mardi 13 septembre 2011

L'application Facebook mise à jour : amélioration de l'interface et ajout des paramètres de confidentialité

Dans la nuit, l'application Facebook a reçu la mise à jour en version 1.7.0 sous Android.

Les dernières modifications de l'interface ajoutent plusieurs fonctionnalités et correctifs à l'application. Au programme, on retrouve une interface quelque peu revisitée, avec une amélioration de la liste d'actualité avec l'intégration de trois onglets : photo, statut et Et vous?, qui sont également présents sur les pages de profils et de groupes. Dans les menus, l'application intègre une nouvelle option appelée Paramètres de confidentialité, renvoyant vers l'interface mobile du site.

Les correctifs de l'application proposent une navigation améliorée sur les photos avec un nouvel effet de glissement, la possibilité d'identifier des amis présents dans les publications (je n'ai pas trouvé le moyen de l'activer), et l'amélioration des fonctionnalités Messages et Notifications, avec un fin réagencement de l'interface. De plus, je ne sais pas si vous l'aviez remarqué mais les icônes intégrées à l'application ont été presque toutes renouvelées et l'application été optimisée pour Android Honeycomb. 

Informations techniques

  • Compatible dès Android 1.5
  • Taille de l'application : Varie selon les appareils

Téléchargement

L'application Facebook est disponible gratuitement sur l'Android Market :

Facebook
Facebook

Rester en contact avec ses amis devient encore plus facile.• Ne ratez rien des actus de vos amis• Publiez statuts, photos et vidéos• Recevez un avertissement lorsque vos amis indiquent aimer ou commentent vos publications• Échangez des textos, discutez et participez à des conversations de groupe• Jouez à vos jeux...

Télécharger Gratuit Disponible sur Google Play

Le Motorola Fire est maintenant disponible chez Orange

Un nouveau smartphone Android est disponible chez Orange France : le Motorola Fire.

Orange France vient d'ajouter un nouveau Blackberry-like à sa gamme de smartphones sous Android. Il s'agit du Motorola Fire, qui selon la fiche officielle est une exclusivité pour l'opérateur dans l'hexagone. Par conséquent, n'espérez pas trouver ce modèle chez les concurrents. Son design, avec son clavier sur la face avant, le dédie principalement aux adaptes des messages et textes. Il est par conséquent beaucoup plus optimisé pour les communications. La forte ressemblance avec un Blackberry ne s'arrête pas ici, car la couche MotoBlur est connue pour être l'une des plus avancées sur Android dans le support des outils nécessaires au monde professionnel.

Le Motorola Fire est proposé à partir d'1€ et connaissant la qualité de fabrication de Motorola, il n'y aura rien à dire sur ce volet. Android 2.3 sera intégré, ce qui est une bonne nouvelle, car le support de Motorola Europe peut être qualifié de déplorable, quand on sait qu'il faut de nombreuses semaines pour qu'une mise à jour soit envoyée. Par exemple, l'Atrix est déjà sous Gingerbread aux Etats-Unis, mais l'Europe doit attendre le “quatrième trimestre” (qui peut dans le pire des cas signifier le mois de décembre). Mais le récent achat de Google pourrait permettre un changement dans ces pratiques.

Passons aux caractéristiques techniques de ce smartphone. Son écran mesure 2,8 pouces, pour une résolution de 320 x 240 pixels. Cela lui donne une densité de pixels de 143 ppi. Il dispose d'un processeur Qualcomm Snapdragon MSM7227-1 cadencé à 600 MHz, avec la puce graphique Adreno 200. Il possède 256 Mo de ROM et 512 Mo de RAM. Un lecteur de cartes microSD (jusqu'à 32 Go) pourra venir accroître cet espace. Sur l'arrière, on distingue une caméra de 3,15 mégapixels (photos de 2048 x 1536 pixels), qui pourra également prendre des vidéos en 480p, avec 24 images par seconde.

La connectivité : WiFi 802.11 b/g/n, Bluetooth 2.1 + A2DP + EDR.  Le tout mesure 116.5 x 58 x 13.5 mm, pour 110g. La batterie fait 1420 m1h et offre une autonomie de 720 heures en veille 3G. En communication, elle tombe à 9 heures 16 minutes en 2G et 8 heures en 3G.

Sony vient d'officialiser son Walkman sous Android

Le premier Walkman Sony sous Android arrivera au mois de décembre au Japon.

A l'IFA, Sony a montré son premier Walkman sous Android. Il s'agit uniquement d'un PMP (Portable Media Player – Baladeur numérique), c'est-à-dire qu'il reprend les mêmes fonctionnalités qu'un smartphone sous le système de Google, mais sans la possibilité d'appeler et d'envoyer des textes. Le japonais espère ainsi relancer sa marque, qui avait eu un fort succès lors de l'époque des cassettes. Mais depuis le virage du numérique, les différents essais se sont révélés être des échecs, face au fameux Apple iPod.

