samedi 15 janvier 2011

Un élan de performances pour le LG Star sous Tegra 2

Voici une petite prise en main du LG Star par nos confrères d’Engadget.

Petit rappel quand même, le LG Star est un androphone doté d’une architecture double-coeur nVidia Tegra 2 cadencée à 1 GHz. Le modèle présenté dans cet article n’est autre qu’un téléphone de test puisqu’il n’a pas encore toutes ces fonctionnalités (absence d’écran de verrouillage…).

Aux premiers abords ce mobile semblerait être assez performant et surpasserait aisément les autres androphones en termes de vitesse… D’ailleurs les benchmarks présents plus bas dans l’article le témoigneront par eux-mêmes.

Le design peut en rebuter beaucoup avec cette longue plaque de couleur métallisée à l’arrière, tandis que l’avant semble plus accueillant avec ses 4 boutons tactiles, ainsi qu’un écran de 4 pouces à résolution WVGA (800 x 480 pixels). Pour le type d’écran, il pourrait s’agir d’un Super Clear LCD, vu que la balance des noirs n’est pas assez importante pour être un Amoled, mais il semble bien plus net qu’un simple LCD.

D’après Vlad, la qualité sonore de l’appareil semble aussi être à la hauteur avec son haut-parleur à l’arrière. Comme on s’y attendait, un androphone très orienté multimédia.

La version actuelle du système est Android FroYo (2.2) avec l’interface de LG.

Une interface constructeur qu’on avait aussi remarqué à plusieurs reprises sur le second androphone de la marque sorti en Corée, le LG LU3000.
La vidéo ci-dessous montre un test de l’androphone sous Android FroYo (2.2), cependant il pourrait être directement vendu sous Android Gingerbread (2.3) lors de sa sortie.

On soulignera les scores de Quadrant à 2150, Benchmark Pi à 560, le nouveau Linpack à 36, FPS2D à 380 fps, Nenamark1 à 42,9 fps et Neocore à 67 fps.

Des performances qui semblent dans la logique parfaitement correspondre à la rapidité de l’appareil, puisqu’aucun ralentissement n’a été rencontré, et ce, à n’importe quel moment du test.

Néanmoins, il n’a pas été en mesure de lire une vidéo au format 1080p (HD) et il ne faut pas oublier que c’est un mobile de test, donc… Quant à Flash Player dans le navigateur, il tourne plutôt bien et sans aucun ralentissement notable.

Il est aussi doté de capteurs de proximité et lumière, un port micro-USB, un port HDMI, un port jack 3,5mm, un emplacement micro-SD, une batterie de 1 500 mAh, un APN de 8 mégapixels et une caméra frontale.

Un retour pour LG dans le haut de gamme ?

A première vue, toutes les performances de cet androphone vont dans ce sens, le CES 2011 répondra favorablement ou non à un lancement natif sous Android Gingerbread (2.3).

A suivre …

Source Engadget.

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Shenzhen ACT Dion & NEC LT-W, deux intéressantes tablettes Android aperçues au CES

Lors du CES de Las Vegas, il y a vraiment eu beaucoup de terminaux Android.

Nous étions sur place, cependant nous nous sommes focalisés seulement sur certains terminaux pris en main, nos conclusions et avis vous seront partagés très bientôt.

Charbax, notre confrères d'ARM Devices a fait quelques vidéos de ces terminaux, dont certains forts intéressants. Dans cet article, nous allons parlé de deux terminaux Android, l'un de 4.8 pouces avec un clavier physique, et le second de 7 pouces avec un double écran tactile.

Encore plus petit qu'un Eee PC, débutons avec le Shenzhen ACT Dion.

Il est appréciable de voir ce genre de petit gadget, ça ressemble à un agenda de poche plus avancé, et surtout avec le système d'exploitation mobile Android.

