La Samsung Galaxy Tab 7 pouces a maintenant un successeur nommé Plus (P6200). Elle embarque un processeur bi-coeur cadencé à 1,2 GHz, ainsi que la dernière version d'Android pour les tablettes : Android 3.2 (Honeycomb). Evénément (enfin presque) : elle pourra lire du MKV (H.264) !
Rappelez vous il y a un an en arrière, la Samsung Galaxy Tab 7 pouces était présentée comme la seule alternative viable à l'Apple iPad. D'autres concurrentes sur Android existaient pourtant (Archos, Toshiba…), mais aucune n'avait la force de frappe de celle de l'entreprise coréenne. Conclusion : à Noël 2010, elle s'imposait comme la seule alternative à la tablette de la firme de Cupertino.
En 2011, la situation a grandement changé. Les tablettes Android se sont multipliées, grâce à l'introduction de la version 3.0. Google a fait d'énormes modifications à son système pour que l'ergonomie soit la meilleure possible. Pressé par l'arrivée de nouveaux concurrents comme RIM ou HP (enfin…), le géant de Mountain View a publié une version qui est encore considérée comme assez peu optimisée.
Les modèles de 7 pouces sous Honeycomb ne sont que récents, car jusqu'alors cette branche ne possédait pas un support pour ce type de résolution. Le problème est résolu, grâce à la 3.2. Les tablettes de 7 pouces peuvent donc proposer une expérience bien meilleure, qu'un simple “smartphone en grand”.
A l'IFA, Samsung avait annoncé sa Galaxy Tab 7.7 et nous pensions qu'elle allait s'imposer comme successeur du modèle sorti en 2010. Mais ce ne sera pas le cas, car il y aura une version de 7 pouces appelée Plus. Si on récapitule, on a donc des variantes : 10.1, 8.9, 7.7 et 7 pouces. Que de choix chez Samsung, mais trop de choix ne nuisent-ils pas aux ventes face à un seul modèle d'iPad par exemple (qui fait aujourd'hui encore référence) ?
Dans l'attente d'une réponse par les chiffres de ventes, voici les caractéristiques techniques : l'écran a la même résolution que sur la 7 pouces, à savoir du 1024 x 600 pixels. Il est de type PLS LCD et sera très probablement Gorilla Glass, comme les autres terminaux du coréen. Le processeur sera un bi-coeur cadencé à 1,2 GHz. La puce exacte n'est pas précisée. S'agissant de Samsung, il pourrait très bien être du Exynos, ou encore un OMAP 4 de Texas Instruments. Elle pourra lire des MKV, ce qui élimine le nVidia Tegra 2. Le CPU pourra s'appuyer sur 1 Go de mémoire vive.
La mémoire interne sera de 16 ou 32 Go selon la déclinaison choisie. Deux caméras sont présentes : sur l'arrière de 3 mégapixels et de 2 mégapixels sur l'avant. Des vidéos en HD 720p pourront être prises à 30 images par seconde. Pour la connectivité : 3G en option, WiFi 802.11 a/b/g/n et Bluetooth 3.0. Le port USB pourra être utilisé pour y connecter des périphériques externes, grâce à un adaptateur MHL (non fourni).
La tablette mesure 193.65 x 122.37 x 9.96 mm, pour un poids de 345 grammes. Elle sera livrée en deux coloris : gris foncé et gris clair (aucun nom “commercial” n'est donné). A la fin du mois d'octobre, cette variante sera disponible en Indonésie et Autriche. L'Europe et les Etats-Unis (aucune mention du Canada) y auront droit par la suite.
Non, FrAndroid ne donne pas son avis sur la politique, mais vous aide simplement à trouver les bureaux de vote pour les primaires socialistes françaises. Elles auront lieu les 9 et 16 octobre prochains.
Les dimanche 9 et 16 octobre auront lieu les primaires socialistes françaises. Ne s'agissant pas d'une élection “officielle”, les bureaux de vote habituels ne seront pas tous ouverts. Une participation de 1 € sera donc demandée, afin de couvrir les différents coûts. Par conséquent, si vous souhaitez participer à l'élection du candidat de ce parti pour l'élection présidentielle ayant lieu en avril et mai 2012, vous aurez certainement besoin de l'application Les Primaires Citoyennes.
Son fonctionnement est assez simple : vous rentrez votre code postal ou nom de commune de votre bureau habituel. Par la suite, le bureau le plus proche est donné. Vous pourrez alors demander que Google Maps Navigation vous amène vers ce lieu, si vous ne le connaissez pas.
