La télécommande pour le logiciel Transmission sur Android a été mise à jour en version 0.2
Transmission est un client BitTorrent sous license libre. Il est disponible sur Mac OS X, GNU/Linux, FreeBSD, Solaris et même certains NAS. Il gère à la fois l'envoi et le téléchargement de fichiers. Bien évidemment, ce logiciel n'est à utiliser qu'avec des fichiers aux contenus légaux (ISO linux par exemple). Le développeur français GBouerat a créé une télécommande du logiciel via une application Android. Elle se nomme Remote Transmission.
Elle peut prendre le contrôle de vos téléchargements, via l'interface web de Transmission (nécessite d'être activé). Jusqu'alors il était possible de voir la liste des torrents et de mettre en pause/redémarrer les téléchargements. Dans la version 0.2, on peut ajouter des torrents en indiquant leur URL et Android 3.0 est même supporté.
Si vous êtes intéressé, l'application est gratuite et nécessite Android 1.5+. N'occupant que 55ko, elle se glissera sans problème sur votre androphone :
iDisplay permet d'utiliser son smartphone/tablette Android comme un écran externe pour son pc/mac.
Vous avez certainement entendu parler d'une application chez un OS concurrent, qui pouvait utiliser la tablette comme écran externe. Elle s'appelle iDisplay et vous allez pouvoir réaliser la même chose sur Android. Les ordinateurs sur Microsoft Windows XP 32 bit, Vista, 7 ou Mac OS X pourront en bénéficier, à condition de télécharger une application dédiée. L'intérêt est mince avec un smartphone, mais sur une tablette d'au moins 7 pouces, vous allez pouvoir lire vos contenus sur un écran séparé.
Deux utilisations apparaissent : comme un écran externe pour accroître votre bureau (virtuel), ou comme un outil pour lire une information sur un autre support. Ne pensez pas lire des vidéos, car le taux de rafraichissement est insuffisant. L'utiliser comme messagerie instantanée, lecteur d'actualités, client Twitter… est une excellente idée. Vos applications qui occupent beaucoup de place sont sur votre écran principal et le reste sur votre terminal Android. Il est reconnu comme un écran classique par le système : il peut donc être configuré à votre guise (duplication ou agrandissement du bureau).
La rotation est prise en compte, mais prendra un certains temps, car le système croira qu'un écran a été supprimé, puis ajouté. Le clic est supporté, tout comme le clic long. Vous pourrez ainsi ouvrir des fichiers ou déplacer des fenêtres par exemple. La connexion se fait uniquement par WiFi, au sein du même réseau. Il est donc conseillé de relier votre androphone à une source d'alimentation, si vous vous l'utiliser sur une longue période.
Les périphériques officiellement supportés sont les Samsung Galaxy S, Google Nexus S, Motorola ХООМ, Droid X et HTC Evo.
Vous pouvez retrouver ci dessous un test avec Nexus One et un iMac de 27 pouces :
Disponible pour 4,99$ sur Android 2.1, vous pouvez télécharger l'application depuis ce QRCode :
Simon Walker, à la tête du développement chez Sony Ericsson Mobile se déclare favorable au rootage.
Le directeur du développement chez Sony Ericsson a mis en avant un éventuel changement de taille. Jusqu'à présent, il était possible de rooter les téléphones de la marque, mais l'opération était plutôt complexe. Simon Walker glisse aujourd'hui une information comme quoi des changements de stratégie vont intervenir. Ils concernent le rootage et le développement de ROM personnalisées. Rien n'est encore fait, puisqu'il nous indique “être favorable”, à condition que cela soit bien réalisé.
Cela fait un peu penser à Motorola. La firme verrouille ses appareils, mais lorsqu'il s'agit d'une expérience Google, elle supprime ce blocage. En effet, sur la Xoom, tout comme sur les Nexus, les bootloaders sont très facilement verrouillables/déverouillables. Un simple “fastboot oem unlock” réalise l'opération. Lorsqu'il est bloqué, il faut réussir à trouver la clé (excessivement complexe à trouver) pour ensuite pouvoir réaliser l'opération. Une pression extérieure arrive à faire changer les mentalités. Seulement, pour Motorola seule la tablette bénéficiera d'un bootloader déverrouillé.
Chez Sony Ericsson, rien n'est encore décidé, mais nous espérons que la marque va s'ouvrir d'avantage, pour que les utilisateurs puissent bénéficier d'une meilleure expérience. Sachant que Simon Walker est un personnage important, il est probable que sa parole raisonne vraie.
Le dock ordinateur va être porté sur les prochains smartphones haut de gamme de chez Motorola.
