Le LG Optimus One doit passer sous Android 2.3.3 d'ici à la fin du mois. Une vidéo présente cette nouvelle version.
Lors de la sortie d'Android 2.3 (Gingerbread), au mois de décembre dernier, le compte Facebook LG USA Mobile indiquait que ce téléphone n'en bénéficierait pas. La raison ? Gingerbread nécessiterait un processeur de 1 GHz, alors que l'Optimus One n'en a un que de 600 MHz. Mais Romain Guy, un Googler, a rapidement démenti les spécifications minimales pour faire tourner cette version d'Android. LG se trouvant alors dans l'embarra, a indiqué qu'il y aurait une mise à jour. Récemment, nous avions pu lire que cette mise à niveau était prévue pour la fin mai.
Une vidéo vient d'apparaître sur Internet avec Android 2.3.3 sur le LG P500. On y découvre un téléphone plutôt fluide. A Quadrant, il égale le niveau du Samsung Galaxy S (sous 2.1) :
Cette vidéo montre que la version finale n'est pas loin. Si Gingerbread arrive sur ce téléphone, il devrait en être de même pour l'Optimus 2X (espérons).
Le mystère du t-shirt de la Google I/O est enfin résolu… Du grand Google !
Tous les participants de la Google I/O 2011 ont reçu un t-shirt avec sur le devant le logo de l'événement et sur l'arrière du code écrit en morse. Le mystère du t-shirt de la Google I/O commençait alors (oui c'est un mystère à notre échelle !).
Il est très courant que le géant de Mountain View fasse de l'humour très geek et même trouve des liens très éloignés lors de la sortie de produits. Par exemple, lors de la sortie de Gingerbread (pain d'épice), cela correspondait au jour de la Saint Nicolas… la tradition donnée à ce type de dessert en dehors de la France !
Pour le t-shirt, on s'attendait donc à une surprise. Voici le code morse et un outil pour le convertir en langage parlé :
Le résultat est HTTPGOO.GLA4C639. En allant sur cette page, on tombe alors sur cette illustration qui fait la publicité d'Androidify. Dans la dernière mise à jour, le tshirt de la Google I/O est notamment proposé, tout comme la possibilité d'être utilisé en fond d'écran animé.
Mais ce n'est pas tout, puisque le code couleur A4C639 représente celui d'Android :
Vous nous croirez certainement plus, lorsque nous vous parlerons de rumeurs tirées par les cheveux !
Androidify yourself by customizing the little green Android as yourself, your family, your friends, anyone! Stretch it , shrink it, add a hoody, style its hair, throw on some shades, or even give it a parrot and a pirate hat. Arrrgh!Once you’ve personalized your Android, share it with your friends,...
Le lecteur d'actualités News Republic est maintenant compatible avec Android 3 (Honeycomb).
Les applications pour lire les actualités sur Android 3 (Honeycomb) se multiplient. Il y a Pulse News et Taptu, qui sont déjà très bonnes dans leur domaine. Certains trouveront une approche (et une apparence) très similaire entre ces deux applications. C'est ainsi que News Republic pour tablettes pourra répondre à vos attentes. L'application existait déjà depuis un moment sur les smartphones et le passage vers les tablettes (au sens Google) est très réussi.
Sur la page d'accueil on arrive sur les Top Stories sur la gauche. Sur le reste de l'écran, on voit des sujets (Topics) que l'on peut choisir à sa guise. Par défaut, toutes les catégories sont représentées : culture, football, high-tech, monde, people… Les informations proviennent de sites partenaires locaux. Vous pouvez à tout moment changer la langue des articles et à ce moment là, seuls les actualités des sites y seront affichés. Par exemple, vous retrouverez FrAndroid dessus, si vous choisissez le français et la rubrique High-Tech.
Bien que ces sujets soient très généralistes, vous pourrez les supprimer et en ajouter d'autres. Vous pourrez choisir ceux mis en avant, les plus populaires, les derniers ajoutés, ou faire une recherche manuelle. Vous pourrez ensuite définir si vous souhaitez recevoir des notifications lorsque de nouveaux articles apparaîtront dans un ou plusieurs des sujets.
