HTC One Mini, un smartphone de 4,3 pouces 720p (premières photos)

Ce n'est pas encore totalement officiel, seulement sachez que le HTC One Mini pourrait bien être réel puisqu'il vient d'être aperçu par nos confrères estoniens de Forte.

Début mai, nous vous exposions le fait l'éventuelle existence d'un HTC One ‘mini', et il semblerait bien que le rêve devienne aujourd'hui réalité. Aperçu chez Forte, le HTC M4 (alias HTC One ‘mini) aurait un écran tactile de 4,3 pouces, soit 0,4 pouce de moins que le HTC One.

Pour détailler un peu plus la fiche technique, nous serions donc face à un smartphone milieu de gamme, bien plus petit que le One, doté d'un écran tactile de 4,3 pouces en résolution HD (720 x 1 280 pixels), d'un processeur double-cœur certainement Qualcomm Snapdragon couplé avec 2 Go de RAM.

Toujours d'après la source, le HTC One mini inclurait également un appareil photo de 4 mégapixels doté de la technologie UltraPixel, 16 Go de mémoire interne, et une compatibilité LTE 4G. Quoi qu'il en soit, Forte avance qu'il pourrait être disponible courant août aux alentours de 400 euros en nu.

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L'application de transfert Pipe pour des fichiers de 1 Go lancée via les apps Facebook

L'application de partage de dossiers utilisable sur Facebook s'apprête aujourd'hui à faire sa première apparition officielle. Baptisée Pipe, elle permet de partager des fichiers d'une taille pouvant monter jusqu'à 1 Go.

Les solution de stockage en cloud avec option de partage de dossiers ont beau être nombreuses, et pour la plupart gratuites dans leur version de base (2 Go chez Dropbox, par exemple), tout comme des solutions d'envoi de fichiers lourds, nombre d'utilisateurs ne savent pas comment envoyer des documents excédant la taille maximale autorisée par leur boite email. Facebook, largement utilisé comme système de partage via sa messagerie, proposera aujourd'hui une application tierce Pipe assurant un service de partage de fichiers.

Le compte à rebours est en route : à 15 h ce mercredi, Pipe sera officiellement disponible. L'application au logo emprunté aux tuyaux du monde de Super Mario est directement intégrée à Facebook, et fonctionnant évidemment auprès des seuls contacts de l'utilisateur inscrits sur le réseau social. Le réseau de Mark Zuckerberg assure que ce service est sécurisé, dans la mesure où il fonctionne de pair à pair, c'est à dire sans transit via un serveur. Tout cela est valable dans le cas de l'envoi d'un fichier à un contact connecté. S'il est hors-ligne, il reste toutefois possible de lui envoyer un fichier, qui sera alors stocké dans un “casier” personnel dans la limite de 100 Mo, le nombre de casiers en question n'étant pas limité. Pour l'envoyeur, rien de compliqué : l'application fonctionne en drag and drop, c'est à dire par un glisser / déposer dans le “pipe”, lui-même accessible dans la section Applications de Facebook.

Incluse à Facebook mais sans stockage de données à l'intérieur d'un compte personnel, les données étant directement envoyées à l'ordinateur du contact concerné, l'application Pipe sera disponible dans le courant de l'après-midi, et ce gratuitement. Pour ceux qui ne jurent pas uniquement par le réseau social, pensez tout de même à des solutions alternatives qui ne demandent pas au destinataire d'être présent devant son ordinateur en cas d'envoi de données ! Notez qu'une version mobile de l'application ne semble pas encore prévue…

Samsung vs Apple : le Coréen obtient l'interdiction de l'iPhone 4 aux USA

Nouveau rebondissement dans la guerre des brevets qui oppose depuis des mois Samsung vs Apple dans un gigantesque procès mené sur le territoire américain. Le dernier volet du bras de fer entre les deux leaders du monde mobile se joue aujourd'hui en faveur du Coréen, qui obtient l'interdiction de la vente de certains produits Apple aux USA.