La particularité du Motorola Atrix est d'offrir de nombreux accessoires, dont un dock ordinateur. Celui-ci est un simple chassis avec un écran, un clavier et une batterie. On peut y fixer à l'arrière le téléphone qui agit comme système principal. Dès lors, on accède à une interface qui permet à la fois de visualiser et contrôler son téléphone, mais aussi d'accéder à Firefox et d'autres applications dédiées. Lors du MWC, nous avions pu tester ce périphérique. Pour Motorola, la position était de lancer l'Atrix, pour voir l'accueil du public et éventuellement proposer d'autres téléphones avec le même principe.
Il ne faudra pas attendre aussi longtemps, car Sanjay Jha, PDG de Motorola a annoncé que d'autres smartphones allaient recevoir le même type d'accessoire. Seuls les hauts de gamme seront concernés. Le Motorola Bionic (téléphone 4G) ne l'a pas encore reçu, à cause des “contraintes de temps”, il devrait donc le recevoir prochainement. Pour les autres smartphones, difficile de voir ce qui se cache derrière “haut de gamme”, mais très vraisemblablement le Cliq 2 ne pourra pas en bénéficier.
Le PGA a expliqué qu'à l'heure actuelle le webtop était optimisé pour la puce graphique du nVidia Tegra 2. Le portage sur les architectures Texas Instrument OMAP4 avec une puce PowerVR serait en cours. Mozilla Firefox sera mis à jour vers la version 4, plus tard cette année. Aucune nouvelle fonctionnalité n'a cependant été annoncée.
Nos différents tests montrent que les prototypes actuels sont bons, mais l'utilisation sur le long terme n'est pas encore tracée. Dans les prochains mois, on devrait voir arriver des processeurs encore plus performants, ce qui permettrait d'améliorer l'expérience utilisateur. Le webtop sera-t-il un succès ? Nous le saurons très rapidement !
A l'occasion du CTIA Wireless, le 22 mars prochain, Samsung lancera une nouvelle déclinaison de sa tablette Galaxy Tab, en 8.9 pouces.
Lors du MWC 2011, Samsung avait montré sa tablette de 10,1 pouces. Mais des rumeurs laissaient croire qu'une version plus petite allait sortir. Nous avons désormais la confirmation, avec une invitation envoyée aux journalistes. L'événement aura lieu à Orlando, aux Etats-Unis, à l'occasion du CTIA Wireless le 22 mars prochain.
Sur l'affiche on peut y lire les chiffres 7-8-9-10. On peut aisément penser que la marque va sortir une version entre la Galaxy Tab “1″ (7 pouces) et la “2″ (10.1 pouces). C'est ainsi que la tablette mesurerait 8,9 pouces. Elle aurait alors la même taille que la LG Optimus Pad.
Concernant les spécifications, nous imaginons qu'Android 3.0 (Honeycomb) sera utilisé, mais peut-être avec une résolution réduite. Y aura-t-il des optimisations pour cet écran plus petit ? Nous connaîtrons rapidement la réponse. Outre l'écran de 8,9 pouces, on ne sait pas si un processeur de la gamme Orion sera utilisé, ou bien un nVidia Tegra 2. Tout dépendra de l'évolution des capacités de production de la marque. Pour le reste, on pourrait imaginer avoir une mémoire inférieure (32 Go pour la version 10.1), tout comme une caméra avec une résolution moins élevée (8 mégapixels actuellement).
L'objectif est principalement de faire une version moins chère que la 10.1. En attendant l'événement, n'hésitez pas à regarder notre prise en main vidéo de la 10.1.
Ce soir Apple officialisera son iPad 2 et selon son prix, le marché pourrait basculer.
Comme pour chaque version d'Android, une nouvelle mascotte est arrivé au GooglePlex pour célébrer l'arrivée de Honeycomb.
Chaque version d'Android dispose d'un numéro : 1.5, 2.1, 3.0…. et pour chacune, un nom de dessert lui est attribué, c'est ainsi que nous avons :
1.5 : Cupcake (Petit Gâteau)
1.6 : Donut
2.1 : Eclair
2.2 : FroYo (Frozen Yogourt / Yaourt glacé)
2.3 : Gingerbread (Pain d'épice)
3.0 : Honeycomb (Alvéoles à miel)
Toutes ces versions sont déjà sorties sur des terminaux, et on retrouve même Honeycomb sur la Motorola Xoom. Il ne manquait plus qu'un élément important : l'introduction de la mascotte au GooglePlex. En effet, pour chaque version d'Android, on retrouve devant le siège de Google à Moutain View, une représentation géante du dessert. Pour la dernière version du système d'exploitation, la mascotte vient tout juste d'être installée. On y retrouve un bugdroid avec une abeille à sa poursuite. Vous noterez que la statue ne se trouve pas directement à côté des autres, certainement à cause de l'introduction des tablettes.
La mise à jour vers Android 2.3.2 pour la Samsung Galaxy S se rapproche, car une ROM vient de fuiter sur XDA.
