Minimal Reader Pro : un widget pour afficher des actualités

Minimal Reader Pro est un widget qui affiche à la fois les titres des actualités d'un ou plusieurs sites, mais aussi les contenus.

Vous aimez lire l'actualité et souhaitez voir les titres depuis votre bureau ? Minimal Reader Pro est donc le widget qu'il vous faut. Il affiche les informations d'un ou plusieurs sites, en continu. Si vous cliquez sur le nom d'un article, une popup va alors s'ouvrir permettant de lire le contenu. L'intérêt est de pouvoir consulter l'information, même en étant déconnecté (le matin dans le métro par exemple).

Minimal Reader Pro est développé par un français, qui a mis l'accent sur la personnalisation à l'extrême du widget. Vous pouvez ainsi choisir vos sources en y inscrivant l'adresse du flux RSS, ou bien en sélectionnant dans votre liste de Google Reader (à condition d'avoir installé l'application). Vous pouvez ensuite modifier les options :

• Filtrer les actualités par date : 1 heure à 2 jours
• Ne pas charger les images
• Activer/désactiver le défilement automatique des actualités
• Vitesse du défilement
• Nombre d'entrée à afficher sur le widget : de 20 à 100
• Sélectionner le taux de rafraîchissement
• Choisir le nombre maximum d'items par flux

Pour ce qui est de l'affichage, les paramètres sont nombreux :

• (Widget) Couleurs du texte et du fond : clair ou foncé
• (Widget) Agencement du widget : texte, avec les boutons (pour accéder aux paramètres) et les flèches ; texte avec les flèches ; texte uniquement
• (Widget) Utiliser un fond transparent, pour que le fond d'écran du bureau soit visible
• (Widget) Alignement du texte : gauche ; centré ; droite
• (Widget) Afficher ou non la date de publication
• (Widget) Afficher ou non le nom du blog
• (Popup) Couleurs du texte et du fond : clair ou foncé
• (Popup) Taille du texte : petite ; moyenne ; grande
• (Popup) Alignement du texte : gauche ; centré ; droite

A l'heure actuelle seul l'anglais est proposé, mais une traduction en français et en espagnol est prévue pour la prochaine version. L'application est en vente sur l'Android Market pour 1,49€, à condition d'avoir un terminal sous Android 1.6+ :

(Android Market web)

Adobe lance Wallaby, un outil pour convertir du Flash en HTML5

Adobe lance une version expérimentale de Wallaby, une application pour convertir les animations Flash en HTML5.

Internet ne peut compter sans Adobe Flash aujourd'hui. Enormément de contenus et animations sont gérés par cette technologie. Malheureusement, elle nécessite l'ajout d'un plugin, qui n'est pas toujours disponible sur toutes les plateformes. De nombreuses voix s'élèvent aussi pour dire qu'il consomme beaucoup de ressources et fait parfois planter le navigateur. L'HTML5 est par conséquent attendu. Cette nouvelle version du language peut réaliser les mêmes types d'opérations, mais de manière native. Le navigateur gère par lui-même la technologie. Mais avant que l'on ait du 100% HTML5 (un doux rêve), il faudra que tous les contenus soient convertis.

Adobe Labs vient aujourd'hui de publier un outil, qui peut réaliser cette transition. Wallaby est une application développée avec la technologie Adobe Air, qui se veut “simple et facile”. Elle convertit le Flash, en un mélange de HTML, CSS et Javascript. Seuls les fichiers créés sous Adobe Flash Professional CS5 (extension *.FLA) seront compatibles. Pour l'instant, le logiciel est qualifié d'expérimental, car toutes les propriétés ne sont pas encore supportées : on peut notamment citer ActionScript, la vidéo et l'audio. L'application est optimisée pour les navigateurs WebKit, comme Chrome, Safari et ceux d'Android et d'iOS. Sachant qu'Adobe Flash Player n'est disponible que sur Android 2.2+, cet outil peut-être, à terme, intéressant.

La marque se tire en quelque sorte une balle dans le pieds, mais doit penser à son image de marque avant tout. La raison officielle évoquée est qu'iOS ne supporte pas la technologie Flash. Cet outil serait donc destiné à transformer les bannières animées publicitaires, en un contenu multi-plateforme.

