jeudi 26 avril 2012

Doro, les personnes âgées et la question de l'interface

La semaine dernière, nous étions chez Doro pour découvrir leur nouvelle gamme de produits destinés aux personnes âgées et ce qui nous intéressait particulièrement, c'était bien entendu la suite logicielle pour Android. Mais avant de poursuivre, qui est Doro ? Si vous avez moins de 70 ans, vous ne devriez pas être familiers de la marque et pourtant, elle a vendu l'an passé à peu près 3 millions d'appareils dans le monde et s'étend petit à petit vers de nouveaux marchés. Doro est une entreprise suédoise qui s'est mis en tête d'apporter sur un plateau les nouvelles technologies à ceux pour qui elles ne sont pas pensées : nos ancêtres qui écrivaient des lettres sur du papier et lisaient des livres reliés.

Mais attardons-nous un petit peu sur cette notion d'interface “pour personnes âgées”, car évidemment, elle pose problème.  A-t-on, par le passé, créé des objets technologiques “pour les personnes âgées” ? Si l'on prend la télévision par exemple, le principe n'a que très peu changé depuis l'invention de l'engin et on voit souvent des écrans dernier cri chez nos grand-parents. Même chose pour la radio ou la voiture, les plus vieux d'entre nous utilisent à peu de choses près les mêmes objets que les jeunes. Du coup, pourquoi l'informatique subit-elle un traitement de faveur ? Peut-être que la réponse est plus simple qu'on ne le croit : d'un côté, les vieux de nos vieux étaient sûrement tout aussi réticents à adopter les nouvelles technologies de leur temps, de l'autre, il n'y avait peut-être pas d'offre pour les amener à changer leurs habitudes.

Un autre détour important à faire avant d'entrer dans le vif du sujet peut être traduit par la question suivante : pourquoi la technologie a-t-elle besoin de simplification pour répondre à un public particulier ? C'est déjà plus délicat. Si l'on cherchait un paradigme pour l'ergonomie, tel objet ou tel logiciel devrait répondre simplement à tel ou tel besoin. C'est ce que l'on juge quand on parle du caractère intuitif ou non d'une application ou d'un appareil. Malheureusement, la fonction “ergonomie” est inversement proportionnelle à la fonction “possibilités”. Si vous ajoutez des tas d'options, de fonctionnalités, de menus et autres personnalisations, le plus souvent, vous perdez en ergonomie.

C'est pour cela qu'un iPad par exemple peut être utilisé par un gamin de 2 ans et une personne de 80 sans qu'on lui explique ce qu'il faut faire : il suffit, en tout et pour tout, de toucher l'écran. On pourrait ne jamais se soucier des paramètres et iOS se résumerait alors en une succession de petites icônes qui ouvriraient des programmes. La réactivité du système étant sans commune mesure, le couple action à l'écran au doigt/réaction de l'application fonctionne à merveille et on a fait le tour des possibilités de l'OS en à peu près 3 minutes chrono.

Comme nous l'avons dit, cette simplification maximale a pour priorité l'expérience de l'utilisateur : le paradigme est inversé, Apple ne se soucie pas de ce que l'utilisateur voudrait faire, il lui propose des choses à faire le plus simplement possible. Cette idée de l'ergonomie a ses avantages et ses inconvénients, mais laissons-là iOS, c'est d'Android qu'il faut discuter. Et Android, au moins sur tablette, n'est pas un paradigme d'ergonomie. Au contraire, le système est tellement développé qu'il s'approche plus de l'informatique traditionnelle que d'un OS mobile : si l'on regarde Windows 8 ou Bada, on s'aperçoit que, comme sur iOS, le maître mot était aussi “simplification”.

Android : un système d'exploitation à la frontière du mobile et du bureau

Android est un système difficile à appréhender pour l'observateur novice – et a fortiori pour celui qui ne VEUT PAS apprendre. Comme ça, en y réfléchissant vite, on voit au moins une dizaine de notions à assimiler, si l'on ne prend que Android 4.0 : les bureaux, les widgets, les raccourcis, les applications, les fonds d'écran, les paramètres, les différents boutons physiques ou tactiles, le menu par “appui long”, le menu par la touche menu ou encore, la synchronisation des comptes Google. Vous ne vous en apercevez peut-être pas car cela fait partie de votre quotidien, mais imaginez faire assimiler tout cela à quelqu'un qui n'a jamais eu de tablette ou de smartphone… un calvaire, surtout quand vous vous rendez compte qu'il n'y a plus de “guide d'utilisation” en papier dans les boîtes.

Comment ça pas de port RJ45 ? Archos, ce n'est plus ce que c'était.

