Sony Xperia C, un smartphone de 5 pouces qHD sous MediaTek

Alors que Sony officialisé son Xperia Z Ultra et sa SmartWatch 2 hier lors de la Mobile Asia Expo, le constructeur japonais y aurait également dévoilé le Sony Xperia C, qui est un smartphone double-SIM doté d'un écran de 5 pouces en résolution qHD destiné, du moins dans un premie temps, au marché chinois.

Comme la rumeur le prédisait, Sony était bel et bien en train de concevoir un smartphone 5 pouces basé sur un processeur MediaTek, mais il semblerait bien que ce modèle soit uniquement destiné au marché chinois, même s'il n'est pas à écarter que d'autres modèles semblables voient le jour sur dans d'autres contrées.

En ce qui concerne la fiche technique, le Sony Xperia C (celui que l'on évoquait sous le nom de Sony C3 ?) est propulsé par un processeur MediaTek MT6589 cadencé à 1,2 GHz, suivi par un chipset graphique PowerVR SGX544 et 1 Go de mémoire vive RAM. Tel que nous le précisions un peu plus haut, le Xperia C se dote d'un écran de 5 pouces en résolution qHD (540 x 960 pixels).

Que dire de plus, si ce n'est que le smartphone embarque un appareil photo Exmor R de 8 mégapixels doté d'un flash LED, ainsi qu'un emplacement micro-SD pour étendre la mémoire du mobile (d'une taille encore inconnue). Pas de prix ou de date de sortie, mais nous savons qu'il sera bientôt disponible en noir, violet et blanc en Chine chez China Unicom.

Weexperience 6 : les articles des Xperts des 7 derniers jours

C'est l'heure de (re)découvrir ce que nous ont concocté nos Xperts durant la semaine passée ! 

 

Cette semaine, les Xperts se sont beaucoup intéressés à l'actualité des applications Android :  une radio personnalisable, une barre des tâches, des fonds d'écrans animés… Le Xperia Z était lui aussi sur toutes les bouches : alors qu'une photo de son modèle Ultra a été révélée aujourd'hui, la rumeur court qu'un Xperia Z avec un Snapdragon 800 serait en préparation… En somme, les Xperts se sont décarcassés pour vous délivrer les news les plus fraîches ! Bonne lecture à tous, et à la semaine prochaine !

Marie :

Des nouvelles du Umeox X5, le smartphone le plus fin du monde

 

Nazim :

Question : Que pensez-vous de l'éventuelle Nexus 7 II ?

[APP]Taskbar : “Ou comment mettre une barre des tâches sur Android”

[APP] MPme radio : “la radio 100% personnalisée”

[NEWS] Google Mine : un nouveau service pour s'organiser !

 

Pascal :

Le Xperia Z Ultra pour aujourd'hui ?

Bon Plan : Casque Bluetooth NFC SBH20 Sony 24,90€ (arobas) RueduCommerce 

Bon Plan : Domino 3G+ à 19,90€ (arobas) Orange 

 

Harry :

Metal Android Gear : Software of the Solid

Pod2g sur Android ?

De quoi animer votre journée !

La mise à jour du S4, que vaut-elle ?

 

Romain/Mobl :

Un Xperia Z avec un Snapdragon 800 en préparation ?

 

 

Une version stable de CyanogenMod 10.1.0 est disponible

Après la sortie de la Release Candidate 5 le 10 juin dernier, l'équipe de Cyanogen est actuellement en train de déployer progressivement la version stable de CyanogenMod 10.1.0 sur la plupart des tablettes et des smartphones (qui étaient compatibles durant la période de Release Candidate).

Basé sur la version originale d'Android, CyanogenMod est un système personnalisé, plus communément connu sous le nom de ROM Custom, qui intègre des fonctionnalités supplémentaires, tout en suivant l'évolution des versions d'Android. À ce jour, la ROM CyanogenMod 10.1.0 est installée sur une base d'Android 4.2.2.

Comme précisé un peu plus haut dans le sujet, CyanogenMod regroupe l'intégralité des fonctionnalités liées à la version d'Android utilisée, ainsi que plusieurs autres atouts supplémentaires qui sont développés par les participants, pour être ensuite adaptés au projet de CyanogenMod au fil du temps.

