lundi 22 novembre 2010

La prochaine Samsung Galaxy Tab utilisera un processeur Orion (double-coeur)

La prochaine génération de Samsung Galaxy Tab possèdera un processeur Orion (double-coeur).

Alors que la Samsung Galaxy Tab vient tout juste d’être mise en vente et que les premiers chiffres de ventes sont encourageants, on voit déjà arriver des informations concernant la prochaine génération.

Le Nexus S, successeur du Nexus One et produit par Samsung, pourrait posséder un processeur à double coeur. Une tablette pourrait tout aussi bien disposer de ce type de processeur. Il s’agirait très certainement d’un processeur annoncé en Septembre par Samsung : l’Orion, connu pour avoir une grande puissance, tout en consommant moins d’énergie. En détails, il est gravé en 45 nanomètres et tourne à 1 GHz. Il peut également lire et encoder des vidéos en 1080p et ses performances seraient 5x supérieures à la puce de génération précédente.

Ce ne serait pas la seule tablette à posséder une telle architecture, car la tablette de RIM, Playbook en serait équipé, tout comme le Motorola Motopad et peut-être la tablette de LG. En parallèle, cette nouvelle génération devrait conserver ses dimensions de 7 pouces, mais devrait posséder un écran Super AMOLED.

La concurrence d’ici à la sortie se sera renforcée car la tablette de RIM sera sur le marché et peut-être d’autres concurrentes sur Android tenteront de faire une percée. Mais il y aura surtout l’Apple iPad (qui occuperait actuellement 95% du marché) qui pourra être achetée chez un opérateur (notamment Orange pour 275€ au mois de Décembre) ou encore le mystérieux iPad 2.

Avec de telles caractéristiques, il serait presque dommage d’acheter la version actuelle, qu’en pensez-vous ? Allez-vous pouvoir attendre ?

“Les MVNO doivent absolument survivre au passage à la 4G”, certes mais… en vrai ?

“Les MVNO doivent absolument survivre au passage à la 4G”, c’est le titre de l’entrevue avec Francis Lorentz réalisée par le Journal du Net. M. Lorentz est le président de l’Institut de l’Audiovisuel et des Télécommunications en Europe, une entreprise de conseil dans le milieu des média et des télécoms.

Nous vous invitons à lire cette entrevue qui, bien qu’un peu trop en surface, aborde des aspects intéressants sur le marché européen dont la structure économique est encore embryonnaire (bien que technologiquement plus avancée qu’ici en Amérique du Nord) et en particulier la situation actuelle des MVNO en France.

Les MVNO sont des opérateurs virtuels qui ne détiennent aucun réseau mais qui exploitent le réseau d’opérateurs existants. Cette définition semble sans ambiguïté à première vue et pourtant, sur le marché, rien n’est clair.

Deux visions économiques s’opposent :

  • L’opérateur virtuel est une entreprise parfaitement indépendante des opérateurs classiques. Il peut changer de fournisseurs de bande passante, voir exploiter plusieurs réseaux à la fois. Son rôle économique est d’écouler les ressources non exploitées par les opérateurs classiques.
  • L’opérateur virtuel est une succursale d’un opérateur classique et fait partie intégrante de son offre commerciale. Son rôle est de cibler des marchés de niche que l’opérateur classique ne peut adresser pour des raisons d’image et/ou de lisibilité de l’offre commerciale (difficile de vendre un forfait jeune quand on se donne une image d’opérateur d’entreprise). C’est majoritairement la situation au Canada.

Mais en France, beaucoup de MVNO se trouvent pris dans un certain flou. En effet, à part Ten (qu’Orange avait racheté mais qui finalement ne prend plus de nouveaux clients), les opérateurs virtuels sont dans la première situation.

Mais sont-ils réellement indépendants ? Dans la pratique (et comme M. Lorentz le laisse entendre dans son entrevue), ils ne peuvent pas changer de réseau et on leur impose parfois même la mention du réseau dans leurs publicités.

Ils participent donc à l’écoulement (facturé par les opérateurs classiques) des ressources non utilisées tout en permettant aux opérateurs classiques d’adresser un marché de niche. Une situation gagnante à tous les coups pour l’opérateur qui tire tous les bénéfices d’une succursale sans les désavantages.