C'est d'autant plus dérangeant que certaines enseignes grand public ont des consignes de vente avec les produits Android et ne fournissent, eux, aucune consigne à leurs clients – j'ai moi-même rencontré des petits vieux qui s'étaient mis dans l'esprit de “se connecter à internet” : ils étaient allés vous savez où, on leur avait vendu une Box Numéricable et une tablette Archos G8, sous Android 2.1. Et c'est tout. Résultat ? Il fallait connecter la box à un PC en RJ45 pour activer le Wi-Fi : ils n'avaient ni PC, ni câble RJ45 et ne savaient même pas ce qu'était le Wi-Fi. Un dépannage facturé plus tard, ils se sont retrouvés sur une tablette complexe, avec un système qui ne lui était pas adapté à l'époque, un écran peu réactif pour des doigts âgés et des menus complètement abscons pour le béotien. Une semaine plus tard, la tablette était dans un placard, l'abonnement Numéricable tournait à vide. Qui avait gagné ? Le vendeur, le FAI. Le petit vieux, lui, avait tout perdu, son argent et sa motivation.

Les mêmes expériences ont dû être faites du côté de la téléphonie et même si la plupart des smartphones du milieu de gamme au haut de gamme n'ont aujourd'hui plus rien à envier à l'iPhone en terme de réactivité, Android n'est toujours pas à la portée des plus âgés. Et pourtant, grâce à son ouverture, Android est paradoxalement aussi le système le plus adapté au troisième âge réticent – précisons, après tout, il existe bien des papis-mamies technologiques.

Doro, pourquoi, comment ?

Doro sur Android, c'est ce que l'on pourrait appeler une “surcouche”, car, contrairement aux distributions proposées par les opérateurs, la suite logicielle ne remplace rien. Pour être plus précis, Doro est une “Home alternative”, comme Launcher Pro, ADW ou Go Launcher, ce qui permet à l'utilisateur de ne pas avoir à lancer une application pour y accéder : attribuée comme action par défaut à la touche “Home”, elle se lance automatiquement.

Du côté du smartphone ou de la tablette Android, la solution proposée par Doro se présente sous la forme de grosses icônes qui, elles, lancent des applications Android. On pousse encore plus loin le paradigme de l'ergonomie que sur iOS puisque les dossiers thématiques sont déjà organisés : l'utilisateur trouvera devant lui plusieurs grands menus, des loisirs aux réseaux sociaux, en passant par les photos ou les utilitaires. Mettez une tablette Android avec Doro dans les mains de n'importe qui, il saura l'utiliser en 2 minutes.

Contrairement à des tas de tablettes Android, tout sera traduit en français

L'idée derrière le système est simple : il faut que l'utilisateur final ne soit plus confronté au système d'exploitation mais à des actions réalisables simplement comme “regarder les photos de mes enfants”, “appeler mes amis avec Skype” ou “consulter l'annuaire”. C'est pour cela que Doro a deux faces : la suite logicielle vient avec une application web qui permet de contrôler à distance toute l'interface de la tablette. C'est vous, le fils ou le neveu technophile, qui contrôlez le système de votre grand-mère. Vous ajoutez des photos, vous réglez les paramètres, vous installez des applications.

Du coup, l'objectif est bien atteint : la personne ciblée par l'offre de Doro n'a devant elle qu'un ensemble d'actions qui évoluent en passant un coup de fil à l'admin, le fiston. Un monde idéal pour les deux, puisque de votre côté, vous ne devriez avoir aucun problème pour faire la maintenance des objets technologiques à distance. Doro associé à Android, c'est aussi l'assurance d'avoir un système évolutif puisqu'après l'initiation à la technologie tactile via Doro, libre à vous d'instruire votre Grand-mère ou votre Grand-père pour lui faire faire le grand saut sur l'OS complet.

Economie d'essence garantie

Vous voulez l'acheter tout de suite maintenant ? Il faudra encore patienter, malheureusement. Les logiciels Doro seront disponibles en français dans la deuxième partie de l'année et vendues bien entendu dans les grandes enseignes. Il reste pourtant encore plusieurs choses à faire pour que Doro puisse commercialiser son produit et certains problèmes risquent d'être difficiles à régler.

Barre des tâches et diffusion, ce qu'il reste à faire

D'abord, on en parle souvent sur LesArdoises, et malgré toutes les bonnes raison que vous avez pu nous opposer dans les commentaires, la barre des tâches d'Android toujours apparente sur tablette est un véritable problème. Quand nous avons discuté avec les développeurs et responsables techniques chez Doro, c'est la première chose qu'ils ont mentionné : cette fichue barre des tâches empêche le launcher Doro de s'afficher en plein écran. Résultat, il y a 3 ou 4 petits boutons complètement en désaccord avec la philosophie du système qui font double emploi avec des actions prévues par la surcouche. Leur rêve, comme le nôtre, serait de pouvoir activer un mouvement tactile pour la masquer, dans les options par exemple – ce que proposent déjà les constructeurs chinois sur les tablettes low-cost.

Ensuite, Doro aimerait conclure des partenariats avec les opérateurs pour proposer le logiciel en bundle avec une tablette ou un smartphone et un abonnement. Cela permettrait à la clientèle des “boutiques”, typiquement plus âgée, de s'équiper directement et pourquoi pas, de se renseigner auprès d'un vendeur qui aurait été formé spécialement. L'idée est bonne et pourrait éviter la malencontreuse aventure que nous vous racontions un plus tôt.

