchargement sans fil. Les données sont stockées sur les serveurs de Jawbone et agrégées à votre compte personnel.

UP by Jawbone
Jawbone

*** UN BRACELET EST NÉCESSAIRE POUR UTILISER CETTE APPLICATION ***UP est un système qui combine un bracelet et une application, et suit votre sommeil, vos mouvements et votre alimentation 7j/7 et 24h/24 afin que vous puissiez mieux vous connaître, prendre de meilleures décisions et vous sentir au mieux de votre...

Télécharger Free Disponible sur Google Play Le Jawbone UP recharge en USB

Le Jawbone UP recharge en USB

Jawbone UP doit vous permettre d’avoir une vue d’ensemble de votre “qualité de vie” à travers plusieurs critères. Premièrement, le bracelet évalue votre niveau d’activité et votre qualité de sommeil, et comme tout podomètre qui se respecte, il enregistre vos mouvements. Vous allez pouvoir savoir si vous avez suffisamment bougé dans la journée en fonction de votre poids, de votre taille et de votre âge. Il analyse également votre sommeil, en activant le mode “sommeil” (long appui sur une touche du bracelet), il peut savoir si vous êtes endormi, en sommeil léger et en sommeil profond.

Vous pouvez ainsi lui programmer un réveil. Par exemple, “je dois me réveiller entre 7h et 7h30″, le bracelet va analyser mon sommeil et me réveillera au moment où cela devrait être le plus facile pour moi. Vous pouvez également utiliser cette fonctionnalités pour faire des siestes (moins de 20 minutes). En plus, le bracelet vibre, ce qui vous évite de réveiller votre voisine/voisin.

En un seul coup d'oeil, votre activité de la journée !

En un seul coup d’oeil, votre activité de la journée !

Bien entendu, même si le UP sait que vous avez bougé, il ne connaît pas la nature des mouvements. Vous allez devoir donc rentrer manuellement vos activités. Par exemple, le mercredi j’enchaîne 1 heure de cardio/muscu et 1 heure de natation, en fonction de l’intensité, l’application enregistre les dépenses énergétiques de ces activités.

Rentrez manuellement vos séances de sport

Rentrez manuellement vos séances de sport

L’application UP sait également ce que vous avez mangé… parce que vous le lui dite,s tout simplement. Jawbone a mis en place une base de données collaborative de tous les produits en commerce. En rentrant votre steak haché 5% de MG de Picard, vos haricots congelés ou encore le fromage blanc saveur vanille… Vous allez pouvoir connaître précisément les apports caloriques, en sel, en lipides, etc.

Résumons : l’application UP connaît vos repas, votre qualité de sommeil et votre niveau d’activité. Avec tous ces indicateurs, vous avez donc une vue d’ensemble de votre qualité de vie. 

Sommeil, activités, sport...

Sommeil, activités, sport…

Néanmoins, ne nous arrêtons pas en si bon chemin. L’application Jawbone UP vous permet d’accéder à trois fonctionnalités :

  • Social : En rajoutant vos amis et connaissances, vous pourrez partager vos données et accéder à leur données. L’intérêt est de pouvoir donner des conseils, commenter, comparer, motiver… Néanmoins, on s’immisce quand même profondément dans la vie des gens. Un client que j’avais rajouté la veille m’a parlé de mon repas et de ma courte nuit. Oui, c’est bizarre… Heureusement, vous pouvez filtrer les activités à partager. 
  • Conseils : Jawbone UP a mis en place une couche de “conseils”. L’application m’a conseillé de mieux dormir afin d’éviter de grignoter le lendemain pour combler la fatigue accumulée.
  • API : Si vous courez avec une application de tracking, si vous avez une balance Withings… Vous allez pouvoir connecter tout ce beau monde avec UP et ainsi de retrouver toutes vos données sur une seule application. Pratique.

Tout cela est bien beau, mais que voulez-vous faire avec ces données une fois que vous les avez regroupées ? La vraie puissance du Jawbone UP réside – pas seulement dans la consultation des statistiques personnelles – mais dans le fait que vous pouvez l’utiliser pour fixer des objectifs (que vous allez vous efforcez d’accomplir, bien sûr). Par exemple, UP me conseillait de réaliser 10 000 pas par jour, j’ai ensuite fixé ce chiffre à 18 000 pas. Cela m’a forcé à aller courir. Eh oui…

Notre avis 08/10 Le Jawbone UP fournit une plateforme solide et complète pour le suivi de vos activités. L'application est une réussite, côtés fiabilité et ergonomie. Le bracelet est design, néanmoins on reste frustré de ne pas avoir un écran pour pré-visualiser ses performances.

