Virgin Mobile vient de lancer officiellement une nouvelle gamme de forfaits nommée Extaz. C'est la deuxième réponse de Virgin Mobile, après avoir lancé des forfaits dédiés aux abonnés, voici Extaz. Exatz est une gamme de forfaits pour les nouveaux abonnés, trois forfaits avec et sans engagements. Le premier Full MVNO français a préféré laisser le choix aux utilisateurs, avec l'ancien modèle où l'opérateur subventionne votre mobile sous réserve d'un engagement de 12 à 24 mois, et le nouveau modèle sans engagement et sans subvention mobile.
Il ne vous reste plus qu'à prendre votre calculette. Par exemple, avec le Galaxy S II blanc disponible à 482 euros chez Amazon FR.
Free Mobile non abonné (tout illimité) à 19,99 * 24 + 482 = 961,76 euros
Free Mobile abonné Free ADSL (tout illimité) à 15,99 * 24 + 482 = 865,76 euros
Côté réseau, Virgin Mobile est presque un Full MVNO, des tests sont réalisés actuellement pour un déploiement grand public fin février. Ce qui lui permettra de se reposer sur les réseaux d'Orange et SFR. La situation devrait donc s'améliorer côté débit, Virgin Mobile a donc des cartes en main… Néanmoins aucun faux pas n'est toléré dans ce marché bien plus concurrentiel qu'il ne l'a jamais été.Consultez notre résumé des forfaits “conseillés” pour vos androphones
Le Galaxy Nexus violerait le modèle d'utilité du “slide-to-unlock” qu'a déposé Apple en Allemagne.
Il y a quelques mois, Apple a réussi à breveter le système de “slide-to-unlock” auprès des autorités compétentes américaines. C'était une déconvenue pour ses concurrents et notamment Android, qui utilise ce système depuis longtemps. Si l'appellation anglaise ne vous dit rien, il s'agit de l'action consistant à glisser un élément vers un autre pour que le téléphone se débloque. Ce brevet n'a été validé qu'en octobre dernier, mais les premiers dépôts ont eu lieu en décembre 2005, bien avant que le premier iPhone soit mis à la vente.
En position de force, le géant de Cupertino a indiqué à la cour régionale de Mannheim (Allemagne) que le Samsung/Google Galaxy Nexus enfreignait son “modèle d'utilité” (Gebrauchsmuster) sur le “slide-to-unlock”. Dans ce pays, il est possible à la fois de déposer un brevet et un “modèle d'utilité” pour une même invention. Ce dernier est un droit de propriété intellectuelle, qui est généralement plus court sur la durée de validité qu'un brevet et moins contraignant pour être validé. En Allemagne, il y a donc le brevet pour le slide-to-unlock et le modèle d'utilité (déposé en 2006).
Ce n'est pas particulièrement la nouvelle implémentation d'Android 4.0 qui est en cause, car jusqu'à présent les terminaux étaient à priori trop récents pour être accusés. Bien que Samsung soit visé par Apple, c'est plus généralement Android qui est en cause. Pour rappel, le Galaxy Nexus offre une version dépourvue de couche constructeur. Or les fabricants utilisent en partie ou dans son intégralité l'interface de base. Google devra donc agir pour éviter que d'autres constructeurs se fassent attaquer. Le cas sera examiné le 16 mars prochain, mais qui ne devrait toutefois pas stopper la faim de nouveaux procès de ces deux marques.
La défense de Samsung se portera sur la société Neonode, qui a proposé cette technologie bien avant Apple. Cet élément avait déjà été utilisé l'année dernière, lors d'un autre procès entre les deux entreprises aux Pays-Bas.
Pour ce qui est de HTC, les versions de Sense supérieures à la 3.0 utilisent une autre méthode et les terminaux Samsung proposent de glisser une page par exemple. Il existe donc des alternatives à ce système de slide-to-unlock.
HTC va utiliser les applications d'IBM pour essayer d'accroître la part de marché d'Android dans les entreprises.
HTC et IBM ont indiqué que les deux entreprises allaient désormais travailler ensemble pour pousser davantage Android dans les entreprises. Pour cela, les applications orientées business de Big Blue vont tourner sur les smartphones et tablettes de la marque taïwanaise.
