Celle qui pourrait être la Nexus T, vient d'être repoussée pour la “très” fin de l'été.
Toshiba a lancé il ya quelques mois sa tablette Folio 100, mais elle n'a pas fait l'unanimité. Le constructeur tente un deuxième essai avec une tablette sous Android 3 (Honeycomb). Dans un premier temps, elle a été annoncée sans aucun nom, ce qui n'arrive que très rarement, car des noms temporaires sont généralement donnés. Il fallait alors parler de la tablette Toshiba de 10 pouces… Mais un mois plus tard, on apprenait qu'elle serait disponible au mois de juin au Japon, sous le nom de Regza AT300. Pour ses caractéristiques : un copié/collé des caractéristiques des concurrentes du marché (Motorola Xoom, Acer Iconia Tab A500…).
Cette tablette se caractérise notamment par sa batterie de type “prismatique”, avec une autonomie trois fois supérieure à une ion classique. Cela avait notamment soulevé des rumeurs sur une Nexus Tablette. Mais comme vous avez pu le remarquer, aucune tablette Google n'a été annoncée à la conférence pour les développeurs. Cela ne veut pas pour autant dire qu'il n'y en aura pas, car comme l'a indiqué Andy Rubin, un Nexus permet de donner un niveau à atteindre par les constructeurs.
Mais on pourrait voir un début d'explication, de part le fait que la Regza AT300 vient d'être repoussée à la “très” fin de l'été. Aucune raison officielle n'est avancée, mais c'est certainement que le produit n'est pas fini. Avec l'expérience de la Folio 100, Toshiba se doit de proposer un bon produit dans ce domaine. Sans quoi, il pourrait à nouveau se décrédibiliser.
Le HTC Sensation n'arrivera pas avant la fin de la semaine prochaine et la Flyer ne sera pas disponible avant lundi.
HTC mise beaucoup sur le Sensation, le premier smartphone avec un processeur double-coeur de la marque, et la Flyer, une tablette très alléchante de part ses fonctionnalités. Mais l'un comme l'autre n'ont pas été livrés à temps et il va falloir patienter pour les voir apparaître. Il est tout de même étrange de la part d'un constructeur de la taille de HTC, de ne pas envoyer un communiqué, ou tout au moins d'indiquer des dates si approximatives. Course pour être le premier ? Problèmes à la production, acheminement ou autre ? Pour l'instant, nous n'avons pas les raisons exactes, mais il ne fait aucun doute que tôt ou tard, elles apparaîtront au grand jour.
Le Sensation devait arriver en fanfare chez SFR hier, avec une exclusivité d'un mois. Il rattrape le retard pris sur LG et Motorola (le Samsung bridé d'une fonction pourtant annoncée au MWC – pour le même prix – arrivant à la fin du mois). Mais nos confrères de Les Mobiles viennent d'avoir la confirmation comme quoi il ne sera pas disponible avant la fin de la semaine prochaine, dans le meilleur des cas. Par conséquent, il ne serait pas impossible de le voir arriver pour la semaine du 23.
Alors que la Flyer devait initialement sortir pour le 9 mai, elle a été repoussée au 12. Mais ce n'était sans compter sur un deuxième décalage, pour le 16 mai. Espérons que la date soit cette fois-ci définitive…
Même si cela ne donne pas une bonne image de l'entreprise, il est toujours plus agréable que les tous les clients (actuels – via les précommandes – et futurs) soient informés de la situation concernant la disponibilité. Or ici, il faut se tourner vers des ressources non officielles, pour connaître des dates, qui ne seront elles-non plus, pas forcément respectées ! Chapeau bas pour la gestion de la communication !
L'application TV d'Orange propose désormais autant du direct, que des programmes à la demande.
L'opérateur français Orange a mis à jour son application Android “TV d'Orange”. Depuis son terminal, on peut regarder plus de 60 chaînes, autant en WiFi, qu'en 3G. Selon les offres, les clients ont accès à une quantité variable de chaînes :
- Incluse en illimitée -20 ou 60 chaines (4) selon l’offre- si vous êtes abonné à une offre mobile Orange ou à une option multimédia le prévoyant ou à l’option Totale TV pour les clients Orange Business Services. - Sinon, facturée à la session au prix de 0,5€ les 20 minutes pour les clients détenteurs d’un forfait ou d’un forfait bloqué. - Au prix de 0,5€ / minute pour les clients Mobicarte et cartes prépayées.