Le premier intérêt du UP réside dans la motivation qu'il apporte, je suis persuadé qu'il peut réellement nous permettre d'améliorer notre qualité de vie.

Un autre aspect intéressant de l'application UP est sa composante sociale. Le logiciel vous permet de rechercher des amis avec des comptes UP, puis de les inviter à devenir un membre de votre équipe. Une fois liée, les performances des membres sont répertoriées dans un flux social en temps réel sur l'écran d'accueil. Le côté social permet d'ajouter une notion de gaming en comparant ses résultats à ceux de ses amis. Une motivation supplémentaire. Enfin, l'ouverture aux services tiers permet de récupérer les données de nombreuses applications : Withings balance, RunKeeper, etc.

L'application conseille de brancher le brecelet deux à trois fois par jour pour synchroniser ses données, cela semble beaucoup... Non ? A vrai dire, cela devient vite une drogue et on se retrouve à le brancher plusieurs fois par jour. A contrario, dès lors que l'on oublie de le recharger, on peut rapidement le laisser tomber après avoir loupé une journée de recueil de données.

Il manque également la capture de données qui pourrait apporter une couche "santé", avec le rythme cardiaque par exemple ou la pression artérielle. Sans rentrer dans la paranoïa du malade imaginaire, ce type de données pourrait nous permettre de surveiller notre santé au jour le jour.

Bref, le Jawbone UP n'est qu'une première expérience de "bracelet connecté", mais sa plateforme solide et complète est une première expérience réussite, c'est un vrai compagnon numérique. Je ne sais pas si cela va durer, mais l'impact à court terme a déjà eu lieu pour moi.
  • Plateforme solide et complète
  • Bracelet design
  • 10 jours d'autonomie pour seulement 1 heure de charge
  • Conseils pertinents
  • Ouverture à des services tiers
  • Réveil intelligent
Pour Contre
  • Nombreux dysfonctionnements, heureusement Jawbone semble remplacer facilement le bracelet
  • Pas d'affichage visuel
  • Idées pour le prochain modèle : rythme cardiaque, tension artérielle, position géographique, etc.

 PS : Comptez 129,90 euros, bref, un gadget assez onéreux !

Force noire !

Force noire !

La Nexus 7 2013 est disponible sur le Google Play Canada

Après le Google Play US, c’est au tour de nos amis canadiens de profiter de la Nexus 7 2013 qui s’affiche maintenant en stock sur Google Play Canada en deux modèles de 16 Go à 229$ canadiens et de 32 Go à 269$ canadiens de mémoire interne.

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En quelques mots, la Google Nexus 7 2013 s’avance sur un écran tactile IPS LCD de 7 pouces en résolution de 1920 x 1200 pixels résistant aux chocs et aux rayures (Gorilla Glass), suivi par un processeur quadricœur Qualcomm S4 Pro (Krait 300) cadencé à 1,5 GHz, une puce graphique Adreno 320 et 2 Go de mémoire vive RAM.

Quant à la photo, la Nexus 7 2013 se dote également d’un capteur frontalde 1,2 mégapixels et d’une autre en dorsal de 5 mégapixels, capable de filmer en Full-HD (1080p à 30 images par seconde). Ses dimensions sont de 200 x 114 x 8,7 mm pour un poids total de 290 grammes (ou 299 grammes en version LTE) et une batterie de 3950 mAh.

Si vous ne souhaitez pas l’acheter sur le Google Play canadien, sachez qu’elle est également visible en précommande chez plusieurs revendeurs tels que Future Shop et Best Buy à partir de 249 dollars canadiens pour le modèle 16 Go.