Le système d'exploitation de Google est souvent pointé du doigt comme étant victime de failles. Ce partenariat entre les deux entreprises concerne également une mise en avant de l'aspect sécuritaire.
“Ce n'est que récemment que HTC a fait son irruption dans le monde des entreprises. Nous nous dirigeons vers le chiffre magique de 100 millions de terminaux vendus dans le monde.
Nous voyons IBM comme le partenariat en or pour le monde des entreprises. Nous voulons nous assurez que lorsqu'IBM parle d'Android ou de tablettes, HTC soit dans la conversation.” (David Jaeger – HTC)
Un tel accord est à première vue très appréciable pour l'écosystème Android, avec l'arrivée potentielle d'un marché jusqu'alors réticent. Mais il faut toutefois relativiser ce type d'annonce, car Motorola a fait des efforts dans le domaine (une tablette de 7 pouces pour les professionnels existe), mais les retombées n'ont été que très minces.
Il est vrai que le monde professionnel n'a jamais été le point fort d'Android. BlackBerry est toujours une référence, avec notamment son système de mail crypté, mais qui voit sa côté de popularité s'effriter à cause d'une gamme peu ambitieuse et un retard par rapport à la concurrence. C'est Apple qui semble connaître les faveurs des entreprises, avec des efforts pour supporter Exchange, les protocoles de cryptage ou encore le contrôle à distance des administrateurs.
Android a fait des efforts mais qui sont bien minces dans ce domaine, à tel point qu'il est généralement nécessaire de se tourner vers des technologies tierces pour s'assurer du support de fonctionnalités pourtant largement utilisées.
Le partenariat entre HTC et IBM devrait tout même avoir des retombées positives. Le grand public semble moins attiré par les smartphones HTC à la fin 2011, chercher des perspectives de croissance dans d'autres domaines est donc le bon choix.
La firme indienne Notion Ink recommence à faire parler d'elle, en donnant quelques détails de l'Adam II. Les erreurs du passé auront-elles été corrigées ?
Au CES 2010, une entreprise inconnue se démarquait de la concurrence en annonçant la première tablette sous nVidia Tegra 2. Pendant de longs mois, elle a réussi à faire le buzz notamment grâce à son écran Pixel Qi, qui permet une lecture au soleil (un peu comme les ebooks). Sortie initialement sur Froyo avec une interface nommée Eden, cette tablette n'a pas eu le succès escompté. Plusieurs raisons : des stocks dérisoires, une finition très variable (écran avec des mauvais angles de vue et contraste pauvre) et des bugs à la pelle au lancement.
La firme indienne recommence toutefois à faire parler d'elle, après l'annonce et la démonstration de la mise à jour d'ICS sur la Adam, c'est maintenant au tour de l'Adam II de faire son apparition.
Toujours est-il que la firme indienne compte remettre le couvert avec cette fois-ci une version qui tournerait sur un processeur Texas Instrument 44xx, comme les dernières tablette Archos ou Motorola. Les rumeurs de Tegra 3 étaient donc infondées. Comme à son habitude le PDG (Rohan Shravan) nous parle d'éléments novateurs comme la “Modular Based Software Architecture”. Avant de tomber une nouvelle fois dans le panneau, nous préférons voir le rendu final et ne pas succomber aux sirènes du buzz.
On suppose que la technologie PixelQI sera toujours de la partie, mais pour cela il faudra surement attendre le MWC. La caméra rotative pourrait également être de la partie.
Ayant bataillé pendant de très longs mois sur Android 2.3 (Gingerbread), l'Adam II bénéficiera dès son lancement de la version 4.0 (Ice Cream Sandwich). Pour Honeycomb, Google avait choisi de ne livrer son code qu'à certains partenaires et Notion Ink n'en faisait pas partie. La firme indienne devait donc modifier profondément cette version prévue pour les smartphones pour obtenir un rendu convenable sur une tablette.
Toujours en développement, voilà que les développeurs du jeu Counter Strike sous Android mettent à la disposition de la communauté, depuis quelques jours maintenant, les premières versions de leur jeu développé sur le moteur graphique d'Unity 3D au téléchargement libre.