Bref, on peut conclure ces réflexions ergonomiques à propos de notre système préféré en remarquant que Doro a bien cerné le problème d'Android aujourd'hui et a, dans le même temps, trouvé la seule plateforme qui lui permettait de diffuser ses technologies adaptées aux seniors. Une firme qui pointe du doigt un problème et qui, au lieu de se plaindre de manière stérile, apporte une solution sur mesure, c'est plutôt rare, n'est-ce pas ? De notre côté, nous vous tiendrons informés de la disponibilité des produits Doro pour Android et nous pourrons éventuellement vous proposer un test complet, si bien sûr on arrive à convaincre une grand-mère cobaye !

Samsung dévoile sa prochaine architecture double-cœur à 1.5 GHz

L'architecture maison de l'entreprise coréenne Samsung évolue.

Actuellement en fabrication et destinée à plusieurs appareils mobiles de la marque, l'Orion Exynos 4210 à deux cœurs est gravée en 45 nm, avec une cadence qui peut varier entre 1 et 1.2 GHz selon les terminaux. D'après le site SamsungHub, le fabricant coréen aurait confirmé le développement actuel d'une nouvelle architecture baptisée Orion Exynos 4212. Toujours basée sur un ARM Cortex-A9, cette prochaine serait gravée plus finement en 32 nm avec une cadence poussée à 1.5 GHz, toujours en double-cœur.

Face à l'Orion Exynos 4210, cette prochaine version serait plus économe avec 30% de consommation en moins et un chipset graphique capable de fournir 50% de performances supplémentaires sur la 3D. Avec ça, l'architecture serait compatible avec un grand nombre de formats photo, capable d'enregistrer et lire de la vidéo en 1080p (comme avant), et supporter une sortie HDMI 1.4. Il serait sans doute très intéressant de connaître les performances de cette dernière, afin de les comparer avec l'OMAP4460 basée sur un double-cœur cadencé à 1.5GHz. 

L'architecture est annoncée au quatrième trimestre 2011 et une présentation de celle-ci sera prochainement prévue à l’événement du Samsung Mobile Solution Forum qui se déroulera à Taiwan.

Source SamsungHub.

Samsung GT-i9300 : Les premiers résultats sur GLBenchmark 2.1 et une sortie prochaine chez Vodafone ?

On continue sur notre lancée du Galaxy S III (GT-i9300 ?) avec les premiers résultats de l'outil GLBenchmark 2.1 et une sortie prochaine chez l'opérateur téléphonique Vodafone au Royaume-Uni.

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Selon les premiers résultats qui ont été obtenus, le scénario le plus probant est que le GT-i9300 (possible Galaxy S III) intégrera une architecture quadruple-cœur Exynos 4412 cadencée à 1,4 GHz, qui s'avancera avec la puce graphique Mali-400 (cette fois cadencé à 440Mhz contre 266Mhz dans le SGSII). L'architecture Exynos 4412 est gravée en 32 nm et est basée sur un SoC ARM Cortex-A9, contrairement à l'Exynos 4210 du Galaxy S II qui est également basée sur un SoC ARM Cortex-A9, mais avec une gravure en 45nm et seulement en double-cœur.

Beaucoup disent que Samsung aurait peut-être du attendre l'Exynos 5250, une architecture double-cœur avec une cadence plus élevée (~ 2GHz) et un SoC basée sur l'ARM Cortex-A15, avec la nouvelle puce graphique Mali-T604 (qui a dit Terminator) pour son Galaxy S III. Hélas, ce type d'architecture est encore trop jeune pour arriver sur le marché à ce jour et semble encore à l'étude/essai chez plusieurs constructeurs, dont Samsung qui pourrait sortir ultérieurement un ou plusieurs modèles embarquant cette dernière, notamment avec les hypothétiques Galaxy B, Galaxy Note 2, etc.

Comme on peut d'ores et déjà le supposer, les résultats obtenus sur l'outil de GLBenchmark 2.1 viennent sûrement d'un prototype du smartphone, où l'optimisation n'est pas encore au sommet de sa puissance. Cependant, ça nous permet dans un premier temps de se faire une idée sur ce premier jet et ainsi savoir à quoi s'attendre. Un premier jet qui est plus que concluant puisqu'il terrasse quelques uns des plus performants smartphones du moment.

Dans la liste, nous avons :

  • 1. le Samsung GT-i9300 : Résolution 720p, CPU Exynos 4412 (quadruple-cœur) avec son GPU Mali-400
  • 3. le HTC One S : Résolution 540p, CPU Snapdragon S4 (double-cœur) avec son GPU Adreno 225
  • 4. le Samsung Galaxy S II : Résolution 480p, CPU Snapdragon S3 (double-cœur) avec son GPU Adreno 220
  • 5. le Google Galaxy Nexus : Résolution 720p, CPU TI OMAP4430 avec son GPU PowerVR SGX540

Sur GLBenchmark 2.1 Egypt Offscreen, le GT-i9300 est devant tous les autres smartphones avec plus de 90 images par seconde.