Parmi les autres onglets, on peut découvrir l'agenda de la campagne, avec notamment le prochain rendez-vous télévisé confrontant les différents candidats. Ces différents événements peuvent être ajouté à l'agenda de votre téléphone.
Si vous êtes intéressé, téléchargez donc cette application qui est par ailleurs très bien faite (et ne s'amuse pas à faire du iOS). Si ce n'est pas le cas, passez votre chemin Mais ne vous inquiétez pas, l'objectif n'est en aucun cas de prendre parti pour tel ou tel mouvement politique.
L'application est compatible uniquement avec les smartphones sous Android 1.6+. 4 Mo seront demandés au téléchargement et environ 2,73 Mo de données supplémentaires seront ensuite utilisées. En revanche impossible de déplacer le contenu sur la carte SD.
Avec l'application des Primaires citoyennes, trouvez votre bureau de vote et toutes les informations pratiques sur les primaires organisées par le PS et le PRG les 9 et 16 octobre pour que tous les Français choisissent le ou la candidat-e de la gauche à l'élection présidentielle de 2012....
Le célèbre réseau de magasins BUT dédiés à l'ameublement, l'électroménager… a désormais son application !
Les 7500 références du catalogue peuvent être consultées de partout, sans se soucier des horaires des magasins. Vous allez pouvoir programmer vos visites : consulter l'adresse du magasin le plus proche, ses horaires, les ventes flash, les exclusivités Internet, les produits, les promotions, etc.
Vous retrouverez également un catalogue interactif avec des filtres actifs, un système d'onglets très pratique.
Il vous suffit de sélectionner les produits qui vous intéressent, pour connaître la disponibilité des stocks en temps réel et les rajouter dans vos coups de coeur. Ultra-pratique, surtout que vous pouvez partager (sur Facebook par exemple) ensuite cette liste avec vos amis et votre famille pour connaître leur avis.
Enfin, vous pourrez scanner les code-barres et autres codes QR en magasins (lecteur automatique), une fonctionnalité qui devrait bien vous guider.
L'application BUT est disponible sur l'Android Market, à vos androphones !
Tout BUT est maintenant accessible depuis votre Android. BUT, multispécialiste en équipement de la maison vous offre plus de 7.500 références à consulter depuis votre Android. L’application BUT met à portée de main : CATALOGUE 2012-2013 - Feuilletez le catalogue Inspirations 2012-2013 et retrouvez facilement les pages qui vous intéressent...
Sony Ericsson propose un nouvel accessoire pour sa gamme de smartphones Xperia 2011 (sauf le Play) : le LiveDock. Bien plus qu'un dock, vous pourrez y connecter des périphériques à l'aide de sa prise USB Host.
Sony Ericsson a toujours proposé des accessoires originaux et innovants pour ses smartphones. Cela n'a pas toujours fonctionné, comme avec le LiveView, mais les deux nouveaux accessoires annoncés il y a peu sont très intéressants : le LiveSound et le LiveDock. Le premier est un casque audio qui dispose de boutons pouvant directement agir avec les applications (à condition qu'elles soient optimisées pour). Le second est un dock disposant d'un port USB Host. Il est ainsi possible d'y connecter des périphériques, comme des souris, claviers… et pouvoir interagir sur le téléphone directement avec.
Les modèles compatibles sont ceux issus de la gamme 2011, sauf le Xperia Play. Dans le détail, il s'agit des : Xperia Active, Arc, Arc S, Mini, Mini Pro, Neo/Kyno, Neo/Kyno V, Pro, Ray et Live with Walkman. Bien que tous les smartphones ne soient pas disponibles à la vente, il faut forcément que le terminal connecté au LiveDock possède la version d'Android 2.3.4 (vérifier dans Paramètres -> A propos du téléphone -> Version d'Android). Sans celle-ci, vous ne pourrez utiliser cet accessoire que pour recharger.
En France, le LiveDock sera mis à la vente dans les prochains jours. Son prix sera légèrement inférieur à 50€. Vous pouvez notamment le précommander chez Expansys.
Le modèle testé porte la mention “Not type approved” et peut comporter des problèmes qu'il ne devrait pas y avoir dans la version finale. Par ailleurs, aucune boîte n'est donnée, contrairement à la version proposée en magasin.