Ça remémore bien l'époque Half-Life, Day of Defeat, Opposing Force, Team Fortress et toutes les autres variantes qu'a pu avoir Half-Life.. Nostalgie quand tu nous tiens. C'est évident que sur smartphone la maniabilité ne sera pas aussi intéressante que sur PC (à moins que vous jouiez avec une manette de jeux) puisque grand nombre d'entre nous n'ont pas la chance de posséder une configuration adéquat pour en profiter pleinement. La bonne nouvelle est qu'il est possible de changer la vue, et ainsi profiter d'un jeu à la première ou à la troisième personne.
C'est bien la première fois que l'on parle de Nova Launcher sur le blog, une application développée par Tesla Coil. Plus précisément, il s'agit d'une reprise de la base du launcher d'Android Ice Cream Sandwich, Trebuchet, avec plusieurs améliorations intéressantes que ne proposent pas la version par défaut.
Beaucoup d'entre vous/nous (dont moi je ne vous le cache pas), trouvions dommage que Google ait retiré l'option de l'appui long sur le bureau pour accéder au widget.. Nova Launcher, lui, propose bel et bien cette option, il offre aussi la possibilité de personnalisation les effets de transitions en 3D, une compatibilité avec les packs d'icônes ADW, un ajustement de la grille du bureau, ainsi que la suppression de la barre de recherche (constante mais désactivable) en tête d'écran.
Avec la dernière mise à niveau, le défilement devient infini, les icônes des dossiers sur le bureau sont personnalisables (plus précisément, les icônes des dossiers qui regroupent les applications), de l'optimisation, des corrections de bugs et la traduction qui est actuellement en cours de réalisation.
Quoi qu'il en soit, le développement de Nova Launcher n'en est qu'à ses débuts, donc nul doute qu'il évoluera dans le temps. Dernière chose, il est uniquement compatible à partir de la version 4.0.1 d'Android Ice Cream Sandwich.
Pour l’essayer, le plus simple est de vous rendre sur le topic du développeur et de télécharger l'APK (fichier de l'application) à installer directement depuis votre mobile.
HTC envoie des invitations aux journalistes pour un événement pré-MWC. Le premier smartphone quadruple-coeur de la marque devrait y être annoncé.
Le prochain événement majeur pour la mobilité sera le Mobile World Congress, qui aura lieu à la fin du mois prochain à Barcelone. Comme tout salon, des annonces seront faites avant même qu'il ne soit lancé. Ce sera par exemple le cas de HTC cette année, qui vient d'envoyer aux journalistes un carton d'invitation pour le 26 février. La stratégie est donc différente de l'année passée, car les annonces avaient été faites le mardi, c'est-à-dire bien après Samsung, LG et Sony Ericsson.
Plutôt en retrait ces derniers temps, le constructeur taïwanais pourrait faire un retour fracassant avec le HTC Endeavor ou Edge. Il disposerait d'un processeur quadruple-coeur, le nVidia Tegra 3. Ce serait une première car jusqu'à présent les smartphones Android de la marque sont uniquement sous Qualcomm, suite à un contrat d'exclusivité. Il embarquerait un écran de 4,7 pouces avec une résolution HD, 1 Go de mémoire vive (RAM) et 32 Go de mémoire interne ! Pour l'appareil photo, on s'attend à du 8 mégapixels. Android 4.0 serait au rendez-vous avec une nouvelle version de Sense, la couche personnalisant tous les smartphones de la marque.
Le HTC Ville pourrait également faire son apparition avec un Qualcomm Snapdragon S4 et du LTE en connectivité. Des Windows Phone pourraient également pointer le bout de leur nez…
Comme l'année passée, nous serons présent à l'événement et nous vous donnerons nos premières impressions à chaud.
Google arrête Sky Map, mais le passe sous un modèle opensource. Probablement la meilleure manière de contenter tout le monde.
Les employés de Google (nommés Googlers) peuvent utiliser 20% de leur temps de travail pour travailler sur des projets personnels. C'est ainsi qu'en 2009, une douzaine d'ingénieurs ont créé Google Sky Map, qui permet d'observer de nombreux objets célestes : étoiles, constellations… Utilisant la réalité augmentée, l'application est une véritable référence pour les astronomes.