Même résultat sur GLBenchmark 2.1 Pro Offscreen, le GT-i9300 l'emporte également autour des 130 images par seconde.

Désormais, la puce graphique Mali-400 atteint sa première année d'existence et on voit clairement qu'elle s'offre une nouvelle jeunesse avec l'Exynos 4412.

Si le constructeur coréen souhaite continuer à être un réel concurrent dans ce domaine, il se doit avant tout de privilégier la meilleure optimisation possible afin de faire face en temps voulu à chaque évolution du marché. Pour rappel, Samsung finalise/produit en ce moment-même sa prochaine architecture Exynos 5250 double-cœur montée sur un SoC ARM Cortex-A15 qui s'accompagnera normalement aussi par la puce graphique Mali T-604, et qui suivra un peu plus tard avec l'Exynos 5450 quadruple-cœur avec la possible intégration de la puce graphique Mali T-658 (encore à confirmer).

Pour conclure, le Samsung Galaxy S III sera prochainement lancé chez l'opérateur téléphonique Vodafone au Royaume-Uni, pour une sortie qui devrait théoriquement s'étaler sur l'Allemagne et la France (chez SFR).

Rendez-vous le 3 mai pour la présentation du Samsung Galaxy S III :

via AndroidandMe (1, 2)
source Phone ArenaVodafone et Google Play

Le Samsung Galaxy S III est bien le GT-i9300 + ses caractéristiques

La réponse vient de Kies : le Galaxy S3 existe bien en tant que tel et correspond au GT-i9300.

Des rumeurs circulaient comme quoi le Galaxy S III ne serait pas lancé sous ce nom et que par conséquent le GT-i9300 ne lui correspondrait pas. Mais grâce à Kies (le logiciel que tout le monde déteste), on apprend que le futur téléphone phare de Samsung ne bouge pas d'un iota en matière de convention de nommage. Vous noterez que deux variantes sont proposées, dont le GT-i9300T. Tout comme sur le Galaxy S II, le GT-i9300 correspondrait à la version internationale. La déclinaison “T” serait destinée à l'opérateur américain AT&T.

Mais on ne s'arrête pas en si bon chemin, car ce fameux modèle vient de débarquer dans les statistiques du benchmark AnTuTu. L'avantage est qu'il permet d'obtenir les caractéristiques détaillées :

  • Android 4.0 (avec TouchWiz)
  • Ecran de 4,7 pouces
  • Résolution de 1280 x 720 pixels
  • Processeur double-coeur Samsung Exynos 4212 cadencé à 1,4 GHz
  • 1 Go de RAM
  • Caméra de 12 mégapixels
  • Caméra frontale de 2 mégapixels

Crédits : DroidDog

Les smartphones avec les touches tactiles ont généralement une définition diminuée de quelques pixels. Ici le 1280 pourrait indiquer que Samsung ait finalement choisi des touches sensitives, à moins qu'il s'agisse d'une modification logicielle.

Il ne reste plus qu'à attendre le 3 mai prochain, à moins que d'ici là on obtienne d'autres infos !

mercredi 25 avril 2012

Cordy Sky, le test sur Android

On a déjà parlé de Cordy ici et . Voici à présent le test de Cordy Sky, un jeu développé par SilverTree Media, en ce moment, tête de gondole du Google Play, nous allons voir son potentiel.


Cordy Sky

Installation et Démarrage

Cordy Sky ne pourra pas fonctionner sur tout support, étant en 3D et assez gourmand, le jeu ne tournera pas aussi bien sur tel ou tel support (les monocoeurs auront du mal, le jeu n’arrive même pas jusqu’à l’écran d’accueil sur mon X10!), cependant vous pouvez prend le risque. En effet, Cordy Sky est gratuit et léger (moins de 17mo), ce qui fait de lui un très bon choix pour les amateurs de casual gaming.

Pour vous donner une idée, j’effectue ce test sur une tablette Asus Transformers (première du nom) et le jeu n’est pas fluide à cent pour cent. Cependant, Cordy marque un point! On trouve dans les options, la possibilité de réduire la qualité des graphismes, ce qui rend dans mon cas le jeu vraiment plus fluide.

Scénario

Bon… Ce n’est pas encore ça, mais il y a de la volonté! Vous incarnez Cordy, qui souhaite atteindre la planète 2, manque de pot il a plus de jus dans sa fusée, et se ramasse sur une planète qu’il ne connaît pas. Un robot nommé Volt va l’aider, en lui donnant de super conseils, à recharger sa fusée.


Courage Cordy!

But et principe du jeu

Vous devrez donc ramasser cinq pièces (représentante de la fin d’un niveau) pour ravitailler la fusée de mister. Pour cela, vous trouverez au cours des niveaux des rouages qui feront office de monnaie et permettrons de débloquer de nouveaux items pour atteindre la fin de chaque niveau plus simplement.