En moins de six mois, ce sont plus de six fonctionnalités qui ont été ajoutées :

• Privacy Guard (Icognito) : la gestion automatique des apps aux permissions douteuses
• la capture photo en vocal : prendre une photo en disant ‘Cid’, ‘Whisky’ ou ‘Cheese’
• la capture de photo à retardement par le biais de retardateur de 10 à 60 secondes
• Contrôles Pie : l'intégration des actions rapides depuis un menu flottant
• La protection des données personnelles accessible depuis les paramètres
• clock (DashClock ‘like), le widget d'horloge intégré en natif à Cyanogen
• HDR : la possibilité de prendre des photos en HDR

Dans cette liste, on compte plus de 50 terminaux compatibles (dont ~ 45% disponibles chez nous) :

• Sony Xperia Z, Motorola RAZR, Sony Xperia V, Google ASUS Nexus 7, Asus Transformer Pad Infinity, Google Nexus Q, Sony Xperia Tablet Z, LG Optimus 4X HD, Samsung Galaxy Tab2 10.1, Samsung Galaxy Tab 2 7.0 (3G ou WiFi), Amazon Kindle Fire (1ère et 2ème génération), Hardkernel ODROID-U2, Sony Xperia ZL, Sony Xperia T, Google Nexus 4, Google Nexus 10, Google Galaxy Nexus, Google Nexus S, Samsung Galaxy S, LG Nitro HD/Optimus LTE (Canada), HTC One X, et enfin LG Optimus G.

Pour télécharger la version stable, rendez-vous sur le site officiel.
Quant aux applications Google, visitez le wiki de CyanogenMod.

Pour toutes informations complémentaires, n'hésitez pas à visiter le forum.

Le Google Play Store dans le collimateur du CSA

Le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) souhaite accéder à plus de droits en se proposant comme arbitre des relations entre marchés d'applications et éditeurs.

L’épisode Google contre le système législatif et juridique français n’a pas encore fini d’apporter son lot de surprises. Dernier rebondissement en date, le bras de fer qui se prépare cette fois-ci entre la firme de Mountain View (et Apple), et le Conseil supérieur de l’audiovisuel.

Le CSA ne souhaite plus être confiné au rôle de régulateur de l'audiovisuel, il veut aujourd'hui s’immiscer dans le monde de l'Internet et plus précisément dans les magasins d’applications mobiles, à savoir le Google Play Store et l’App Store. Dans un colloque média NPA-Le Figaro, le président de l’autorité de régulation, Olivier Shrameck, a déclaré “qu'un fabricant de terminaux connectés ou un magasin d'applications mobiles joue dans l'accès aux contenus et aux services un rôle crucial auquel la régulation ne peut rester indifférente. Se concentrer sur les seuls opérateurs hertziens et satellitaires ou sur les fournisseurs d'accès Internet, c'est ne pas saisir l'ampleur et les potentialités du rôle de la distribution“.

Concrètement, le CSA souhaite s’interposer entre les géants du web et les éditeurs d’applications en s’octroyant un droit d’arbitrage dans les différends qui opposeraient les différentes parties. L’autorité s’inspire donc des recommandations du rapport Lescure, qui voudrait que le CSA jouisse des mêmes pouvoirs sur Internet que ceux dont il dispose lorsqu’il s’agit de contentieux entre les chaînes et les plate-formes de distribution de contenu audiovisuel.

Les différentes parties sont d’un côté les marchés d’applications et de l’autre les éditeurs, dont les applications peuvent être évincées à n’importe quel moment des stores. “Début avril, Apple a brutalement évincé l'application française AppGratis de son magasin, déclenchant un véritable tollé et la mobilisation de Fleur Pellerin, la ministre de l'Économie numérique”, indique Le Figaro. Une missive claire de la Pomme, qui a pour ambition de mieux se positionner sur le marché de la publicité mobile via sa nouvelle application iAd WorkBench.

Un pouvoir à double sens pour le CSA ?

Si l’on parle ici des applications supprimées arbitrairement, quid de celles qui n’obtiennent jamais l’autorisation de figurer dans les marchés ? Rappelons, à titre d’exemple, que l’application FrAndroid dédiée à iOS et proposée par nos soins sur l’AppStore, n’a jamais été approuvée par Apple.

Cette décision passerait par l’adoption d’une nouvelle loi sur l’audiovisuel prévue pour 2014. En tant qu’autorité indépendante, le CSA aura donc le droit de mettre en demeure les acteurs du web, à l’instar de ce qu’a fait la CNIL il y a quelques jours avec Google.

PCMark arrivera sur Android, iOS et Windows RT

Le benchmark PCMark, autrefois exclusif à Windows, arrivera désormais sur Android, iOS et Windows RT.

Le benchmark n'est pas encore tout à fait prêt. Voila pourquoi Futuremark, l’entreprise qui développe l’application, invite les développeurs à venir prendre part à l’aventure en participant à l’ensemble des étapes de développement du produit via le programme Benchmark Development Program (BDP).

“Après avoir secoué le paysage mobile avec 3DMark [un autre benchmark de l’entreprise, ndlr], nous voulons faire la même chose avec PCMark pour Android, iOS et Windows RT”, indique la société dans un communiqué sans donner de précision sur la date de lancement du produit.