On peut autant voir le direct, que le guide des programmes. Mais une fonctionnalité très attendue vient de faire son apparition : les programmes à la demande. Certes les 60 chaînes ne sont pas couvertes, mais on retrouve les trois principaux réseaux français :
- TF1 - France Télévisions (France 2, France 3, France 4, France 5, France Ô) - M6 (mais pas W9)
Sachant qu'aucune de ces chaînes ne propose encore une application Android, c'est une très bonne avancée de la part d'Orange.
Si vous avez un smartphone sous Android 1.5+ et 4,1 Mo d'espace libre, tout est prêt pour que vous téléchargiez l'application TV d'Orange :
Regardez la TV et la TV à la demande d’Orange chez vous ou en mobilité !Pilotez votre TV :- lancez un programme directement sur votre télé (1)- planifiez un enregistrement à distanceProfitez de toute la TNT, d’une sélection de chaînes nationales et thématiques accessibles en 3G et en Wi-Fi pour...
La Google TV a été annoncée à la Google I/O 2010, mais un “reboot” a lieu pour lui donner une seconde jeunesse.
La téléphonie a subi de grands changements, passant d'un téléphone filaire à cadran (où il faut tourner un cercle pour valider le chiffre) aux smartphones actuels. Il en est de même avec les télévisions, qui sont progressivement passées à la couleur et maintenant à la haute, voire même très haute, définition. La force d'Android est de pouvoir s'installer sur une multitude de périphériques : smartphones, tablettes, etc. Pour la Google TV, c'est exactement la même chose : on la retrouve sur des télévisions, dans des box ou dans des lecteurs Bluray. Ce système a été annoncé lors de la Google I/O 2010. Les premiers modèles sous ce système ont été mis à la vente, dès fin 2010 aux Etats-Unis. Une commercialisation pour le début 2011 était prévue en Europe, tout comme l'intégration de l'Android Market. Malheureusement, les ventes ont été décevantes, notamment à cause du prix élevé. Cela pousse aujourd'hui son créateur (Google) à rebooter le projet. Les projets lancés depuis fin 2010 seront toujours compatibles avec cette version 2.
Google essaie de mettre en avant cette plateforme, car la proportion de télévisions est supérieure aux ordinateurs et aux appareils mobiles. Grâce à la fameuse obsolescence programmée (le fait qu'un matériel soit volontairement programmé pour fonctionner pendant une certaine période), va pousser les américains à renouveler leurs télévisions. Même si la 3D commence à pointer le bout de son nez, elle n'est pas encore assez intéressante, de part la nécessité de porter des lunettes. Ce sont donc les télévisions intelligentes qui vont être massivement adoptées. Le but n'est plus seulement de regarder du contenu via une chaîne, un Bluray, etc. mais de s'orienter également vers Internet.
C'est ainsi que la Google TV rejoindra Android, dès cet été via Honeycomb. Cette version du système, dont le code source ne sera pas donné de sitôt, est une plateforme qui mettra en avant deux types d'appareils encore inconnus il y a quelques années : les tablettes et les smartTVs. Le fait que la Google TV s'intègre dans le code Android, permettra l'arrivée de l'Android Market et la possibilité d'utiliser des applications de ce même système. Bien évidemment, des restrictions s'appliqueront car des applications en mode portrait pour les smartphones, ne pourront pas déboucher sur un changement d'orientation de la télévision !
Concrètement, toutes les APIs Android vont maintenant fonctionner sur la Google TV. Mais on retrouvera des fonctionnalités spécifiques à ce type d'appareil. Tout comme les tablettes et les smartphones ont une apparence spécifique, il en sera de même pour la Google TV :
Sur le bas, on retrouve l'heure, les notifications, le lanceur d'application, des raccourcis que l'utilisateur peut choisir à sa guise et la fonctionnalité de recherche. Sur le reste de l'écran, on peut facilement y mettre des widgets. En fond, se trouve le contenu qui est actuellement joué (télévision, etc.).