Ce jeu est une sorte de mélange entre les célèbres DoodleJump et MegaJump, grimper, toujours plus haut, en amassant bonus et en débloquant de nouveaux contenus.


Toujours plus haut?!

Univers graphique

On est en présence d’un univers graphique enfantin, plein de couleurs, tout le monde rigole et malgré le fait que pleins de choses soit contre le retour de Cordy en essayant de le tuer. C’est mignon?! Soyons sérieux, on est dans un univers en 3D simpliste, assez bien maîtrisé, une cohérence graphique qui fait plaisir, surtout vu le nombre de bouses que l’on trouve sur Android.

Le seul bémol est que le jeu n’est graphiquement pas optimisé pour tablette, de nombreux éléments pixélisent (boutons, indicateurs…), c’est dommage.


C’est bien beau?!

Jouabilité

Alors là?! Ça se gâte. Dès que l’on appuie sur jouer, trois options se présentent à nous afin de contrôler notre petit Cordy, j’ai été agréablement surpris. Une avec des touches classiques, l’autre grâce à l’accéléromètre et la dernière en faisant glisser le doigt. Mais pourquoi ? Est-ce vraiment pour proposer une expérience à l’utilisateur plus complète ? À la vue des deux contrôles sur trois, tout simplement injouable (doigt et accéléromètre), je pense que c’est surtout pour compenser ce problème. Comme dit précédemment, le jeu est peut-être plus optimisé sur smartphone, ça reste à voir. Autrement, sur le contrôle restant, le jeu est très agréable et facile à prendre en main.


Ca à l’air bien…

Durée de vie

De ce côté là, je pense que vous aurez de quoi faire, les différents niveaux de jeu sont très complets et peu répétitifs, on à des minijeux directement intégrés, des tableaux complètement différents au fil des levels. De plus il vous faudra de la patience?! En effet, lorsque l’on tombe, on recommence du début, pas de reprise intermédiaire, il existe tout de même des fusées de secours (il est bien prévoyant ce robot…). Bien sûr, on note la possibilité d’acheter grâce à nos rouages des boosts nous permettant de quasiment sauter un niveau.


Des boulons en masses?!

La trame principale ne sera pas bien longue à finir, mais pour les vrais challengers qui voudront tout débloquer, de nombreux succès et achats sont à faire, des costumes, des couleurs, des boosts… Bref, il faut en vouloir pour le terminer à 100%.


Plus que trois?!

Musique et Son

Avec un jeu en 3D pour 17 Mo, on ne s’attend pas à avoir une bien belle bande sonore?! Et pourtant, le jeu est pourvu de plusieurs musiques, certes pas des plus recherchées, et du genre à finir désactivé après une ou deux parties, mais qui collent à l’univers de ce petit robot.

Les bruitages sont plutôt réussis, on observe quelques défauts de qualité, et de légers bugs sonore lorsque l’on ramasse énormément d’objets à la fois.

Note et conclusion

Scénario : 11/20
Principe : 13/20
Graphisme : 16/20
Jouabilité : 9/20
Son : 12/20

Conclusion : 12/20

Ce jeu mérite d’être testé, d’autant plus qu’il est gratuit et léger. Je conclus sur le fait qu’il est possible d’acheter des rouages via un cash shop, mais vu la vitesse ou cela monte, ce n’est vraiment pas indispensable. Pour finir, la vidéo de présentation du jeu.

Cordy Sky
SilverTree Media

Voici Cordy Sky, qui vous est présenté par SilverTree Media, l'équipe à l'origine des jeux déjà classés n° 1, Cordy et Sleepy Jack!Lors de son voyage vers Planète 2, Cordy s'écrase sur une mystérieuse planète, où il rencontre un robot solitaire du nom de Volt. Ils décident alors ensemble de...

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Bon jeu?!

Samsung pour la quatrième génération de Nexus ?

Selon Digitimes, Google, le géant de Moutain View aurait déjà décidé qui construira sa quatrième génération de Nexus.

Je cite : ”Depuis Samsung est devenu un grand fournisseur de smartphones Android, Google continuera donc sur sa lancée avec Samsung pour le développement de sa prochaine génération de modèles Nexus, misant sur la capacité d'innovation de Samsung à l'égard de la plateforme Android, et sa capacité à contrôler l'apport en composants clés.”

A ce jour, il y a eu trois Nexus commercialisés dans le monde :

Samsung est le seul constructeur a avoir eu l'opportunité d'en fabriquer deux, et aurait l'honneur d'être de nouveau désigné pour co-produire le quatrième. Selon vous, est-ce un bon choix de la part de Google ? ne faudrait-il pas mieux s'orienter vers d'autres constructeurs, comme par exemple HTC, LG, Sony ou encore Motorola (jokes) ?

Info ou intox, l'avenir nous le dira.

via AndroidandMe
source Digitimes

Annu, l'annuaire inversé pour les particuliers et les professionnels est disponible sur Android

Annu, l'annuaire inversé destiné aux particuliers et aux professionnels est disponible sur Android.
Ce n'est pas la seule à proposer ce type de service, d'autres applications le font déjà.

