Le bootloader du HTC Desire S est maintenant déverrouillé

Le HTC Desire S a maintenant son bootloader déverrouillé grâce à AlphaRevX Beta 2. Le HTC Droid Incredible 2 est aussi supporté.

Sur les smartphones de HTC, on retrouve par défaut une sécurité nommée Secuflag. D’un modèle à l’autre, il est parfois plus ou moins difficile de la contourner. Ce système, stocké dans la mémoire interne du téléphone, vérifie que le NAND est verrouillé. On dit alors qu’il est S-ON (Secuflag ON). Si on peut tout de même installer un recovery personnalisé, des ROMs non officielles…, il est toujours intéressant de passer le téléphone en S-OFF. Dans cette configuration, on peut alors installer un recovery personnalisé et redimensionner les partitions du NAND.

Cela est rendu possible grâce à des outils comme AlphaRev X. Une première version bêta est apparue à la mi-juin et supportait de nouveaux téléphones. En fin de semaine dernière, la bêta 2 est apparue et vient agrandir la gamme des smartphones éligibles. On compte ainsi l'apparition du Desire S :

• HTC Aria (liberty)
• HTC Desire (bravo)
• HTC Desire S (saga)
• HTC Droid Incredible 2 (vivow)
• HTC Incredible S (vivo)
• HTC Wildfire (buzz)

Pour installer cet outil, suivez le guide :

1] Télécharger le SDK d'Android
2] Dézippez son contenu
3] Allez dans le répertoire Tools et lancez le programme “android”
4] Dans “Availables Packages”, sélectionnez “Android SDK Platform-tools” and”‘Android Compatibility package” et installez-les
5] Ouvrez un terminal et déplacez vous dans le répertoire “plateform-tools”
6] Vérifiez qu'un “adb devices” trouve votre téléphone
7] Téléchargez AlphaRev X et obtenez votre clé
8] Lancez-la en root et suivez les instructions

Source : HDBlog

Le Samsung Galaxy Gio va arriver chez Bell en août

Le smartphone milieu de gamme Samsung Galaxy Gio va débarquer le mois prochain chez l'opérateur canadien Bell.

L'été est riche en nouveautés au Canada. Chez Bell, on va notamment retrouver le Samsung Galaxy S II, le HTC Sensation, le Wildfire S…. mais aussi le Samsung Galaxy Gio. Ce smartphone est plutôt méconnu du grand public et se veut être un bon compromis pour du milieu de gamme. Il sera proposé dès le mois prochain, mais on ne connaît pas encore son prix.

Passons maintenant à ses caractéristiques techniques. Il sera sous Android 2.3 (Gingerbread) avec la surcouche TouchWiz. Le modèle était déjà proposé sous FroYo avec la 3.0, il est donc peu probable que la couche du constructeur soit la 4.0. Son écran tactile multitouch de 16 millions de couleurs a une diagonale de 3,2 pouces. Sa résolution est de 480 x 320 pixels.

Il embarque un processeur simple-coeur Qualcomm MSM7227-1 cadencé à 800 MHz, qui est aujourd'hui courant pour ce type de combiné. La puce graphique est une Adreno 200. Il repose sur 512 Mo de mémoire interne dont seulement 150 Mo utilisables par l'utilisateur. Un lecteur de cartes microSD viendra accroître cet espace jusqu'à 32 Go.

Il possède une seule caméra sur le dos de 3,15 mégapixels (2048 x 1536 pixels). Outre l'autofocus, l'application a un détecteur de visage. Les vidéos seront plutôt médiocres, car elles seront à 15 fps, en QVGA.

Pour la connectivité, on retrouve du WiFi 802.11 b/g/n, du Bluetooth 2.1 + A2DP. Il y a également un microUSB 2.0, un jack 3,5 mm et un GPS (avec aGPS).

