Après Verizon et Auchan, c’est Phoneo qui vient de commettre une énorme bourde sur une brochure publicitaire.
Mick, en fidèle lecteur de FrAndroid vient de nous signaler une grossière erreur dans la dernière brochure publicitaire de Phoneo. Le revendeur propose le téléphone de RIM, BlackBerry Torch 9800. Jusque là rien d’anormal : un appareil photo avec une résolution correcte la bonne version de l’OS, un prix cohérent… Mais si on regarde bien l’illustration on se rend très vite compte de l’erreur faite.
C’est bien un bureau Android qui est montré sur ce téléphone RIM. Plus particulièrement, on reconnait l’identité visuelle utilisée pour le Motorola Droid 2 (Milestone 2), mais avec un BlackBerry Torch. Le seul hic est que ce dépliant, laissé dans les boites aux lettres, montre en fin de document l’agence qui l’a réalisé. Cela ne devrait pas lui faire une bonne publicité.
Pour nVidia, le double-coeur c’est déjà (presque) du passé…
A l’heure où les constructeurs passent à peine aux architectures double-coeur, nVidia taquine le marché et prévoit des architectures quadruple-coeur (quad-core).
Jen-Hsun Huang, ancien employé de LSI Logic et d’AMD (en tant que designer de microprocesseurs), qui est aujourd’hui le PDG d’Nvidia.
Jen-Hsun Huang nous annonçait déjà il y a quelques temps que le Tegra 3 était dans sa bonne courbe d’évolution, ce qui laisse une place complète à l’élaboration du Tegra 4. Soit la création d’une nouvelle architecture par an, selon Jen-Hsun. Et d’après ce que nous avions découvert le 24 novembre dernier, cette nouvelle architecture risque de faire beaucoup parler d’elle, puisque beaucoup de points se confirment.
C’est à prendre avec des pincettes, mais voilà à quoi pourrait ressembler le Tegra 3 :
La nouvelle architecture nVidia Tegra 3 actuellement en finalisation est basée sur un ARM Cortex A9 quadruple cœur, le tout étant associé à un chipset graphique basé sur l’architecture d’une carte graphique GeForce 8/9, appuyé par la technologie nVidia Cuda. L’ARM Cortex A9 semble être en tout point un monstre de technologie capable d’encoder de la vidéo HD, voire de la ré-encoder après montage. Donc CPU + GPU, qui sont là pour soutenir et accompagner les performances.
Sans oublier que les prévisions de Mike Rayfield (responsable de la section Tegra chez nVidia) faites au mois d’avril dernier étaient fondées et vraies. Plus précisément, Mike avait annoncé que la puce Tegra 2 ne serait au finale pas destinée qu’aux tablettes, mais aussi aux smartphones et plus spécifiquement aux smartphones Android dès le quatrième trimestre.
Voici ce qu’il avait déclaré : J’ai manqué la première vague Android. La réalité est que j’ai investi plus lourdement dans Windows Mobile / CE. Il estime encore que l’investissement sera rentable, mais il a admis qu’il avait sous-estimé la rapidité avec laquelle progresserait Android. Cela pourrait marquer un départ plus que bénéfique pour la marque.
S’ajoute à ça une hypothèse qui a tenu la route, puisque aujourd’hui, nous savons que deux androphones supportant cette architecture vont arriver sur le marché dans les semaines, mois à venir. Il s’agit du Motorola Olympus et du LG (Optimus) Star.
D’ailleurs, si vous êtes passionné par ce sujet, n’hésitez pas à faire une recherche sur notre blog, nous regorgeons d’actualités qui traitent sur le sujet et l’évolution de nVidia dans le milieu Android.
À l’heure actuelle, il est difficile de donner une date de sortie exacte pour le Tegra 3 dans les terminaux. Si on me demandait un pronostic, je répondrais pas avant le milieu du 2 ème trimestre 2011 et l’intégration dans les terminaux vers le 3ème trimestre 2011.
En attendant, je vous conseille de consulter un très bon papier technique (en anglais) qui explique clairement la gestion de l’énergie et les performances qu’apportent la puce Tegra.
Sachant que le Tegra 2 n’est pas totalement géré par Android de par ses performances, il devrait prendre un tout autre tournant et se voir décupler de puissance avec Android Gingerbread (2.3) et Honeycomb dans les prochains mois.
Et puis avec l’arrivée du code source, ça ne laisse que de bonnes idées pour les développeurs.