Les caractéristiques techniques

  • Android Eclair (2.1)
  • Ecran tactile TFT LCD de 4.8 pouces (capacitif)
  • Processeur Marvell PXA935 à 1 GHz
  • Résolution WVGA (800 x 480 pixels)
  • Processeur Marvell PXA935
  • Bluetooth 2.1 + EDR / Wi-Fi b/g / 3G
  • Dual-SIM (double emplacement carte SIM)
  • Port Micro USB, Jack 3.5 mm
  • Caméra frontale de 1.3 mégapixels
  • Batterie de 1 920 mAH

Le terminal semble assez convaincant dans l'ensemble. Je vous laisse découvrir la vidéo de prise en main où l'on aperçoit la réactivité du produit durant quelques minutes avec de l'Android assez bien optimisé.

Malgré une épaisseur assez imposante, on notera notre intéressement pour l'objet présentant un design stricte avec l'intégration d'une horloge digitale sur le coté.

Passons à la fameuse tablette avec double écran tactile, la NEC LT-W.

Le double écran présente de beaux avantages, notamment avec la navigateur Android gérant jusqu'à deux fenêtres différentes simultanément, puis le mode paysage qui permet de la transformer en une sorte de netbook tactile.

Les caractéristiques techniques

  • Android Eclair (2.1)
  • Double écran tactile de 7 pouces (résistif)
  • Processeur ARM Cortex-A8 (cadence non citée)
  • 384 Mo de mémoire RAM
  • Support carte SD & carte SIM
  • Wi-Fi, Bluetooth
  • Port Jack 3.5 mm, USB Host & Micro USB
  • Caméra à l'arrière
  • 530 grammes

Cette année, les terminaux Android exposés semblent clairement avoir eu une évolution sur leur réactivité. Il ne faut pas se leurrer les nouvelles versions d'Android sont bien plus rapides que les précédentes. Si vous avez quelques minutes, découvrez cette vidéo de prise en main.

Deux terminaux Android qui pourraient trouver leur place sur le marché. Cependant, ils ne sont pas destinés à la grande distribution, mais il sera toujours possible de se les procurer d'une façon ou d'une autre, puisqu'ils devraient sortir d'ici quelques semaines ; mois.

Source ARM Devices (1, 2)

A la veille du MWC, Samsung tâte le terrain avec deux smartphones Android (MàJ)

A la veille du MWC, Samsung tâte le terrain avec deux smartphones Android.

Bien évidemment, il est difficile de confirmer la véracité de certains éléments rapportés dans cet article.

Démarrons avec le Samsung S5830, un smartphone très iPhone 4.
Sur ces photos se présentent l'un des prototypes qui fera certainement partie de la lignée des prochain androphones de la marque.

Les caractéristiques

  • Android Froyo (2.2.1) + TouchWiz 3.0
  • Processeur Qualcomm MSM7227-1 Turbo à 800 MHz
  • Radio FM, RDS
  • Wi-Fi (b/g/n), Bluetooth 2.1 +EDR, DLNA, GPS
  • Port jack 3.5 mm
  • Port Micro SD
  • Port Micro USB
  • Caméra de 5 mégapixels + Flash (LED)
  • Résolution des photos 2 560 x 1 920 pixels
  • Résolution des vidéos 1 280 x 720 pixels
  • Batterie de 1 350 mAH
  • Dimensions : 59.9×112.4×11.5mm
  • Poids : 113 g

Vous en conviendrez un design familier venant en plus se confirmer avec les photos découvertes en novembre 2010. Tout ça nous laisse confus, car l'androphone présenté, était supposé être un Galaxy S 2 (Elite/Naine), ou bien est-ce que Samsung adoptera ce design pour sa toute nouvelle gamme ?

Ensuite revient le Samsung Galaxy S 2, mais là c'est de la pure rumeur.

Oui, une rumeur d'autant plus que les caractéristiques sont assez floues. Au mois de novembre, une source nous avait clairement cité un smartphone avec un design terminé à 85% avec des caractéristiques techniques posées. Maintenant de novembre 2010 à janvier 2011, cela a très bien pu changer. Nous ne citerons pas cet article datant ici, mais certaines de ses informations étaient justes, comme par exemple le Super Amoled 2/Plus… Enfin tout est .