En France, ce n’est plus qu’une question de temps avant qu’elle arrive, étant donné qu’elle s’affiche d’ores et déjà en précommande chez quelques commerçants tels que Boulanger et Fnac pour un prix en euros identique au dollars. Toutefois, les derniers soucis relevés sur la tablette risquent de freiner l’enthousiasme de premiers acheteurs…

Découvrez la prise en main de la Google Nexus 7 2013

mercredi 14 août 2013

Test du BlackBerry Q10

Table des matières Review of: BlackBerry Q10
testé par :
Ulrich Rozier
Version:
BlackBerry 10
Price:
649,99

Reviewed by:
Rating:
3
On 16 août 2013Last modified:14 août 2013

Summary:

Un test de BlackBerry sur FrAndroid… « c’est un scandale ! ». Oui, peut-être. Néanmoins, comme le Canard PC du mois de juin avec sa couv’ Xbox One… tester les BlackBerry sur FrAndroid est une nécessité. Pourquoi ? BlackBerry fait partie de l’écosystème Android qu’on le veuille, ou non. En choisissant de s’appuyer sur la communauté de développeurs Android et ainsi capitaliser sur des technologies similaires, BlackBerry contribue au développement de l’écosystème. C’est un fait.  

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Ancien utilisateur BlackBerry ? Quoi, vous voulez-vous du Bold ? Du clavier rempli de touches physiques ? Eh bien sachez que ce Q10 semble être bien plus efficace qu’une crème de jeunesse. Phablette ? Superphone ? Ce BlackBerry Q10 nous ramène tout droit à l’époque où les écrans tactiles n’avaient pas pignon sur rue. En effet, le Q10 intègre un clavier physique complet. Ce Q10 est le successeur spirituel de toute la lignée de BlackBerry à claviers. Voilà notre avis.

Contexte

Replaçons le contexte. L’assaut d’Apple dans le marché de la téléphonie et l’arrivée très rapide de Google ont fait fondre, tel un glaçon abandonné sur le Strip à Las Vegas, les parts de marché du géant canadien. Après de nombreuses rumeurs de rachat et l’arrivée d’un nouveau CEO allemand, RIM a entrepris une longue restructuration (cependant, il n’est pas si sûr aujourd’hui que ces rumeurs se soient trompées…). Pendant plus de deux ans, la société canadienne a préparé son retour sur la scène internationale.

C’est le rachat d’une société, QNX, qui a marqué la volonté de RIM de rattraper coûte que coûte ses concurrents. QNX est aujourd’hui à la base de BlackBerry 10. Afin d’entamer correctement ce virage stratégique, RIM s’est essayé à la tablette avec la PlayBook. Cette dernière s’appuyait sur une pré-version de BlackBerry 10 (QNX) et pouvait déjà faire tourner des applications Android. Le Canadien posait ses pions sur l’échiquier. Entre temps, tous les efforts déployés étaient nécessaires : RIM devait garder un pied dans l’entreprise malgré la disparition de ses smartphones. Néanmoins, réputé pour sa fiabilité, BlackBerry a connu une grave crise : le service BlackBerry Messenger est tombé en panne plusieurs jours, tandis que certains pays ont menacé RIM d’interdiction de commercialisation. En effet, tous les messages échangés à travers BBM passaient par des serveurs situés au Canada.

Fin 2012, RIM n’existe plus. La société est devenue officiellement BlackBerry. Il a fallu plus de deux ans pour peaufiner BlackBerry 10. Le premier smartphone « next génération » a été le BlackBerry Z10, un smartphone tout tactile.

Concernant l’avenir de BlackBerry ? Il est en suspens. BlackBerry a peut-être encore des cartes à jouer, dont ce fameux Q10 que nous avons pu tester.

 

Design

Le design du Z10 était ennuyeux. C’était pratiquement l’antithèse de la conception : un châssis en plastique mat sans réelle réflexion. Le Q10 est une réussite.

Les matériaux qui composent le Q10 sont agréables en main et les dimensions du smartphone le rendent particulièrement compact. BlackBerry a réalisé un gros travail. Une simple comparaison, avec le BlackBerry Curve 9315 ou le Nokia Asha 210, prouve que ce Q10 est bel et bien un bijou de conception.

La connectique est également complète avec des slots microSD, microSIM et des ports microUSB sans oublier du microHDMI.

BlackBerry Q10 BlackBerry Curve 9310 Nokia Asha 210
119,6 x 66,8 x 10,35 mm 109 x 60 x 12,7 mm 111,5 x 60 x 11,8 mm

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« Ouais, ouais, ouais, parlons du clavier »

Je n’ai jamais été un gros utilisateur de BlackBerry. Néanmoins, j’ai pu tester des Curve ou encore le Bold 9900. Lors de toutes ces tentatives, j’ai été surpris par la qualité de fabrication de ces téléphones ainsi que par l’ergonomie des claviers.