Passons maintenant à l'écran de recherche :
On voit autant des informations sur le contenu multimédia que les applications.
Dans Honeycomb, l'Action Bar est devenu un élément caractéristique du système. Il permet de donner une vraie identité visuelle pour les développeurs et évitera (espérons-le) des portages à la iPhone. Sur une interface tactile, le fait que cette barre soit en haut de l'écran est très bien pensé.
En revanche, Google a pensé que cet Action Bar devait avoir un autre emplacement : sur le côté gauche.
L'Android Market pour télévisions a aussi été montré et se veut très simple :
Cette version sera proposée dès l'été. Avant de songer à une éventuelle sortie en Europe, il faudra attendre de longs mois. Dans tous les cas, cette version 2 de la Google TV semble très intéressante. Mais il va falloir qu'une politique commerciale forte soit mise en oeuvre, sans quoi ce système finira aux oubliettes.
N'oublions pas qu'Ice Cream Sandwich (sortie au quatrième trimestre) devrait rassembler les smartphones, les tablettes, mais aussi la Google TV. Cette architecture donner un coup de boost à tous ces appareils.
Si vous êtes développeur et que vous souhaitez en savoir plus, n'hésitez pas à regarder la conférence :
Une application vous propose de vous coucher moins bête. Essayez-la !
On apprécie toujours les applications avec un concept jusqu'alors inexploité. C'est le cas de “Se coucher moins bête” : le principe est simple, mais il y a de fortes chances pour que vous la laissiez installée sur votre smartphone Android. Déjà disponible sur l'Apple App Store, cette application regorge d'informations que vous ne connaissez peut-être pas. Un site web existe aussi en parallèle et a pour slogan “Le site qui permet de briller en société”. Le principe de VDM est repris, car pour chaque histoire, on peut sélectionner “Je me coucherai moins bête” ou “Je le savais déjà”. Il est également possible de commenter, à condition de s'être inscrit sur le réseau.
Lorsqu'on se connecte sur l'application, on est heureux de voir qu'il ne s'agit pas d'un portage iOS bâclé. On retrouve l'interface des nouvelles applications Google, avec la maison en haut à gauche (retour) et d'autres icônes sur la droite. Les fonctionnalités de partage d'Android sont utilisées, ce qui est un très bon point.
Au niveau des rubriques, on retrouve : Nouvelles, Le Top, Au hasard, Favoris, Soumettre, A propos, Connexion et Inscription. Sur le premier écran, des nouvelles généralistes sont affichées, mais on peut effectuer un tri. Les critères proposés sont : toutes les anecdotes, animaux, art, bandes dessinées, chiffres, cinéma, cuisine, expressions, géographie, histoire, inclassable, informatique, insolite, jeux, littérature, légende urbaine, marques et logos, musique, personnalités, santé, science, sport télévision et vie pratique.
C'est ainsi que l'on peut apprendre que la marque Volvo s'appelle ainsi, car ce terme signifie en latin “je roule”. L'avantage de l'application est de proposer des sources qui valident l'histoire. Cela évite donc les aberrations.
Vous pouvez soumettre vos propres anecdotes, qui seront modérées avant publication. En moyenne, entre 2 et 4 nouvelles seront publiées chaque jour. Elles apparaissent via une notification push.
Pour cette application, il faut un terminal sous Android 1.6+, avec 797 ko pour la télécharger (non déplaçable sur la carte SD). Contenu de niveau 3 :
Entièrement gratuite sur Google Play, Se coucher Moins Bête est la sixième application payante la plus téléchargée en France sur iPhone. Profitez-en, l'interface de cette version a été conçue de A à Z pour téléphones Android !Découvrez un millier d'anecdotes inédites, amusantes ou surprenantes sur tous les sujets : science,...
Sony Ericsson ne vendra pas de smartphone Symbian ou Windows Phone 7 cette année.