Vous pouvez télécharger Wallaby si vous possédez un ordinateur sous Microsoft Windows ou Apple Mac OS X.

Source : Mashable

Une application des CFF pour consulter les horaires et acheter les billets (Suisse)

Une application pour les CFF (réseau ferroviaire suisse) est disponible, permettant à la fois de consulter des horaires et acheter des billets.

Les CFF (Chemins de Fer Fédéraux) sont la principale entreprise ferroviaire de Suisse. Son réseau s'étend sur plus de 3000km. Jusqu'à présent aucune application officielle n'était disponible pour les usagers sur Android. Mais depuis hier, la situation a enfin changé. L'application est par ailleurs très réussie. Voyons ensemble ce qu'elle propose.

• Consultation des horaires

Vous pouvez demander les horaires d'une ligne, en obtenant les données d’horaire en trafic urbain, national et international (comme sur l’horaire en ligne CFF). Dans votre recherche, vous pouvez insérer des gares/points d’arrêt, adresses (de contact) ou curiosités.

Vous obtenez les données en temps réel et les événements (retards, solutions de rechange, suppressions de train, changement de voie, informations du trafic ferroviaire, grèves…).

Sur votre itinéraire, les arrêts intermédiaires sont affichés. Une carte sous Google Maps affiche même une représentation graphique des points de départ/de destination. Vous pourrez aussi y afficher le chemin piéton de l’arrêt jusqu'à votre lieu de destination. Vous pourrez alors le reprendre dans votre demande de correspondance.

La fonction “Take me home” vous ramène chez vous, en vous indiquant le meilleur chemin – et même, s’il est disponible, avec le support GPS.

• Achat de billets

Vous pouvez directement acheter vos billets (jusqu'à huit) dans l'application. Pour cela, vous pouvez rechercher un horaire ou saisir un lieu de départ, avec son arrivée.  Les billets achetés par le passé peuvent aisément être achetés à nouveau via les «Favoris». En secouant le téléphone, le dernier billet s'affiche automatiquement. Pratique !

Vous pourrez acheter autant des billets nationaux (billet normal, surclassement, carte journalière pour le demi-tarif, city-City Ticket…), que des communautaires (Zürcher Verkehrsverbund, Tarifverbund Berner Oberland, Tarifverbund Schwyz…).

Au niveau des cartes de paiement, vous avez le choix entre Visa, Mastercard, Diners, Amexco, JCB et Airplus.

• Fonctions supplémentaires

Les relations affichées ou les billets achetés peuvent être sauvegardés sous forme de favoris et peuvent aisément être renouvelés. Un flux RSS peut être récupéré (information du trafic ferroviaire, communiqués CFF).

(lien Market web)

via sebyx31.

Les femmes envoient plus de SMS et téléphonent plus longtemps que les hommes

Les femmes téléphonent plus et envoient davantage de SMS que les hommes. A l'inverse, ils sont plus friands de smartphones.

Comme chaque année, le 8 mars est synonyme de Journée Mondiale de la Femme. Cet événement existe depuis 1977 et est l'occasion de dresser un bilan sur l'égalité hommes/femmes. La condition des femmes reste inégale d'un pays à l'autre. Au niveau professionnel, elles sont généralement bien moins payées que les hommes, à poste égal. Mobistar, un opérateur belge, a voulu rendre hommage à cette journée, en publiant un sondage sur les habitudes de consommation. En publiant un article, FrAndroid participe à sa manière à ce mouvement.

L'étude met en avant que les femmes communiquent plus que les hommes. En moyenne, un appel dure 15 secondes supplémentaires et sur un mois, la différence s'établie à 19 minutes. Pour ce qui est des SMS, c'est encore à leur avantage, car 51 messages supplémentaires sont envoyés. L'écart est donc plus important.

Mais le sexe opposé a aussi ses points forts. Les hommes préfèrent surfer sur Internet : en nombre ils sont 22% de plus à l'utiliser et en terme de données, cela représente 14 Mo. Fait intéressant pour l'opérateur, l'addiction serait telle que 16% des hommes utiliseraient le roaming à l'étranger, et 15% chez les femmes. Les femmes sont plus raisonnables, car la tendance s'inverse : elles appellent moins et envoient moins de SMS, que le sexe opposé.