Elle se compose de trois éléments :
- Le livedock - Un chargeur GreenHeart - Un câble microUSB
2] Un tour du propriétaire
Le LiveDock a une forme plutôt originale, grâce à ses courbe arrondies. Il n'embarque pas un haut-parleur et n'est pas reconnu par le système comme étant un vrai dock. Il en est pourtant très proche, car il peut recharger le téléphone connecté.
L'ensemble est en matière plastique recouverte de blanc. Seule la partie venant accueillir le téléphone est dans des tons de gris. Sur le dessus, on aperçoit le logo en relief, ainsi que le nom écrit en toutes lettres de la marque.
Juste au dessous, on aperçoit un léger creux, qui par une simple pression va déployer une partie qui était jusqu'alors invisible. Perpendiculaire au sol, il permet de maintenir le terminal dans une position idéale, afin qu'il soit agréable pour être utilisé dans des conditions optimales.
On remarque que le mécanisme fonctionne grâce à deux bouts plastiques qui viennent s'enfoncer sur le bas. La solidité du système n'est pas à remettre en cause et il ne fait aucun doute qu'il aura une bonne durée de vie.
Autour de cette partie grise, on remarque un autre type de plastique : glossy cette fois. Il vient entourer la partie décrite auparavant. On note une légère bosse sur le bas, qui permet d'éviter que le téléphone ne glisse.
Sur la face droite, tout comme sur la partie gauche, il n'y a rien de particulier à noter.
Sur le dos, une fente vient accueillir le seul câble microUSB de l'accessoire. Il a ici une fonction principale, car il va servir de bus de transmission entre le téléphone et le périphérique connecté.
Lorsque le câble est branché sur cet emplacement, il a logiquement tendance à former une boucle, ce qui a pour effet de légèrement surélever le LiveDock. Mais avec l'utilisation, le câble se détendra et ne prendra plus cette position inconfortable.
Sur le bas, on distingue une partie discrète qui contient le microUSB (symbole en forme d'éclair) sur la gauche et un USB classique sur la droite.
Le câble microUSB n'est en aucun cas obligatoire pour faire fonctionner le LiveDock. Il sert ici à recharger le téléphone, au travers du câble blanc de l'accessoire. Il a donc deux utilités : recharger et transmettre les informations du périphérique.
Petite note concernant l'USB sur la droite, il est monté de telle sorte à ce que le logo USB soit orienté vers le bas. Il ne s'agit aucunement d'un problème, mais juste d'un signalement.
Une fois le LiveDock retourné, on observe trois bandes anti-dérapantes grises. Mesurant uniquement quelques millimètres, elles seront invisibles, tout en opérant parfaitement leur travail.
3] L'application LiveWare
Sur le téléphone, il faut que l'application LiveWare soit installée. Normalement, elle devrait déjà l'être, mais si toutefois elle était manquante, sachez qu'elle est disponible sur l'Android Market. Par ailleurs, si des mises à jour sont proposées, n'hésitez pas à les effectuer, car elles ne devraient – normalement et logiquement – apporter que des modifications positives.
Connexion intelligente (LiveWare™ manager) permet de décider de ce qui se produit lorsque vous connectez votre smartphone à un autre appareil (fournie à partir d'Android 4.0). Remarque importante !Sous des versions antérieures d'Android, utilisez LiveWare™ manager. Connexion intelligente ne peut être installée que sur les smartphones mis à niveau vers Android...
A chaque fois que vous allez connecter un périphérique quelconque (même les écouteurs ou des appareils connectés en Bluetooth), LiveWare est appelée. Elle va pouvoir lancer une autre application.
Chaque LiveDock (si vous en possédez plusieurs) est reconnu comme une entité différente. Par conséquent, vous allez pouvoir assigner, pour chaque accessoire, l'application qui va être lancée. Par exemple, pour celui du salon, vous souhaiterez afficher la galerie. Dans votre bureau, vous préférerez l'application GMail…
Pour chaque accessoire connecté sur le LiveDock, LiveWare les identifiera à nouveau de manière unique. Vous pourrez donc leur attribuer une action spécifique. Clavier : messagerie, manette : jeu de course…
Un menu Plug-ins est affiché, mais ne semble pas être utilisable en l'état avec les différents accessoires testés. En revanche, cette section est fonctionnelle avec le LiveView.
4] Les différents périphériques
Il ne reste plus qu'à connecter des périphériques sur le LiveDock et voir le résultat !
Pour rappel, il n'est en aucun cas nécessaire d'utiliser le cordon microUSB (à brancher sur l'accessoire). La batterie du téléphone sera tout simplement plus sollicitée, car elle devrait également fournir en énergie un élément externe.