Le Sony NWZ-Z1000 a pour objectif de venir concurrencer l'iPod Touch. Au niveau des caractéristiques, ce modèle le dépasse largement et la présence de l'Android Market fournira une bibliothèque logicielle conséquente. Sur son site japonais, le fabricant vient d'officialiser ce nouveau produit, qui sera disponible au mois de décembre, pour un prix compris entre 270 et 410 €, en fonction des versions. En effet, plusieurs variantes seront proposées en fonction de la taille de la mémoire interne : 16, 32 ou 64 Go.

Les éléments fondateurs de ce NWZ-Z1000 sont :

  • Une qualité sonore digne de la gamme Walkman
  • Un bouton sur le côté (W.Button) qui donne accès aux contrôles audios
  • Une connexion possible à Music Unlimited, le service dans le cloud qui compte près de 10 millions de chansons
  • Une application W.Music qui sera le coeur du produit : sélection en fonction d'une humeur, affichage des paroles…
  • Un support des formats :  MP3, ATRAC, ATRAC Advanced lossless, AAC, HE-AAC, WMA, Linear PCM, MPEG4, AVCH.264 Baseline), WMV et JPEG

La dernière version d'Android pour les non-tablettes sera incluse, à savoir Android 2.3 (Gingerbread). L'écran TFT-LCD mesurera 4,3 pouces, pour une résolution de 800 x 480 pixels (WVGA). Il sera accompagné par un processeur bi-coeur nVidia Tegra 2 cadencé à 1 GHz, avec sa puce graphique Geforce. La combinaison des deux offrira une expérience très fluide et donnera accès aux jeux THD, qui sont aujourd'hui reconnus pour leur qualité. 512 Mo de RAM viendront épauler ce modèle.

Il n'y aura aucune caméra : ni sur l'arrière, ni sur l'avant. Le reste des caractéristiques est ensuite du classique : WiFi 802.11 b/g/n, Bluetooth 2.1 + EDR, DLNA, GPS (avec aGPS), sortie HDMI, tuner FM. Il possèdera tout de même un micro (avec la technologie Noise Cancelling) qui vous permettra d'utiliser de la VoIP, pour passer des appels. Le tout mesurera 70.9 x 134.4 x 11.1 mm pour 156g.

Source : Le Journal du Geek

lundi 12 septembre 2011

Sony Ericsson Xperia Active, résistant au sable et à l'eau

Après le Motorola Defy et le Samsung Galaxy XCover, voici Sony Ericsson qui présente son téléphone à toutes épreuves : le Sony Ericsson Xperia Active. Il possède un écran de 3 pouces (320 x 480 Pixels) avec la technologie Reality Display et moteur Mobile BRAVIA, la marque de fabrique de Sony Ericsson.

On ne sait pas si ce téléphone est IP67, une norme qui garantit une certaine étanchéité. Sony Ericsson présente cette “super feature” ainsi «Parcours VTT dans la boue, randonnées dans le désert ou chute accidentelle dans une flaque, votre téléphone résiste à toutes les intempéries». Sony Ericsson a également pousser le vice assez loin : ils garantissent un fonctionnement de l'écran tactile malgré des doigts mouillés !

Ce téléphone semble être destiné à une cible assez jeune : coques interchangeables (comme au temps des Nokia 3310 ;) ), intégration complète de Facebook … Mais aussi aux sportifs : super-protection  et puce ANT+, votre téléphone peut ainsi communiquer automatiquement avec tout brassard à tension ou ceinture thoracique ANT+.

Enfin, l'Xperia Active embarque un appareil photo de 5 mégapixels avec ouverture f/2.6, capable de filmer en 720p HD. Bref, le Sony Ericsson Xperia Active est une déclinaison sportive des derniers Xperia Mini, le Sony Ericsson porte bien son nom. Enfin, on l'espère pour vous (et eux).

La tablette “Sony Tablet S” 32 Go WiFi est disponible à la vente en France

La première tablette de Sony, le Tablet S, est maintenant disponible en France en version 32 Go WiFi pour 588,99€.

Sony Ericsson n'a pas sorti de tablette sur Android, car il a laissé sa grande-soeur Sony prendre le relai. Deux modèles sont proposés : un classique de 9,4 pouces (Tablet S) et une autre pliable en deux (Tablet P). Annoncés il y a plusieurs mois, ils étaient prévus pour le mois de septembre. A l'heure actuelle, le modèle 32 Go WiFi vient d'être ajouté sur la boutique en ligne de Sony. Ce retard s'accompagne notamment d'une version de Honeycomb légèrement modifiée, pour faire disparaître le thème holographique et ajouter quelques applications supplémentaires. En l'état, seule la version Android 3.1 est proposée sur cette variante, mais sachant que celle disposant de la 3G aura la 3.2, il ne fait aucun doute qu'une mise à jour arrivera prochainement.

Pour ce qui est des caractéristiques, elle dispose d'un écran tactile multitouch de 9,4 pouces (ou 23,8 cm). Il affiche une résolution de 1280 x 800 pixels, ce qui lui confère un densité de pixels d'environ 161 ppi. Son processeur bi-coeur est le classique nVidia Tegra 2 cadencé à 1 GHz, avec sa puce graphique Geforce. 1 Go de RAM vient aider le processeur dans sa tâche.