Les hommes sont plus addicts à la technologie et possèdent 15 % de smartphones, les femmes seulement 6%. Pour ce qui est des cartes rechargeables, le schéma est identique : 59% contre 55%. Mobistar préfère les femmes, car elles recommanderont plus facilement leur fournisseur de téléphonie mobile (57% contre 48%).

Je laisserai le sondage conclure sur la citation :

“Entre les femmes et leur GSM, c’est définitivement une histoire d’amour !”

Que pensez-vous de ces statistiques ? Pensez-vous qu'elles soient les mêmes en France ?

La raison pour laquelle Nokia n'a pas choisi Android : l'argent de Microsoft !

Microsoft a signé un chèque d'1 milliard de dollars, pour “aider” Nokia à développer sur Windows Phone 7 (et pas sur Android !).

Quelques jours avant le MWC, les regards étaient tournés vers Nokia. La marque, très forte au niveau mondial, ne cessait de perdre du terrain sur le marché des smartphones. Le système d'exploitation “maison” Symbian avait été mis au goût du jour en version ^3, mais le public n'a pas adhéré. Plus exactement, une partie des consommateurs a apprécié le produit, mais bien en deçà de la croissance du marché. Deux systèmes étaient alors évoqués, pour aider l'entreprise a redresser le cap : Android et Windows Phone 7. La raison d'Android était tout à fait valable, car le système est mûr et très populaire. Pour ce qui est de WP7, plusieurs éléments laissaient entrevoir cette piste. Le plus important était que l'actuel PDG, Stephen Elop, était un ancien cadre chez Microsoft, dans la branche Office.

Le résultat est alors tombé : Microsoft fut le grand vainqueur. En effet, son système d'exploitation WP7 est sorti à la fin du mois d'octobre 2010, mais peinait à attirer les consommateurs. La force de frappe du finlandais est telle que Microsoft ne devrait pas être perdant. Le résultat fut qu'au MWC, le stand Nokia était vide en nouveautés (à quelques exceptions près). L'entreprise conserve tout de même le système Meego, en collaboration en Intel. Mais les délais se multiplient et l'avenir semble trouble pour ce système, en cours de création depuis plus d'un an.

Aujourd'hui de nouvelles révélations viennent d'être faites par Bloomberg. Le choix de Nokia a largement été orienté suite à un chèque d'un milliard de dollars, de la part de Microsoft. Cet argent est destiné à promouvoir et développer des appareils sous WP7, mais établit aussi un accord commun, pour empêcher tout regard vers Android :

“L'accord pour le paiement de plus d'un milliard de dollars faisait partie d'une campagne menée par Microsoft pour empêcher Nokia de choisir le système d'exploitation Android de Google. Nokia a également opté pour Microsoft, parce que le système Windows Phone, qui est plus récent qu'Android et dispose d'un petit nombre de téléphones actuellement en vente, donne une plus grande chance à Nokia de se démarquer.”

Les arguments invoqués sont compréhensibles, mais on regrette que l'argent soit aujourd'hui une des clé de la réflexion. Certains se sont avancés pour dire que la firme de Redmond avait racheté Nokia et indirectement on peut affirmer le propos. Cependant Microsoft a pris de gros risques, car des concurrents comme LG, Samsung ou HTC ont déjà proposé des smartphones sous WP7. Ils n'ont probablement pas bénéficié d'une telle aide. La firme américaine va donc devoir jouer finement, pour que ses alliés initiaux soutiennent toujours le système.

Des fuites ont laissé apparaître un téléphone Sony Ericsson sous ce système. Il disposerait notamment d'un clavier physique. Le constructeur avait affirmé vouloir quitter Symbian, pour rejoindre Android. Mais maladroitement, ils s'étaient corrigés pour dire que la voie n'était pas uniquement verrouillée sur Android. La réponse pourrait donc venir rapidement.