Le Samsung Galaxy S est le téléphone phare de la marque : il s'est vendu à plusieurs millions d'exemplaires et est aujourd'hui une référence dans le monde Android. Lors du MWC, Samsung a annoncé son successeur, qui semble tout aussi prometteur. Seulement, ce n'est pas parce qu'un nouveau modèle sort, que le constructeur va délaisser son premier téléphone. Nous vous annoncions vendredi dernier que Gingerbread (Android 2.3) allait être envoyé au mois de mars. Seulement l'information ne provenait pas d'une source officielle. Mais elle était toutefois crédible, car le Samsung Nexus S est très proche du Galaxy S. Le fabriquant a ainsi pu profiter de son expérience avec Google, pour accélérer son processus de mise à jour.
Généralement lorsqu'une mise à jour pour ce téléphone arrive, on aperçoit quelques jours auparavant la ROM sur des forums. Sur Xda-developpers et sur SamFirmware, elle vient tout juste de sortir :
# begin build properties# autogenerated by buildinfo.shro.build.id=GINGERBREADro.build.display.id=GINGERBREAD.XWJV1ro.build.version.incremental=XWJV1ro.build.version.sdk=9ro.build.version.codename=RELro.build.version.release=2.3.2
Contrairement, à ce que vous avez pu lire ici-ou-là, la version 4 de Touchwizz n'est pas incluse (comme sur le Galaxy S2), ni le système de fichiers ext4. La fameuse animation d'extinction du bureau du Nexus S (et du Nexus One) n'est pas proposée et l'Android Market est inaccessible (à moins de rooter la ROM). Le clavier Swype (normalement présent sur tous firmwares Samsung) n'est pas inclus. Nous ne savons pas si ce sont des choix définitifs.
Une custom rom serait déjà en préparation par un développeur d'XDA…affaire à suivre !
Nous ne vous conseillons pas toutefois d'installer cette ROM, car elle va certainement être modifiée d'ici à sa sortie. Vous pouvez toutefois en discuter sur notre forum, ou tentez une installation en suivant cette vidéo. Pendant ce temps, n'hésitez pas à vous tourner vers CyanogenMod qui offre déjà Gingerbread sur le Galaxy S.
Il est intéressant de voir que nous bénéficierons plus rapidement de Gingerbread que les américains. En effet, chez certains opérateurs, la mise à jour vers FroYo vient tout juste d'être envoyée.
CompeGPS TwoNav est un GPS multifonctions : on-road/off-road et avec cartes en ligne ou sur la carte SD !
Je vais vous parler d'un GPS sur route et tout-terrain, qui est selon moi une référence. Avant de commencer, et pour éviter des commentaires inutiles, je tiens à préciser que cette application coûte 41,50€ (une version de 15 jours est proposée). J'ai tendance à vous partager mon agacement lorsqu'une application est trop chère sur l'Android Market. Si je vous donne un avis positif sur TwoNav, ce n'est pas parce que le billet a été sponsorisé, mais bien parce que je pense que l'application vaut la peine d'être découverte. CompeGPS m'a uniquement prêté des cartes, pour que je puisse faire un test approfondi du GPS. Ce logiciel est notamment inclus dans les GPS IGN (maintenant vendus sous la marque Medion), preuve de la qualité.
Sur Android, il existe de très bons GPS avec les cartes “online” (Google Maps, MapQuest…) ou “offline” (Ndrive, Copilot Live…). Seulement tous sont dédiés à une navigation routière. Pour l'offroad, il existe Geolives, mais qui ne propose pas encore la navigation. CompeGPS TwoNav est donc un GPS à la fois capable de faire du tout-terrain et de la route, autant avec des cartes en ligne que sur la carte SD.
Lorsque vous payez les 41,50€, vous avez droit à plusieurs cartes :
Topographiques et photos aériennes du Geoportail (France + DOM-TOM) pendant un an, puis 19,90€/année (fonctionnalité rapidement implémentée)
Topographiques (1:25 000) et orthophotos (50cm / pixel) pour l'Espagne et l'Italie
Ces cartes sont stockées en cache, ce qui permet une visualisation même si le téléphone n'est pas connecté à internet.
Un gros avantage est de pouvoir créer soi-même ses cartes. L'outil gratuit Land PC permet à partir de fichiers *.map, *.jpg, *.gif, *.tif, d'en générer facilement. Ces cartes seront seulement affichables en fond et ne pourront pas être “routables”.