La tablette dispose de deux caméras : sur l'arrière de 5 mégapixels avec autofocus et détection de visages et sourires. Ce capteur peut réaliser des vidéos en haute définition 720p. Sur l'avant, un capteur de 0,3 mégapixels sera dédié au chat vidéo. 

Pour ce qui est de la connectivité, on retrouve du WiFi 802.11 b/g/n, DLNA, Bluetooth 2.1 avec A2DP et éventuellement de la 3G, selon le modèle sélectionné. Il y a également un port microUSB 2.0, le nécessaire pour faire du USB Host et un jack 3,5mm. Pour terminer, elle dispose d'une boussole numérique, d'un accéléromètre, ainsi que d'un gyroscope.

L'autonomie annoncée est de 8h. Le tout mesure 24,12 x 1,01 x 17,43 cm pour 598 g (625 g pour la version ayant la 3G).

Le prix semble tout de même très élevé, pour un modèle qui arrive en retard et notamment après la HP TouchPad…

L'Acer Iconia Smart (100% smartphone – 100% tablette) arrive le 12 septembre en France

Édit : Nous sommes sincèrement désolés mais une erreur s'était glissée dans les caractéristiques de la tablette. La batterie de l'Iconia Smart est bien de 1500 mAh et non de 1200 comme nous l'avions écris.

Acer vient d'officialiser la sortie en France du Iconia Smart pour le 12 septembre. Cet appareil se veut 100% smartphone, grâce à ses fonctionnalités et 100% tablette, grâce à ses dimensions atypiques.

Au MWC, Acer avait présenté l'Iconia Smart. La marque le définie assez logiquement comme un smartphone, mais aussi comme une tablette de poche. En effet, il possède un écran de 4,8 pouces, avec une résolution de 1024 x 480 (hXGA). Le ratio est ici un 21:9, ce qui est du jamais vu. Par conséquent, il est possible de visualiser des pages web en mode paysage, sans devoir scroller sur les bords droits et gauches. Son design est en aluminium et même de type unibody. Pour le reste, je laisse Acer terminer la présentation : “au-delà de son écran exceptionnel, l’Iconia Smart est un smartphone très complet avec le son Dolby, la connectivité micro HDMI, le support du flash, 8GB de mémoire interne, un appareil photo de 8MP avec flash LED et option photo panoramique… tout cela orchestré par un puissant processeur à 1GHz.” Un très bon point pour ce modèle est son DAS de 0,181 W/kg, ce qui lui offre même la première place !

L'Iconia Smart arrivera en France à partir du 12 septembre. Une offre spéciale avec ViaPresse.com sera même incluse. 75€ de crédits seront attribués et l'utilisateur pourra l'utiliser sur un vaste catalogue des titres de la presse. Le téléphone sera proposé à 499€ en version nue. Pour ce qui est des vendeurs :

  • Opérateurs

- NRJ Mobile : à partir d'1€ avec une offre Ultimate Smartphone 6 et 10h
- Virgin Mobile : à partir de 1€ – après déduction de l’offre de remboursement différée de 100€ – pour la souscription à un forfait Virgin Mobile pour « Very Smartphones » 2h à 34.90€/mois avec un engagement de 24 mois

  • Marchands

- CDiscount
- Expansys
- Meilleur Mobile
- PhoneandPhone
- Pixmania
- Rueducommerce

Voici ses caractéristiques techniques :

Système d'exploitationAndroid 2.3 (Gingerbread) et surcouche Acer
ProcesseurQualcomm MSM 8255 à 1 GHz
Ecran4,8 pouces capacitif multitouch, hXGA (1024 x 480), 16 Millions de couleurs
RAM512 Mo
Mémoire interne8 Go
Appareil photo8 mégapixels avec autofocus et flash LED
Caméra frontale2 mégapixels
WiFi802.11 b/g/n
Bluetooth2.1 + EDR
GPSOui, avec support A-GPS
Radio FMTuner FM-RDS
TVSortie HDMI (Jusqu’à 720p)
Autres connectiquePort Micro-SD (2Go fourni), Micro-USB, jack audio standard 3.5mm (avec Dolby Mobile)
CapteursAccéléromètre, gyroscope, boussole numérique, capteurs de luminosité et de proximité
3G850 ou 900, 1900, 2100 MHz
2G850, 900, 1800, 1900 MHz
Batterie1500 mAh
Autonomie (temps de parole)Jusqu’à 11h (2G) / 8h (3G)
Autonomie (veille)Jusqu’à 450h (2G) / 500h (3G)
Dimensions141.7 x 64.5 x 13.6 mm
Poids185 g

Terminons par une vidéo d'Android HD prise au MWC :

L'Acer Iconia Smart (100% smartphone - 100% tablette) arrive le 12 septembre en France SONY DSC SONY DSC     SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC SONY DSC  Voir toutes les galeries

LG annonce le successeur de l'Optimus One : l'Optimus Hub

Le LG Optimus Hub (le successeur de l'Optimus One) arrive au mois d'octobre à 200 €.