Dans ce contexte, comment va se passer le prochain saut technologique (vers la 4G) vis-à-vis des MVNO, ces entreprises qui, en tout, totalisent moins de 6% des parts de marché ? La question était posée dans l’entrevue mais aucune réponse n’est apportée.

Et pour cause, les opérateurs classiques n’ayant pas acheté leurs MVNO ne vont certainement pas leur laisser profiter gratuitement d’un tout nouveau réseau onéreux si facilement. Le prix à payer sera probablement excessif et les MVNO français risquent fort de rester bloqués un certain temps sur la technologie précédente comme l’a été Mobile Viking, le MVNO Belge.

dimanche 21 novembre 2010

Archos : Vente-privée demain matin !

Une nouvelle vente privée Archos sera ouverte demain matin à 7h, il se pourrait que des tablettes sous Android soient proposées. Une bonne nouvelle juste avant Noël ! ;)

Samsung annonce 600 000 ventes de sa Galaxy Tab

Samsung vient d’annoncer que depuis la sortie de sa tablette Galaxy Tab plus de 600 000 unités avaient été vendues.

La Samsung Galaxy Tab est en vente depuis le début du mois en France. La spécificité de cette tablette est de pouvoir être achetée directement chez un opérateur téléphonique, contrairement à l’iPad d’Apple. Cela permet à l’utilisateur de s’affranchir du prix élevé de Galaxy Tab à l’achat, qui se trouve autour des 699€. Selon les forfaits proposés le prix final de la tablette peut être supérieur à son prix nu, mais permet une facilité de paiement. Actuellement, elle est proposée dans une trentaine de pays.

En milieu de semaine, nous vous indiquions que la production de Samsung Galaxy Tab avait été diminuée de l’ordre de 50%, à cause d’une demande moins forte que prévue. Nous vous indiquions alors que la réponse de Samsung devrait arriver rapidement et c’est le cas : selon les dires du constructeur cette information serait totalement erronée, car l’entreprise aurait vendu près de 600 000 unités, dont 30 000 uniquement sur le sol coréen (du sud).

Pour rappel, Samsung espère vendre 6 millions d’unités d’ici à la fin 2011, dont 1 million sur les seuls mois de Novembre et Décembre 2010. Les prévisions semblent donc pour l’instant être réalisables, car sur une vingtaine de jours, Samsung a réussi à réaliser plus de la moitié de ses attentes. A cela vont s’ajouter de nouveaux opérateurs (comme Orange qui débutera la commercialisation le 25 Novembre) et de nouveaux pays.

La question de la diminution de la production peut s’expliquer par plusieurs facteurs :

  • Samsung avait trop de stocks et a dû freiner sa production le temps découler le surplus
  • Samsung espérait vendre beaucoup plus que ses prévisions officielles et a vu trop grand
  • Les ventes des premiers jours étaient décevantes, les offres se sont multipliées par la suite
  • Les informations de Moconews n’étaient pas tout à fait exactes

N’ayant pas de réponse précise (et fiable) à vous donner, il faut faire très attention aux premières ventes. A l’heure actuelle, ce sont essentiellement les “acheteurs de la première heure” (early adopters) qui achètent la tablette. Ce veut donc dire que certes le cap des 600 000 ventes a été franchi, mais celui des 6 millions est encore loin. A ce propos, des statistiques ont démontré que la satisfaction des early adopters contre les acheteurs classiques de l’iPad était inférieure. Les prochains événements seront donc à suivre avec attention pour déterminer l’avenir de la tablette.

Samsung : Fuite de la ROM du GT-i9200

Bon, on ne peut pas réellement appeler ça une fuite, puisque ne peut pas en faire grand chose.

Mais cette note apparue dans un tweet est bien lisible, elle cite un modèle de smartphone de chez Samsung, à savoir le GT-i9200. Je vous laisse l’analyser quelques instants.

Il apparaît la date de sortie, la taille du fichier qui fait 272,89 Mo, ainsi que les différents codes de versions.

Vous vous souvenez peut-être de ce smartphone qui a fait l’état d’une énorme rumeur, il y a tout juste quelques jours, non ?