En cliquant sur un article, vous allez arriver sur un écran légèrement différent. Plus précisément, la partie sujet est remplacée le contenu. Vous allez très facilement pouvoir agrandir/réduire la taille du texte, partager l'information (via la fonction Android), voter pour cette actualité et l'enregistrer. Les votes sont alors affichés sur la gauche de l'écran. Pour ce qui est d'enregistrer une actualité, la fonctionnalité marche comme une mise en favoris. Vous pourrez alors la consulter depuis le sujet (sur la page d'accueil) “Saved” (enregistrés).
Vous noterez deux icônes avec une maison et un globe. Le premier retourne à la page d'accueil. Le second affiche alors des tags sur le sujet que vous regardez actuellement. Le système s'appelle TagNav et permet de voir les sujets connexes.
Deux widgets sont aussi proposés et sont redimensionnables avec le launcher d'Android 3.1 (un sujet/widget) :
Le seul bug rencontré dans cette version de NewsRepublic est que l'icône en haut à gauche quitte l'application, alors qu'elle devrait faire un retour.
Si vous avez une tablette sous Honeycomb, n'hésitez pas à tester cette application gratuite :
Les jeux PS1 dédiés au Sony Ericsson Xperia Play se vendent peu : entre 100 et 500 téléchargements pour la plupart. Mais le constructeur se montre confiant.
Le Sony Ericsson Xperia Play est à la vente depuis plusieurs semaines. Ce téléphone est certifié Playstation et se veut donc orienté vers les jeux. Il utilise pour cela un clavier manette coulissante. On y retrouve les flèches directionnelles, les quatre boutons Playstation, START, SELECT et deux pads tactiles. Alors que ce type de smartphone nécessite une bonne puissance de calcul et graphique, le constructeur s'est plutôt penché vers une architecture de 2010. Or en 2011, les processeur à double-coeur sont devenus des incontournables. Ceux qui cherchaient une “bête de course” ont donc été déçus.
Pour ce qui est de la lineup (la gamme de jeux proposée pour ce smartphone), on a pour l'instant des jeux PS1 sur l'Android Market et des titres pour Android, en exclusivité temporaire. Il n'y a donc pas pour l'heure de vrais jeux dédiés aux Xperia Play, mais plutôt des adaptations pour gérer le pad.
En regardant, sur l'Android Market, on s'interroge devant de tes chiffres : Cool Boarders 2 (100 – 500), Destruction Derby (500 – 1 000), Jumping Flash (50 – 100), MediEvil (100 – 500) et Syphon Filter (100 – 500). Ce ne sont que des jeux PS1 et il existe des émulateurs, mais cette proportion est tout de même inquiétante. Soit les possesseurs veulent du vrai contenu exclusif, soit ils estiment qu'un jeu PS1 ne vaut pas l'achat, soit ce smartphone/console ne se vend pas bien…
Une interview chez Playstation Lifestyle montre que ces chiffres n'inquiètent pas Sony Ericsson, car il faut rappeler que le téléphone n'est toujours pas disponible aux Etats-Unis :
Q : Est-ce que les ventes des jeux optimisés pour le Xperia Play ont répondu à vos attentes ? R : Je pense que nous sommes heureux avec ca, c'est plus une question à poser à nos partenaires, pour s'avoir s'il sont heureux et si cela a répondu à leurs attentes. Je veux dire, nous savons que vous avez eu une interview avec Gameloft et ils sont heureux. Je pense donc que, généralement, les gens sont heureux, mais c'est très tôt, car comme vous devez le savoir, sur certains marchés, nous avons une couverture complète et d'autres pas/moins. Je pense que tout le monde est heureux là où nous en sommes en ce moment. Nous avons besoin de voir les ventes grossir pour nous motiver, mais il faut attendre, plus de publicités, plus d'annonces de jeux…
Q : Mais parlons du PlayStation Pocket (et en regardant les ventes sur l'Android Market) , qui place la plupart des jeux entre 100 et 500 téléchargements. Est-ce que cela ne vous parait pas faible ? R : Je pense qu'il y a aussi une sensibilisation nécessaire pour que les personnes qui ont le smartphone en main sachent où acheter des jeux. A l'heure actuelle, il y en a peu de titres PlayStation One et il y en a d'autres qui vont arriver, sur une base plus régulière. Il y a aussi toute la base Playstation, comme fournisseur de contenus exclusifs, qui va bientôt voir le jour et les gens vont s'en rendre compte. Donc il n'y a pas de problème, c'est un appareil révolutionnaire, c'est secouer le marché, nous en sommes très heureux. En ce qui concerne le programme Playstation Certified, nous en sommes très content. Je pense que nous ferons une évaluation complète comme une réussite ayant atteint tous nos objectifs que nous nous étions fixés en aval : nous sommes donc très heureux. Nous savons qu'il y a encore beaucoup de choses à venir, mais nous ne pouvons pas les sortir pour le moment.