Google Editions sera lancé avant la fin de l’année aux Etats-Unis et en 2011 pour le reste du monde.
Google a confirmé le lancement de sa boutique de livres numériques (e-books) d’ici à la fin de l’année, afin de concurrencer le store du Kindle d’Amazon (qui occuperait 65% du marché). Originellement prévu pour l’été dernier, le projet n’avait pu aboutir pour des raisons techniques et légales. Le service sera lancé dans un premier temps aux États-Unis, avant de conquérir de nouveaux pays dès le premier trimestre 2011. Google se lance dans ce projet car ce marché est en forte croissance, de 301 millions de dollars de ventes en 2009, les prévisions s’établissent à 966 millions pour 2010, selon comScore.
Ce projet, nommé Google Editions (qui aura peut être un nom français différent) se caractérisera par le fait que les livres ne seront pas nécessairement téléchargés sur un appareil (tablette, reader…), mais seront associés à un compte Google. Cela signifie qu’une fois le livre acheté, il sera accessible sur n’importe quel appareil disposant d’une connexion internet. À l’heure actuelle, nous ne savons pas si le contenu sera livré sous forme d’une page web spécialement formatée, ou bien au travers d’une application dédiée. Dans un cas comme dans l’autre, les terminaux Android pourront profiter de cette nouvelle opportunité. La tablette Notion Ink Adam qui disposera d’un écran E-Ink aura une réelle valeur ajoutée, car ce type d’écran permet la lecture en plein soleil. Cela ajoutera un nouvel avantage dans la course contre ses concurrents et notamment Apple qui propose déjà des livres sur iTunes.
Google mettra en place des mesures de sécurité, comme le contrôle d’accès à un compte. Mais cela restera perfectible dans le sens où une personne pourra partager les identifiants de son compte pour qu’une (ou plusieurs) personne tierce puisse accéder à ses achats. Les sites tiers pourront rejoindre un programme d’affiliation qui prendra deux formes : la première consistera à envoyer les internautes vers le site de Google Editions, alors que la seconde permettra à des sites de vendre directement les produits. Les négociations pour offrir un tel service ont été longues et il semblerait que Google ait réussi un consensus pour le partage des revenus. Les prix de ventes devraient donc être similaires à ceux affichés par les concurrents.
Il ne faut pas confondre ce projet avec Google Books (Google Livres), qui consiste à numériser des livres pour les rendre consultables sur un terminal électronique. Dans le cas où les éditeurs ont lié un contrat avec Google, il est possible d’acheter ses livres et les droits d’auteur sont alors reversés à la maison d’édition. Ce projet a eu de nombreuses controverses dans le sens où Google avait forcé la main, sans prendre en compte l’avis des différents acteurs. Ceci explique pourquoi des poursuites judiciaires avaient eu lieu pour violations de copyrights, comme avec le Syndicat National de l’Edition. Mais la situation semble s’améliorer légèrement car Hachette Livre vient de signer un accord permettant la numérisation du catalogue des livres épuisés.
Le site Business Insider publie chaque année un classement des plus gros échecs technologiques de l’année. Cette année, 15 produits/services ont été sélectionnés. Google atteint la première marche de ce classement, suivi par Microsoft.
Le site souligne que ce n’est pas parce que Google occupe la première place de ce classement qu’il s’agit forcément d’un échec. Au contraire, c’est plutôt encourageant dans le sens où l’entreprise est prête à lancer des produits quitte à ce qu’ils ne réussissent pas. Si tel est le cas, le produit est “mis à la corbeille” en attendant une prochaine révolution.
Le Nexus One occupe la 15ème place sur 15. Pour le site, Google n’a pas réussi son objectif initial, à savoir vendre directement aux consommateurs son téléphone. Bien que le téléphone soit bien réalisé, les ventes ont été faibles. N’ayant pas les chiffres finaux, on dispose uniquement de ceux après 74 jours d’exploitation où le téléphone se serait vendu à seulement 135 000 exemplaires. A titre de comparaison, le LG Optimus One a atteint la barre du million d’unités vendues en seulement 40 jours. De même, en l’espace de trois mois, le Samsung Galaxy S s’est écoulé à plus de 5 millions d’unités. Depuis juillet, Google a retiré de la vente son téléphone pour se consacrer au développement d’Android.