L'International Trade Commission, soit le tribunal de commerce international américain, a tranché, au terme de longs mois de procès – un jugement qui n'a encore rien de définitif, s'agissant d'une décision préliminaire pouvant être brisée lors d'un appel auprès de la Cour d'Appel Fédérale puis de la Cour Suprême  qu'Apple compte évidemment saisir. Néanmoins, jusqu'alors, l'ITC interdit la commercialisation des anciennes générations d'iPhone, mais aussi d'iPad.

Cinq modèles en tout sont concernés par la décision de l'ITC : l'iPad 1 3G, l'iPad 2 3G, l'iPhone 3G, l'iPhone 3GS ainsi que l'iPhone 4, pour tous les modèles fonctionnant sur le réseau AT&T ; l'import comme la vente de ces terminaux est interdite aux Etats-Unis. C'est Samsung, rival incontesté de la Pomme, qui vient d'obtenir cette décision surprenante, en raison d'une subtilité liée à un brevet déposé par Samsung au sujet de technologies UMTS utilisées sur les précédentes versions de terminaux iOS. La cour reproche à Apple de ne pas avoir réussi à prouver qu'elle avait fait tout ce qu'il était en son pouvoir pour recevoir une licence FRAND (Fair, Reasonable, and Non-Discriminatory) sur certains brevets Samsung à propos des technologies réseaux.

La décision de l'ITC, surprenante s'il en est puisqu'elle touche des terminaux encore en vente, du moins pour l'iPhone 4 qui bénéficie d'offres avantageuses chez AT&T, intervient alors même que cette même commission avait condamné Samsung à payer plus d'un milliard de dollars à Apple de dommages et intérêts pour l'utilisation d'autres brevets en août 2012, dont 550  millions ont par la suite été confirmés. La plainte de Samsung date quant à elle de 2011, et promet encore quelques rebondissements. Quand le Coréen considère que l'ITC n'a fait que “confirmer l'historique d'Apple, qui s'approprie les innovations technologiques de Samsung“,   Apple conserve la possibilité de faire appel de cette décision auprès de la Cour d'Appel Fédéale américaine, et même de faire annuler ce verdict par simple veto de Barak Obama formulé sous 60 jours. Encore des rebondissements à venir ?

Plus de la moitié des smartphones en France tourne sous Android

44 % des Français ont un smartphone, dont plus de la moitié tourne sous Android.

Le dernier baromètre de Marketing mobile Association France (s'inspirant des chiffres de comsCore, GfK et Médiamétrie)  dévoile quelques chiffres en phase avec d’autres études, publiées récemment. En effet, le rapport avance que 44,4 % (24,1 millions) de la population de plus de 11 ans disposent d’un smartphone, en mars dernier. A noter qu’au dernier trimestre 2012, ils étaient 23,6 millions à posséder un smartphone dans l’Hexagone. Le taux de pénétration des smartphones chez les mobinautes atteint un sommet de 56,1 % de l’ensemble de la population française.

Ceci prouve que le marché des smartphone est en constante évolution en France, où Android se taille la part du lion avec 51,8 % de PDM au premier trimestre 2013, loin devant Apple (22 %) et BlackBerry (7,6 %). Cette étude vient donc démentir ce qu’avait déclaré Microsoft en avril au sujet du positionnement de Windows Phone sur le marché français. En effet, Laurent Schlosser, responsable du mobile chez Microsoft France, avait affirmé à ZDnet que WP était le troisième OS sur le marché et qu’il allait atteindre les 10 % au mois de juin 2013. Or, l’étude dévoile un chiffre bien plus pessimiste. Le système d’exploitation n’est que 5e, derrière Symbian (6,9 %) avec un pourcentage de 4,6 % de parts de marché.

L’étude révèle également que l’usage des smartphones est plus fréquent en région parisienne (23,5 %), suivie du bassin méditerranéen (13,4 %) et du sud-est (12 %).

