mercredi 8 décembre 2010

Android Gingerbread n’a pas de configuration minimale spéciale pour fonctionner

La rumeur avait déjà démarré dans un podcast russe fin juin, et fut rapidement contrée par Dan, ingénieur chez Google.

En résumé pour faire tourner la 2.3, il aurait fallu un processeur cadencé à 1 GHz et 512 de RAM ainsi qu’un large écran tactile de 3,5″ …

Vous souhaitez connaître la dernière ? D’après un employé de LG, Android Gingerbread (2.3) nécessiterait finalement une configuration minimale pour fonctionner. Ah bon, mais quoi ? Google aurait-il tort ?

Un processeur cadencée à 1 GHz est nécessaire pour faire tourner Gingerbread, car le pauvre Optimus One avec sa fréquence de 600 MHz ne le peut pas (lien).

Vous allez rire, car seulement quelques heures après cette déclaration le twitter de Romain Guy (ingénieur Android) indiquait :

En clair, Android Gingerbread (2.3) ne nécessite pas de processeur spécifique ou cadencé à telle ou telle fréquence pour fonctionner, puisque plus les versions avancent plus le système est adaptable.

On a pourtant l’habitude d’avoir une barre de tolérance, mais là c’est l’employé d’une marque connue qui nous le dit, hein… On n’est pas censé avoir une certaine confiance en ce qu’il nous rapporte ?

Plus sérieusement, Brian Swetland (ingénieur Android) a rapporté que les terminaux supportant correctement Android FroYo (2.2) fonctionneront encore mieux avec Android Gingerbread (2.3). Toujours d’après Brian, les constructeurs devraient éprouver encore moins de difficultés pour migrer de la 2.2 vers la 2.3.

Après c’est une volonté du constructeur de le faire ou pas.

A compter de la date de déploiement du code source d’Android Gingerbread (2.3), la mise à jour de votre androphone devrait compter entre 1 à 6 mois d’efforts d’intégration, de tests, formation du SAV, etc. mais pas plus !

Via AndroidandMe, Romain Guy & Facebook (LG).

Google : Andy Rubin présente la tablette de Motorola sous Android Honeycomb (photos & vidéo)

Les informations étant plus importantes les unes que les autres, il nous a été difficile de tout caser à la suite, donc nous éparpillons un petit peu les dernières nouveautés.

Plus tôt dans la journée, nous vous proposions une démonstration de quelques unes de performances d’Android Gingerbread (2.3).

Comme convenu, on a retrouvé hier soir le père fondateur d’Android, Andy Rubin à la conférence D: Dive into Mobile, mais chez nous il était pas loin de 4h00 du matin…

C’est alors qu’Andy Rubin décide de nous présenter une tablette Android de Motorola. Les yeux écarquillés, on se question, et puis il nous cite que c’est la version d’Android Honeycomb (miam).

On comprend alors que Google et Motorola travaillent bien ensemble, puisqu’elle est la première tablette à être élaborée sur cette nouvelle version.

Pour parler un peu des performances, plutôt dans la matinée nous avons croisé cette même tablette dans un autre article montrant la nouvelle version de Google Maps Mobile 5.

La démonstration présentée par Andy Rubin, était l’une des futures intégrations de Google Maps Mobile 5 (en plus du mode hors-ligne), qui consiste à créer des vectoriels de bâtiments en 3D. Une des futures intégrations que certains terminaux devront oublier, puisque leur écran n’étant pas totalement multi-points ne le permet tout simplement pas.

google-maps-3D-building

Si vous regardez bien la vidéo, vous remarquez que le multi-points tourne et plonge suivant la direction que prennent vos doigts. Et ça sur un écran dual-touch comme le Nexus One ou HTC Desire, il faut l’oublier.

La nouvelle version d’Android Honeycomb s’avance avec une interface plus adaptée, plus travaillée. Nous avons enfin quelque chose qui peut commencer à rivaliser avec la concurrence.

La première capture d’écran que nous avons faites concerne l’écran de verrouillage, qui se déverrouille d’une pression du doigts, et ce, dans n’importe quel sens.

Ensuite nous découvrons un géant Google Talk, mais aussi une gestion de multi-écrans présentée sous la forme de fenêtres séparées, permettant le mode paysage et portrait.

A la suite, nous apercevons très brièvement l’application Gmail qui a également le support du mode portrait (que j’ai peiné à capturer), ainsi qu’un mode paysage avec la liste des emails sur la gauche et leur contenu sur la droite.