Depuis le changement de direction chez Google, de nombreux projets ont été stoppés dont Sky Map. Un nouveau billet sur le blog officiel vient d'annoncer que plus aucun développement n'aura lieu. Toutefois le travail n'est pas perdu, car le code source va être livré sous une licence opensource. Des universités (celle de Carnegie Melon notamment) y travaillent déjà dessus et la communauté devrait rapidement s'agrandir.
Sachant que l'application a été téléchargée plus de 20 millions de fois sur l'Android Market, c'est une manière de stopper en douceur le projet. Vous pouvez tout de même télécharger la dernière version de l'application pour vous faire une idée des capacités :
Open source et offert par Google.Mots clés : planétarium, astronomie, carte du cielAccédez également à l'adresse suivante : http://goo.gl/XWjRg (Google Plus)http://groups.google.com/group/google-sky-maphttp://twitter.com/skymapdevsMots-clés: planétarium, l'astronomie, skymap...
Découvert il y a quelques jours, le Sony ST25i pourrait être un Xperia S en version mini (écran de 3,5 pouces).
La liste des terminaux Sony pour cette année 2012 a récemment fuité. Dans celle-ci, on retrouve notamment le Kumquat (ST25i) qui devrait être disponible au mois d'avril, pour un prix abordable (262 € – conversion depuis des prix indiens). Cette date étant relativement proche, nous pensons que ce modèle devrait être annoncé lors du Mobile World Congress, le prochain salon important en matière de mobilité.
Une photo du supposé ST25i vient d'être donnée aujourd'hui au site Xperia Blog. A première vue, on dirait un Xperia S, mais ce n'est pas le cas, car il est ici question d'un écran de 3,5 pouces (Reality Display avec Bravia Engine). L'objectif de Sony semblerait de faire une version abordable de ce smartphone, tout en donnant une image forte aux nouveaux codes visuels (la fameuse barre transparente lumineuse). Pour rappel, la zone sur le bas sert d'antenne.
Il suffit de regarder les icônes de la barre de notification pour remarquer qu'ils prennent plus de place que sur le Xperia S. La résolution sera donc moins importante et pourrait se limiter à du classique WVGA (854 x 480 pixels). Pour les caractéristiques, on parle d'un double-coeur cadencé à 1 GHz, ainsi qu'une caméra Exmor R de 5 mégapixels.
Indiqué pour le mois d'avril, il pourrait directement intégrer Android 4.0 (Ice Cream Sandwich) ou dans le pire des cas connaître extrêmement rapidement une mise à jour.
Après de nombreux mois de rumeurs diverses et variées, le Sony Ericsson Nozomi (LT26i) est maintenant officiel, sous le nom de Xperia S. Il devrait être le dernier smartphone à porter le nom de la marque, avant de passer à 100% sous le giron de l'entreprise japonaise Sony.
Le Sony Ericsson Xperia Arc S a maintenant un successeur. L'entreprise qui appartient désormais à 100% à Sony ne s'est pas cassé les méninges pour dégoter son nom, car il s'appelle tout simplement le Xperia S. Il est le dernier modèle qui possède la mention Sony Ericsson. Il arrivera en Europe au début de mois de mars sur Android 2.3.7 (Gingerbread), avant de passer rapidement (début du deuxième trimestre) sous Android 4.0 (Ice Cream Sandwich).
L'entreprise était attendue au tournant, car elle était légèrement en retard sur ses concurrents en matière de performances. En effet, impossible de trouver un double-coeur ou une connexion LTE. Ce modèle vient donc corriger une partie et le Xperia Ion (ou Aoba – LT28at) fera les deux à la fois. Notez que l'Ion n'arrivera pas forcément au Canada, car les discussions avec Rogers ne semblent pas très avancées.