Il existe également des cartes hors connexion. Elles sont utiles si vous restez dans une même zone géographique et que vous ne voulez pas prendre un abonnement annuel. On retrouve également les cartes routières classiques : France (49€), Belgique, Europe de l'Est et de l'Ouest, Pologne…, mais aussi des dalles pour une navigation tout-terrain hors ligne. Plusieurs modes d'achat sont proposés :
Maintenant que vous connaissez tous les prix, intéressons nous aux fonctionnalités. Pour passer d'un mode à l'autre (tout terrain/routier), il suffit de changer d'onglet dans le Menu. Par défaut, la navigation classique est en grise et le mode offroad en vert. Depuis les options, il est possible de changer les couleurs (orange, rose, bleu…). Dans les deux modes, vous allez pouvoir profiter :
Affichage en 2D ou en 3D
Mode portrait ou paysage
Affichage de l'altitude (corrigée par un algorithme)
Boussole
Enregistrement de la route aux formats GPX, PLT ou propriétaire à CompeGPS. Il existe des outils pour les convertir en KML
Graphiques de votre route
Nombreuses données affichables à l'écran (soit dans la zone gauche au format paysage / en bas en portrait, soit dans une fenêtre dédiée) : vitesse actuelle, vitesse moyenne, chronomètre, distance et temps estimé à destination, cumul de dénivelé, altitude maximum, l'heure du coucher et lever du soleil, etc…
Création/visualisation/routage via une liste de waypoints ou une route
Simulation (fonctionnalité à essayer !) d'une route enregistrée. Vous allez pouvoir revivre en temps réel votre parcours
Support de Dropbox : pour sauvegarder ou ouvrir des waypoints, traces, routes, cartes…
Support du Géocaching
Pour le mode routier, grâce à la carte de Tele Atlas, vous allez pouvoir :
Rechercher un itinéraire par adresse, position sur la carte, favoris, historique, POI…
Etre guidé vocalement
Etre alerté pour les radars et limitation de vitesse
Reroutage en cas de sortie de la route prévue
En mode offroad, la navigation ne peut s'effectuer qu'au cap.
Toutefois, quelques détails font que l'application peut être améliorée. Tout d'abord, on sent un certains manque de fluidité. Les cartes sont certes plus lourdes que les vectorielles de Google Maps, mais mon Nexus One semble être à l'agonie lors des déplacements manuels. Comme vous pouvez l'apercevoir sur les différentes captures, certains éléments graphiques sont pixellisés, ce n'est qu'un détails, mais qui pourrait être amélioré. La sélection d'éléments est parfois complexe : j'en ai déduit que TwoNav gérait mal l'emplacement du clic. Il faut par exemple cliquer exactement au bon endroit, pour valider une checkbox. Pour l'instant seul le clavier de l'application (alphabétique / azerty / qwerty) peut être utilisé, mais rapidement celui d'Android sera intégré.
CompeGPS m'ayant prêté des cartes, j'ai pu réaliser un test vidéo de TwoNav. Je suis vraiment désolé pour la deuxième partie, de la deuxième vidéo (mal de mer en perspective).
En conclusion, je n'ai jamais vu un GPS avec autant d'options. Je vous conseille vivement de le tester, d'autant plus que vous disposez d'un essai de 15 jours. N'hésitez donc pas à nous donner votre avis :
Le Playstation Phone (ou Sony Ericsson Xperia Play) arrivera à la fin mars 2011, chez Virgin Mobile.
Le nouveau téléphone de Sony Ericsson destiné aux joueurs, l'Xperia Play, a été annoncé au MWC 2011. Il est le premier téléphone certifié Playstation. Ce téléphone propose un processeur Qualcomm Snapdragon cadencé à 1GHz. Il s'appuie sur une puce graphique Adreno 205, épaulée par 512Mo de RAM et 400 Mo de mémoire interne. Son écran tactile multitouch capacitif de 4 pouces offre une résolution de 854 x 480 pixels. Il possède un clavier coulissant avec un pavé directionnel numérique, deux joysticks tactiles, 2 boutons « L1 R1 » et les célèbres 4 boutons PlayStation® : cercle, croix, carré, triangle. Il utilise Android 2.3, ce qui lui permet de gérer une caméra frontale. Un appareil photo de 5 mégapixels avec autofocus et flash est même proposé. Il peut enregistrer des vidéos HD en 720p. Il propose une connectivité WiFi 80.11 b/g/n, du Bluetooth 2.1 + EDR, une puce AGPS et un tuner FM. Il mesure 119.0 x 62.0 x 16.0 mm pour 175g. Il sera vendu en noir ou en blanc. Il offre une autonomie au repos de 425h en 2G et de 413h en 3G. En appel, il peut tenir 8h25 en 2G et 6h25 en 3G.
Il va être lancé chez le MVNO Virgin Mobile, à la fin du mois de mars 2011. Cependant, nous ne connaissons pas le jour précis, ni même les prix pratiqués. Restez sur FrAndroid pour en savoir plus ! En attendant, vous pouvez voir une démonstration d'Asphalt 6 sur le smartphone/console :