LG n'a pas entièrement réussi à remettre les voiles en termes de ventes, comparativement aux mastodontes que sont HTC et Samsung par exemple. Mais le constructeur dispose tout de même de modèles appréciés du grand public, comme l'Optimus One. Cet excellent modèle d'entrée de gamme est disponible chez la majorité des opérateurs. Contrairement aux modèles haut de gamme, comme l'Optimus 2x et 3D, il est déjà sous Android 2.3 (Gingerbread). C'est clairement une exception, car ce constructeur n'est pas connu pour son suivi exemplaire en matière de mise à jour.

Le successeur de l'Optimus vient d'être annoncé : l'Optimus Hub et arrivera le mois prochain, pour 200 € environ. On avait déjà pu apercevoir ce modèle sous le nom de code E2. Il est désormais renommé en E-510 et propose des caractéristiques rehaussées. Le smartphone est sous Android 2.3.4 (Gingerbread), avec un processeur Qualcomm Snapdragon MSM8227 ARMv6 cadencé à 800 MHz. La puce graphique est une Adreno 200. Il s'appuiera sur 512 Mo de RAM.

Son écran mesure 3,5 pouces de diagonale et offre une résolution de 480 x 320 pixels (HVGA). Sa luminosité est de 550 nits (à titre de comparaisons un écran NOVA fait 700 nits). Pour terminer, il dispose sur l'arrière d'une caméra de 5 mégapixels avec autofocus. Pour ce qui de la connexion, rien de neuf sous le capot : 3G – WiFi – GPS – Bluetooth 3.0 – DLNA – WiFi Direct… Des widgets sont présents pour accéder rapidement à Twitter, Facebook et MySpace

Ce modèle avec un tarif agressif arrivera-t-il à concurrencer les modèles sortis par ses concurrents ?

Source : Nexus Lab

NRJ Mobile devient un full MVNO et compte plus d'un million de clients

NRJ Mobile poursuit son chemin et compte plus d'1 million de clients actifs. Il vient de signer un accord de Full MVNO avec SFR.

NRJ Mobile est l'un des premiers opérateurs virtuels (MVNO – Mobile Virtual Network Operator) en France. Lancé en 2005, il appartient aux groupes Crédit Mutuel-CIC (majoritairement) et à NRJ. Il a depuis été rejoint par des concurrents comme Virgin Mobile ou La Poste Mobile récemment. Les offres de cet opérateur s'adressent principalement à une cible de 15-34 ans. La particularité est de se baser sur le réseau de deux opérateurs (Orange et SFR) en fonction des offres. Le succès des MVNO ne se dément pas en France et NRJ Mobile en fait partie. L'opérateur vient de dépasser le million de clients actifs, dont les trois quarts ont des offres avec abonnement. Ce succès s'explique notamment par une gamme de smartphones très complète. On y retrouve les principaux modèles de cette année : Samsung Galaxy S II, LG Optimus 3D, LG Optimus 2X, Sony Ericsson Xperia Arc, Neo, Play…

Après Virgin Mobile, c'est au tour de NRJ Mobile de passer Full MVNO. A nouveau, il s'agit d'un accord signé avec SFR. Bien que cela accorde plus d'indépendance, une petite clarification vous est peut-être nécessaire :

Dans ce modèle étendu, le MVNO émet ses propres cartes SIM et dispose de sa propre base HLR (NDLR : Home Location Register, base de données centrale d'un opérateur qui gère les droits des abonnés, ce qui permet de maîtriser l'ensemble des services). Il dispose en plus d’éléments de cœur de réseau (GMSC et GGSN). Ce modèle, s’il est plus contraignant et plus coûteux en termes de déploiement et de maintenance technique, permet à l’opérateur virtuel de s’affranchir davantage de l’opérateur hôte, ce qui lui assure un meilleur contrôle sur son trafic et sur les services qu’il offre à ses abonnés.

Dans cette architecture, le MVNO a un code réseau qui lui est attribué par l’ARCEP. Cette attribution est sans problème et n’utilise aucune ressource rare. Selon les besoins du MVNO, l’ARCEP attribue en plus des tranches de N° mobile (06, 07…).

Le MVNO doit mettre en place une architecture dite « cœur de réseau » qui, pour un budget de quelques millions d'euros, lui donne la maîtrise totale sur les services de téléphonie mobile avec la possibilité de les coupler à une infinité de services autres et ce en toute liberté. Cette architecture ouvre des possibilités d'innovation très importantes.

Pour avoir accès au réseau d'un MNO (NDLR, Orange, SFR, Bouygues et bientôt Free Mobile), le MVNO doit alors avoir un “accord de roaming national” avec le MNO. Cet accord est techniquement équivalent à ce que chacun des MNO a déjà fait avec plus de 200 opérateurs dans le monde pour permettre l'utilisation du téléphone mobile par chacun dans le monde entier. Il est à noter que des accords de ce type entre MNO et MVNO existent déjà dans d’autres pays Européens (Espagne, Royaume-Uni, Allemagne, Hollande, etc).