Le Galaxy Gio embarque une batterie Li-Ion de 1350 mAh offrant une autonomie de 610h (2G) et 460h (3G) en veille et de 10h40 (2G) et 6h40 (3G) en communication. Le tout mesure 110,5 mm x 57,5 mm x 12,15 mm, pour un poids de 102 g.

Le LG Optimus 3D est arrivé chez NRJ Mobile et Bouygues Telecom

Après une longue attente, le premier smartphone avec un écran 3D de LG est disponible en France. Ce délai est aussi synonyme d'une nouveauté.

Le LG Optimus 3D avait été présenté au MWC à Barcelone. Mais on ne voyait toujours pas ce modèle arriver sur le marché mondial. D'après nos confrères de GSM Arena, ce délai proviendrait d'améliorations sur l'appareil. On note par exemple la possibilité de réaliser des films en 1080p à 30 fps. Or sur la fiche produit, il était jusqu'à présent indiqué une limite à 24 fps. En regardant de près les différentes séquences, on voit bien qu'elles ne sont pas dupliquées : il s'agit donc d'un vrai 30 fps. Il pourrait également y avoir d'autres nouveautés, qui seront certainement découvertes prochainement.

Le smartphone est actuellement proposé chez NRJ Mobile. Par exemple, avec un forfait Ultimate smartphone de 2h et un engagement de 24 mois de 39,99€/mois, il revient à 29€ (99€ – ODR de 70€).

Mais il est aussi à la vente chez Bouygues Telecom. Avec un forfait Neo.4 pour smartphone 3h, avec appels illimités de 21h à 8h et un engagement de 24 mois à 47,90€/mois, il revient à 79,90€ (149,90€ – ODR de 70€).

Il devrait également arriver chez Orange et SFR.

Terminons par un rappel des caractéristiques techniques : l’Optimus 3D est sous Android 2.2 (FroYo), avec une mise à jour prévue vers la 2.3 (Gingerbread). Il utilise un processeur double-coeur Texas Instruments OMAP4430 cadencé à 1 GHz, avec une puce graphique PowerVR SGX540. Son écran mesure 4,3 pouces et affiche une résolution de 800 x 480 pixels. Il est de type 3D avec le même type de technologie que sur la Nintendo 3DS. 512 Mo de RAM pourront être utilisés par le système, ce qui reste un peu en deçà de ce que proposent les concurrents. La mémoire interne est de 8 Go.

Sur l’arrière, on retrouve deux caméras de 5 mégapixels, permettant de faire des photos en 2D et 3D. Ils sont accompagnés d’un flash LED et disposent de l’autofocus. Les vidéos en 3D ne pourront être prises qu’en 720p. En mode 2D, il sera possible d’aller jusqu’au 1080p. Sur l’avant, on aperçoit une deuxième caméra.

Par la suite, on retrouve du WiFi 802.11 b/g/n (avec DLNA), du Bluetooth 3.0 avec A2DP et EDR. Une prise jack 3,5mm pourra être utilisée pour la radio FM, qui sera compatible RDS. On termine le tour de l’appareil, avec la présence d’un GPS (avec aGPS), d’un microHDMI et d’un microUSB 2.0.

Sa batterie Li-Ion est de 1500 mAh. Il mesure 128.8 x 68 x 11.9 mm, pour un poids de 168g.

Google s'allie à SRI International pour offrir un meilleur chat vidéo sous Honeycomb

Le chat vidéo sur une tablette sous Honeycomb avec Google Talk va être amélioré. Un traitement de stabilisation de l'image sera appliqué et l'encodage devrait être moins gourmand en ressources.

Les possesseurs d'une tablette sous Honeycomb vont être ravis. Il va maintenant être possible de faire un chat vidéo via Google Talk, tout en “marchant et parlant”, en ayant une bonne qualité d'image. Cela est possible grâce à SRI International. Depuis jeudi, l'application disponible pour Android 3.0+ permet de stabiliser l'image, pour offrir un meilleur rendu. Outre la suppression des secousses, le logiciel pourra également réduire la charge pour l'encodage de la vidéo et par conséquent améliorer l'autonomie de la tablette.