Parce que nous, on s’en souvient parfaitement. On parle plus précisément d’un futur successeur au Galaxy S actuel, une sorte de Galaxy S 2, qui portera le nom de Galaxy Elite/Naine.

On sait que le Google Nexus S à son état initial portait le nom de GT-i9020 et que la version finale sera le GT-i9100, donc tout porte à croire que le GT-i9200 est ce fameux Samsung Elite/Naine.

Si c’est réellement le cas, on parle là d’un smartphone à écran tactile (Super Amoled 2) de 4,52 pouces  avec une résolution WSVGA (1024 x 600 pixels).

samsung-galaxy-s-2-elite-naine

A l’intérieur, un processeur à 1 GHz ou plus, peut-être l’architecture Orion en double-coeur à 1 GHz, le tout soutenu par 768 Mo ou 1 Go de mémoire RAM.

Ensuite, un APN de 8 mégapixels avec double-led Flash, qui peut capturer des vidéos en HD (720p). Ainsi qu’une caméra de 1,3 mégapixel à l’avant de l’appareil.

La partie réseau présente le Wi-Fi b/g/n, le Bluetooth, GPS et A-GPS, un port micro-SD, et une batterie de 1400 ou 1430 mAh. Le version du système sera Android 2.3 avec la nouvelle version de Touch Wizz…

Pour le GPU, on peut aussi rappeler la réservation de Samsung pour les puces graphiques ARM Mali T604, que l’on avait découvert, il y a quelques jours dans cet article.

Google travaillant étroitement avec Samsung pour la construction du Google Nexus S, cela explique pourquoi les dirigeants de Samsung en savaient déjà beaucoup sur les futures versions d’Android.

Après la sortie du Google Nexus S, si j’avais la chance de croiser Eric Schmidt, je lui demanderais pas si un quelconque Google Nexus X sortirait, mais si un autre smartphone de Google serait envisagé.

Peut-être qu’il n’y aurait pas de réponse, mais il est évident que si Google veut continuer à développer son système d’exploitation mobile, un autre smartphone coloré par Google sortira…

Source XDA Developers.

samedi 20 novembre 2010

SFR : Nexus One, Samsung Galaxy S et Android 2.2 ?

SFR vient de nous fournir des informations sur le site SFR dédié à Android sur la mise à jour Android 2.2 (Froyo) pour les Nexus One et Samsung Galaxy S.

Soucieuse de vous délivrer les informations essentielles, voici quelques nouvelles du déploiement de la version 2.2. d’Android, Froyo, sur les mobiles du réseau SFR.

SFR vient de proposer un firmware à Samsung et Google pour le déploiement de Froyo sur le Samsung Galaxy S. Comme je l’ai déjà expliqué, l’opérateur, le constructeur et Google respecte un circuit d’amélioration et de validation du firmware.

Au sujet de la mise à jour vers Froyo du téléphone mobile Nexus One, d’après nos informations, Google a décidé de faire une nouvelle amélioration ce qui retarde le déploiement de celle-ci.

Cette information devrait rassurer les clients SFR ! ;)

TweetDeck passe en version 1.0.3 (beta) !

TweetDeck vient de passer en version 1.0.3 (beta).

Cependant la mise à jour n’est pas disponible sur l’Android Market, il vous faudra l’installer à la main en téléchargeant le fichier .apk.

C’est une application qui regroupe plusieurs réseaux sociaux, comme Twitter, Facebook, Google Buzz et FourSquare, qui aura sans doute d’autres intégrations plus tard.

Les nouveautés sont :

  • Ajout du support pour Twitpic
  • Raccourcir les URLs manuellement
  • Le mode paysage fonctionne parfaitement
  • Gérer les notifications venant de Places (Facebook)
  • Correction pour les tweets sur les réseaux 3G en France
  • Permettre l’ancien style de RT (RT @) pour les utilisateurs protégés
  • Autoriser les utilisateurs à effacer les messages privés envoyés
  • Commentaires et J’aime devraient fonctionner parfaitement
  • Plusieurs corrections de bugs et améliorations de performances

Pour appliquer cette mise à jour, vous devez la télécharger à cette adresse, et décocher dans les paramètres/applications/développement “Sources inconnues” , afin d’en autoriser l’installation.