Le MVNO commercialise ainsi son infrastructure de réseau.

Ce nouvel accord va permettre d'améliorer sa capacité et par conséquent de s'ouvrir vers de nouvelles cibles : familles, seniors et professionnels… qui étaient jusqu'à présent un peu moins concernées par les offres.

Cet accord est à mettre en parallèle avec l'accord d'itinérance entre Free et Orange qui prendra effet en janvier 2012. Sachant que le nouvel opérateur couvrira environ 25% de la population, de nombreuses zones resteront blanches. L'accord permettra donc aux abonnées de toujours disposer d'une connectivité, même s'il ne s'agit pas réellement de Free Mobile. On assistera alors à une bataille Orange-Free et SFR-NRJ Mobile-Virgin Mobile dans quelques mois. On peut ainsi espérer que l'arrivée de ce nouvel acteur pousse les opérateurs en place à remettre en question leurs offres, même s'il reste encore du chemin à parcourir.

Des informations sur la version d'Android succédant à Ice Cream Sandwich

Ice Cream Sandwich pourrait ne pas être la révolution tant attendue par beaucoup. Il faudrait alors attendre la version d'après qui commencera par un J… : Jelly Bean ?

La prochaine version d'Android se nommera Ice Cream Sandwich et devrait sortir pour le mois d'octobre ou novembre. Son numéro de version est encore inconnu, mais il devrait être le 3.5 ou 4.0. Elle est attendue par beaucoup, car la dernière pour les smartphones date de la mi-décembre 2010. Il y a bien eu entre temps Honeycomb (Android 3.0 – 3.2), mais qui ne concerne que les tablettes et la Google TV. Les nouveautés étaient au rendez-vous avec une interface entièrement repensée. Il s'agissait clairement d'un pas en avant, mais qui s'est malheureusement accompagné de bugs en tous genres et d'un manque d'optimisations. Au fil des mises à jour, l'effet s'est atténué, mais pour beaucoup, Honeycomb est encore synonyme de bêta (une version non finalisée).

L'objectif d'Ice Cream Sandwich est d'apporter une vague de fraîcheur sur les smartphones, mais aussi d'apporter son lot de nouveautés (en plus de réunir les tablettes, Google TV et téléphones). Nous sommes par exemple, presque sûrs que les écrans HD (avec une résolution de 1280 x 720) seront supportés. Nous avions également pu voir circuler des rumeurs sur l'ajout de nouvelles fonctionnalités, mais cette version pourrait ne pas être si révolutionnaire. En effet, selon une source proche de Google, tout le contenu novateur aurait été repoussé à la prochaine version qui commence par un J. Toutefois, il y aura des changements au niveau de l'architecture et de l'apparence.

Chaque version d'Android dispose d'un nom de code et la lettre est incrémentée à chaque fois. On a donc à l'heure actuelle :

  • 1.5 : Cupcake (Petit Gâteau )
  • 1.6 : Donut (Beignet)
  • 2.0 – 2.1 : Eclair
  • 2.2 (2.2.2) : FroYo (Frozen Yogourt / Yaourt glacé)
  • 2.3 : Gingerbread (Pain d'épice)
  • 3.0 – 3.2 : Honeycomb (Alvéoles d'abeille)
  • 3.5 ou 4.0 : Ice Cream Sandwich

La prochaine version pourrait s'appeler Jelly Bean. Attention, il ne s'agit en aucun cas du nom définitif. Ce nom désigne en français les “Dragibus” ou bonbon haricot.

Source : This is my next

dimanche 11 septembre 2011

Test du Sony Ericsson XPERIA Play sous Android

Aujourd'hui, nous allons parler du Sony Ericsson Xperia Play, le premier smartphone disposant de la mention “Playstation Certified”.

Pour commencer, nous tenons à remercier Expansys pour le prêt du mobile que nous avons pu tester sur ses principales facultés. A présent, passons à mes principales impressions sur le Sony Ericsson XPERIA Play.

Commençons sur les premières, parce qu'après le buzz qu'a fait cette semi / console portable, nous nous attendions réellement à une avancée importante sur le marché. Or ce n'est pas tout à fait le cas, puisque le Play remplit bien son rôle en proposant une liste importante de jeux vidéos, mais souvent limité à des exclusivités pour ce smartphone. D'un point de vue plus clair envers les utilisateurs, il aurait été plus intéressant pour tous que grâce au Sony Ericsson XPERIA Play, le système d'exploitation mobile Android puisse bénéficier de tous ces nouveaux jeux, afin d’agrandir une bibliothèque déjà bien importante.