Cette analyse purement statistique est exacte mais certainement trop simpliste. Lorsque Google a lancé son téléphone, plusieurs objectifs étaient clairement annoncés dont l’essai d’un nouveau mode de vente et l’utilisation de technologies standardisées. On peut vraiment dire que sur le 2ième point, le téléphone a réussi à faire changer le comportement des constructeurs. En effet, certains téléphones HTC avaient jusqu’alors une connectique propriétaire pour le chargement/connexion à un ordinateur. Depuis, c’est le MicroUSB qui est utilisé. On notera qu’il reste tout de même du chemin à faire dans ce domaine car la Samsung Galaxy Tab ne participe notamment pas à cette avancée. Le Nexus One a aussi provoqué l’arrivée de vraies smartphones haute-gamme.
Dire que Google a été déçu des ventes est vrai, mais affirmer qu’il s’agit d’un échec cuisant est faux. Le téléphone a été depuis transformé en téléphone de développement. Durant cette deuxième vie et face à son succès, il a été pendant plusieurs jours en rupture de stocks. Le Nexus One a réussi son pari auprès des développeurs, car il est devenu une vraie référence. Presque plus d’une année après sa sortie, les nouvelles ROMs sortent presque toujours sur ce superphone en exclusivité. De même, des grands noms comme Cyanogen trouvent que ce téléphone est vraiment l’idéal pour développer. À cela s’ajoute le fait qu’il dispose toujours en exclusivité des nouvelles versions du système (Android 2.1, 2.2 et 2.2.1), ce qui renforce cette hypothèse.
S’il s’agissait réellement d’un échec, pourquoi Google va-t-il lancer son successeur, le Nexus S ?
Ensuite, viennent dans l’ordre décroissant : Palm, Hot Potato, AOL, Blackberry Torch, Google wave, Twitter’s Early Bird… et la Google TV :
C’est ensuite la fameuse Google TV qui est citée à la 8ème place / 15. La raison invoquée est que les premiers tests sont négatifs. Les retours seraient que le système serait compliqué et inutile. Mais le site conclu en laissant une pointe d’optimisme en disant : “Peut-être que l’année prochaine sera la bonne pour Google ?”
Il est difficile pour nous de pouvoir contredire de telles affirmations car le produit n’est pas disponible dans nos contrées. Les seuls tests qui ont été effectués ne sont pas révélateurs car aucun contenu spécifique pour nos pays n’est pour l’instant proposé. Pourtant, dire qu’il s’agit d’un plus gros flop que Google Wave est quand même une prise de position bien étrange. Google Wave n’a jamais décollé auprès du public car sa prise en main était plutôt complexe, malgré des fonctionnalités avancées pour le travail collaboratif par exemple. La Google TV est en vente depuis un peu plus d’un mois : établir cela comme un échec pour une année entière revient presque à une provocation.
En se dirigeant vers le sommet des plus gros flops, on retrouve ensuite Gowalla, Apple iTunes Ping, Crunchpad/JooJoo, It’s “Y!ou”, Google Buzz, HP Slate 500 et le téléphone de Microsoft Kin.
Selon ce classement, Google occuperait la première place avec 4 échecs suivi par Microsoft avec 2. Ce classement est assez subjectif. Qu’en pensez-vous ? Quel classement donneriez-vous pour cette année 2010 ?
L’application Spotify sur Android vient d’être mise à jour et supporte de nouveaux terminaux, voit ses performances s’améliorer et son interface être retravaillée.
Spotify est un logiciel d’écoute de musique en streaming. Le catalogue est très vaste car il y a autant des labels indépendants que des majors (Universal Music, Sony, Warner Music Group…). Actuellement, il y aurait 500 000 membres premium, sur 10 millions d’utilisateurs. L’application était initialement proposée pour les ordinateurs (Windows, Mac OS X et Linux [via Wine]) mais a été rapidement portée vers les plateformes mobiles dont Android.