Test du HTC Desire Z sous Android

Après le test du Motorola Milestone 2, le deuxième plus attendu smartphone sous Android à clavier physique est bien sûr le HTC Desire Z. Je l’avais pris en main en septembre, et j’étais déjà emballé par cet androphone.

Voilà 10 jours que Expansys m’a prêté un exemplaire du HTC Desire Z, voici mon verdict sur ce téléphone qui ne devrait plus trop tarder en France.

Classique ! Je vous invite à lire le test du HTC Desire HD, les accessoires fournis sont les mêmes !

Le HTC Desire Z possède la même taille d’écran que le HTC Desire, soit 3,7 pouce (9,40 cm) en résolution (WVGA) 800×480 pixels. C’est un grand écran comparé à beaucoup de smartphones, néanmoins il plus petit que le Samsung Galaxy S (4 pouces) ou encore le HTC Desire HD (4,3 pouces).

HTC Desire Z au dessus, Motorola Milestone 2 au dessous

Enfin d’expérience, l’écran 3,7 pouces est sûrement celui qui allie la meilleure expérience utilisateur et une taille adaptée à nos poches de jeans.

J’ai décidé de changer, spécialement, mon mode opératoire. En 10 jours de prise en main, juste après avoir testé le Milestone 2, j’ai préféré vous notifier de ce qui m’a plu et déplu en essayant d’être le plus précis possible dans mes justifications. J’ai tout de même fait attention à plusieurs points critiques : finition, qualité des appels et de réception, comportement du GPS, système d’ouverture du clavier…

Pour débuter, voici les caractéristiques complètes du HTC Desire Z :

Modèle
HTC Desire Z
VersionAndroid 2.2 avec l'interface HTC Sense
Support Adobe Flash PlayerOui
Ecran3,7 pouces (94 mm)
Résolution(WVGA) 800 x 480 pixels
TechnologieS-LCD en technologie tactile capacitive multi-point
Processeur (CPU)Qualcomm MSM7230 @ 800MHz
Chipset graphique (GPU)Adreno 205 (OpenGL ES 2.0)
Mémoire RAM512 Mo
Mémoire ROM1,5 Go + 2,5 Go = 4 Go
Support micro SDOui, jusqu'à 32 Go
APN (Caméra)5 mégapixels flash LED / HD 720p
Wi-Fi802.11 (b/g/n)
Boussole / GPS / BluetoothOui / Oui / Oui, 2.1
Réseaux3G (DL : 14.4 Mbps / UL : 5.76 Mbps)
Dolby® Mobile & SRS / DLNANon / Oui
AccéléromètreOui
Capteur de proximité et lumièreOui / Oui
Sortie jack 3,5 mmOui
Port micro-USBOui
Tuner FM (Radio)Oui
Support DivX(inconnu)
Formats vidéos supportés.3gp, .3g2, .mp4, .wmv (Windows Media Video 9)
Formats audio supportés .aac, .amr, .ogg, .m4a, .mid, .mp3, .wav, .wma
(Windows Media Audio 9)
Batterie1300 mAh
Dimensions119 x 60.4 x 14.16 mm (4.69 x 2.38 x 0.56 pouces)
Poids180 grammes (batterie incluse)
Date de sortieMi-novembre 2010
Prix à sa sortie~550 euros
Lien FrAndroidArticle
Lien officielSite offciel

Verdict !

J’ai aimé le pad tactile : efficace, propre, en quelques heures j’ai pris le réflexe de l’utiliser pour naviguer dans le menu et dans mes e-mails. HTC a mis fin au pad optique (HTC Desire), peu efficace, et a préféré le pad tactile. Celui-ci est en forme de carré et est assez grand pour la largeur du pouce. A côté, les quatre touches tactiles juste au-dessus font pâle figure.

Motorola Milestone 2 à gauche et HTC Desire Z à droite

HTC Desire Z à gauche, Motorola Milestone 2 à droite

J’ai aimé l’écran Super-LCD : Le Super-LCD qui équipe le Desire Z est le juste milieu entre l’écran AMOLED du HTC Desire qui peut sembler trop “artificiel” dans ses rendus et le TFT-LCD qui équipe le HTC Desire HD, bien trop fade. Sur le Super-LCD, les couleurs sont justes, ça manque d’un soupçon de contraste, mais les couleurs sont vraies, les angles de vision très corrects, la lisibilité agréable… J’ai été agréablement surpris par cet écran.