Iliad, une société fondée par Xavier Niel lance en 1996 le service 3617 Annu, une filiale qui développe, produit et commercialise des services d'annuaire inversé. Contrairement à l'annuaire traditionnel qui permet de trouver le numéro d'une personne à partir de son identité ou de son adresse, l'annuaire inversé lui, permet de retrouver l'identité et l'adresse d'une personne à partir de son numéro de téléphone.

En quelques mots, voici les fonctionnalités principales :

  • la recherche via une géolocalisation, tapez coiffeur et annu vous retournera le coiffeur le plus proche de votre position
  • la recherche en saisissant une ville, une adresse, une région, bref une information que notre moteur serait susceptible de comprendre pour vous aider à trouver votre bonheur
  • la recherche en direct : vous recevez un appel ? Annu sera capable de vous donner le nom du correspondant en direct

Compatible dès Android 2.1, l'application fait ~ 750 ko et est disponible gratuitement :

Annu - l'annuaire inversé
Free SAS

Après avoir révolutionné le minitel avec 3617 annu, l'annuaire le plus simple et efficace débarque sur Android. Annu est incontestablement l'annuaire inversé le plus rapide, ergonomique et simple disponible aujourd'hui pour votre mobile. La recherche de professionnels et particuliers se fait via une barre unique, plus forte que la barre...

Télécharger Gratuit Disponible sur Google Play

Le site officiel.

Ces jeux Android qui vous feront perdre votre temps

Jouer sur téléphone, c’est un peu comme lire un magazine aux toilettes : c’est parfois tellement prenant qu’on en oublie vite le principal ;) . Et c’est ce dont je vais traiter aujourd’hui avec trois jeux Android qui risquent de vous faire découvrir les joies du voyage dans le temps : vous commencez à jouer, vous vous rendez compte une heure plus tard que vous devriez déjà être parti travailler (et ce n’est pas du vécu bien entendu).


Voilà certainement un jeu qui a fait des victimes, ou plutôt toute une série : les jeux Kairosoft ! Tout a commencé avec Game Dev Story, un petit jeu de gestion de studio de développement de jeux vidéo. Puis d’autres sont venus se rajouter à l’équation : Hot Spring Story, Pocket League Story, Grand Prix Story, etc, et celui qui nous intéresse : Dungeon Village (Story ? Non !). Le but très simple est de créer un village capable d’acceuillir des aventuriers dans un monde médiéval fantastique. Vous partez de zéro, avec quelques personnes qui se sont perdues sur le chemin, et vous construisez le meilleur parc d’attraction pour héros ! Ca parait trop simple ? D’accord. Alors si on rajoute à ça un système de classes pour vos héros (au nombre de 27, dont les classes non mixtes) ? Ah déjà, c’est un peu mieux ! Et du leveling ? Okay, et pourquoi pas un peu de crafting ? Ça commence à faire pas mal !

 

Il y a même des dragons roses, si ça c’est pas une bonne raison d’y jouer !

 

L'idée est très simple : vous créez quelques infrastructures pour les éventuels héros qui viennent visiter, ils partent chasser des monstres, faire des quêtes pour vous, vous gagnez de l’argent, vous améliorez la ville, puis d’autre arrivent, etc. Vous pouvez trouver des objets qui vous permettrons d’augmenter les caractéristiques de vos bâtiments et héros ou d’améliorer la rentabilité de vos constructions, et plus tard dans le jeu les jeter dans un chaudron pour créer par la suite de nouveaux objets. Et à la gestion s’ajoute une légère composante RPG : équipez vos héros avec de l’équipement et envoyez-les en mission pour qu’ils puissent se faire de l’expérience. Tout ça parait pourtant très simpliste, mais terriblement prenant : la courbe de progression est là, et jusqu’à la 16ème année de jeu vous découvrirez encore de nouveaux bâtiments et de nouvelles armes, vos héros se feront de plus en plus nombreux, vos profits de plus en plus grands ne seront presque jamais suffisants pour satisfaire vos besoins de perfectionnisme.

Le jeu est en anglais malheureusement, comme toute la gamme Kairosoft, mais assez simple pour comprendre les mécaniques de jeu. On retrouvera d’ailleurs quelques petites références, comme un certain Harry Potler ou autres Sephy Roth et j’en passe. Bref, un peu d’humour également !

 

L’auberge, le lieu le plus rentable du jeu. Tenez-le vous pour dit : vos aventuriers passent leur temps à dormir et à picoler.

 

Et si jamais ça ne vous suffisait pas, je ne peux que vous conseiller tous les jeux Kairosoft qui sont de la même facture, bien qu’assez similaires sur le principe mais tout aussi prenants.

Dungeon Village
Kairosoft Co.,Ltd

Welcome to an epic RPG world in which the town you build can grow from humble hamlet into a mecca for the land's most ambitious adventurers!The enterprising warriors that stop by your blossoming burg will defeat monsters and earn you money. Conquering dungeons and clearing out hordes of monsters will...