Le plus intéressant reste toutefois de voir à quel point les tendances s’inversent rapidement sur mobile. L’application la plus utilisée en décembre 2012 était iTunes mais force est de constater que le store d’Apple est passé en 3e position derrière Google et YouTube qui deviennent respectivement 1ère et 2e applications les plus utilisées au premier trimestre 2013.

Avec l'application Bien visiter sur Android, préparez vos visites de logements

Cet article est un publi-reportage

L'application Bien Visiter sur Android est développée par Qualitel, association indépendante chargée de promouvoir la qualité de l’habitat. Cette application, déclinaison du site bienacheterbienrenover.fr, permet de préparer ses visites (appartements ou maisons) en offrant des outils très simples pour vous aider à choisir un logement de qualité.

On retrouve une rubrique intitulée “Guide de visite” qui permet de préparer les visites de maison et d'appartement avant l'achat. L'application vous propose une liste de questions à ne pas oublier de poser lors de votre visite ainsi que les points à regarder par vous-même pour vous rendre compte de la qualité du logement. Dans les deux cas, on retrouve des points techniques à vérifier liés à l'électricité, au confort thermique ou encore aux revêtements.

Dans une seconde rubrique intitulée « Mes visites », vous allez retrouver des check-lists organisées par thèmes (acoustique, solidité, sécurité électrique, chauffage, cuisine…) qui permettent de faciliter les comparaisons entre les logements visités et prendre au mieux votre décision d’achat. Vous pouvez aussi sauvegarder les informations de vos visites (adresse, prix, coordonnés du vendeur, superficie, etc), stocker des photos des logements ainsi que des commentaires.

L'application Bien visiter sur Android est une application très pratique si vous souhaitez changer de logement ou si vous avez besoin d'un outil performant pour vos recherches. L'application est gratuite, elle vient tout juste d'arriver sur Google Play Store et elle est aussi disponible sur iOS.

Bien Visiter
Bien Visiter

La présente application a été développée par l’association Qualitel dans le cadre de sa mission d’intérêt général. Elle est une déclinaison de Bienacheterbienrenover.fr, le guide de la qualité du logement. L'application est constituée de deux rubriques principales. La première rubrique, intitulée « Guide de visite », vous permet de préparer...

Télécharger Gratuit Disponible sur Google Play

Sécurité mobile : Lookout dévoile sa dernière étude mais ne se veut pas alarmiste

Comme le font régulièrement les firmes spécialisées dans la sécurité informatique et mobile, Lookout Security vient de dévoiler sa dernière étude quant aux risques encourus par les utilisateurs de smartphones lorsqu'ils téléchargent des applications.

Le leitmotiv des firmes de sécurité numérique ne change pas d'une marque à l'autre : sur mobiles et plus particulièrement sur Android, les risques liés aux malwares, spywares et autres adwares menacent dans l'ombre. Pas de quoi s'inquiéter réellement cependant, si l'on suit quelques règles simples en matière de téléchargement, en témoigne l'étude de Lookout.

Réalisée de janvier à mai 2013 à partir des données recensées sur sa plateforme, l'étude de Lookout met en avant un chiffre simple, que corrobore son expert en sécurité, Mark Rogers : on rencontre moins de 3 % de risques sur un smartphone en utilisation courante (2,61 % en moyenne). “Ce n'est pas la fin du monde, insiste l'expert. Il s'agit le plus souvent de l'itération de la même menace. 2 %, ce n'est pas si mal“.  Quelles sont les menaces en question ?

Le spyware, qui représente la principale des menaces en France et chez nos voisins européens, se sert de publicités pour collecter des informations concernant l'appareil ou son détenteur. En moyenne, un utilisateur a 1,6 % de probabilités de tomber sur ce type de menaces. Moins fréquents, les chevaux de Troie (programmes ressemblant à des applications classiques mais prenant le contrôle de l'appareil lorsqu'ils sont lancés) totalisent 0,53 % de probabilités d'infections. Les logiciels de facturation indue suivent avec 0,22 % de probabilités, et peuvent notamment envoyer des messages surtaxés à l'insu du mobinaute. Les logiciels de surveillance et logiciels espions ferment la marche, avec des probabilités d'infections ne dépassant pas les 0,16 % et 0,10 %.