PCMark pour les mobiles mettra en exergue des tests comparatifs basés sur des expériences d’utilisation courantes comme la performance du processeur, l’efficacité de la batterie ou encore la rapidité du système d’exploitation.

Le programme BDP voulu par Futuremark consiste à établir des partenariats avec les principaux fabricants de matériel technologique. Futuremark compte déjà parmi les membres de son BDP Acer, AMD, Compal, Diskeeper Corporation, Dell, HGST, HP, Intel, Lenovo, Microsoft, NVIDIA, Samsung, SanDisk, Seagate et Western Digital.

Sony présente sa SmartWatch 2 SW2

La SmartWatch 2 est là ! Après les teasings de Sony en fin de semaine dernière, le Japonais présente aujourd’hui la deuxième génération de sa montre connectée baptisée sobrement SmartWatch 2 (SW2). Au-delà d’un périphérique pour votre smartphone, la SmartWatch 2 se veut multi-fonctions.

Avec cette nouvelle mouture de sa montre connectée, Sony joue la carte de l’élégance et de la sobriété. En effet, l’entreprise japonaise semble avoir compris que le produit n’était pas uniquement destiné à des fous furieux de technologie. Elle l’accompagne donc de certaines spécificités dignes des montres ordinaires.

La SmartWatch 2 est presque étanche, et l'on insiste sur le presque : elle résiste aux éclaboussures d'eau malgré un design ultra-plat, qui lui confère, avouons-le, un aspect plutôt haut de gamme. Notez que la montre ne pourra pas être immergée.

La SmartWatch 2 est de surcroît personnalisable. Vous pourrez ainsi choisir d’y attacher n’importe quel bracelet 24 mm. Sony va également mettre à disposition des personnes intéressées une myriade de bracelet originaux en cuir, caoutchouc et métal.

L'avenir, c'est le NFC

Et Sony l’a bien compris. La SmartWatch 2 peut être connectée à un smartphone grâce au NFC. L’appairage sera donc plus facile a effectuer. Celui-ci s’apparentait à un véritable chemin de croix sur les précédentes versions du produit. Aujourd’hui, cette technologie arrive pour faciliter la vie aux utilisateurs de ce type de gadgets. Et grâce à cet appairage, vous pourrez :

• Gérer vos appels d'un simple toucher de votre montre
• Prendre une photo à distance à partir de votre SmartWatch, à l'aide de l'application de caméra intelligente
• Contrôler vos présentations à distance avec Presentation Pal
• Choisir une application de cartographie sur votre SmartWatch pour vérifier votre itinéraire lors d’un jogging
• Lire des e-mails téléchargés sans se connecter à son téléphone
• Utiliser des applications de mode de vie telles que Runtastic pour cartographier et suivre ses activités physiques sur le moment
• Régler rapidement les pistes et le volume du lecteur de musique de son smartphone.

Une autre nouveauté présente sur cette SmartWatch 2 : la possibilité d’accéder au Play Store de Google pour télécharger les 200 applications dédiées au produit, et ce directement depuis la montre. Elle est ainsi compatible avec les smartphones Android tournant au moins sous Android 4.0 Ice Cream Sandwich.

Voici les caractéristiques de la SmartWatch 2 par rapport à celles de la SmartWatch :

• Une meilleure luminosité de l'écran (lisible en plein soleil)
• Une meilleure autonomie de batterie
• Résistance aux éclaboussures
• Configuration facile (appairage et connexion NFC)
• Fonction de montre autonome
• Câble de chargement micro USB standard
• Interface utilisateur identique à celle d'Android et donc plus intuitive
• Écran plus large à la résolution plus élevée (1,6 pouce, 220 x 176 pixels)
• Matériaux de qualité (boîtier en aluminium, bracelet en acier inoxydable)
• Compatibilité étendue (fonctionne avec la plupart des téléphones Android)
• Bracelets interchangeables

Cette nouvelle montre de Sony entre dans le cadre de son projet Open SmartWatch, qui donne aux développeurs une liberté plus accrue au niveau de son firmware.

La montre sera disponible en magasins dans le monde entier à partir de septembre 2013. Aucun prix n'a encore été communiqué, comme c'est d'ailleurs le cas de la phablette Xperia Z Ultra, elle aussi officialisée ce matin.

Le Sony Xperia Z passe à Android 4.2.2 en OTA

Journée chargée chez Sony. Le Nippon, qui vient tout juste d'officialiser sa première phablette, le Xperia Z Ultra, mais aussi la deuxième version de sa montre connectée, la SmartWatch 2, lance la mise à jour de son Xperia Z vers Android 4.2.2.

Attendue depuis des semaines, leakée à de multiples reprises sous forme de screenshots, la mise à jour du Sony Xperia Z vers Android 4.2.2  se fraye désormais un chemin dans certains pays d'Europe en OTA. De l'officiel qui se présente sous la forme d'un firmare prenant le numéro suivant : 10.3.A.0423 et associé à un nouveau kernel, cette fois en version 3.4.0.