J’ai aimé le clavier physique: Le HTC Desire Z intègre un clavier physique AZERTY complet sur quatre lignes, c’est un pur plaisir pour écrire. La matrice n’est pas plate, les touches sont en reliefs. HTC a également prévu les touches “Fonction” et “Shift” de chaque côté du clavier, pour ne pas à avoir à réaliser des croisements de doigts pas très confortables. Les touches sont rétro-éclairés, et très visible dès que la luminosité diminue. Bien que le retour des touches soit un peu trop rigide, ce clavier est plus agréable que le clavier du Milestone 2. Néanmoins, il lui manque des touches directionnelles, et même si on a juste le pad tactile au-dessus, on perd en expérience : en particulier dans les jeux et sur le navigateur.

HTC Desire, HTC Desire Z, HTC Desire HD

J’ai aimé l’autonomie, avec une batterie de seulement 1300 mAh, on aurait pu s’attendre à une baisse de l’autonomie. Que nada ! Le HTC Desire Z s’en sort plus que bien, il tient largement lors d’une journée intensive avec de l’hotspot WiFi, de la navigation, un peu de jeu, beaucoup de tweets, des appels et sms, et un push mail omniprésent (ça push presque toutes les minutes).

J’ai aimé la finition, qui est bien mieux que le HTC Desire avec une demi-coque unique en aluminium, des boutons physiques extérieurs très bien placés, un cache batterie intégré parfaitement… Globalement, il n’y a rien à redire sur la finition du HTC Desire Z. Je dois dire qu’on devrait même être content que HTC nous ait réservé pour une fois, le même modèle qu’aux États-Unis (T-Mobile G2 aux US).

Aluminium !

J’ai aimé les performances globales, le processeur Qualcomm MSM7230 @ 800MHz allié à 512 Mo de RAM, tourne très bien sous Android 2.2. Ce couple ne fera sûrement pas les records dont vous êtes habitués dans les benchmarking, mais il arrive au dessus du Nexus One (Snapdragon cadencé à 1 ghz), sans réelles optimisations. Côté graphique, l’Adreno 205 (OpenGL ES 2.0) fait tout tourner sans problèmes, c’est le même que sur le HTC Desire HD. Notons que les performances graphiques sont au dessus du HTC Desire, sans problèmes. Même chose : GPS, WiFi, EDGE, 3G, réception des appels ainsi que la qualité… j’ai tout testé en long en large et en travers : le HTC Desire Z ne souffre d’aucun problème. Les 1,5 Go d’espace interne, va vous permettre d’installer à gogo sans être bloqué.

Différence d’épaisseur avec le HTC Desire (en bas)

J’ai aimé HTC Sense, l’interface de HTC pour Android 2.2 est vraiment une valeur ajoutée, voire même un avantage concurrentiel pour le constructeur taïwanais. Je suis déjà revenu à plusieurs reprises sur cette interface, dans le test du HTC Desire HD et sur cet article de prise en main de HTC Sense et HTCSense.com.

Je n’ai pas aimé  le système d’ouverture du clavier physique. Il s’agit d’un système de double bras pivotant qui forme un Z en s’ouvrant. Premièrement, ce système paraît plus fragile que les claviers coulissants, même si je n’ai pas eu de problèmes en 10 jours de prise en main. Deuxièmement, ce système a l’inconvénient de pincer les doigts s’il est fermé trop violemment. Il faut donc s’habituer à positionner ses doigts sous le téléphone. Le pincement n’est vraiment pas handicapant, mais ça surprend les premières fois.

Je n’ai pas aimé le poids et l’épaisseur, bien que la finition soit au rendez-vous, la finesse et le poids ne le sont pas. Vous allez me dire qu’avec un clavier physique AZERTY et une demi-coque en aluminium… oui, mais je l’ai fait prendre en main par beaucoup d’utilisateurs très différents, le constat était unanime : il est lourd (180 grammes) et épais (1,42 cm).