Pour pouvoir accéder à la version mobile il faut posséder la version Premium à 9,99€ / mois. Cette offre apporte également la suppression de la publicité, l’accés à ses listes de lecture hors connexion et une qualité sonore améliorée. Aujourd’hui, une nouvelle version de l’application sous Android vient de sortir et apporte de vrais changements :
Les éléments graphiques ont été refaits et sont maintenant lisibles en haute définition
Le design global de l’application a été repensé
Support d’une très large palette de résolutions d’écrans (dont les tablettes)
Rotation de l’écran automatique lorsque le clavier physique est utilisé
De nombreuses améliorations sur la performance globale de l’application
Les messages d’erreurs ont été redéfinis et mieux expliqués
Amélioration de la perte de la connexion réseau et reconnexion plus rapide
Des nouveaux terminaux supportés : HTC Desire HD, HTC Desire Z, Huawei U8300, Motorola Cliq, Motorola Cliq XT, Motorola XT720, Samsung Galaxy 3 (Apollo), Samsung Galaxy Tab, Sony Ericsson X10 Mini Pro, Sony Ericsson X8 et ZTE Blade
Plusieurs corrections de bugs (widgets, jaquette, outils de contrôle…)
Actuellement vous pouvez écouter en avant-première certains extraits de la bande originale du film Tron Legacy, qui sortira au mois de Février. Seuls 5 titres sont proposés, avant la sortie officielle le 6 décembre.
Même si ce service semble très avantageux pour les utilisateurs, il n’en est pas autant pour la société suédoise qui continue de perdre de l’argent avec son service. En 2009, le chiffre d’affaires de la société a atteint 13,2 millions d’euros pour une perte de 19 millions. Ce manque à gagner proviendrait de la part demandée par les majors qui, selon certaines estimations, pourrait atteindre 30 millions d’euros en 2010.Un lancement du service aux Etats-Unis dans les prochains mois pourrait peut-être permettre à la société de tirer un bénéfice de ses efforts.
Beaucoup l’attendaient depuis un moment, l’application Google Reader pour lire ses flux rss est enfin disponible sur Android !
Un flux rss permet de regrouper et suivre plusieurs sites, blogs, liens divers simultanément au même endroit. Vous pouvez les trier, les partager, en ajouter d’autres, et bien plus…
Une fois lancée, le partage est plutôt simple et se fait facilement avec le compte Google enregistré dans votre téléphone. Il est aussi possible d’en ajouter plusieurs (support du multi comptes). Tous vos flux rss seront alors importés dans l’application.
L’organisation de l’application est (presque) identique à la version desktop. La présentation est dans le même ordre d’idée et on en retrouve une grande partie des fonctionnalités : éléments, liste de suivi, votre contenu, les gens que l’on suit, ainsi que nos flux rss.
On peut également rafraîchir (actualiser) la liste des flux RSS, et en ajouter par : URL, Sujet ou Recherche d’un site quelconque.
Il est aussi possible de rechercher une information déjà parue dans la passé, de synchroniser plusieurs comptes avec Google Reader, de naviguer avec les touches de volume (- / +) activables dans les paramètres. Un appui long sur un abonnement pour afficher un menu contextuel (renommer, désabonner ou modifier).
En plus de lire les articles, vous pourrez le mettre en favori, le partager, y laisser une note, le placer en non-lu, le taguer…
Cependant la langue de l’application reste en Anglais, mais la bonne nouvelle c’est que ça fonctionne à partir d’Android Donut (1.6) !
Pour conclure, Google Reader est disponible en scannant/cliquant le code QR ci-joint depuis votre androphone.
La rencontre de Mike Rayfield, le dirigeant de Tegra chez Nvidia a annoncé au Mobile World Congress il y a quelques semaines que la solution Nvidia Tegra 2 pourrait être à terme non pas que pour les tablettes, mais serait aussi destiné aux smartphones Android.
Une fois de plus, il a souligné un idéal pour les chipsets Tegra 2, et les premiers exemples qui arrivent sur le marché en ce troisième trimestre de cette année qui a été cité comme L’année de la tablette à déclaré Rayfield. C’est la prochaine vague de l’informatique. En faisant écho aux commentaires du PDG de Nvidia Jean-Hsun Huang.
Plus précisément en ce qui concerne la partie des smartphones, Rayfield a confirmé que Tegra va commencer à apparaître dans le cours du trimestre, et que Tegra 2 arrivera plus vers le 4ème trimestre, y comprit la prochaine génération d’appareils Android.
Sur ce sujet, Rayfield a aussi rappelé. J’ai manqué la première vague Android. La Réalité est que j’ai investi plus lourdement dans Windows Mobile / CE. Il estime encore que l’investissement sera rentable, mais il a admis qu’il avait sous-estimé la rapidité avec Android qui sera sans doute un très bon départ.