Avant de passer sous Android, Sony Ericsson faisait uniquement des smartphones sous Symbian et Windows Mobile. Mais depuis l'année dernière, la stratégie de l'entreprise ne passe plus par ce système. Aucune raison officielle n'est avancée, mais il suffit de regarder l'évolution des parts de marché pour se rendre compte que l'OS de Nokia n'a plus le vent en poupe. Même son détenteur va petit à petit le délaisser pour Windows Phone 7. Les premiers terminaux du finlandais sous le système de Microsoft ne verront le jour qu'en 2012, ce qui explique pourquoi les smartphones Nokia restent sous Symbian/Meego pour le moment. Il y a aussi Meego, mais qui pour l'instant fait un peu office d'ovni.
Le vice-président et CTO (Directeur de la technologie) de Sony Ericsson, Jan Uddenfeldt a indiqué qu'il prévoyait qu'en 2011, 180 millions de smartphones Android se vendraient sur le marché. A titre de comparaison, il n'y en a eu “que” 60 millions l'année dernière. En prenant sa boule de crystal, il évoque le chiffre de 400 millions d'unités en 2014. Dès lors, il ne fait aucun doute que le système de Google est la plateforme principale pour ce constructeur :
“Sony Ericsson prévoit de lancer au moins huit smartphones Android en 2011, comparativement aux quatre modèles en 2010.”
“Les smartphones représentent actuellement 60% des ventes totales de téléphones Sony Ericsson.”
Pour l'instant, on compte six smartphones : Xperia Arc, mini, mini pro, Neo (pardon Kyno), Play et Pro. Il reste donc deux smartphones inconnus. Seront-ils Walkman ? CyberShot ?
Dans tous les cas, ils ne seront pas sur Symbian, ni même sous Windows Phone 7. Nous avions vu circuler un prototype de téléphone sur ce système d'exploitation, mais il ne sortira pas, car cela ne fait pas parti des plans. Le CTO n'exclut pas que des smartphones WP7 sortiront plus tard, mais il n'y aura rien en 2011.
2011 sera l'année du renouveau chez Sony Ericsson avec Android. Espérons que les promesses soient tenues !
La ViewSonic ViewPad 7x devrait être annoncée à la fin du mois. Elle aurait un écran de 7 pouces et tournerait sous Android 3 (Honeycomb).
Au MWC, ViewSonic avait présenté deux tablettes dont une de 7 pouces. Nommée ViewPad 7, elle est proposée sous Android 2.2 (FroYo). Son design fait étrangement penser à un iPhone agrandi, avec notamment le contour grisé. Ses caractéristiques sont plutôt moyennes avec un processeur Qualcomm Snapdragon 7227 cadencé à 600 MHz.
Selon Pocket Lint, le fabriquant va lancer au Computex (31 mai), une nouvelle déclinaison de sa tablette. Comme vous pouvez le constater, elle propose un design très original, notamment pour le flash et la caméra sur l'arrière. Le but de cette ardoise n'est pas de concurrencer la ViewPad 7, mais d'être proposée en parallèle. Son gros atout est qu'elle sera livrée sous Android 3 (Honeycomb) : on ne sait pas encore si c'est la 3.0 ou la 3.1. Mais si tel est le cas, les chances de voir la ViewPad 7 sous Honeycomb s'amenuisent, à moins que de part l'expérience de cette tablette, la transition soit facilitée. Les deux cas de figure sont possibles.
Bien que proposée dans la même gamme, la ViewSonic ViewPad 7 aura un processeur double-coeur nVidia Tegra 2. Il y aura deux caméras, du DLNA, un microHDMI et la connectique habituelle : WiFi, Bluetooth…
Aucune information sur le prix, mais elle pourrait arriver en magasin (aux Etats-Unis) au mois de juin.
Le Motorola Atrix vient d'arriver chez Orange à partir de 129€. Une offre de remboursement de 50€ est également proposée.