Le Play propose également tout une liste de jeux. Hélas, ils ne sont pas toujours bien optimisés. Je vous explique, certains ne gèrent pas les commandes tactiles, d'autres ne laissent pas la possibilité de supprimer les commandes tactiles à l'écran et d'autres encore, plantent tout simplement au lancement… Dans le lot, les jeux qui restent intéressants, sont ceux des gros éditeurs : Gameloft, Fishlabs, Polarbit, EA et d'autres rares. Prenez l'exemple de Fifa 10 avec les commandes tactiles qui ne peuvent pas disparaître.

Ulrich m'en parlait et il est bien vrai que Sony Ericsson aurait pu sortir un appareil mobile bien plus performant comparativement à l'avancée actuelle du marché. Cette année, je ne sais pas si vous l'aviez remarqué mais chez Sony Ericsson aucun smartphone n'embarque de puce double-coeur. L'avantage aurait été qu'elle soit gravée plus finement pour prendre moins de place. On aurait aussi pu avoir un appareil plus endurant face à la concurrence féroce existante. La bonne chose à faire aurait été de rendre directement compatible le Play avec la PSP. Personnellement, je pense que ça aurait été possible grâce à l'ajout d'une architecture à deux cœurs. On aurait ainsi pu découvrir des centaines, voire des milliers de jeux compatibles. Parfois, on se demande si la mention Playstation ne fait pas seulement office de décoration.

Contenu de la boîte

  • Le Sony Ericsson XPERIA Play
  • 2 câbles USB (transfert de données et chargeur)
  • Adaptateur pour chargeur secteur
  • Adaptateur pour chargeur allume cigare
  • Housse adaptée pour le mobile
  • Différentes notices (utilisation et garantie)

Caractéristiques techniques

  • Android 2.3.2 (Gingerbread) – 2.3.3 est sortie entre temps
  • Ecran tactile Bravia capacitif de 4 pouces
  • Résolution 480 x 854 pixels
  • Processeur Qualcomm cadencé à 1 GHz
  • Puce graphique Adreno 205
  • 512 Mo de mémoire RAM
  • Caméra frontale
  • Appareil photo de 5 mégapixels (autofocus + flash)
  • Enregistrement de vidéos au format 720p (HD)
  • Bluetooth 2.1, Wi-Fi (b/g/n) et HSPA+ (3G+)
  • Boussole numérique, Accéléromètre & GPS
  • Tuner FM, DLNA & Wi-Fi hotspot
  • Batterie de 1500 mAh
  • Dimensions : 125.0 x 63.0 x 8.7 mm
  • Poids : 117 grammes

Prise en main

Dans sa globalité, le Play s'avance avec toutes les caractéristiques nécessaires à un mobile haut de gamme, cependant, les nombreux défauts rencontrés lui fausseront rapidement raison.

Premièrement, nous retrouvons sur l'avant de l'appareil un écran tactile “Bravia”. Plus précisément, la technologie proposée est S-LCD et offre une netteté d'image très importante. Sa taille est de 4 pouces avec une résolution de 480 x 854 pixels (WVGA) en 16/9 ème. La dalle tactile est belle, même très belle, mais sa luminosité est selon moi trop basse pour être exploitable en plein jour. On est rapidement obligé de placer une main devant l'écran sous peine de devoir supporter les reflets. Je ne vous parle pas des traces de doigts très marquantes. Bien que le Google Nexus S soit fabriqué avec un plastique brillant, je dois avouer que les traces de doigts sont biens moins visibles que sur le Play, et c'est valable pour la globalité des deux mobiles (face, arrière et cotés).

Ensuite, nous avons une caméra frontale, ainsi que les deux capteurs de proximité et de lumière à sa tête. Le bas de l'écran se présente avec quatre touches physiques (Retour, Home, Menu, et Recherche) qui ne sont pas rétro-éclairées. A moins de parfaitement connaître leur emplacement, je vous laisse imaginer la maniabilité dans un endroit sombre.

Sur le flanc gauche, on retrouve une entrée/sortie jack audio de 3.5 mm et à son pied un port MicroUSB, tandis que le flanc droit est bien plus chargé avec les touches secondaires respectives (L1 et R1) et les deux autres touches de volume (+ / -).

J'apprécie beaucoup le sommet de l'appareil, car aujourd'hui, ce qui manque à certains utilisateurs, c'est la fameuse LED de notifications, puisqu'elle a directement été fondue dans la touche power. Même si je ne vous cache pas qu'il aurait été préférable de l'installer à coté des deux capteurs de proximité et de lumière. D'origine, cette led s'éclaire sur trois couleurs : rouge (batterie critique), orange (batterie en charge), et verte (batterie pleine ou clignotante sur les notifications).

La manette de jeu est bien dessinée, mais trop conséquente dans la main. Pour les personnes qui ont des petites mains, je ne vous conseille pas d'essayer sur un jeu gérant le paramétrages des touches physiques sur l'XPERIA Play. Sinon, le toucher reste bon, et même comparable à la PSP. Je n'ai constaté aucun retard notable sur la réactivité de cette partie du mobile.