Rayfield n’était pas moins désireux de s’essayer à la compétition au MWC. Il fait aussi beaucoup de dessins et modèles avec Qualcomm, et apparemment certains n’en seraient pas très heureux.
Intel n’a pas été mentionné, mais l’autre compétiteur sur le marché, Texas Instrument l’a été. Rayfield a souligné que Nvidia apporte une nouvelle génération de Tegra chaque année, alors qu’il faut à TI quatre ans pour passer de OMAP 3 à OMAP 4. Il estime que Nvidia a l’avantage d’une année en terme de certaines capacités graphiques et technologies vidéo de différences à Qualcomm et TI.
Mise à jour : L’offre est terminée, QoQa ayant écoulé son stock comme prévu avant minuit.
L’offre est en série (très) limitée. Le site QoQa propose à l’achat la tablette Galaxy Tab pour 89 CHF avec un abonnement Sunrise comprenant internet illimité, SMS et MMS illimités, appels illimités sur le réseau de Sunrise et sur tous les fixes du pays des horlogers, banquiers, marmottes et chocolatiers. Ce dernier vous sera facturé 25 CHF par mois, pour une entente de 24 mois.
À noter que cette offre est limitée aux résidents suisses uniquement. L’offre est valable jusqu’à ce soir minuit, mais il est très probable que les stocks ne tiennent pas jusque là.
Le lecteur audio Winamp vient d’être mis à jour en version 0.9.2 sur Android.
Winamp est un lecteur multimédia uniquement disponible sous Windows. Initialement créé par la société NullSoft, l’application appartient maintenant à AOL, suite à un rachat. Ce fut l’un des premiers lecteurs multimédia à réellement concurrencer Windows Media Player.
La grande force de ce logiciel est sa modularité, avec l’intégration simplifiée de modules externes (visualisations, effets…). L’interface est personnalisable via la création de skins au format XML. Le logiciel est actuellement sur la branche 5, car les développeurs ont conservé le noyau de la version 2, en utilisant les apparences (skins) de la 3. Cela explique pourquoi il n’y a pas eu de version 4. Grâce à l’intégration de SHOUTcast, ce logiciel a pu profiter de la diffusion de webradios et de webtv. Actuellement plus de 40 000 stations sont disponibles. Il peut aussi gérer une bibliothèque multimédia, des périphériques externes (MassStorage, iPod…).
- Synchronisation avec la version ordinateur en WiFi (Android 2.2+). Les playlists sont désormais supportées (également avec une synchronisation en USB). Il est aussi possible d’importer sa bibliothèque iTunes.
- Prise en charge de SHOUTcast Radio (Android 2.2+), avec la recherche, lecture et mise en favoris d’une station radio
- Une meilleure intégration à Android, en proposant de nouveaux widgets et raccourcis. En plus du widget fourni avec la première version, un nouveau vient d’être ajouté (4×1). Il est aussi possible d’ajouter vos playlists favorites sur le bureau. Depuis l’écran de verouillage et lorsqu’il est possible de contrôler un lecteur multimédia depuis, vous pourrez désormais gérer la lecture en cours de Winamp
- En laissant son doigt appuyer sur les informations d’une chanson, il est possible d’intéragir avec d’autres applications comme Pandora, YouTube ou encore Amazon MP3 (à condition qu’elles soient installées sur le terminal). Un clic sur le bouton info permet d’accéder à la biographie, photos… de l’artiste
- Une liste de lecture des titres actuellement joués est maintenant proposée. On peut facilement voir quelle sera la prochaine chanson jouée, modifier l’ordre, sauter des pistes. A cela s’ajoute la possibilité de l’exporter en playlist
- Prise en charge du scrobbling (envoi de la chanson écoutée à un service tiers) vers Last.fm
- De nouvelles langues sont supportées. A l’heure 8 sont proposées : anglais, français, allemand, portuguais, polonais, romain, russe et japonais
Mise à jour : De nouvelles informations, des photos et une vidéo viennent d’être mises en ligne par Engadget (cf bas de l’article).
De nouvelles informations circulent sur le Playstation Phone : prix (du tnuéléphone et des jeux), écran, jeux…
Le PSP Phone était une rumeur depuis de nombreuses années. Sony dispose d’une branche téléphonie mobile (Sony Ericsson) et un autre relative aux jeux (Sony Entertainment, qui produit les célèbres consoles Playstation). Il était alors fort probable qu’un jour ou l’autre, l’entreprise unisse ses forces.