Que ce soit sur le bureau ou dans une application, l’écran tourne à 360° sans aucun ralentissement remarqué. La mini-présentation de Google Maps Mobile 5 ne semble pas encore au point, mais il ne faut pas oublier que c’est en développement et que l’évolution suivra.

La version d’Android Honeycomb sortira dans le courant de l’année 2011.

Pour terminer, cette tablette supporte une architecture double-coeur nVidia Tegra 2 cadencée à 1 GHz avec une dalle tactile de taille inconnue. On pense que c’est un peu plus large que 7 pouces, peut-être 9 pouces ?

Source Engadget.

Le Nexus S serait-il décevant ? Pas de LED de notification, de lecteur de cartes microSD…

Comparons le Nexus S et le Samsung Galaxy S pour savoir quels éléments ont été ajoutés/modifiés/supprimés.

Le Nexus S a fait l’objet de très nombreuses rumeurs depuis la fin du mois de septembre. Après plus de deux mois d’interrogations, les spécifications définitives ont été dévoilées hier permettant ainsi de clore le chapitre des informations non vérifiées. Bien que très proche du Samsung Galaxy S, le Nexus S se montre à la fois plus performant et moins novateur sur plusieurs points.

  • Version d’Android

C’est clairement l’argument majeur de vente aujourd’hui. Les personnes voulant disposer de la toute nouvelle version d’Android n’ont à l’heure actuelle que ce téléphone proposé. Les mises à jour futures seront faites en priorité sur ce téléphone car ce sera celui du créateur du système d’exploitation.

La récente mise à jour vers Froyo du Galaxy S s’est échelonnée sur plusieurs semaines et de nombreux téléphones ont été briqués. C’est un point noir pour Samsung. Mais le partenariat avec Google pourrait permettre d’éviter à nouveau ce type de situation.

Le choix interface originael/TouchWizz dépendra d’un utilisateur à l’autre et dépend principalement des goûts personnels.

  • Processeur

Plusieurs informations laissaient croire que Samsung allait utiliser son nouveau processeur Orion, à double-coeur. Ce choix n’a malheureusement pas été effectué, il serait intéressant de connaître les motivations de Google et de Samsung sur ce point. On notera tout de même que l’autonomie en appel est de seulement 6h contre 10h pour le Galaxy S. Cet élément ne dépend pas uniquement du processeur mais si un dual-core avait été présent, l’autonomie aurait pu être encore plus importante.

  • Ecran

L’écran devrait être similaire sur les deux téléphones à savoir un super AMOLED de 4 pouces. Ce sera un avantage sur les concurrents comme les derniers HTC, bien que le Desire HD soit de 4,3 pouces. On regrettera que la résolution ne soit pas plus importante mais à l’heure actuelle il semblerait que seul Sharp puisse fournir de telles dalles au grand public.

  • Lecteur de carte SD

Un gros point noir du Nexus S est l’absence d’un lecteur de carte microSD. Bien que le téléphone dispose d’un tout petit peu plus de mémoire interne : 16 384 Mo contre 16 000 Mo, il ne dispose pas de lecteur de carte SD. Quasiment tous les téléphones aujourd’hui disposent d’une telle fonctionnalité. Google souhaiterait-il faire comme Apple et lancer différentes versions avec des capacités de stockages variables ?

  • LED de notification

Le Nexus One possédait une trackball qui pouvait s’éclairer. Sur le Nexus S il n’y en aura pas, ni même une LED de notification. C’est Reto Meier, une ingénieur Android qui le confirme :

Il est dommage que ce petit plus ne soit pas intégré.

  • Appareil photo

Les caractéristiques de l’appareil photo sont similaires : 5 mégapixels. Sachant que le Nexus S est plus récent, il pourrait être amélioré, mais sans comparatif nous ne pouvons pas savoir. La réelle nouveauté se trouve avec l’ajout d’un flash, qui est certainement la plus grosse faiblesse à l’heure actuelle du Galaxy S.

  • Sortie vidéo

Le Samsung Galaxy S dispose d’une sortie vidéo via la prise jack 3,5mm. Pour le Nexus S rien n’est confirmé mais cette fonctionnalité pourrait y être implémentée. Quoiqu’il en soit, pas de sortie HDMI.

  • Bluetooth

C’est un point sur lequel il est difficile de comprendre le choix effectué. Le Samsung Galaxy S est en avance sur ses concurrents en proposant le Bluetooth 3, mais le Nexus S ne bénéficiera pas d’un tel traitement de faveur avec seulement la version 2.1.