Aujourd'hui, SamFirmware en rajoute une couche sur les caractéristiques :

  • Android Gingerbread (2.3)
  • Ecran tactile Super AMOLED Plus de 4.3 pouces
  • Architecture simple ou double-coeur (non nommée)
  • Puce NFC (Near Field Communication)
  • 1 Go de mémoire RAM
  • 4 Go de mémoire ROM (+ emplacement Micro SD)
  • Appareil photo de 8 mégapixels (capture de vidéo HD)
  • Bluetooth 3.0, Wi-Fi 802.11 b/g/n, GPS/A-GPS
  • Accéléromètre, Gyroscope, Capteur de proximité

Ces caractéristiques matérielles sont à prendre avec des pincettes. Une fois de plus, nous ne pouvons confirmer cette dernière, mais il serait logique que l'entreprise suive cette stratégie, surtout après l'annonce du Motorola Atrix au CES de Las Vegas.

Sources

Des informations sur le Samsung Galaxy Mini S5570

A l'occasion du MWC, Samsung pourrait dévoiler le Galaxy Mini.

Samsung-Galaxy-Mini-S5570.jpg

Samsung n'a pas répondu aux attaques de Motorola et des autres concurrents au CES. La réponse ne tardera pas, puisque selon toute vraisemblance elle aura lieue lors du MWC. Nous savons que le successeur du Samsung Galaxy S sera dévoilé, mais son nom et caractéristiques restent toujours floues. A cela s'ajoute le S5830 qui est pour l'instant difficile à identifier dans la gamme du constructeur.

Hier un nouveau smartphone, sous le nom de code S5570, est passé entre les mains de la FCC chinoise. Le marché visé est totalement différent, car il se lancera avec un positionnement d'entrée de gamme. Son nom commercial sera Samsung Galaxy Mini et comme son nom l'indique aura des spécifications revues à la baisse.

Son écran aura un résolution QVGA (320 x 240 pixels) pour 262 000 couleurs. Il disposera d'une connectique WiFi 802.11 b/g/n, du Bluetooth 3.0. Android 2.2.1 sera utilisé et la surcouche TouchWiz sera ajoutée. Pour accompagner le tout, un lecteur de cartes microSD sera présent. Ses dimensions seront de 110.42×60.76×12.68mm.

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Nous n'en savons pas davantage à l'heure actuelle, mais nous vous tiendrons informé dans le cas contraire !

Source : Samsung Hub

vendredi 14 janvier 2011

Synchronisation de la musique, l’une des futures intégrations d’Android

En même temps, c'était presque une évidence.

Il y a quelques semaines maintenant avait fuité l'application “Musique” d'Android Honeycomb, offrant une interface et des fonctionnalités remaniées, dans lesquelles nous apercevions que les paramètres présentés de nouvelles options de synchronisation pour la musique.

Voyez-vous l'option de synchronisation sur l'image de gauche, et sur celle de droite ? Il s'agit sans doute du point de ralliement. En gros, on pourra très certainement stocker son contenu musical en cache à l'aide de son compte GMail. Un bel avantage.

Maintenant, on ne peut pas exactement prédire dans quelle version elle sera intégrée, puisqu'il faut que la nouvelle version de l'application “Musique” le soit aussi.

Merci à Andrew pour l'information !

ParisTech Review : Comment votre avis (et celui de millions d’internautes) peut ébranler une industrie

Autrefois, le bouche-à-oreille – ce que des amis vous disaient d'un livre, d'un film, ou d'un restaurant- portait bien son nom. Aujourd'hui, nous ne sommes plus limités à notre seul cercle d'amis pour obtenir ce genre d'informations: nous pouvons aussi nous tourner vers ces milliers d'étrangers qui postent leurs opinions sur Internet, nous orientant ainsi vers tel ou tel choix. Ce nouveau réservoir public d'avis et d'expériences de première main entraîne un changement majeur dans la relation entre consommateurs et vendeurs, créant de nouvelles opportunités pour certaines entreprises, et de nouveaux risques potentiels.