Le nombre de répétitions du mot “heureux” est ici un peu trop fréquent pour montrer un état d'esprit serein. Pour Sony Ericsson, il est difficile de juger la situation, car sa production est encore entachée par les événements du Japon. Les multiples publicités que l'on peut voir sont plutôt bien faites et le problème pourrait venir d'ailleurs. Alors qu'une console s'achète “nue”, un smartphone est généralement pris avec un abonnement opérateur. Or si des potentiels joueurs entendent la fin de leur engagement, il est certains que le fabriquant ne va pas voir tout de suite décoller ses ventes.
Dans tous les cas, laissons le temps au Xperia Play de prendre ses marques sur le marché, pour faire une deuxième comparaison des ventes de jeux.
Un benchmark du Motorola Droid 3 donne certaines de ses caractéristiques.
Ce n'est pas la première fois que nous voyons et attendons des informations sur le Motorola Droid 3. Cette gamme de téléphones est plus connue sous Milestone en Europe et désigne des smartphones avec un clavier coulissant. Sur ce nouveau modèle, nous apprenons fuite après fuite, quelques détails supplémentaires. Au rythme actuel, Motorola aura annoncé le smartphone bien avant que le jeu de découverte soit fini.
Cette nouvelle variante reprend les lignes rondes de l'Atrix. Le design si particulier du Milestone 2 est ici abandonné, pour en faire un produit qui se fondra plus facilement dans la masse. Le clavier est amélioré, avec l'ajout d'une ligne supplémentaire pour les chiffres. Cela offre donc de nouveaux raccourcis et permettra d'écrire plus vite. Sur les photos, c'était alors les seuls éléments que nous pouvions garantir. Une autre fuite avait permis d'apprendre que l'écran fera 4 pouces. Il y a également la confirmation d'une caméra frontale et la face arrière du clavier est maintenant plus soignée, avec la disparition des vis.
Grâce à un test effectué sur Nenamark (un benchmark), on apprend plusieurs caractéristiques techniques :
Résolution de 960 x 540 pixels (qHD) pour l'écran
Puce graphique PowerVR SGX 540
Android 2.3.3
On ne sait pas exactement le modèle du processeur, si ce n'est qu'il est cadencé à 1 GHz. Mais les habitudes de la marque montrent qu'il pourrait s'agir d'un Texas Instruments OMAP4430. Bien que cette architecture soit peut connue (face au nVidia Tegra 2), elle est bien à double-coeur.
Il se murmure que ce téléphone pourrait être compatible avec le webtop/lapdock. C'était les seules informations que nous avions sur le Droid 3. La suite au prochain épisode…
Le HTC Sensation, le nouveau modèle phare avec un processeur double-coeur, a son bootloader verrouillé.
Le HTC Sensation a été le dernier smartphone des “gros constructeurs” a être annoncé. Il utilise un processeur de chez Qualcomm, alors que pour les LG Optimux 2X, Motorola Atrix et une variante du Samsung Galaxy S, c'est du nVidia Tegra. Il y a également un Samsung Galaxy S II avec un Exynos (modèle vendu en France). Alors que l'Evo 3D bénéficie d'un Qualcomm Snapdragon MSM8660, le Sensation se limite à MSM8260. Tous les deux sont cadencés à 1,2 GHz, mais le numéro du produit (et les premiers benchmarks) montrent qu'il est un peu moins performant.