  • NFC

Seul le Nexus S possède à l’heure actuelle une puce NFC. Nous croyons initialement que le téléphone utiliserait le composant récemment dévoilé par Samsung et qu’il reporterait la date de sortie. Mais ce ne sera pas le cas, puisque ce sera la puce NXP Semiconductors PN544 NFC qui sera intégrée.

C’est un plus, certes mais quid des usages ? Suivront-ils ?

  • Gyroscope

Gingerbread supporte de nouveaux senseurs, dont le gyroscope. Ce périphérique donne la position angulaire (selon un, deux ou les trois axes) de son référentiel par rapport à un référentiel inertiel. Dans des termes plus accessibles, combiné à un accéléromètre, cet appareil va permettre de mesure avec plus de précision les mouvements effectués. La nouveauté étant l’angle du gyroscope.

  • Radio FM

Le Nexus One ne disposait pas officiellement d’une radio FM. Pourtant, il disposait bien d’une telle puce et les ROMs personnalisées réussissent aujourd’hui à l’utiliser. Du côté de Google, aucune information sur ce choix n’a été expliquée. Le Nexus S ne disposera pas officiellement de la radio FM, mais il se pourrait qu’à nouveau la même situation se reproduise. En effet, le Samsung Galaxy S possède une telle puce. Les réponses sur ce point seront dévoilées dès que les premiers modèles seront mis en vente.

Dire que le Nexus S est une version améliorée du Samsung Galaxy S n’est pas vraie. Sur de nombreux points, le Nexus S apporte des nouveautés (flash, nfc, processeur…), mais sur d’autres on voit un très net recul (absence de lecteur de cartes, bluetooth…). Que pensez-vous de ce téléphone ?

Acer présente le beTouch E140

La gamme beTouch d’Acer vient d’être complétée par le nouveau E140. Un téléphone 2,8 pouces en résolution QVGA et en technologie résistive.

Propulsé avec un processeur Qualcomm 7227 @ 600 Mhz, avec 256 Mo de RAM et 512 Mo de ROM, un appareil photo de 3,2 mégapixels, batterie Li‐Po 1300 mAh, WiFi b/g, EDGE/3G/3G+, et un poids de 115 grammes.

Equipé d’Android 2.2, le Acer beTouch E140 est un téléphone d’entrée de gamme, dans la même lignée que la gamme beTouch. Commercialisé à compter du mois de janvier 2011 en blanc nacré et noir glossy au prix conseillé TTC de 199 euros et chez NRJ Mobile à partir de 1 euro après subvention.

mardi 7 décembre 2010

L’annuaire 13-13.be lance son application pour smartphones Android


EDA, spécialiste des annuaires et des renseignements téléphoniques en Europe éditait déjà le 13-13, un annuaire en ligne pour toute la Belgique.

L’entreprise propose maintenant l’application mobile du 13-13. Cette dernière permet de rechercher les particuliers comme les sociétés, ainsi que de faire une recherche inversée.

C’est à notre connaissance le premier annuaire belge disponible sur l’Android Market. L’application est plutôt réussie même si elle copie une interface iPhone qui n’est pas du tout adaptée à nos terminaux Android.

Dans une future version début 2011, il sera possible de faire une recherche à proximité, basée sur la géolocalisation de l’utilisateur.

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« Nexus », le nom commercial de « DevPhone » ?

Si vous êtes développeur Android et enregistré sur le Market, vous avez accès à ce lien : http://android.brightstarcorp.com/index.htm. Pour tous les autres, voilà ce qu’on y voit :

Les Dev Phones sont des téléphones prévus pour que les développeurs puissent travailler leurs applications sans être bloqués par l’émulateur. Ils ont la particularité d’être rootés et désimlockés.

Pour ceux qui n’ont pas suivi l’historique, en premier le HTC G1,  ou Dream, est apparu comme le premier Dev Phone. Puis après quelques temps d’exploitation commerciale, le HTC G2, ou Magic, est devenu à son tour un Dev Phone, le 2. Et dernièrement, c’est au tour du Nexus One de devenir un Dev Phone.