Télécharger 3,80 € Disponible sur Google Play

Celui-là ne plaira pas à tout le monde car assez difficile et dans un genre apprécié surtout par les plus patients d’entre nous : les shoot’em up. Voici donc Shogun, un petit manic shooter développé par int13, petit studio parisien. Un manic shooter, mais qu’est ce que c’est ? C’est le genre où l’écran est envahi de tirs ennemis et où il est plus important de les esquiver que de les tuer. C’est un genre assez exigeant, surtout en patience, mais c’est aussi l’un des plus gratifiant.

Les mécaniques sont assez simples : vous disposez d’un vaisseau dont la hitbox est limitée à un pixel (très utile) et possédant trois armes et un bouclier. Bouclier qui possède plusieurs charges, qui servent à la fois à l’amélioration de vos armes et pour dégager l’écran de toute boulette adverse. Sacré dilemme : améliorer vos armes ou garder votre bouclier ? A vous de voir ! Surtout que le seul moyen de le recharger, c’est en frôlant les tirs. Oui, c’est du sadisme. Le jeu est divisé en 4 niveaux (pour l’instant), dont la difficulté est bien sûr progressive (et faites-moi confiance le dernier vous donnera du fil à retordre), la maniabilité quant à elle (point très important) est plutôt bonne puisqu’il suffit de bouger le doigt sur l’écran pour que le vaisseau suive le mouvement, peu importe où celui-ci se trouve. Les musiques du jeu sont simples mais agréables, et il y a même un leaderboard au niveau mondial, national et de la ville. C’est un jeu d’apprentissage par l’échec il n’est donc pas à mettre entre toutes les mains, mais pour qui est friand du genre on peut être certain que la perte de temps peut être significative.

 

Prendre un screenshot tout en évitant les tirs ? Challenge accepted !

 

Bref, testez la démo, pleurez un bon coup après avoir explosé 15 fois contre le premier boss et appréciez vos efforts lorsque vous lui assénerez le coup final !

Shogun (Version d'essai)
int13.net

Ceci est la version d'essai de Shogun: Rise of the Renegade.Nous avons créé ce jeu comme un hommage au Manic Shooter ou Bullet Hell Shoot'em up (aka Danmaku) japonais, tout en y ajoutant une interface pensée pour le tactile et des graphismes HD.★★★★★★★★★★En tant que joueurs de shmup, notre premier...

Télécharger Gratuit Disponible sur Google Play

Shogun: Bullet Hell Shooter
int13.net

Merci de tester la version d'essai du jeu avant d'acheter afin d'éviter les problèmes de compatibilité.Nous avons créé ce jeu comme un hommage au Manic Shooter ou Bullet Hell Shoot'em up (aka Danmaku) japonais, tout en y ajoutant une interface pensée pour le tactile et des graphismes HD.★★★★★★★★★★En tant que...

Télécharger 2,38 € Disponible sur Google Play

Et maintenant qu’on a frôlé la mort à de nombreuses reprises et dirigé un village de valeureux héros, pourquoi ne pas se prendre pour Dieu ? C’est ce que propose Doodle God.

Effectivement, Doodle God n’est pas si récent : c’est à la base un jeu flash qui a par la suite été porté sur iOS, puis sur Android encore plus tard. Le pitch : vous êtes Dieu, vous connaissez les quatre éléments de base : l’eau, le feu, l’air et la terre, et votre but est de recréer le reste à partir de ça en les combinant, pour un total actuellement de 248. Oui, rien de plus basique, vous prenez un élément, vous en sélectionnez un second et le tour est joué, en voilà un troisième ! Oui, perdre du temps sur un jeu aussi simple peut être relativement facile.

 

La seule mécanique de jeu, on ne peut pas faire plus simple !

 

Il existe également une alternative du nom de Doogle Devil du même studio, dont le but est de recréer les péchés et tous les travers de la société. Oui, on trouve parfois des idées bizarres. Une version dite Free-to-play est disponible, où l’achat d’indices se fait à l’aide d’argent réel, essayez-la, perdez votre temps, regardez l’heure l’air abasourdi et retournez-y puisque de toute façon c’est déjà trop tard.

 

L’un des premiers éléments à découvrir. Coïncidence ?

Doodle God™ F2P
JoyBits Co. Ltd.

Over 40’000’000 players tried to create their own world in the last few months! *******“Amazing polish, much much better than Alchemy game” - Galvin“The game provides a unique satisfying sense of discovery whenever you find a new match”, 8/10 - AndroidRundown.com“…you realise the true genius behind Doodle God’s alluring gameplay”,...

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Doodle Devil™ F2P
JoyBits Co. Ltd.

Over 55’000’000 players tried to create and destroy their own world in the last few months! Follow us to get early access to exclusive content, price drops and updates:www.facebook.com/doodlegodwww.twitter.com/#!/joybitsmobile*******“Amazing polish, much much better than Alchemy game” - Galvin“The game provides a unique satisfying sense of discovery whenever you find a...