On remarque en outre que les chiffres dédiés au Royaume-Uni montrent des probabilités descendant à 2,16 % de probabilités de menaces mobiles, tandis qu'elles tombent même à 1,66 % aux USA ; des marchés émergents tels que l'Inde souffrent de leur côté de 5,49 % de risques mobiles, notamment liés aux logiciels publicitaires intégrés à des applications ou jeux très populaires dans le pays.

Quelles menaces, et comment s'en protéger ?

Il reste évident que, malgré des chiffres relativement faibles, les utilisateurs de smartphones, notamment d'androphones, puisqu'il faut concéder qu'ils constituent la cible favorite des malveillants, doivent continuer de suivre quelques règles simples. A commencer par éviter de télécharger des applications issues de sources inconnues, de même que des APK envoyés par email, sur lesquels aucun contrôle n'a été exercé. L'utilisation d'un code PIN et d'un code de verrouillage sur les mobiles reste évidemment l'un des points clés à ne pas négliger sur les smartphones à même d'être perdus… ou volés.

Lookout souligne à juste titre l'un des enjeux phares de la sécurité mobile des prochains mois, voire années : quid du paiement mobile, notamment du NFC ? Certaines applications permettent en effet de faire transiter les données bancaires de l'utilisateur via une simple lecture du tag de la carte ; pour ce type d'applications, la prudence reste plus que tout de mise lors du téléchargement. On ne vous parle évidemment pas de l'utilisation d'une quelconque solution de sécurité mobile, laquelle, moyennant finance, se charge de supprimer les applications malveillantes de votre terminal.

Et vous, craignez-vous les infections sur vos smartphones ?

Wiko rembourse 30 € sur son Cink King

La fête des pères approche, ou pour les retardataires, la fête des mères vient tout juste de passer, tandis que les budgets se resserrent à l'approche des vacances d'été. Wiko propose aux acheteurs d'un de ses Cink King une réduction de 30 €.

Situé actuellement autour des 190 € sur la toile, le Wiko Cink King n'est disponible que chez les revendeurs ; comprenez que, comme les autres terminaux de la marque, il n'est pas possible de bénéficier d'une subvention fournie par un opérateur.

Wiko propose pourtant une offre de remboursement à valoir sur son Cink King (lire notre test du Wiko Cink King), et ce jusqu'au 30 juin prochain. Les modalités sont simples : pour tout achat d'un Wiko Cink King éligible (accompagné du macaron visible ci-dessus), 30 € seront remboursés à leur propriétaire après l'envoi d'un dossier complet regroupant un coupon imprimé et rempli, une preuve d'achat et un RIB, toutes les modalités étant consultables ici. Citons parmi les enseignes participantes Cdiscount, RueDuCommerce ou encore Amazon.

Pour rappel, le Wiko Cink King est un smartphone sous Android Ice Cream Sandwich doté d'un écran de 5 pouces d'une définition de 480 x 854 pixels ; il est animé par un processeur double-coeur Mediatek MT6577 cadencé à 1 GHz et couplé à 1 Go de RAM. Le tout mesure 147 x 76,5 x 9,7 mm pour un poids de 167 grammes.

Google Play Store : des photos de la nouvelle interface pour navigateurs web ont “fuité”

De nouvelles images de l'interface du nouveau Google Play Store pour navigateurs web ont fuité sur la toile.

On aime créer le buzz à Mountain View, dirait-on. Nous avions déjà eu un aperçu de ce que pourrait être la nouvelle version du Google Play Store pour navigateurs web durant la Google I/O. Aujourd’hui, des images ont filtré, laissant apparaître un design plus “achevé” du marché aux applications du géant américain.