Voici un extrait d'un article de ParisTech Review, je vous invite à continuer sa lecture juste après avoir terminé  de lire cet article.

ParisTech Review est la revue en ligne de ParisTech, qui rassemble onze des plus grandes écoles d’ingénieur françaises (dont Polytechnique et ses écoles d’applications (Mines ParisTech, PontsParisTech, etc.) et Arts et Métiers ParisTech) et HEC Paris.

ParisTech Review propose tous ses articles en anglais et en français. Les articles sont longs et de qualité, et portent sur l’impact des innovations technologiques sur le business, l’économie et la société.

La revue a noué de nombreux partenariats éditoriaux : ainsi elle a deux partenaires stratégiques (Harvard Business Review et Knowledge(arobas)Wharton) et des accords de syndication avec The Asahi Shimbun au Japon, The Times of India en Inde, Mc Kinsey Quarterly aux Etats-Unis, Les Echos et L’Ecole de Paris en France.

Ils viennent de publier sur l'Android Market une application pour consulter les articles avec votre androphone, on retrouve toutes les fonctionnalités essentielles pour ce type d'application : favoris,partage, etc.

Nous l'avons testé, elle est compatible avec tous les androphones ainsi que les tablettes. Bref, du contenu de qualité sur une application bien réalisée proposant un affichage haute résolution.

Disponible gratuitement sur l'Android Market, suivez le code QR.

Ceci est un publi-rédactionnel

Sony Ericsson admet avoir commis des erreurs en 2010, 2011 devrait être mieux…

La personne dirigeant le pôle Marketing chez Sony Ericsson a reconnu que l'année passée ne fut pas la meilleure.

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Sony Ericsson est une marque reconnue pour la qualité de ses téléphones et de ses appareils photos. Mais au cours de l'année 2010, son image a été fortement écornée. Commençons tout d'abord par le Xperia X10 qui a été repoussé à de nombreuses reprises, pour finalement sortir en accusant un retard technologique sur ses concurrents. A l'époque de sa sortie, Android 2.1 (Eclair) venait d'être lancé et le constructeur avait laissé planer le doute quant à la version embarquée, qui fut malheureusement Android 1.6 (Donut) finalemen. Après de nombreux mois d'attente, la mise à jour en version 2.1 fut déployée. Le multitouch sur la plateforme de Google est ainsi arrivé simultanément à la sortie du Nexus One. Sony Ericsson avait officiellement annoncé que le téléphone ne serait pas compatible avec cette version, pour finalement se rétracter en fin d'année et annoncer une mise à jour prochaine. Le même sort touche le reste de la gamme Xperia X10 et une fine lueur d'espoir atteint le Xperia X8.Au mois de Novembre, le LiveView a été lancé, un gadget qui se connecte à un téléphone Android pour communiquer des informations (SMS, Twitter…) en Bluetooth. La France ayant eu la chance de l'avoir en exclusivité, il s'avère néanmoins que l'appareil ne fonctionne parfaitement que sur les téléphones de la marque. On peut pourtant lire sur la description que certains des téléphones Samsung ou HTC sont compatibles, mais le résultat est loin d'être probant. Le fabriquant s'est même excusé en annonçant une mise à jour corrective au courant du mois de janvier, mais nous attendons toujours.

Devant une telle situation, le responsable du pôle marketing chez Sony Ericsson, Steve Walker, a fait son mea culpa. Il nous explique que lorsque l'Apple iPhone est sorti, le constructeur n'était pas prêt à y répondre. Quand Android a fait son apparition, le fabriquant en a profité pour s'insérer dans cette brèche sans pour autant avoir une vision claire sur sa stratégie. La gamme de téléphones sous Android est particulièrement touchée :

“Il est important de se rappeler que 2010 été marquée par l'arrivée en masse des terminaux Android sur le marché. Oui il y a eu une ou deux percées de HTC précédemment, mais quand nous avons commencé à concevoir nos combinés de 2010 en 2008, personne ne connaissait vraiment la dynamique du marché des smartphones sous Android ou même ce que le marché des smartphones allait être.”