Dans les prochains mois, on devrait voir peu à peu disparaître Symbian, remplacé par une forte croissance de Windows Phone 7. Toutefois, le système prend un coup dans l'aile, car la prochaine mise à jour majeure du système, nommée Mango, ne pourrait arriver qu'en 2012. Les nouveautés sont nombreuses, dont le multitâche et Internet Explorer 9. D'ici là, Google aura sorti Ice Cream, qui mariera les tablettes et les smartphones. Il se pourrait alors que le retour à la croissance, pour Nokia, ne soit pas instantané.

Source : ZDNet

Avec la RC2, CyanogenMod passe à Android 2.3.3 !

Le 16 février 2011, CyanogenMod 7 passait tout juste sur sa première Release Candidate (RC1) pour la version d'Android Gingerbread. A présent, nous poursuivons sur la Release Candidate 2 (RC2) qui apporte son lot de stabilité.

La grande famille des participants au projet de Cyanogen a enfin réussi à apporter un second point de stabilité au système en finalisant la Release Candidate 2 (RC2) sur la presque totalité des terminaux l'intégrant. Les terminaux manquant viendront rapidement se mettre à jour dans les heures qui suivent.

Les changements sont plutôt mineurs, mais comme on vous le citait plus haut, la stabilité est au rendez-vous, offrant ainsi une version encore plus complète avec son lot de corrections de bugs. Ça nous concerne pas vraiment, mais le HTC Evo 4G aurait un problème au niveau du gps. De plus, on passe de la version 2.3.2 à 2.3.3. 

Si vous connaissez le nom de code de votre androphone, ça se passe directement sur mirror.teamdouche. Sinon, rendez-vous sur le forum de Cyanogen ou sur notre forum dans la section appropriée à votre smartphone.

Source Cyanogen.

CyanogenMod passe en version Release Candidate

Fini les versions expérimentales puisque CyanogenMod passe désormais en version Release Candidate (RC1).

Les développeurs sont enfin arrivés à un point stable du système qui permettra dorénavant de proposer une version stable d'Android Gingerbread, et ainsi la faire évoluer en tout sérénité. Le numéro de version est Android 2.3.2, et n'est pas la dernière version puisqu'il existe la 2.3.3 étant actuellement en finalisation de test. Néanmoins, elle devrait être libérée prochainement pour les possesseurs d'Android 2.3.2, et autres utilisateurs de la rom de CyanogenMod.

Pour le moment, la liste des terminaux n'est pas très large, même si elle évoluera sans doute assez rapidement. Les nouvelles versions ne sont jamais disponibles en même temps, et il faut toujours un petit temps d'adaptation pour que les autres terminaux la reçoivent. Si vous connaissez le nom de code de votre androphone, ça se passe sur le mirror.teamdouche. Sinon rendez-vous sur le forum de Cyanogen, ainsi que sur notre forum dans la section de votre smartphone.

Opera a lancé son App Store web pour Android, BlackBerry, Windows Mobile, Symbian…

Opera a lancé un MarketPlace le mois dernier, pour Android, Blackberry, Java, Palm, Symbian et Windows Mobile.

Opera Software est connu pour ses navigateurs. On les retrouve sur de nombreux plateformes Windows, Mac OS X, GNU/Linux… mais aussi sur les systèmes mobiles comme Android, ou iOS. Mais l'entreprise se lance dans un nouveau domaine : un marché d'applications (MarketPlace). Contrairement à un AppStore, il regroupe plusieurs plateformes à la fois. Ici, il s'agit d'Android, Blackberry, Java, Palm, Symbian et Windows Mobile. Seule une version web est proposée, ce qui permet un accès plus simple. La solution n'est pas propre à Opera, mais appartient à Appia (anciennement connu sous le nom de PocketGear).

Le contenu provient de plus de 32 000 développeurs et supporte plus de 200 pays et même 2 000 téléphones différents. La plateforme se différencie des Market classiques, sur plusieurs points :

• Ce n'est pas un store, mais un Marketplace de plusieurs boutiques. A l'heure actuelle, aucun AppStore ne se ressemble. Appia souhaite donc en créer un seul qui mélange plusieurs plateformes, afin d'avoir une expérience unique.
• Il y a à la fois des applications gratuites et payantes. Le modèle est particulièrement intéressant pour les développements, car il propose le paiement in-app, la publicité et la facturation de leurs applications. L'intérêt est d'avoir une seule plateforme pour toutes les architectures.
• Plutôt que de vendre sous le nom d'Appia, ce sont des partenaires (comme Opera) qui distribuent le contenu.