Le téléphone de chez Motorola qui avait fait grand bruit au CES arrive enfin chez Orange : l'Atrix. Ce n'est pas tellement par ses caractéristiques techniques que ce smartphone est intéressant. En effet, il est très proche d'un HTC Sensation, LG Optimus 2X ou encore Samsung Galaxy S II. Sa différenciation se situe au niveau de ses accessoires : le lapdock (chassis d'ordinateur avec une batterie additionnelle) et la station multimédia HD. Sur les deux périphériques, on peut accéder à un webtop. Cette interface est très similaire à ce que l'on peut trouver sur un ordinateur, avec notamment un navigateur web (Mozilla Firefox) et un gestionnaire de fichiers. Mais vous allez aussi pouvoir jouer aux jeux/lancer des applications directement depuis un écran externe. Le lapdock sera proposé dès 299€399€ et la station à 99€ (prix annoncé). Le deuxième accessoire pourra aussi être utilisé comme un média center, avec une interface spéciale. Une télécommande sera fournie.
Pour ce qui est des caractéristiques :
Android 2.2 (FroYo) – mise à jour prévue vers la 2.3 (Gingerbread)
Couche Motoblur
Ecran tactile capacitif multitouch Gorilla Glass de 4 pouces
Résolution de 960 x 540 pixels (qHD)
Appareil photo de 5 mégapixels avec autofocus et flash LED
Vidéos en 720p
Caméra frontale VGA
RAM de 1 Go
Mémoire interne de 16 Go
Lecteur de cartes microSD (jusqu'à 32 Go)
WiFi 802 .11 a/b/g/n
Bluetooth 2.1 + EDR et AD2P
GPS
HDMI
microUSB
Lecteur d'empreintes digitales
Batterie de 1930 mAh
Dimensions : 117,8 mm x 63,5 mm x11 mm
Poids : 135g
Il est désormais proposé avec quelques jours de retard (initialement prévu pour le 9 mai) chez Orange,en exclusivité temporaire de 2 semaines. Voici les différents tarifs pratiqués :
Origami à partir de 59€/mois sur 24 moisOpen 3 ou 24/7 : 129,00 € TTC Origami à partir de 49€/mois sur 24 mois, Open 2 : 169,00 € TTC Origami à partir de 39€/mois sur 24 mois, Open 1 : 219,00 € TTC Origami à partir de 29€/mois sur 24 mois : 359,00 € TTC Smart ou M6 Mobile sur 24 mois, Open mini : 359,00 € TTC Le prépayé : 499,00 € TTC 2900 points valable sur 24 mois : 149,00 € TTC 2400 points valable sur 24 mois : 299,00 € TTC 1200 points valable sur 24 mois : 379,00 € TTC Sous le seuil de points valable sur 12 mois : 499,00 € TT
Numéricable a fait son buzz avec La révolution du mobile. Au vu du résultat, force est de constater que la révolution n'est pas en marche…
Depuis quelques jours, on voyait fleurir un nouveau buzz sur “La révolution du mobile“. Pour l'occasion, un site, un compte Facebook et un Twitter avaient été créés mais l'événement est passé relativement inaperçu…jusqu'à ce qu'un courrier de l'avocat de Free le relance. Courrier dans lequel l'emploi du mot “révolution” était dénoncé car trop proche de son offre Freebox V6.
Trois cas de figure se sont alors présentés :
Numéricable est derrière ce buzz, mais l'opérateur avait démenti.
Free se fait un auto-procès, mais Xavier Niel avait indiqué que les offres commenceraient en 2012.
La Poste Mobile : un buzz un peu trop fou pour cette grosse entreprise française qui prépare un lancement assez soft
Manque de chance le buzz est retombé quand ZDnet a contacté l'établissement où devait se tenir l'annonce : Numéricable a été “démasqué”. En revanche, il manquait toujours ce fameux forfait.
Le voici :
“Tout-illimité” (à la française)
24,90€/mois pour les abonnés Numéricable (24 mois) – 29,90€/mois (12 mois)
49,90€ pour les autres + 50 € pour devenir client Numéricable
1 offre par foyer, sinon 49,90€ pour les autres
Appels illimités
SMS illimités
Internet illimité (3G) jusqu'à 500 Mo/mois puis réduction à 256 kbps
Limité à 99 destinataires
Portabilité gratuite
MMS non inclus
SMS multi-destinataire hors forfait
Une réduction de 5% est accordée du 11 au 15 mai pour tous les followers du compte Twitter
Free souhaite faire un forfait tout-illimité à moins de 50€, voici la réponse de Numéricable. Le forfait sera proposé dès le 16 mai, en s'appuyant sur le réseau Bouygues Télécom.