“Aucun de nous ne pouvait prévoir deux ans à l'avance, à quel point les utilisateurs allaient se tourner vers des smartphones. Aucun de nous n'a pu vraiment prédire ce qui était plus ou moins important pour les consommateurs.”

L'entreprise a tout de même pu passer une assez bonne année, car ses ventes se sont reposées principalement sur la fidélité à la marque et le premier achat d'un smartphone. De même, il faut savoir que le public des sites d'actualités Android ne représente qu'une minorité. C'est ainsi que les Madame et Monsieur Michu ont pu limiter l'hémorragie de Sony Ericsson.

En 2011, la co-entreprise souhaite corriger les erreurs du passé. Nous savons que l'aventure déjà mal commencé. Le constructeur a annoncé qu'aucune mise à jour ne serait déployée vers Android 2.2 (et encore moins 2.3) sur la gamme Xperia X10. D'après les annonces, et mis à part ce point négatif, la page serait tournée. L'avenir est maintenant dirigé vers le Xperia Arc, ainsi que le Playstation Phone (ou Xperia Play). Ce changement de stratégie sera-t-il suffisant ?

Source : Pocket lint

Le NFC sera disponible dans neuf villes françaises en 2011

En 2011 neuf villes françaises déploieront la technologie NFC.

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Le NFC (Near Field Communication – Communication en champ proche) est une technologie dite sans contact. Elle est généralement utilisée comme mode de paiement, mais peut aussi transmettre des informations “classiques”. Le principe de fonctionnement est simple : un téléphone équipé d'une puce et un lecteur dédié chez un commerçant communiquent pour réaliser l'opération. Les utilisations peuvent concerner le paiement d'une place de parking ou d'un achat quelconque. L'avantage est conséquent, car il évite la manipulation d'espèces et de cartes bancaires pour de petites sommes (moins de 20€ la plupart du temps).En 2005, Caen avait réalisé la première expérimentation mondiale de la technologie NFC. En mai dernier, Nice avait démarré un test grandeur nature avec cette même technologie sous le label Cityzi. Les informations circulant sont variées : transport, shopping, banques, informations municipales… En l'espace de six mois, plus de 2500 habitants se sont équipés d'un terminal Samsung Player One compatible pour tester le service auprès de 1000 commerces.

Le ministre de l'Industrie, de l'Energie et de l'Economie vient de lancer un programme pour “diffuser les usages du web 2.0 dans les entreprises”. Parmi les nombreuses mesures, un volet s'attarde sur le déploiement de services mobiles sans contact dans neuf municipalités et collectivités métropolitaines. Ce seront Bordeaux (en coordination avec Pessac), Caen, Lille, Marseille, Nice, Paris, Rennes, Strasbourg et Toulouse. Le gouvernement lancera un appel à projets pour l'installation de cette technologie, ce qui permettra notamment la création de nouveaux emplois. Du côté des opérateurs, l'intérêt est élevé et c'est Orange qui semble se démarquer. Dès le second semestre, l'opérateur lancera de nouvelles cartes SIM et de nouveaux terminaux compatibles avec le NFC et souhaite équiper 500 000 clients d'ici à la fin de l'année.

Actuellement le Google Nexus S supporte cette technologie et le futur Samsung Galaxy S2 devrait faire de même. Cependant, vous avez pu remarquer que les téléphones présentés au CES n'évoquaient jamais cette fonctionnalité. Google essaie pourtant de pousser autant que possible ce type de paiement sans contact, mais le chemin risque encore d'être long. L'avantage pour le géant de la recherche est double, car il concerne le paiement (Google Checkout) et la publicité (Adsense/Adword). Trois nouveaux téléphones Blackberry ont fuité aujourd'hui : Torch 2, Curve “Apollo” et Dakota. Chacun d'eux disposera d'une puce. Nokia, tout comme HTC, devrait rapidement proposer des téléphones embarquant le NFC. Verra-t-on davantage de téléphones au MWC supportant cette technologie ?