Le pied est nu, sauf bien sûr, la trappe pour détacher la coque de l'appareil afin d'accéder à la batterie de 1.500 mAh et aux emplacements de carte sim et de carte sd. Deux emplacements côtes à côtes se situant l'un en dessous de l'autre. J'ai réellement trouvé l'autonomie insatisfaisante, puisqu'elle se décharge en tout juste quelques heures (~ 14/15 h). Après, il est vrai que le mobile était sur la version d'Android 2.3.2, et que peut-être, la nouvelle version sortie récemment, apportait une meilleure gestion de l'autonomie. En luminosité maximale, le besoin en énergie est clairement plus important, néanmoins, je n'ai remarqué aucune différence sur la consommation que ce soit en jouant ou lors d'une utilisation standard (applications, synchronisation, notifications, etc.).

Petit mot sur le DAS, les effets des ondes émises par les téléphones portables qui peuvent s'avérer nocives pour la santé, si le résultat est trop important. Récemment l'OMS a déclaré que ses ondes étaient potentiellement dangereuses et pouvaient augmenter le risque d’avoir une tumeur au cerveau. Ceci n'est pas prouvé, mais s'appui sur une liste d'indices. Par précaution, l'OMS a préféré jouer la carte de la prudence. Le Play se place cinquième avec un résultat de 0.36 dans la liste des smartphones testés (détails).

L'intégration logicielle est bien construite avec un ensemble très stable et ergonomique, cependant, comme je l'ai cité précédemment, la batterie a tendance à s'épuiser bien trop vite. C'est pour dire, je ne vois pas la différence lors d'une utilisation normale ou d'une partie de jeu sur la même durée. Les différents applicatifs installés sont aussi biens fournis avec une interface complète, ainsi que ses widgets regroupant TimeScape – un service pratique gérant les annonces des différents utilisateurs, et bien sûr des vôtres sur Facebook et Twitter. Les autres aspects notables restent les widgets repensés et évolutifs face aux précédentes versions de l'interface du constructeur, et particulièrement le carrousel de la galerie multimédia. L'application Musique présente aussi de beaux dessins avec une gestion des paramétrages que je trouve simplet à l'utilisation. La partie Contact est assez intéressante, apportant une synchronisation unifiée des contacts, et plus avancée que celle nativement présente sous Android. Dans l'ensemble, l'intégralité des connectivités fonctionne parfaitement : le Bluetooth se synchronise très bien avec une oreillette ou un autre mobile – même sans être android, le GPS se localise rapidement .. particulièrement satisfait par la localisation en à peine quelques secondes sur Google Maps.

Comparativement à un Google Nexus S, j'ai amèrement digérée la médiocre portée du signal Wi-Fi. J'ai fait le test sur deux pièces : d'un coté, la livebox est installée dans ma chambre, et dans l'autre, la salle à manger à peine séparée d'un mur fait de plâtre. Résultat : à une distance d'environ 5 mètres et le mur en plâtre, le signal a déjà perdu 3 à 4 barres, tandis que le Nexus S en a perdu une, alors que les deux androphones se situent l'un à coté de l'autre.

Bien que le contenu soit misérablement mince de ce coté, le travail fait sur la gestion du système de Playstation est bel et bien fonctionnel. L'autre petit plus est le déclenchement de l'applications Jeux, regroupant tous les titres du smartphone dans une même application, lorsque l'on passe sur en mode “manette de jeu”. Pour revenir à l'application Playstation, je n'ai rencontré qu'un jeu disponible : Crash Bandicoot. D'après quelques sites de jeux, les développeurs devraient continuer à libérer des applications et jeux vidéo compatibles, même s'il est parfois énervant de voir toutes ces exclusivités défilées privant alors l'utilisateur d'un moment amusant que beaucoup d'appareils mobiles – smartphones ou tablettes – pourraient facilement s'offrir.

Je retiendrais un bon fonctionnement global du système d'exploitation mobile intégré, mais à terme, le contenu deviendra de plus en plus pauvre du fait que l'évolution avance à vitesse grand V.

Test : Photos et vidéo

L'appareil photo est un 5 mégapixels avec l'intégration de l'autofocus automatique pouvant capturer des photos en résolution maximale à 2592 х 1944 pixels. Juste en dessous de l'objectif, on notera aussi la présence d'un flash de type LED. Sur la partie photographie, le mobile remplit très bien sa tâche avec de belles couleurs, reflets et très peu de flous. Regardez par vous-même, le Sony Ericsson XPERIA Play semble mieux s'en sortir que ses compétiteurs. D'ailleurs, le Google Nexus S présente des photos biens plus pâles.

- Exemple 1 : Extérieur -

(clique droit et ouvrir pour agrandir).

- Exemple 2 : Intérieur -

(clique droit et ouvrir pour agrandir).

Là ou ça se gâte, c'est sur la partie vidéo… la qualité est comment dire pas très soignée comparativement à un Google Nexus S. De plus, le Play se voit très rapidement limité par une résolution moyenne : 640 x 480 pixels. C'est dommage, on aurait pensé que la marque aurait fait plus d'efforts de ce côté là en investissant dans un capteur d'une qualité plus convaincante que ce qui y est actuellement installé dans le mobile.