Une inquiétude pour ce téléphone était le bootloader verrouillé. C'était déjà le cas sur l'Incredible S et il n'existe toujours pas de méthode logicielle pour le contourner. Seul le xtc-clip peut pour l'instant passer outre cette protection. Mais son prix élevé, pour un manipulation à faire une seule fois, n'en vaut pas forcément la chandelle. A priori, ce téléphone n'est pas protégé de la même manière que le Thunderbolt, qui lui a réussi a être déverrouillé (la démarche est loin d'être simple).
Une archive du système du Sensation a été mise en ligne et on voit clairement que le chargeur de démarrage est bloqué. Par conséquent, le téléphone va se trouver très limité : pas de ClockWork Recovery, pas de nandroid…
HTC qui avait toujours réunit les geeks de part son ouverture, va certainement payer les frais de ce changement de politique. Même Motorola va proposer des terminaux avec des bootloaders déverouillés à la fin de l'année. HTC qui était un bon élève, reçoit tout à coup le bonnet d'âne !
Concernant la disponibilité chez SFR, nous en savons très peu. Initialement, il devait sortir le 12 mai. Il ne devrait pas sortir avant la fin de la semaine prochaine, dans le meilleur des cas.
Google Music est un service de streaming de musique dans le cloud. Pour l'instant réservé aux Etats-unis et uniquement sur invitation. Voici le test de ce service.
Google Music est un service qui a été annoncé à la Google I/O. Nous savions que les discussions avec les majors du disque étaient dans l'impasse, mais Google a tout de même voulu lancer son offre. Au niveau du service, c'est quasiment une copie conforme du Cloud Player d'Amazon. Le principe est assez simple : vous envoyez des musiques depuis votre ordinateur (Windows et Mac uniquement !) et vous les écoutez ensuite sur une interface web, un smartphone ou une tablette Android. A l'heure actuelle, le service est proposé en version bêta très limitée : aux américains et sur invitation.
L'offre est gratuite avec un espace pour stocker 20 000 chansons, mais elle ne devrait être que temporaire. Si vous êtes l'heureux propriétaire d'une Motorola Xoom Verizon, sachez que Google est en train d'envoyer quelques invitations pour essayer le service. Pour cela, il suffit de se connecter sur music.google.com avec un proxy/vpn domicilié aux Etats-Unis. Il faut demander une invitation pour tester le service avec une adresse mail qui est enregistrée sur la tablette. Il ne reste plus qu'à recevoir un mail de ce type :
Ce mail ne contient pas une URL spéciale, mais juste un raccourci vers music.google.com. Par conséquent, vous ne pourrez pas la donner à quelqu'un, car l'inscription se fait à partir de l'adresse mail. En ayant une adresse ip aux Etats-Unis et après avoir accepté de participer à Google Music (et ne pas stocker des musiques illégales), vous tombez sur un premier écran. Sur celui-ci, on vous demande vos goûts musicaux. A partir de la sélection, des musiques gratuites vont être ajoutées dans votre bibliothèque… why not ! Sachez que cette étape peut être sautée, donc vous ne serez pas forcément obligé d'écouter du Shakira, Outkast ou Santana. En revanche, on apprécie que certains grands artistes soient proposés dans ces playlists. Il est donc étrange ces titres soient proposés, alors qu'il est impossible d'en acheter… Google les a certainement acheté.
On vous demande ensuite de télécharger Music Manager (pour rappel sur Mac ou Windows). Une fois l'application installée, on va vous demander depuis quelle source vous souhaitez importer votre musique : bibliothèque iTunes, le dossier musique (celui qui s'appelle Musique(s) dans votre dossier personnel), ou un ou plusieurs dossiers que vous aurez sélectionné. Vous pourrez également demander une synchronisation automatique : si un titre est ajouté dans votre collection, il est automatiquement envoyé vers Google Music. Inversement si un fichier est supprimé.