Source : Comment ça marche

Confusion, les tablettes ASUS Eee Pad sous Android 2.3 ou 3.0 ?

On ne sait plus trop sur quel pied danser.

Lors du CES de Las Vegas, ASUS a présenté trois terminaux sous Android, trois tablettes se voulant très nomades. Au premier abord, le matériel a l'air de qualité avec une optimisation logicielle convaincante sous Android FroYo (2.2) et l'intégration d'une interface propre à la marque ASUS.

Commençons sur les deux tablettes hybrides de 10.1 pouces. Pourquoi hybrides ? Tout simplement parce qu'elles ont deux utilisations bien distinctes, l'une toute-tactile et l'autre plus professionnelle avec le clavier physique. On peut donc parler de smartbook se métamorphosant en tablette. L'Eee Pad Slider qui s'allonge en mode canapé afin de passer à l'interface tactile, puis l'Eee Pad Transformer, un peu comme un pc portable traditionnel avec une partie détachable pour le transformer aussi en tablette.

asus-eee-pad-slider-tablet-androidDeux monstres de technologies, on a une dalle tactile IPS de 10.1 pouces soutenant une résolution de 1 280 x 800 pixels (WSVGA), une architecture double-coeur nVidia Tegra 2 à 1 GHz soutenue par 512 ou 1 Go de RAM (au choix), une caméra frontale de 1.2 mégapixels, un appareil photo de 5 mégapixels, Wi-Fi, GPS, etc.

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Les deux tablettes sont prévues entre les mois de mars et mai avec une fourchette de prix allant de 400 à 800 euros.

Continuons avec l'ASUS Eee Pad Memo, une tablette de 7.1 pouces aussi sous Android, et sans clavier physique.

L'Eee Pad Maemo est la première tablette Android a soutenir nativement une architecture double-coeur de Qualcomm cadencée à 1.2 GHz, une dalle tactile capacitive de 7.1 pouces avec une résolution de 1 024 x 600 pixels avec un stylet qui peut servir d'instrument d'art pour diverses applications fournies avec la tablette.

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Elle se dote aussi d'une caméra frontale de 1.2 mégapixels, d'un appareil photo de 5 mégapixels… Pour l'instant, nous ne disposons d'aucune autre information, puisque l'entreprise ne confirme pas sa sortie. C'est un prototype, une autre tablette pourrait la remplacer, et on l'a bien compris.

Comme je vous le citais au début de l'article, on ne sait plus réellement sur quel pied danser. Le constructeur est dans la confusion, et dans l'incapacité de confirmer sur quelle version d'Android ses tablettes sortiront. Au début, les employés faisaient allusion à Android Gingerbread (2.3), puis quelques heures plus tard citaient vouloir attendre l'arrivée d'Android Honeycomb (3.0).

On rejoint Pierre de Blogeee, lorsqu'il cite :

A ce jour seule la tablette Xoom de Motorola semble être donc dans la possibilité officielle d’exploiter Android 3.0. Toutes les autres devront se contenter de versions antérieures.

Hélas, c'est la vérité… Motorola a clairement une longueur d'avance avec sa stratégie puisqu'il travaille directement en collaboration avec Google pour le développement d'Android Honeycomb (3.0).

Il serait intéressant de savoir si d'autres constructeurs peuvent aussi s'allier au même moment avec Google, un peu comme dans la communauté indépendante aux constructeurs, nous faisons bien allusion aux concepteurs de système alternatif pour nos terminaux qui s'inspirent entre eux à élaborer un système pour tel ou tel appareil en tirant partie des mêmes sources. Est-ce que cela serait possible officiellement ? Pourquoi pas ? …et puis ça mettrait tout le monde sur un pied d'égalité, non ? Peut-être que dans le futur…

Tout ça laisse une fois de plus le marketing d'ASUS dans l'impossibilité de donner une réponse concise, à savoir : Est-ce la nouvelle gamme de tablettes d'ASUS sortira directement sous Android Honeycomb (3.0) ? ou sur Android Gingebread (2.3) ? avec une possibilité de mise à jour ultérieure.