Nous avons assisté à la conférence de présentation et voici une première prise en main (une deuxième vidéo arrivera prochainement). Qualcomm a été choisi comme fournisseur du processeur, car c'est le double-coeur Snapdragon MSM8260 cadencé à 1,5 GHz qui est intégré, avec sa puce graphique Adreno 220. 1 Go de RAM viendra l'épauler pour les tâches demandées par l'utilisateur. La mémoire interne ne sera enfin plus un problème chez cette marque, qui était avare en la matière ! On a ainsi de 1 à 1,5 Go pour les applications et 32 Go de mémoire flash pour y stocker ses données personnelles (photos, vidéos, documents…).
Son écran est de type Reality Display avec Bravia Engine (comme les modèles 2011) avec une diagonale de 4,3 pouces. Sa résolution est de 1280 x 720 pixels (densité de pixels de 342 ppi !), c'est-à-dire de la HD, comme sur le Galaxy Nexus.
Le constructeur n'a pas choisi la nouvelle voie mise en place par Google, car les boutons sont tactiles physiques. Vous noterez l'apparition d'une très belle barre semi-transparente rétro-éclairée dans laquelle on distingue les icônes. Seulement ils ne sont en aucun cas tactile, mais c'est uniquement la zone noire sur le dessus qui l'est. Du peu de temps que nous l'avons testé, nous avons souvent raté la pression, démontrant qu'il est nécessaire d'en prendre l'habitude.
Sur le bas (sous la zone transparente), vous noterez un espace assez imposant qui contient l'antenne du téléphone. Le coloris est légèrement différent du reste du téléphone. La présence de cet espace est plutôt dommage, car elle nuit à cette très belle copie en matière de design (mais pas que !).
Sur le bord droit, on accède au port microHDMI, les touches du volume, ainsi que le bouton d'accès rapide à la fonction Caméra. Une nouveauté introduite est la possibilité de prendre des photos, alors que le téléphone est en veille en moins de 1,5 secondes. Concrètement il fait pendant ce laps de temps : réveil -> démarrage de l'application. Nous n'avons vu qu'un prototype et le temps était au minimum doublé, mais il ne fait aucun doute que d'ici deux mois, les performances seront bien meilleures.
Sur l'autre côté, on ne retrouve que le port microUSB. Enfin sur le dessus, il y a le bouton ON/OFF, ainsi que le jack de 3,5 mm. Sony (Ericsson) change donc ses habitudes, car il avait l'habitude de le mettre sur le côté.
Sur l'arrière, le touché est très agréable et dénote une très bonne finition. Alors que l'ancienne faisait plutôt bas de gamme, on voit clairement une volonté de monter en gamme.
Le capteur photo réalise des clichés en 12 mégapixels, avec une ouverture de f/2.4. De type Exmor R, il “permet de prendre des photos et vidéos lumineuses et de grande qualité, même en conditions d'éclairage médiocres”. Les vidéos seront enregistrées jusqu'en 1080p. Pour ce qui est de la caméra frontale, elle est de type HD.
La batterie fait 1750 mAh. L'autonomie annoncée est de :
- En communication : de 7h30 à 8h30 selon la connectivité - En veille : de 420h à 450h
N'oublions pas la connectivité, qui offre du WiFi, Bluetooth, GPS et même du NFC. Cette technologie va-t-elle enfin commencer à prendre son envol ?
Le tout mesure 128.0 × 64.0 × 10.6 mm, pour 144 g.
Bien que le téléphone soit sous Gingerbread, le constructeur a fait des modifications – cosmétiques principalement. On retrouve ainsi le fameux Facebook inside Xperia, TrackID… comme sur les Xperia 2011.
Le bureau est toujours limité à 5 bureaux (impossible d'en ajouter-enlever) et le pinch-to-zoom donne accès à une vue avec tous les widgets présents à l'écran. On notera que certains widgets peuvent être agrandis (nous avons testé avec la météo et la gestion de l'alimentation) : un clic sur la version “minimale” affiche un contenu plus complet et en plein écran.
Le thème bleu PSP s'éloigne… Le lifting d'Ice Cream Sandwich semble avoir eu des effets positifs sur la couche Sony Ericsson.
Petite vidéo avec les SmartTags NFC ou encore l'interface affichée en mode dock :
Pour terminer, n'hésitez pas à regarder cette galerie qui contient toutes les photos prises lors de l'annonce :