L'algorithme opère de la sorte : une fois que l'image est capturée par la caméra, elle est compressée avant d'être envoyée. Dans ce processus, la charge du processeur utilisée pour encoder la vidéo augmente avec la quantité de mouvement dans la scène, car il y a plus de bruits. En stabilisant la vidéo, le logiciel compense le mouvement et permet à l'algorithme d'améliorer la qualité d'image, tout en utilisant moins de bits pour l'encodage. Il y a donc une amélioration des performances lorsque l'image est stabilisée avant la compression, car il y a moins de travail à effectuer.

On sait que les tablettes sont principalement utilisées à la maison. Ce logiciel ne sera donc peut-être pas utilisé à sa juste valeur, mais permettra d'accroître les possibilités en extérieur de ce type d'appareil. Pour ce qui est de l'algorithme, l'amélioration de la batterie sera certainement insignifiante. En effet, il concerne principalement l'augmentation de la charge de travail pour l'encodage, lors de mouvements importants. Or, ce n'est pas dans une situation fixe que l'algorithme se différenciera.

Source : Giga OM

Le bootloader du Sony Ericsson Xperia X10 est officieusement déverrouillé

Après avoir été bypassé, le bootloader du Sony Ericsson Xperia X10 est maintenant totalement déverrouillé.

En 2011, Sony Ericsson a décidé d'offrir à ses clients la possibilité de déverrouiller le bootloader. Cela fonctionne pour tous les smartphones achetés en version nue. Pour ceux qui ont été pris chez un opérateur, cela dépend de sa politique. L'ensemble de la gamme 2011 est concernée, mais les modèles de 2010 ne le sont malheureusement pas. Selon la marque, cela demanderait des discussions avec les opérateurs pour un modèle sorti il y a un an : elle n'en voit donc pas l'intérêt. Des rumeurs laissaient croire que le Xperia X10 pourrait également bénéficier de cette fonctionnalité dans la mise à jour vers Gingerbread, mais le fabricant a malheureusement démenti.

Heureusement la communauté de développeurs est active pour ce smartphone. Début avril, il était possible de bypasser le chargeur de démarrage et d'installer un noyau (kernel) personnalisé. Mais attention, contourner ne veut pas dire être déverrouillé. Mais après quelques mois de travail, les hackers ont enfin trouvé une faille qui permet de prendre le contrôle du bootloader. On retrouve toutes les informations sur le forum xda-developers. La clé de cryptage a été révélée, suite à un bug dans la vérification de la signature de Qualcomm. Selon la personne ayant laissé le message, il va être possible de sim-unlocker le smartphone, mais aussi de profiter de toute l'étendue d'avoir un bootloader déverrouillé.

Une bonne nouvelle en attendant la mise à jour vers Android 2.3.3 (Gingerbread) à la mi-août.

Source : Unofficial Sony Ericsson Blog

La mise à jour du HTC Desire Z vers Gingerbread pour la fin de l'été ?

La mise à jour vers Android 2.3 (Gingerbread) est prévue pour la fin de l'été au Canada. A-t-elle été décalée pour tous ?

La situation des mises à jour vers Android 2.3 (Gingerbread) des téléphones HTC se résume de la sorte. Le Desire HD l'a déjà reçue autant sur les mobiles nus, que ceux achetés chez un opérateur. Pour le Desire, alors qu'on croyait qu'elle était annulée, elle arrivera finalement dans le courant du mois. Pour le Desire Z, la situation est beaucoup plus floue, car elle était prévue au maximum pour le mois de juin…. or il n'y eu aucun signe depuis.