J'ai l'impression qu'on se répète, mais il serait dommage que le constructeur propose du matériel double-coeur sans en exploiter les totales performances, puisque pour rappel Android Honeycomb (3.0) devrait nativement prendre en compte ce type d'architecture. Ceci est valable pour tous les constructeurs ayant choisi cette nouvelle alternative. C'est d'ailleurs l'un des points forts souligné par Andy Rubin pendant l'une de ses interviews.

Via Blogeee, source CrunchGear.

A notre grande joie, la revalorisation de la taxe sur la copie privée a été entérinée

La commission sur la taxe sur la copie privée vient de revoir ses barèmes et y intègre les tablettes tactiles.

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A la mi-décembre, nous apprenions l'éligibilité des tablettes tactiles à la taxe sur la copie privée. Celle-ci a rapporté plus de 189 millions d'euros en 2009 mais ne semble pas être suffisante, puisqu'une revalorisation vient d'intervenir. Pour chaque achat depuis 1985 d'un CD, DVD, baladeur, disque dur externe, multimédia ou smartphone, le client doit s'acquitter d'une somme variable. Les sommes reviennent à 75% aux ayants droits et 25% participent à la “vitalité artistique du pays en finançant des manifestations culturelles”. Grâce à elle, nous ne menaçons plus la culture, permettant à notre richesse de s'accroître et de financer de très bons artistes. Cette taxe est vaste : musique, cinéma, théâtre, danse, télévision, radio, photographie, cirque et littérature. Un site internet a même été dédié à cette cause et une vidéo nous présente les bienfaits d'une telle taxe (avec le slogan “Merci la copie privée”) !

Cette taxe permet ainsi aux méchants consommateurs de payer pour les contenus légaux qui sont transférés vers d'autres supports que celui d'origine. A la grande stupéfaction de ces sages ayant-droits, ils n'avaient pas prévu l'essor des tablettes et viennent par conséquent de les ajouter. Les utilisateurs sont certainement trop peu intelligents pour utiliser des services de streaming légaux (comme Spotify ou Deezer), il était nécessaire de les faire payer. Hier a eu lieu le deuxième vote, mais était déjà considéré comme acquis. En détails, voici les nouveaux tarifs (document Clubic) :

Les tablettes tactiles sont ajoutées et la tarification respecte celle du 1er vote. Les prix s'échelonnent jusqu'à 12 euros pour des périphériques entre 40 et 64Go. Ce marché en pleine croissance, comme nous avons pu le constater au CES, ne pouvait passer outre cette taxe. De même, elle est répartie d'une manière très équitable puisque toutes les tablettes à l'exception de celles utilisant Microsoft Windows y sont soumises. Il est en effet vrai que ce système d'exploitation mérite plus que les autres de ne pas être taxé. Le Syndicat des Industries des Matériels Audiovisuels Electroniques (SIMAVELEC), l'ignorant, souhaite déposer un recours devant le Conseil d'Etat qui sera appuyé par Archos. Le lobbying est inexistant car sans donner de raison, la commission a changé d’opinion pour finalement adopter une taxe. Nous vivons dans un pays sain, dans lequel il faut éradiquer au plus vite ces vilains adolescents boutonneux qui téléchargent, au lieu d'aller au musée tous les week-ends. De même, les entreprises ne comprennent pas le bénéfice d'une revalorisation, mais n'ont certainement rien compris aux joies culturelles :

“L’augmentation de la capacité de mémoire ne signifie pas que l’on copie plus. On taxe des biens avant même de savoir comment ils sont utilisés. De plus, il y a une distorsion de concurrence, puisque tous les OS ne sont pas touchés.”

Plus sérieusement, si vous souhaitez acheter une tablette sans payer la copie privée, dépéchez-vous puisqu'elle devrait être mise en place au premier trimestre 2011.

Note : Certains passages de l'article sont à prendre avec dérision !