Sur la gauche, vous pouvez alors voir la progression de l'envoi. Mais à ce moment là, vous pourrez rebasculer vers votre adresse ip normale. Pour la lecture sur les smartphones et tablettes, il n'y aura plus aucun problème avec un ip française, belge, italienne… Il la faut uniquement pour valider son compte.
Rendons-nous maintenant sur l'interface, à l'adresse music.google.com. L'interface est très réussie et on reconnait le style de l'Android Market web. Sur le dessus, on peut faire des recherches (avec auto-complétion) et avoir des raccourcis pour installer Music manager et l'application pour smartphone/tablette. L'écran affiche en suite sur la gauche, les différents menus et sur la gauche le contenu.
Par défaut, on tombe sur la musique ajoutée récemment à sa collection. Les différents albums sont représentés avec leur pochette. Il est impossible d'utiliser une vue avec une liste. C'est en revanche le cas pour la rubrique Chansons (Songs). On retrouve ensuite les artistes (avec plusieurs pochettes), les albums et enfin les genres.
Les playlists générées automatiquement sont : Thumbs up (pouces levés), la musique ajoutée récemment (un peu en doublon avec la rubrique New and recent) et chansons gratuites.
Juste au dessous, vous voyez les Instant Mixes. Le principe est simple : vous sélectionnez une musique et Google crée alors une playlist de 25 chansons similaires. Ayant beaucoup de titres gratuits dans la collection, le résultat était assez mauvais. Il reste à voir si avec une vraie collection de plusieurs milliers de titres, cette fonctionnalité est si révolutionnaire.
Juste en dessous, ce sont les playlists classiques.
Pour lancer la lecture d'une chanson, c'est très simple, puisqu'il suffit de faire un double-clic, ou d'appuyer sur le bouton Play. Ce n'est pas aussi instantané qu'avec Spotify, mais environ 2 secondes après, la musique se lance.
Sur le lecteur, vous allez pouvoir faire lecture/pause, suivant/précédent. Vous pourrez également donner votre goût avec un pouce levé/baissé.
A côté de chaque titre (en passant la souris dessus), on voir apparaître un triangle. Ce menu permet de l'ajouter à une playlist, lancer la création d'un Instant mix…
Vous pouvez également choisir d'éditer un titre ou un album. Une chose intéressante est la possibilité de modifier la pochette. Sur les chansons, on peut indiquer le numéro de la piste et du disque. Rien de transcendant.
Passons maintenant aux smartphones. Pour en profiter, il faut un terminal sous Android 2.2+ et télécharger cette application (si elle ne s'affiche pas, il faut utiliser Market Enabler et prendre un opérateur américain) :
Avec l'application Google Play Musique, vous pouvez écouter votre bibliothèque musicale où que vous soyez. Tous vos titres musicaux sont stockés en ligne. Vous n'avez donc plus à vous soucier de la synchronisation ni de l'espace de stockage.* Les titres que vous achetez sur Google Play apparaissent automatiquement dans l'application.* Vous pouvez ajouter gratuitement jusqu'à...
Lorsque vous vous connectez pour la première fois, l'application va vous demander quelle compte vous vous utiliser. Seuls ceux qui sont reliés à Google Music sont proposés. La synchronisation de la collection peut prendre de quelques secondes, à plusieurs minutes, selon la taille de votre bibliothèque musicale.
Ensuite en utilisant votre application, vous ne ferez visuellement aucune différence entre un titre présent sur la mémoire interne/carte microSD et un autre sur le cloud. C'est seulement à la lecture, où vous verrez une mise en tampon (Buffering). Il est toutefois possible de n'afficher que les musiques disponibles hors connexion.
Pour la lecture, rien à signaler : la qualité est bonne et il faut attendre un peu le temps du chargement (correct en 3G). Vous verrez apparaître une menu Paramètres, qui permettra de choisir si vous souhaitez écouter/télécharger de la musique uniquement ou WiFi ou non.
Contrairement à ce qui a été dit à la conférence Google I/O, il est possible de synchroniser des albums, pour une écoute hors connexion. Ce ne sont pas uniquement les derniers morceaux joués.