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Prise en main de Boid, un client twitter alternatif aux couleurs d'Android Ice Cream Sandwich

J'avais envie de vous toucher quelques mots sur Boid, ce client twitter alternatif intéressant qui ressemble assez à Carbon et qui reprend avec délectation l'esprit d'Ice Cream Sandwich.

Actuellement en version alpha test, ce client twitter alternatif est pourtant très stable et plait à un grand nombre d'utilisateurs avec des mises à jour régulières, pour une application agréablement bien optimisée. Hélas, étant donné qu'elle reprend les APIs même de la version 4.0, elle se verra uniquement compatible avec cette même version du système d'exploitation mobile de Google.

Notons également que l'application supporte bien le multi-compte et la seule solution que j'ai trouvé pour en mémoriser plusieurs est d'utiliser la navigation privée de Chrome ou à l'aide d'un navigateur mobile web alternatif. Par défaut, tous les tweets, les réponses, etc ..seront mélangés mais très facilement distinctifs par un marqueur de couleur qu'il faudra au préalable configurer dans la section profil. Une autre option permet de consulter vos listes d'actualités (Timelines) séparément, afin d'avoir une vision plus claire sur ce que vous souhaitez.

Dans l'ordre, elle regroupe cinq onglets :

  • 1. Profils permet de visionner, ajouter et/ou supprimer des comptes, mais aussi modifier la couleur des marqueurs de comptes
  • 2. Timeline regroupe tous les tweets (actualités) de votre liste d'abonnements, (*) ainsi que la possibilité d'y répondre, retweet et mettre en favori
  • 3. Reply liste toutes les réponses qui sont faites à vous-même, (*) ainsi que la possibilité d'y répondre retweet et mettre en favori
  • 4. MP (Messages privés) est la partie dédiée à vos messages d'ordre plus personnel
  • 5. Tendances du jour regroupe un ensemble des #hashtags les plus utilisés sur le réseau en ce moment

Encore mieux, vous pouvez ajouter et/ou supprimer des colonnes, mais aussi définir une colonne par défaut.

Sur le bas de l'application, plusieurs actions rapides sont accessibles :

  • 1. Ecrire un tweet avec la possibilité d'y ajouter une image et/ou votre localisation actuelle
  • 2. Rechercher un tweet ou un utilisateur quelconque..
  • 3. Aller à ..est une option qui permet d'avoir une vision plus claire et divisée de vos comptes (timeline et profil individuels)
  • 4. Actualiser un onglet.. cette option est aussi disponible sur un glissement du doigt vers le bas sur tous les onglets

La section Paramètres regroupe :

  • L'action de base qui permet d'effacer l'historique des recherches
  • L'aide : Informations à propos de l'application et de ses développeurs
  • Apparences : Activer les icônes des onglets de la Timeline ou changer le Thème (1, dont 2 en développement)
  • Media : Effacer et consulter la taille du cache, activer ou bloquer le téléchargement des avatars et des médias (pour économiser le forfait data mobile)
  • Sécurité : SSL pour les connections encryptées et sécurisées | Activer ou désactiver l'indication de votre position

Une fonctionnalité importante est absente : les notifications en push (pour la prochaine màj).
Ne nous affolons pas, il s'agit bien d'une version alpha qui sera amenée à évoluer.

  • Compatible à partir d'Android 4.0
  • Taille de l'application : ~ 809 ko

Entièrement en français, Boid est disponible gratuitement sur le Play Store :

Samsung GT-i9300 (Galaxy S 3 ?), un second prototype se dévoile avec la personnalisation des boutons de la barre d'actions rapides

Après la première fuite d'un prototype du GT-i9300 (supposé être le Galaxy S III), on revient aujourd'hui avec ce qui pourrait se caractériser par un second prototype.

Les différences sur ce second modèle sont très minimes, sauf bien-sûr la suppression du logo constructeur qui était gravé en pied d'écran et qui se remplace par la fameuse touche physique d'accueil qui est connue sur les Galaxy S et Galaxy S II. Ce n'est pas tout, lorsque l'on regarde les différentes photos de l'appareil, on peut également y distinguer une modification au niveau de barre tactile des touches d'actions rapides, qui pourrait donc théoriquement être personnalisable par le biais d'options. En partie, ça répond favorablement à la rumeur des cinq boutons tactiles d'actions rapides, car s'il est possible d'en mettre trois ou quatre, il doit être envisageable d'en mettre un cinquième.

Samsung GT-i9300 (Galaxy S 3 ?), un second prototype se dévoile avec la personnalisation des boutons de la barre d'actions rapides    Voir toutes les galeries

Le smartphone a l'air d'être sur Ice Cream Sandwich avec la dernière version de TouchWiz.

Pour les caractéristiques techniques, ça se passe sur cet article.
Sachez qu'il s'agit d'un prototype, le design et les caractéristiques peuvent très bien changer.

via TheVerge
source Mobile01