Sans proposer de téléphones, cette offre “sim-only” va faire réfléchir, car un terminal sans abonnement coûte très cher (la fourchette haute est aux alentours de 600€ pour les smartphones à double-coeur). Au bout de l'engagement, aucun point ne sera cumulé et nécessitera soit l'achat d'un nouveau smartphone nu, soit le changement d'opérateur. Le pari est donc très risqué pour Numéricable.
Pensez-vous que ce forfait soit une révolution ?
N'oublions pas que si Free Mobile est très attendu, il pourrait, lui aussi être l'objet de déceptions.
Le contenu de l'Android Market peut-être filtré selon le type de contenu.
Il y a quelques semaines, les développeurs étaient invités à classer leurs applications, selon quatre niveau. L'objectif affiché est bien évidemment de permettre aux parents de s'assurer que leurs enfants ne téléchargent pas des applications “interdites”. En effet, il n'y a aucun contrôle sur le contenu sur l'Android Market. Par exemple, on retrouve des applications avec du contenu à caractère sexuel. C'est au développeur de juger le type de contenu, mais il ne fait aucun doute que des contrôles manuels doivent avoir lieu.
Cette indication était pour l'heure réservée à l'Android Market web : on peut voir sur chaque fiche un “avis sur le contenu”. De même, lors des recherches, on peut filtrer selon ce critère. Mais rien pour les tablettes et smartphones…
Les applications de cette catégorie ne doivent pas collecter les données de localisation de l'utilisateur ni afficher du contenu potentiellement choquant. Ces applications ne doivent partager aucun contenu généré par l'utilisateur ni comporter des fonctionnalités de réseau social.
Niveau 3 – Large
Les applications de cette catégorie peuvent comporter des images de fiction (dessins, etc.) d'une violence modérée, ainsi que d'autres contenus potentiellement choquants. Ces applications peuvent collecter les données de localisation de l'utilisateur pour lui fournir des informations personnalisées en fonction de sa position ou améliorer son confort d'utilisation. Toutefois, elles ne doivent pas partager ces données avec d'autres utilisateurs. Elles peuvent inclure certaines fonctionnalités de réseau social. En revanche, elles ne doivent avoir pour objectif principal de permettre aux utilisateurs de se trouver et de communiquer entre eux.
Niveau 2 – Modéré
Les applications de cette catégorie peuvent comporter des contenus à caractère sexuel, des images extrêmement violentes de fiction ou réelles, des grossièretés ou de l'humour cru, des contenus faisant référence à la consommation de drogues, d'alcool et de tabac, des fonctionnalités de réseau social, ainsi que des simulations de jeux d'argent et de hasard. Ces applications peuvent collecter les données de localisation de l'utilisateur à des fins de partage ou de publication avec l'accord de l'utilisateur.
Niveau 1 – Strict
Les applications de cette catégorie peuvent être axées sur ou comporter de nombreuses références à caractère sexuel et du contenu suggestif, des images violentes, des fonctionnalités de réseau social, des simulations de jeux d'argent et de hasard, ainsi que de nombreuses références aux drogues, à l'alcool et au tabac. Ces applications peuvent collecter les données de localisation de l'utilisateur à des fins de partage ou de publication avec l'accord de l'utilisateur.
… Cette fonctionnalité vient d'arriver sur l'Android Market pour téléphones, via la version 2.3.6. On y accède depuis le menu des Paramètres. On peut donc fixer le niveau de filtrage. Pour qu'il soit pris en compte, il peut être nécessaire de redémarrer l'application.
Il est possible de mettre en place un code PIN avec 4 chiffres. Une fois le niveau de filtrage validé, il faudra réécrire ce mot de passe, pour pouvoir éditer le niveau d'autorisation.
C'est aussi disponible pour les tablettes sous Honeycomb :