Si à l’époque de leur sortie, les HTC G1 et G2 n’avaient pas de concurrence directe au sein d’Android, on pouvait comparer les mobiles à d’autres concurrents pour se rendre compte qu’ils n’étaient pas à la pointe de la technologie à leur sortie (au niveau matériel). De même le Nexus One, à sa sortie, était en adéquation avec le marché haut de gamme, mais il n’était pas particulièrement en avance. Sous Android, il était équivalent au Milestone et des mobiles comme le HD2 ou l’iPhone 3GS n’avaient rien à envier au Nexus One. On peut donc voir que la sortie des mobiles destinés à devenir des Dev Phones n’est pas une révolution technologique.

Dernièrement, avec l’annonce du Google Nexus S, nous nous rendons compte que Google ne cherche pas à sortir le téléphone ultime. D’ailleurs nous sommes un peu déçus par ce dernier. Ce mobile apporte des technologies très innovantes comme le NFC. Mais quand on sait que des terminaux survitaminés à base de Tegra 2 ou Snapdragon double cœurs sont prévus dans un mois, alors on peut le trouver un peu faiblard. Il est fort à parier que ce mobile n’aura pas le succès commercial qu’il mérite, que Google sera quand même content, que nous, nous ferons un article sur sa réussite de vitrine et que les sites spécialisés sur la concurrence souligneront ce revers pour Google.

Mais analysons autrement. Et si la série des Nexus One n’était pas qu’une simple vitrine, et si les mobiles n’étaient pas non plus prévus pour être vendus. Quand on voit leur devenir, il n’y a qu’une conclusion qui reste : ce sont des mobiles de développeurs. A chaque fois, les terminaux sont en adéquation parfaite avec les nouvelles fonctionnalités introduites dans la plateforme. Mais le buzz aidant, on se retrouve à penser que ces mobiles doivent être vendus au plus grand nombre. Pour faciliter ce buzz, Google donne un nom plus vendeur que “Dev Phone” : “Nexus”. Mais que neni, les actions de distributions aux conférences de développeurs en témoignent. Google ne veut pas vendre des Nexus, mais populariser et donner accès aux dernières innovation de la plateforme Android.

Donc si vous êtes développeurs foncez vers ce mobile qui vous permettra d’expérimenter toute la plateforme. Si vous êtes un consommateur, attendez, il y aura de meilleurs mobiles pour l’expérience utilisateur dans 1 mois. Et si vous êtes journalistes, encouragez le buzz, c’est bon pour l’innovation, ça oblige la concurrence à se bouger et les constructeurs de l’OHA à faire de meilleurs mobiles.

http://android.brightstarcorp.com/index.htm

LeWeb’10 : Une application officielle Android pour suivre l’événement

LeWeb’10, le plus grand événement du Web en Europe, débute demain à Paris. Nous y serons afin de vous tenir au courant de l’actualité sur place. Quelques heures avant le début de ces deux journées assez folles, l’application officielle vient d’être rajoutée à l’Android Market. Il vous suffit de recherche “LeWeb” sur le market officiel. Une application qui reprend le programme, un flux de news, la liste des participants et des intervenants, etc.

LeWeb'10 : Une application officielle Android pour suivre l'événement   Voir toutes les galeries

Google Maps Mobile 5 révélé : 3D et mode hors-ligne mais pas pour le Nexus One !

La nouvelle version de Google Maps a été révélée : déplacements 3D (des vectoriels plutôt que des images) et mode hors-ligne ! Peu de téléphones seront compatibles avec les nouveautés y compris le Nexus One !

Andy Rubin était présent à la conférence D: Dive Into Mobile comme nous vous l’indiquions il y a déjà plusieurs jours. Après les annonces majeures d’hier : Gingerbread et le Nexus S, il semblait peu probable que Google ait encore des surprises à nous montrer. Pourtant ce fut bien le cas puisque la nouvelle version de Google Maps for Mobile 5 a été dévoilée au grand public. Andy Rubin a utilisé une nouvelle tablette Motorola qui tournera sur Honeycomb (présentation dans un prochain article) pour montrer la nouvelle application phare d’Android. En effet, elle est l’une des applications les plus téléchargées et tout le monde s’accorde pour dire qu’elle est très bien réalisée. Avec les deux principales nouveautés présentées, vous allez certainement l’apprécier d’avantage.

La première grande modification est visuelle, car ce ne sont plus de simples images qui vont être téléchargées, mais des vectoriels permettant ainsi une vision en 3D des bâtiments. Si vous ne savez pas ce que représentent des vectoriels, sachez que le format SVG les utilise. Cela consiste à utiliser des formes de bases (trait, rectangle, ellipse…) en indiquant les coordonnées de départ, d’arrivée, l’épaisseur du trait… Ayant ces données à disposition il est ainsi possible de pouvoir zoomer indéfiniment en ayant toujours une qualité optimale. Les vectoriels sont donc totalement différents des images, où la qualité se dégrade par paliers successifs de zooms.