C’est à la fin du mois dernier qu’Engadget a eu en main le fameux téléphone. Il s’agissait très certainement d’un prototype, qui disposait de caractéristiques fort correctes : écran de 3,7 ou 4,1 pouces, processeur Qualcomm MSM8655 cadencé @ 1 GHz, 512 de mémoire RAM ainsi qu’1 Go de mémoire ROM. Comme le montre la photo, on reconnait à la fois l’apparence de la PSP Go, mais également celle d’un téléphone plus classique, avec les fameuses 4 touches physiques d’Android.
Suite à la vaste polémique autour de ces photos, Engadget a du en publier de nouvelles afin de prouver qu’il s’agissait réellement d’un vrai (et non d’un fake). Il faut dire que lorsqu’une rumeur date de plusieurs années, les personnes ont naturellement tendance à penser qu’il s’agit d’une nouvelle histoire montée de toutes pièces.
Bien que la version du téléphone sur les photos était Froyo (Android 2.2), il y a de très fortes chances pour qu’il soit fourni avec Gingerbread (Android 2.3) ou sa version suivante. En milieu de semaine dernière, Cedric Bonnet (The Phone House) a reçu un carton d’invitation de la part de Sony relativement étrange, car on y voit à la fois le symbole de la téléphonie et ceux des fameuses touches des manettes Playstation (croix / rond / triangle / carré). La date de l’invitation est fixée au 9 Décembre, nous en saurons plus à cette date. Notons que seule la France est pour l’instant concernée par cet événement. Aurions-nous une exclusivité pour une fois dans l’hexagone ?
L’écran sera “époustouflant” car il serait du même niveau que le fameux Retina Display d’Apple. Pour rappel, ce terme marketing désigne l’écran de l’iPhone 4 qui dispose de pixels de 78 micromètres de diamètre et une densité de pixels de 326 DPI (Dot Per Inch / Pixels Par Pouce). La personne ayant eu cette information rajoute que la technologie des téléviseurs Bravia sera utilisée, à la fois pour sa qualité, mais aussi pour le côté marketing.
Aucune date ne circule quant à une éventuelle sortie, car le téléphone serait “loin d’être prêt”. A priori, les premières annonces devraient se faire au mois de Février, ce qui coïnciderait alors avec le salon Mobile World Congress (MWC).
Au niveau des prix, le téléphone serait vendu autour des $500 (~450€ TTC si on n’applique pas la fameuse règle $1 = 1€) avec 5 jeux gratuits. En ce qui concerne le tarif des jeux, il devrait se situer vers les $10 (7,55€), ce qui serait beaucoup moins cher que les jeux actuels de la PSP.
On ne sait toujours pas si ce téléphone permettra de jouer aux jeux de la PSP. Mais il est fort probable que Sony lance une ligne de jeux spécialement dédiée à cette plateforme. Cela expliquerait pourquoi l’entreprise lancerait ce téléphone sous la ligne Xperia (de Sony Ericsson), plutôt que Playstation. À cela s’ajoute que Sony Ericsson profiterait des licenses dont Sony dispose pour pouvoir avoir des titres comme Tekken.
Pour la distribution, Sony Ericsson ne semble pas encore avoir fait le choix du modèle de distribution : par une application dédiée ou par l’Android Market. L’informateur de MobileCrunch rajoute que Google travaillerait en étroite collaboration avec Sony Ericsson pour mettre tous les jeux dans une section exclusivement réservée à ces appareils de l’Android Market. Cela serait un avantage pour les deux sociétés, car le géant de la recherche possède une plus grande expérience dans le traitement des paiements.
Mise à jour : De nouvelles informations viennent d’être dévoilées par Engadget. On y apprend que le nom de code du téléphone est Zeus. Froyo ne sera pas la version embarquée, mais on ne sait toujours pas si ce sera Gingerbread ou la version suivante qui sera utilisée. Engadget a pu voir une version tournant sur Android 3.0, ce qui pourrait laisser croire que ce sera cette version qui sera finalement intégrée.
Il y aura certainement une carte microSD de 8Go incluse, ainsi que 512 Mo de mémoire interne, alors que les rumeurs laissaient croire 1Go. Sachant que le périphérique dispose d’un clavier coulissant, le téléphone sera plus épais. Mais la proportion pourrait être plus importante, car il mesurerait 17mm, soit l’équivalent de la PSP Go.