Qu'attendre dans la mise à jour du Xperia Z, tandis que le Z Ultra sera livré directement sous Jelly Bean 4.2.2 et que le Sony Xperia ZL bénéficie d'une mise à jour vers cette même version d'Android depuis la semaine dernière ? Plutôt des résolutions de bugs, quelques rares modifications cosmétiques (les boutons situés en bas de l'écran sont désormais sur fond transparent, et non sur fond noir, et le multitâche compte désormais des vignettes plus larges), sans oublier les nouveautés liées à Android 4.2.2 (widgets sur l'écran de verrouillage, DayDream, PhotoSphere, etc.). Le tout est accessible pour la version LTE du Xperia Z, soit celle dont on dispose en France, et a été repéré pour le moment en République Tchèque, en Autriche ou encore en Espagne, en Ukraine et au Pays-Bas.

Pour tenter d'obtenir la version d'Android Jelly Bean 4.2.2 sur votre Xperia Z sans attendre que votre smartphone vous propose sa mise à jour en OTA, vous pouvez tester ce lien, ou tenter de passer par Sony Companion, où la mise à jour semble disponible chez certains mobinautes.

SFR casse les prix des smartphones tous les lundis

SFR vient de lancer une opération sur sa page Facebook. Chaque lundi du mois de juillet, un smartphone “haut de gamme” profitera d'une remise exceptionnelle. L'offre est réservée aux vingt premiers visiteurs qui recevront un code de réduction. Dès lundi, c'est le Galaxy S4 qui profitera de la promotion.

Le Galaxy S4 pour 299,99 euros ? Seulement pour les premiers arrivés ! RED MONDAY, c'est le nom de l'opération. L'objectif pour SFR est d'augmenter le nombre de “fans” tout en mettant en avant la marque RED SFR. Il faudra être un petit peu chanceux pour profiter de la promotion… On vous aura prévenus !

Page Facebook de SFR RED

Des jeux Microsoft bientôt sur plateformes mobiles : Age of Empire ouvre le bal

Selon des informations rapportées par Reuteurs UK et publiées par Nikkei, Microsoft aurait signé un accord de licence avec un studio de développement japonais, Klab. Cet accord de licence viserait à porter des jeux vidéo de Microsoft développés à l'origine pour le PC ou la Xbox sur les plateformes mobiles iOS et Android. Il est fait mention que les jeux seraient “portés sur iOS en utilisant Android, le système d'exploitation de Google” sans que l'on

Lire la suite sur Frawin

BlackBerry Secure Work Space arrive sur Android (et iOS)

Les interactions entre BlackBerry et Android ne sont plus à démontrer, notamment depuis la sortie de l'OS BlackBerry 10, assorti d'un portail de téléchargement peuplé d'applications Android, voire un peu plus tôt, du temps de la tablette PlayBook. Aujourd'hui, la firme canadienne propose comme elle l'avait annoncé en mars dernier une version Android de son application Secure Work Space.

Egalement disponible sur iOS, l'application Secure Work Space de BlackBerry répond à la volonté de la marque de soutenir la tendance actuelle au BYOD (Bring Your Own Device), soit d'utiliser un smartphone personnel dans un cadre professionnel. Cette application s'inscrit dans le cadre de la plateforme de gestion de flottes mobiles BlackBerry Enterprise Service 10 (BES 10).

Inutile désormais de posséder un BlackBerry Z10 ou un Q10, le premier dévoilé en janvier et le second retardé de quelques mois, pour profiter de certains des services dédiés aux entreprises de BlackBerry. Via son BlackBerry Enterprise Service, déjà multiplateformes, les professionnels peuvent désormais accéder à l'application Secure Work Space. L'idée ici, comme chez BlackBerry Balance, est de séparer les données personnelles et professionnelles de l'utilisateur, afin de sécuriser des données sensibles.

Les applications concernées ne sont pas nombreuses, mais incluent l'essentiel : les contacts, le calendrier et la boîte email professionnels du mobinaute sont regroupés dans cette même section. L'accès aux applications concernées est dans ce cas sécurisé via un identifiant avec mot de passe, tandis que les données professionnelles ne peuvent être copiées/collées dans des applications personnelles. Un navigateur sécurisé complète cet ensemble, pour un accès sécurisé à l'Intranet de l'entreprise et à ses données corporate. Pour le reste, les applications du Secure Work Space proposent un design similaire à celles d'un BlackBerry personnel classique. Le tout à retrouver en version gratuite d'essai pendant 60 jours pour une gestion de 20 terminaux au maximum, puis en version payante (99 $ par utilisateur et par an), accessible dans la journée pour Android..

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