Cette fonctionnalité ne concernera qu’une centaine de villes au lancement, qui n’ont pas été précisées. La ville montrée par Andy Rubin est New York. Pour pouvoir utiliser cette nouveauté sur un écran tactile, Google a utilisé un nouveau geste. A l’aide de deux doigts, il sera possible d’incliner et de pivoter l’angle de vue. Les gestes précédemment utilisés : déplacement par défilement et pincer-pour-zoomer seront toujours présents.

Ces nouvelles données auront logiquement une taille moins importante que les images. Elles seront stockées sur le téléphone, laissant ainsi apparaître la deuxième nouveauté majeure : la visualisation des cartes en mode hors-ligne. Plus précisément Maps va conserver les lieux où vous allez/que vous cherchez le plus fréquemment. Si vous utilisez Navigation (l’outil de navigation par gps), l’application sera alors en mesure de vous rediriger si vous êtes en mode hors-ligne et que vous ne choisissez pas la route initialement indiquée. Cependant la modification d’un itinéraire nécessitera toujours une connexion internet.

Peu de téléphones seront compatibles avec toutes les fonctionnalités :

  • Samsung Galaxy S
  • Motorola Droid/Milestone
  • Motorola Droid X
  • Motorola Droid 2/Milestone 2
  • HTC Droid Incredible
  • HTC Evo
  • Google Nexus S
  • T-Mobile G2/HTC Desire Z

A noter l’absence du Nexus One ! La question de la “mise au placard” par Google pourrait se poser. En réalité tous les téléphones sous Android 1.6 (Donut) et supérieurs seront compatibles mais ne pourront pas accéder à toutes les fonctionnalités. En effet, deux éléments seront nécessaires : la gestion de la 3D et un “multitouch précis”. C’est à cause du deuxième point que le Nexus One ne pourra pas être compatible. HTC est connu pour faire des écrans tactiles multitouch en retrait par rapport à ses concurrents et dès sa sortie plusieurs tests montraient cette faiblesse sur le premier téléphone de Google. Pour autant les nouveaux téléphones de la marque HTC Desire Z (et certainement HD) n’auront pas ce problème. Cela expliquerait-il pourquoi Google a préféré Samsung pour le Nexus S ?

La mise à jour est prévue dans “les jours à venir” selon Andy Rubin. Cette déclaration est à mettre en parallèle avec “dans les prochaines semaines” d’Eric Schmidt lors du Web 2.0 Summit qui signifiait en réalité 3 semaines.

Images par Engadget.

lundi 6 décembre 2010

Humm, Lakokine vous offre des cadeaux

Édit bis : Les gagnants du concours ont tous été contactés par courriel. Ils ont été sélectionnés au moyen de random.org. Merci à tous d’avoir participé.

Édit : Ce n’est finalement pas 3 autocollants mais 5 qui seront à gagner. De plus, un deuxième concours est lancé sur le forum.

Vous trouvez votre ordiphone téléphone intelligent trop … austère ? Mais vous n’êtes pas vraiment un fan des housses. Voici probablement le compromis :

Les auto-collants pour téléphones permettent de donner une touche personnelles à votre terminal ce qui peut parfois s’avérer important lorsqu’on a choisi un téléphone populaire. Nous n’avons pas tellement eu l’occasion d’en tester (honte sur nous) mais il se trouve que Lakokine, qui propose justement ces services, souhaite offrir 3 stickers aux lecteurs de FrAndroid.

La particularité de cette entreprise est de proposer la création d’un “skin” personnalisé pour les téléphones Android suivants :

Si cela vous tente, il suffit de commenter l’article. Les gagnants seront tirés au sort par l’équipe de Lakokine.

A vos commentaires donc.

Règlement à la page suivante.

La Société Générale lance demain son application Android

La banque française Société Générale va lancer très bientôt son application Android. L’application compatible à partir d’Android 1.6 propose 8 fonctionnalités :

  • Gestion des comptes
  • Convertisseur
  • Bourse en temps réel
  • Simulation prêt/épargne
  • Numéros d’urgence
  • Estimation des dépenses
  • Géocalisation d’agence (DAB)

Disponible demain (mardi 7 décembre) sur l’Android Market, nous attendons les retours des clients de la SG sur cette application qui semble complète sur le papier.