- Sony Ericsson XPERIA Play -

- Google Nexus S -

Test de performances

Maintenant, nous allons parler des tests effectués sur la partie performance du matériel. Nous avons choisi cinq applications pour effectuer les benchmarks, incluant une comparaison avec un mobile simple-cœur du même gabarit, un Google Nexus S d'origine.

:An3DBench:

L’un des benchmark 3D les plus complets dans son genre. An3DBench fait 6 tests sur la partie graphique en appliquant des scènes assez complexes se basant sur une solution 3D de l’OpenGL (JCPT). Le score le plus haut, c’est le plus performant.

  • Résultat Xperia Play : 7075 – Fillrate ST/MT : 10.83/10.84 MP/sec – High object count: 29.32 fps – Multiple lights: 59.11 fps – High Polygon count: 59.17 fps – Keyfrance animation: 59.29 fps – Game level: 57.50 fps
  • Résultat Nexus S : 6839 – Fillrate ST/MT : 9.52/9.46 MP/sec - High object count: 39.28 fps - Multiple lights: 55.71 fps - High Polygon count: 46.52 fps - Keyfrance animation: 55.68 fps - Game level: 55.72 fps

:Electopia:

Comparativement à Nenamark1, Electopia vous donnera des résultats plus pointilleux sur les capacités graphiques que votre terminal Android peut offrir : le nombre moyen d’images par seconde, la durée du benchmark, le nombre d’images affichées à l’écran, le nombre de triangles affichés et le nombre maximum de triangles affichés. L'application est basée sur l'OpenGL ES 2.0.

  • Résultat Xperia Play : Average FPS (854 x 480) 21.17 – Time: 60.04 – Number of frames: 1271 – Trianglecount: 49280 – Peak Trianglecount: 66940
  • Résultat Nexus S : Average FPS (800 x 480) 17.01 – Time: 60.07 – Number of frames: 1022 – Trianglecount: 48880 – Peak Trianglecount: 66228

:Linpack:

Un benchmark très standard qui détermine la vitesse de votre androphone en donnant un résultat en millions d’instructions par seconde (MFLOPS). Bien entendu, plus le Mflops/s est élevé plus le terminal est rapide.

  • Résultat Xperia Play : 37.57 MFLOPS
  • Résultat Nexus S : 17.399 MFLOPS (indigestion du compilateur JIT : )

:Nenamark1:

C’est une sorte de Neocore qui tire aussi partie des performances graphiques du terminal, mais basée sur l’OpenGL ES 2.0.

L’application utilise des effets graphiques assez poussés comme les reflets, les ombres dynamiques, surfaces paramétriques, les particules et les différents modèles de lumière, afin d’en tirer le maximum des performances.

  • Résultat Xperia Play : 44.9 fps
  • Résultat Nexus S : 48.8 fps

:Neocore:

Neocore est une application conçue par Qualcomm qui se base sur l’OpenGL ES 1.1, et détermine le nombre d’images par seconde (FPS) que votre appareil peut afficher en tirant partie des performances du processeur et de la puce graphique.

  • Résultat Xperia Play : 58.7 fps
  • Résultat Nexus S : 56.4 fps

:Quadrant:

Quadrant est une application qui se base sur la puissance du processeur, de la puce graphique sur ses performances 2d/3d, la mémoire RAM et la mémoire interne de votre androphone. Elle requiert une connexion Internet pour calculer les résultats finaux.

  • Résultat Xperia Play : 1325 points
  • Résultat Nexus S : 1767 points

Les avantages

  • Clavier type console de jeu
  • LED de notifications
  • Ecran tactile très net
  • Caméra frontale
  • Qualité sonore très bonne

Les défauts

  • Trop lourd dans la main
  • Traces de doigts trop fréquentes
  • Coque arrière très fragile et glossy
  • Touches physiques non rétro-éclairées
  • Luminosité de l'écran très mauvaise

En clair, on a un smartphone qui sait faire tourner des jeux Playstation (comme PSX4Droid), mais pas PSP ? Car techniquement, il n'offre pas assez de performances pour les exécuter. Selon moi, le Sony Ericsson XPERIA Play est un smartphone sorti trop tard ou trop tôt selon le sens dans lequel on veut bien le prendre, car il aurait certainement pu être plus que ce qu'il est en l'état actuel.

Le Sony Ericsson XPERIA Play est disponible chez tous les opérateurs français :

  • Orange : dès 199€ en abonnement, et pas de prix sans abonnement.
  • SFR : dès 129€ en abonnement ou 439.90€ sans abonnement.
  • Bouygues Telecom : dès 219€ en abonnement ou 529.90€ sans abonnement.
  • Virgin Mobile : dès 49€ en abonnement grâce à la promo de 50 euros.
  • Mais aussi chez Rogers (Canada) : dès 99$ en abonnement ou 450$ sans abonnement.

Il est également possible de se le procurer par d'autres moyens : points de ventes physiques ou virtuelles.