Et c’est le site Droid-Life qui a été le premier à relayer l’information en diffusant quelques images donnant un aspect plus proche au Store web qu’à celui de l’application sur smartphone.

Google maintient le fond blanc, qui faisait jusque là partie de sa charte graphique. Cependant, tout le contenu apparaît désormais sous le format d’une carte, rendant la navigation plus ergonomique. Dans la partie gauche, des onglets indiquent le type d’applications que l’on souhaite télécharger (films, musique, livres…). La partie centrale est, elle, réservée aux recommandations de Google.

Cette nouvelle version du Google Play Store a été annoncée lors du Google I/O le mois dernier. Son lancement est attendu pour les prochaines semaines, voire les prochains jours. Google tente d’unifier l’aspect de ses applications afin de leur donner une certaine homogénéité. Ceci rappelle quelque peu la stratégie menée par Apple. Cette technique permet à la firme de se donner une identité visuelle, véritable cheval de bataille des services marketing.

Asus officialise le FonePad Note 6 pouces et Full HD

Le Computex 2013 ouvre ses portes aujourd'hui, et voici que se succèdent déjà les premières annonces du salon taïwanais. Commençons par Asus qui, alors même que le FonePad premier du nom débarque tout juste dans nos contrées, décline déjà sa tablette-smartphone en une phablette à proprement parler. Place aujourd'hui au FonePad Note.

Note, dites-vous ? Comme un air de déjà vu pour le nom de cette nouvelle phablette tout juste officialisée par Asus au Computex, où la marque vient de conclure sa conférence d'ouverture. Rappelez-vous le dernier Mobile World Congress de Barcelone, en février : le manufacturier taïwanais dévoilait un terminal hybride, au format tablette 7 pouces mais autorisant les appels téléphoniques (lire notre prise en main du FonePad, disponible en ligne autour de 219 €). Aujourd'hui, Asus propose une version un peu plus compacte de la tablette, le FonePad Note, cette fois catégorisée parmi les phablettes grâce à son format 6 pouces.

Un pouce de moins en termes de diagonale, mais ce n'est pas tout. Le FonePad Note, FonePad Note FHD 6 de son nom complet, se distingue de son grand frère par son écran, qui délaisse les 1280 x 800 pixels pour passer à une dalle Super IPS+ de définition Full HD, de quoi laisser entrevoir un affichage haut de gamme. Le grand chef d'Asus, Jonney Sish, a apporté quelques précisions supplémentaires concernant ce terminal accompagné d'un stylet, et notamment propulsé par un processeur Intel Atom Z2560 Clover Trail cadencé à 1,6 GHz, lui même couplé à 2 Go de RAM. Comptez également sur un capteur photo arrière de 8 mégapixels secondé par une caméra frontale de 1,3 million de points. Les connectivités combinent ici le Bluetooth (génération encore non-précisée), le WiFi 802.11n ainsi que le support du réseau DC-HSPA+ jusqu'à 42 Mbps.

Deux choses à espérer à présent, puisque Asus n'a pas encore communiqué de fiche technique précise concernant son FonePad Note 6 : d'abord, un tarif aussi abordable que celui du FonePad au format sept pouces, mais aussi la dernière version de l'OS Android, Asus étant resté on ne peut plus évasif sur ce dernier point.

Le nombre d’utilisateurs de tablettes tactiles explose

Selon une étude commune de Médiamétrie et du cabinet GfK, le nombre d’utilisateurs de tablettes tactiles en France a plus que doublé en un an.  Cette nouvelle étude met en lumière le nombre de foyers français étant équipés de tablettes tactiles au premier trimestre 2013. Ce chiffre s’élève à 5,1 millions, contre 2,2 millions de foyers équipés à la même période l’année dernière. Il s’agit d’une très importante progression en l’espace de douze mois. Ainsi, aujourd’hui, on atteint

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