Pour ce smartphone, plusieurs ROMs avaient fuité avec cette version. Il semblait donc que les délais allaient être respectés et que la mise à jour arriverait après celle du Desire HD. Sans nouvelle, on pourrait se dire que la même fenêtre de temps que pour le Desire pourrait être appliquée : dans le courant du mois.

Mais la roadmap des mises à jour chez Bell (Canada) démontre qu'il faudrait attendre la fin de l'été. Les opérateurs reçoivent généralement la mise à niveau après les versions nues. Il est donc difficile de juger sur la validité de la date, mais il est tout de même dommage que HTC communique aussi peu là dessus. L'Europe aura-t-elle un traitement de faveur par rapport à l'Amérique du Nord ?

Pour nos amis canadiens, on peut également trouver dans ce document plusieurs informations intéressantes :

• Samsung Galaxy S mis à jour au début de l'été
• HTC Incredible S mis à jour au milieu de l'été
• Motorola Atrix mis à jour à la fin de l'été

Source : Mobile Syrup via HTC Hub

Xiaomi M1 : le premier smartphone sous MIUI ?

Des rumeurs laissent croire que l'entreprise s'occupant de MIUI pourrait lancer son propre smartphone.

La ROM MIUI est devenue incontournable dans le monde d'Android. Puisant ses inspirations sur iOS notamment, elle a réussi à en tirer le meilleur, tout en l'améliorant et en l'accordant aux codes du système d'exploitation de Google. Elle a dans un premier temps été lancée comme un produit communautaire, avant d'être rattachée à une entreprise chinoise nommée Xiaomi Tech. Cette nouvelle avait fait rugir les concurrents, car c'était un moyen rapide pour accroître l'arrivée de l'entreprise sur le marché. En effet, elle n'a été créée qu'en avril 2010 et on parle d'une version stable de la ROM. Jusqu'à présent, les versions sont qualifiées de bêtas, même si elles ne présentent pas d'instabilités majeures. Cela permet également l'ajout de nouveautés chaque semaine. Les rumeurs laissent penser que la première version stable de l'interface sera lancée dans le courant du mois.

Bien que portée sur de nombreux appareils, l'entreprise songerait à lancer son propre smartphone. La sortie serait pour la fin de la période estivale, car on parlerait du mois de septembre. Il serait appelé le M1 et embarquerait un processeur double-coeur Qualcomm, cadencé à 1,5 GHz. Son écran LCD aurait une résolution plutôt classique de 854 x 480 pixels. Le tout serait proposé pour seulement RMB 1,600 (170€/$250).

Un investisseur connu Lei Jun refuse de confirmer cette rumeur. Les médias locaux soulignent que Monsieur Jun ainsi que d'autres personnes importantes de cette société n'ont à aucun moment démenti l'information de manière claire. La déclinaison serait bien évidemment pour le marché chinois. Il sera tout de même intéressant de voir si Xiami Tech souhaite débarquer sur le marché mondial.

Source : Nexus Lab

Le Nexus S s'est envolé avec la navette spatiale Atlantis pour une mission spéciale

Après le lancement de l'application de la NASA, nous restons sur le thème de la conquête spatiale avec cette information relayée par un communiqué de presse de Samsung. Deux Nexus S (conçu par Samsung pour Google) font parti de l'équipage de la navette Atlantis en direction de la Station Spatiale Internationale (ISS). Ils vont servir de télécommandes pour contrôle les SPHERE (‘SPHERE’ pour “Synchronized Position Hold, Engage, Reorient, Experimental Satellites”, des drones conçus pour réaliser des maintenances de l'ISS.

Cette photo a été prise depuis un avion avec un androphone. #STS-135 Atlantis

Ces deux sphères ont été conçues d'après le si célèbre Star Wars “Un nouvel espoir” (épisode IV) où Luke s'entraîne avec des sphères pour la maniement du sabre laser.

Les “SPHERES” en action

Le Nexus S devient donc le premier smartphone certifié par la NASA pour aller dans l'espace.