Selon la langue, le terminal et même la monnaie, le MarketPlace s'adaptera en proposant des applications dédiées. Depuis le mois de février, les chiffrent parlent d'eux mêmes. Il y a eu 15 millions d'utilisations pour 700 000 téléchargements par jour. Pour Opera, l'intérêt est à la fois de faire grandir la plateforme, mais surtout de récupérer des commissions.

Pour avoir rapidement navigué dans le store Android, le contenu semble intéressant. Cependant, les applications sont directement livrées sous forme d'apk. Cela signifie que si une mise à jour intervient, vous n'en serez pas tenu au courant.

Si vous voulez tester ce Marketplace, rendez vous sur ce lien (fonctionne également depuis un ordinateur).

Source : TechCrunch

PewPew : un “shoot them up” dans l'espace en 2D

PewPew est un jeu en 3D fil de fer sur un plan 2D, de tir dans l'espace.

PewPew est un jeu en 3D fil de fer sur un plan 2D, avec des graphismes dans un style rétro. C'est un “shoot them up”, c'est-à-dire un jeu dans lequel il faut détruire le plus grand nombre d'ennemis, tout en restant le plus longtemps en vie. L'action se situe dans l'espace, mais comme l'indique son éditeur : il n'y a pas d'histoire derrière PewPew, c'est un jeu pour passer du temps. Les ennemis sont des formes géométriques. Pour vous déplacer et tirer, vous disposez de deux pads sur l'écran. Celui en jaune permet de déplacer le vaisseau et en rouge permet de changer l'angle de tir. Il est possible d'échanger la place de ces deux éléments sur l'écran. Vous pouvez partager vos score en ligne, ou même regarder des replays.

Quatre modes de jeu sont proposés :

- MegaGore : Lorsque vous tuez certains ennemis, ils explosent et vous devez éviter les débris.
- Dodge this : Vous devez collecter des boîtes, mais au fur et à mesure, des ennemis s'ajoutent et vous devez les éviter.
- Assault : Vous combattez des vagues d'ennemis.
- Chronomatic Conflict : Des ennemis apparaissent avec une couleur spéciale. Vous ne pouvez détruire que ceux de la même couleur que votre vaisseau.

Le jeu est très beau, d'autant plus que le niveau de fps est élevé. Notez que sur des téléphones comme le Google Nexus One ou le HTC Desire, il est préférable de mettre les deux pads sur deux plans différents, sans quoi le dualtouch vous jouera des tours. Par défaut, les joysticks sont mis en diagonale, laissez-les donc ainsi.

Voici une démonstration du jeu :

Dans les prochaines versions, on retrouvera de meilleurs graphismes, des options et une meilleure gestion du son (Android 2.3 uniquement).

Pour télécharger ce jeu gratuit (sans publicités), suivez ce QRCode :

Source : PhAndroid

Hex Defense, un nouveau TD disponible sur l'Android Market

Dans les derniers jeux récemment sorties, il y a Hex Defense, une sorte de Retro Defense amélioré.

Hex Defense est un jeu d'arcade, et plus précisément, un tower defense, où vous devrez combattre les envahisseurs en les détournant le plus possible de leur objectif, atteindre le point B. Les passionnés du genre retrouveront le plaisir d'un TD rapide et intense avec une bonne difficulté.

Ses caractéristiques

• Compatible à partir d'Android 2.1 (Eclair).
• Style de jeu classique de Tower Defense.
• De beaux graphismes, effets et particules d'animations.
• Quinze niveaux uniques et différents.
• Quatre types de tours différentes avec quatre niveaux d'améliorations.
• Sauvegarde automatique du jeu, si vous appuyez sur “home” ou recevez un appel.

De plus, le jeu est censé être compatible autant avec les nouveaux smartphones qu'avec les anciens, car depuis le menu, vous pourrez sélectionner l'option “Intense graphics” vous permettant d'afficher des graphismes moins gourmands. 

Sur le version gratuite, vous aurez accès à trois niveaux différents, contre dix-sept au total sur la version payante.

Version gratuite

Version payante (1.10 €)