Ils auraient pu mieux faire avec l’appareil photo, avec un capteur 5 mégapixels et un seul flash LED capable de filmer en 720p à 29 images/seconde, le HTC Desire Z se débrouille bien. Mais il pêche sur plusieurs niveaux : le mode macro n’est pas facile à maîtriser, le “seul” flash LED a tendance à trop “flasher”, les mises au point prennent trop de temps… Enfin, il n’est assurément pas à classer dans les mauvais, c’est un capteur qui se défend bien.

Différence de taille avec le HTC Desire HD

Conclusion

En conclusion, le HTC Desire Z possède un clavier complet très facile à prendre en main et intelligemment conçu, je ne regrette que les touches directionnelles, HTC a malheureusement préféré mettre en avant le pad tactile qui s’avère tout de même efficace. Bonne autonomie, bonne finition, bonnes performances… le HTC Desire Z est un androphone que je recommande, mais attention à ne pas vous pincer les doigts. ;)

Quant à la question du choix entre le Motorola Milestone 2 et le HTC Desire Z, je reste encore indécis car les deux androphones sont à recommander sans hésitations. Je dirai que Motorola a enfin de la concurrence sur ce modèle “clavier complet” en France… intéressez-vous à l’offre logicielle qui est différente chez les deux marques.

Plus de photos par ici !

Carte microSD de 8 Go fabriquée par Samsung, incluse dans le pack !

Samsung se projette déjà sur des tablettes en version 3.0 et 3.5 d’Android

Aujourd’hui, Samsung ne se contente pas que de la sortie de sa tablette Galaxy Tab, ils ont déjà planifié sa mise à jour vers Android 3.0 sur le courant de l’année 2010.

Dans la foulée, Samsung confirme aussi l’existence de la version d’Android “Honeycomb” (alvéole d’abeille), en déclarant vouloir concevoir des tablettes Android sur cette version du système d’exploitation mobile.

Même si aucune caractéristique technique n’a encore été avancée.

Alors emballement ou grosse fuite de la part de Samsung ?

Via Android Central.

Le Samsung Elite/Galaxy S 2 bien réel ?

Nous nous sommes emballés un peu trop vite en citant ce dernier Samsung de “Faux” ; car seules les caractéristiques l’étaient.

D’après une connaissance qui souhaite rester dans l’anonymat, je me permets d’apporter quelques précisions quant à ce smartphone, qui sera l’un des hauts de gammes de Samsung en 2011.

Le contenu assemblé sur cet article est l’oeuvre d’un montage fait main, sauf pour le smartphone, qui lui, ressemble trait pour trait.

Il est très fin avec un design complété à 85%, la partie grise à l’arrière pourrait toutefois changer de couleur.

En Amérique, son nom de code est “Elite”, tandis qu’en Europe il s’appellerait “Naine”. Cet androphone est l’évolution même du Galaxy S, soit le Samsung Galaxy S 2.

La dalle tactile qui recouvre la face de l’appareil, est un écran Super Amoled 2 de 4,52 pouces à résolution WSVGA (soit 1024 x 600 pixels).

Pour être plus précis, le Super Amoled 2 apporte une netteté supérieure de 31% en différence à un Super Amoled classique, avec un noir encore plus noir.

Le processeur est cadencé à 1 GHz, mais rien n’empêche son évolution à 1,2 GHz (ou une architecture dual-core), le tout soutenu par 768 Mo ou 1 Go de mémoire de RAM, même si les 1 Go de mémoire RAM sont plus probables.

A l’arrière, l’appareil photo a un capteur de 8 mégapixels avec flash (double LED), qui filme non pas au format 1080p, mais en 720p. A l’avant, il y a une webcam de 1.3 mégapixels.

Il dispose du Wi-Fi b/g/n, du Bluetooth 3.0, le GPS et A-GPS, un port micro-SD (jusqu’à 32 Go) et d’une batterie de 1400 ou 1430 mAh (pas encore sûr).

Le nom de code de la version Android n’a pas été cité directement, mais il s’agit de la version d’Android 2.3 avec une interface complètement remaniée.

Le Samsung Galaxy S 2 sera vendu en exclusivité chez un ou deux opérateurs français dès le mois de Mars, pour le retrouver un peu plus tard chez les autres, et revendeurs tiers.