Le HTC Desire recevra sa mise à jour vers Gingerbread fin juillet

La fameuse mise à jour du HTC Desire vers Android 2.3 (Gingerbread) va être envoyée dès la fin du mois.

Un épisode de plus vient de sortir pour la mise à jour du HTC Desire. Mais comme pour toute histoire, revenons sur les faits, pour ceux qui l'auraient raté. Initialement le smartphone devait passer sous Android 2.3 (Gingerbread), tout comme les Desire HD et Desire Z. L’information avait été donnée à Barcelone et la date de sortie était prévue pour juin. On savait que Sense 2.1 ne serait pas de la partie : on s’orientait alors vers une petite mise à niveau de Sense ou le passage vers Android en version de base (AOSP).

Mais revirement de situation à la mi-juin ! Sur sa page Facebook, HTC indiquait tout simplement que la mise à jour était annulée. Devant le nombre de retours négatifs, la marque a alors dû faire machine arrière le lendemain et indiquer qu’elle aurait finalement lieu. Le jour suivant, on apprenait que cette mise à niveau n’inclurait pas toutes les applications, car le problème évoqué par HTC était initialement un manque de mémoire. Cela voulait donc dire Sense 2.1, sans toutes les nouveautés. Le 1er juillet, les tests de cette build avaient même commencé.

Depuis hier, on peut lire un nouveau message sur Facebook :

“Nous avons plus de nouvelles sur notre build Gingerbread pour le Desire. Nos tests se sont bien passés, donc nous allons commencer à déployer la mise à jour d'ici la fin juillet.”

Cette ultra-communication est volontaire suite à la gronde des utilisateurs. Il ne reste plus qu'à attendre de voir la ROM fuiter, pour voir quels éléments ont été supprimés.

Bientôt, un Passe Navigo implanté dans les smartphones grâce au NFC ?

Edit : D'après un lecteur, l'implantation serait déjà à l'essai pour certains chanceux.

Bonne nouvelle pour les parisiens, mais est-ce une bonne nouvelle pour nos smartphones ?

D'après nos confrères du Journal du Geek, le Syndicat des transports d’Île-de-France (STIF) aurait favorablement répondu à l'implantation des Passes Navigo dans les smartphones intégrant la technologie NFC. L'idée est bonne, même très bonne, cependant, les mobiles supportant la technologie NFC restent encore très rare. Il y a bien le Google Nexus S, et peut-être les futures iPhone, ainsi que certains prochains HTC, Sony Ericsson, et surement quelques autres constructeurs, mais c'est encore trop vague pour être précis.

La décision finale reste encore floue puisqu'aucune action précise n'a été amorcée. Comme le fait remarquer Ben, à moyen terme, il se pourrait que l'on puisse recharger son passe en tirant parti de l'over-the-air. Cela permettrait d'en suivre la date de validité et mettre à jour son Passe Navigo depuis son smartphone. Si le premier pas est fait, l'envie pourrait certainement s'inviter chez d'autres entreprises françaises ; peut-être des banques, boulangeries et d'autres commerces sujets à être intéressés.

Au Japon et en Corée, il est bien évidement déjà possible de payer les transports en commun à l'aide de son téléphone portable, en le posant sur une borne comme on le ferait pour une carte. Cependant l'implantation de la technologie est différente.

Si nous rentrons dans les détails, nous voyons un problème à l'implantation de ce scénario sous android avec les APIs Google NFC tel qu'elles sont faites aujourd'hui. Les APIs ne supportent pas ce mode complètement passif (“mode carte”) et se concentrent sur un mode PUSH. La dernière fois que nous avons posé la question à Google, la réponse était qu'il ne souhaitait pas voir ce scénario dans Android, car il serait difficile à gérer par l'utilisateur : comment décider quelle application aurait accès aux données contenues dans la “carte”.

Bien sur, il n'est pas exclu que les choses évoluent …

Via JDG.