Passons maintenant aux tablette. Si vous êtes sous Android 3.1, la mise à jour du lecteur est déjà faite. Si vous êtes sous la 3.0, il suffit de télécharger la version de l'Android Market. C'est exactement la même application que sur un smartphone.
Si vous n'avez pas tout lu, ou bien que vous voulez voir une démonstration du service sur un ordinateur, un smartphone et une tablette, c'est par ici :
Les points forts :
- Streaming de sa bibliothèque - 20 000 chansons - Très simple à utiliser
Les points faibles :
- Temps pour envoyer les musiques (peut être très long selon votre bibliothèque) - Envoi uniquement depuis un ordinateur - Interface web avec du Flash
Note globale : 15 / 20
Conclusion : Google Music est pour l'instant un bon service. La possibilité de lire des musiques sur trois supports différents (mais sur un seul à la fois), le rend très attrayant. Ses défauts de jeunesse comme l'impossibilité d'envoyer vers le cloud des musiques depuis les smartphones/tablettes devrait (je pense) être résolu rapidement. Pour ce qui est du Flash sur l'interface web, ne serait-ce pas un pied de nez pour que les plateformes ne supportant pas cette technologie ne puissent pas utiliser le service ?
Amazon ne travaillerait pas sur une seule tablette sous Android, mais bien une “famille entière” de produits.
Le site Android And Me qui s'était un peu mis en veille, nous revient avec une nouvelle rumeur. Ce site a généralement une très bonne analyse de la situation. Si cette information circule depuis leur site, il y a toute de même des chances élevées pour qu'elle se produise. Nous savions à demi-mot qu'Amazon travaillait sur une tablette Android, avec notamment des offres d'emploi s'y rapportant. Cette semaine, le PDG d'Amazon Jeff Bezos indiquait “stay tuned” (restez à l'écoute), il ne fait donc aucun doute que ce produit sera rapidement annoncé. Sera-t-il sous Android 3 (Honeycomb) ou bien sur une autre branche ? La volonté de Google est toujours d'offrir une base meilleure, mais cela n'empêche pas les constructeurs de rajouter leur propre couche.
Selon la dernière rumeur, il n'y aurait pas une tablette, mais toute une famille d'appareils sous Android. Dès lors plusieurs choix sont possibles : plusieurs tablettes, une tablette et un eReader (comme le Kindle actuellement) ou un mélange des deux autres avec un smartphone ! Quand on voit que l'Amazon App Store a été récemment lancé, tout comme le Cloud Player (l'équivalent de Google Music), on ne peut qu'approuver ce type d'information.
Pour ce qui est du fournisseur du matériel, les rumeurs se contredisent entre Samsung et Quanta Computers (1er fournisseur de composants pour netbooks). Pour l'écran, ce ne devrait pas être du E-ink, dans la mesure où le PDG a dit que la technologie n'était pour l'instant pas suffisamment aboutie. Il était alors question d'un écran de type Pixel Qi ou Mirasol. Sur un smartphone, ce serait alors une première !
Connaissant le vaste catalogue du Kindle, avoir une tablette Android optimisée pour cette boutique sera certainement un produit intéressant pour ceux qui veulent une tablette liseuse de livres. Pour ce qui est d'un smartphone, l'intérêt est pour l'instant moins évidemment, à moins que l'Android Market soit remplacé par l'Amazon App Store…
Le bugdroid danseur de chez Sony Ericsson est à nouveau apparu à la Google I/O.
On avait pu apercevoir un bugdroid danseur de chez Sony Ericsson, faisant la promotion du Xperia Arc, dans un centre commercial. Avec une danse endiablée, cette vidéo avait fait le tour du web et a renforcé indéniablement le côté sympathique de la mascotte d'Android. Alors qu'il était jusqu'à présent caché dans un coin des publicités, bugdroid est maintenant devenu un argument commercial. C'est ainsi qu'une deuxième vidéo était apparue avec ce même bugdroid danseur. Contrairement au premier, ses pas ressemblaient plus à du grand n'importe quoi, que de la danse.
A l'occasion de la Google I/O, on a, à nouveau, pu apercevoir cette mascotte (vidéos d'Android Central et And.roid.es) :