Après plus de 10 jours d’utilisation intensive du Q10, je suis heureux de vous annoncer que ce smartphone devrait assouvir l’attente des pro-claviers physiques adaptes de longue date des téléphones canadiens. Ce clavier physique est ingénieux. On retrouve le « Bold-style », chaque touche est collée aux autres, et pour les différencier facilement, elles possèdent une arête distincte qui guide votre pouce incliné dans la bonne direction. Résultat ? Vos pouces sont positionnés correctement et le taux d’erreur de frappe est très faible. Avec la correction automatique ainsi que la prédiction de mots, ce Q10 est l’arme ultime pour rédiger du texte en mobilité dans un minimum d’encombrement.

Si vous êtes déjà une dactylo rapide et efficace sur un téléphone entièrement tactile, la différence ne sera certainement pas notable. En effet, les claviers virtuels se sont grandement améliorés. Par exemple, Swype sur Android qui permet d’écrire de longs textes sans vraiment lever le doigt de l’écran.

 

Un écran rikiki

L’écran du BlackBerry Q10 mesure 3,1 pouces de diagonale, ce qui est particulièrement faible par rapport aux autres normes actuelles. Sa définition d’écran (720 par 720 pixels) lui donne un aspect carré (radio 1:1) très mal conçu pour les applications mobiles. Malgré tout, avec une densité de pixels de 331 ppi, le rendu est très correct : le texte est lisible et les images exposent en détails leur pixels.

D’une part, il y a une niche existante qui accueillera le BlackBerry Q10 et son clavier, mais de l’autre, son petit écran, il est tout à fait inapproprié pour quiconque souhaite avoir une expérience web et multimédia décente sur son smartphone.

Concernant la qualité d’écran, BlackBerry a opté pour le Super AMOLED. Les couleurs sont chaudes, les noirs profonds, les blancs légèrement jaunes et la luminosité étonnamment basse. Cela reste un écran avec de bonnes caractéristiques.

Je regrette seulement que BlackBerry n’aie pas été jusqu’à intégrer des technologies qui permettent l’utilisation de gants, comme c’est le cas sur le Huawei Ascend P2 ou le Nokia Lumia 920.

Tiens, un agacement. Sans aucune molette, le recours aux gestes tactiles est indispensable. Retour à l’accueil, switch d’applications, affichage des menus… Vous devrez constamment lâcher le clavier. Dommage.

 

Blackberry 10.1

Oui… oui… BlackBerry 10.1 est à mille lieues de ce que BlackBerry 7 proposait. Mais… cela reste un système mobile jeune et loin d’être aussi mature que iOS, Android ou encore Windows Phone. Le BlackBerry Q10 intègre néanmoins le HUB le plus complet. C’est sûrement la fonctionnalité qui me manquera lorsque je reprendrai mon Nexus 4. En effet, ce HUB agrège SMS, appels, e-mails, tweets, messages Facebook, BBM, Google Hangouts (GTalk), Skype… et j’en passe et des meilleures. En un seul coup d’oeil, vous accédez à l’ensemble des notifications de tous les services. Plus qu’un gain de temps, c’est un gain de productivité ! L’outil ultime pour les professionnels qui ont à traiter des e-mails en masse.

BlackBerry HUB

BlackBerry HUB

Une application Android

Une application Android

Notons que ce BlackBerry Q10 n’a pas du tout, mais alors pas du tout… l’autonomie désastreuse du Z10. En effet, avec un écran moins energivore couplé à une batterie plus importante (2100 mAh contre 1800 mAh), le Q10 tient largement « LA » fameuse journée intensive.

Verdict

Notre avis 06/10 Il est difficile de comparer le BlackBerry Q10 aux autres smartphones du marché... Il s'agit sans doute du meilleur smartphone à clavier physique. Enfin, BlackBerry 10 OS est encore trop loin derrière les autres systèmes d'exploitation mobiles dans des catégories clés, y compris la navigation, les applications et la personnalisation.

Contrairement à la crème Nivea Q10 qui semble réduire visiblement les premières rides, le BlackBerry Q10 ne nous rajeunit pas vraiment. Dommage.
  • Très bon clavier physique
  • Bonnes dimensions
  • Performances convenables
Pour Contre
  • Prix trop important
  • BlackBerry 10 OS trop limité
  • Photos moyennes

DSC_0312Disponibilité

Le BlackBerry Q10 est actuellement disponible chez divers revendeurs en ligne :