4.1] Souris
Lorsqu'une souris est connectée, immédiatement un curseur est affiché à l'écran. En la déplaçant, le pointeur suit de manière instantanée et fluide vos mouvements.
Pour ce qui est des boutons, le clic gauche est équivalent à l'appui sur l'écran tactile. Le bouton droit reprend le bouton Android retour. La molette a plusieurs fonctionnalités : un clic génère l'événement associé au bouton Android “menu” et la roulette sert à faire défiler les éléments.
Si la souris possède plus de boutons, ils ne sont pas utilisés et utilisables. En effet, aucune configuration n'est possible. Par conséquent, si vous êtes gaucher, vous devrez donc vous acclimater de cette situation.
4.2] Clavier
Le clavier fonctionne à merveille… enfin presque ! Si par malheur vous en possédez un de type AZERTY (le cas pour la majorité des français et des belges), le téléphone s'obstinera à utiliser l'agencement QWERTY. Il faudra donc soit coller des étiquettes sur les touches, soit acheter un clavier QWERTY. Quel dommage de ne pas permettre cette configuration !
La touche “Windows” est équivalente au bouton Accueil et l'appui long est même géré !
En revanche, un gros point positif : les touches multimédia sont parfaitement reconnues. Vous pourrez ainsi modifier le volume et interagir avec le lecteur multimédia (précédent – suivant – lecture/pause).
4.3] Manette de jeu
Une manette de jeu basique (non testé avec celles des PS3 – XBOX…) fonctionne à merveille. Avec un jeu de course, cela semble parfait. En revanche, dès qu'il faut utiliser le tactile, l'utilisation de ce type d'accessoire perd de son sens, car beaucoup moins intuitif.
Il s'agit du principal argument de vente de Sony Ericsson : “Vous voulez transformer votre téléphone en mini-PC miniature ou en console de jeux ?”. Il est donc juste, d'autant plus lorsque le terminal est connecté à une télévision.
4.4] D'autres périphériques ?
Les trois montrés juste auparavant étaient les seuls dont je disposais. S'agissant d'un port USB Host, je me suis dit qu'il était possible d'y connecter des clés USB. Malheureusement à la connexion, le périphérique n'est pas reconnu (“Un appareil USB non pris en charge est connecté”). J'ai également essayé le Xperia Mini Pro en mode Mass Storage et MTP et dans les deux cas, la situation s'est soldée par un échec.
Il y a peut-être d'autres accessoires compatibles avec le LiveDock, mais l'absence de support des clés USB est une grosse lacune.
5] Vidéo résumant le test
Si vous n'avez pas envie de lire ce test ou que vous souhaitez voir une démonstration du LiveDock, vous trouverez votre bonheur dans cette vidéo :
6] Conclusion
Points positifs :
- Concept - Design peu conventionnel - Une solution originale pour la connexion de périphériques - Stabilité (aucun bug rencontré) - Reconnaissance des touches multimédia du clavier
Point négatif :
- Impossibilité d'utiliser des clés USB - Impossibilité de choisir l'agencement du clavier
Note finale : 14/20
En conclusion, cet accessoire est plutôt destiné aux modèles ayant un port HDMI. Bien que les terminaux aient des tailles d'écran s'échelonnant jusqu'à 4 pouces (le Xperia Arc), l'utilisation de périphériques externes n'est pas adaptée sur un écran aussi petit. En revanche, dès que le contenu est dupliqué (mode miroir) sur une télévision, une telle connectique se révèle très appréciable. Imaginez par exemple une manette connectée au téléphone et jouer à un jeu. On se croirait presque avec une console !
Mais il existe des cas où l'HDMI n'est pas nécessaire. Les appareils qui n'ont pas un clavier coulissant et dont les utilisateurs ont du mal à utiliser le clavier virtuel peuvent se tourner vers un élément plus familier, avec lequel la frappe devrait être plus rapide.
Le seul défaut majeur du LiveDock est l'impossibilité d'y connecter des clés USB (ou tout autre périphérique en Mass Storage ou MTP). A priori, l'absence de configuration pour la souris ou le clavier ne devrait être qu'une question de temps.
Merci à Sony Ericsson France pour le prêt de cet accessoire et du Xperia Ray (prochainement en test). Par ailleurs, n'hésitez pas à questionner le compte Twitter de la marque, qui se montre toujours très rapide dans les réponses.