mercredi 22 septembre 2010

Mise à jour de l’application officielle Twitter en 1.0.4

L’application officielle Twitter pour Android vient d’être mise à jour en 1.0.4.

Au niveau des nouveautés, on retrouve :

  • Ajout des tendances (Trends) et de la recherche
  • Suppression de plusieurs animations (nuages, oiseaux, bulles)
  • Les retweets sont maintenant affichés dans la timeline
  • Pour un DM, en écrivant “To :”, une liste apparaît pour proposer les utilisateurs possibles
  • Possibilité de retweeter depuis n’importe quelle timeline
  • Mettre en favoris un tweet sélectionne l’original et non le retweet
  • Tous les éléments du profil de l’utilisateur sont désormais sélectionnables
  • Les listes d’utilisateurs n’affichent pas le dernier tweet
  • Les listes de followers et de followings sont classées du plus au récent, aux plus anciens

Téléchargement :

(MàJ) Galaxy S : La mise à jour vers FroYo (2.2) à la fin du mois chez T-Mobile et fin octobre en Espagne

MàJ : On apprend de nouveau par HDBlog.it, que les Galaxy S de l’opérateur américain T-Mobile, recevront Android 2.2 (FroYo) dans une semaine.

Samsung Mobile Espagne a publié une note sur Facebook dans laquelle est énoncée, que les Galaxy S recevront la mise à jour vers Android 2.2 (FroYo) vers la fin du mois d’octobre.

Apparemment, il resterait quelques petits bugs récurrents au système, ça laissera le temps au constructeur de les corriger. On peut donc dire que le déploiement commencera très bientôt, et s’étalera sur plusieurs semaines.

Via HDBlog.it.

Archos s’en prend à l’iPad dans une publicité

Archos a annoncé en début de mois ses nouvelles tablettes sous Android.

L’entreprise fait une pub sur sa tablette A101 IT, en la comparant à l’ipad :

C’est un peu trollesque, mais après tout on aime bien ça !

Plus d’informations sur la tablette, sur le site officiel.

Source : jbmm

Le développement Cross plateform abordé au BarCamp

Un BarCamp, comme organisé par barcamp.org, est une réunion technique autour d’un thème spécifique.

Le jeudi 16 septembre 2010, Quang-Hai PHAN et Sylvain MAUCOURT, de la société Deveryware, ont organisé une session sur le thème « Cross Platform Mobile App Development ». L’objectif est de faire se rencontrer des acteurs du développement mobile pour discuter de la possibilité de factoriser les développements malgré la diversité des plateformes mobiles. Vous comprendrez que Android n’était donc pas le centre des débats mais un de composants.

Quoi que chacun ait pu en retirer, l’ambiance était excellente. Les débats étaient assez relevés grâce à des intervenants de qualité. Il y avait de très motivés représentants de start-up, des représentants de sociétés de service informatique et des éditeurs plus âgés que les start-up. Certains se lançaient dans l’activité depuis zéro, d’autres avaient un pied dans une plateforme, et les derniers venaient évaluer la taille de la marche pour passer du web au natif. Et ce public hétérogène a amené une vraie diversité aux discussions. Il y avait une répartition entre vulgarisation et technique pure assez équilibrée pour permettre à tout le monde de se comprendre. Et un indicateur de qualité de la réunion, la quasi absence de troll, seules quelques rares pointes d’humour à chaque fois bien placées. Il ne manquait que l’apéro à la fin pour que les estomacs ne vident pas la salle à partir de 21h. :P

Au niveau du déroulement, aucune présentation ni aucun thème n’étaient défini à l’avance. Le plan de la séance a été débattu en début de celle-ci.

Organisation de la séance

Un brainstorming a été mis en place pour savoir quels étaient les mots clefs qui devaient être abordés, en voici la liste :

  • Framework
    • Nom de frameworks
    • Approche
    • Retours d’expérience
    • Ergonomie
    • Testing
    • Performances
    • Appli mobile VS appli native
    • HTML 5
    • Portabilité
    • Conception, modélisation
    • PGCD ?

Je dois dire qu’il y en avait 2 ou 3 de plus sur le paperboard, mais j’étais pris dans la discussion et j’ai oublié de les noter.

Il a été décidé de se centrer sur le Framework, et une ligne de réflexion est apparue :

  • Framework
    • Pourquoi ?
      • Le besoin
      • Les moyens
    • Le marché
      • FW natif
      • FW web
    • Feedback
      • Perf
      • Ergonomie de l’application à développer
      • Fonctionnalités
    • Testing

Pourquoi se lancer dans le Cross Développement ?

De façon assez surprenante, tout le monde voulait avoir des retours d’expérience sur les frameworks sans confronter par avance l’approche de chacun de l’utilisation de ce type d’outil. Chacun savait pourquoi il se renseignait, pensant que tout le monde voulait un environnement de développement multi plateforme pour les mêmes raisons. Or, on se rend compte que plusieurs profils de projets se démarquaient:

  1. Le projet existe sur une plateforme et doit être porté

Actuellement, le système le plus rentable financièrement est l’iOS d’Apple. Une grande majorité des applications commence pour cette cible et s’ouvre ensuite aux autres. Les deux plateformes ciblées ensuite sont Android et BlackBerryOS. Certains intervenants notaient un changement de situation et de plus en plus de demandes d’abord sur Android puis vers les autres, souvent pour des questions de coût.

  1. Le projet a peu de moyens et cherche à savoir ce qui lui coutera le moins cher

C’est le cas typique des start-up innovantes. Elles se retrouvent avec peu de moyens mais des fortes ambitions pour leurs nouvelles technologies. Leur objectif est d’atteindre la plus grande visibilité possible, et donc le maximum de cibles possible.

  1. Le projet n’est pas encore chiffré, mais il cherche à être le plus efficace possible

Ce dernier type est souvent l’œuvre de sociétés plus grandes, aux moyens plus larges. Elles voient un potentiel d’amélioration dans l’usage de la mobilité. Elles ont des moyens de veille assez intéressants et pourraient se permettre d’avoir des ressources dédiées à chaque système. Mais elles cherchent à avoir une démarche cohérente pour tous les systèmes.

Les acteurs présents à ce DevCamp étaient tous animés par une envie d’innovation. Et les questions de l’usage d’outils CrossPlateform étaient, au final, assez proches :

  • Retour sur investissement
  • Visibilité
  • Fonctionnalités
  • Maintenabilité

Ce sont des problématiques propres à de vrais projets informatiques matures. On peut donc penser qu’une vison CrossPlateform d’un projet mobile est ou doit devenir une preuve de maturité du projet. Si un projet n’est pas mature, pas ambitieux ou à valeur de test, une seule plateforme cible pourrait suffire.

Le marché

Les personnes présentes avaient peu ou pas utilisé de framework de développement multi-plateforme natif, par contre les outils web étaient mieux connus. Au final plusieurs noms sont quand même ressortis.

Pour les frameworks natifs, ont été cités :

  1. Titanium (de Appcelerator)

Titanium est un framework libre qui permet, à partir de code orienté web de générer des applications natives pour iPhone et Android. Il permet notamment d’accéder grâce à une API aux éléments d’interface et aux fonctionnalités système de chaque OS.

www.appcelerator.com/

  1. PhoneGap

Ici aussi, voici un environnement open source. Cette fois-ci outre iPhone et Android, PhoneGap supporte BlackBerryOs (je ne sais pas si la version 6 est comprise), Symbian et WebOS. Ici aussi, les applications sont développées en langage web. Cet environnement propose de debugger les applications de façon très fonctionnelle.

Les retours lors de ce BarCamp étaient très bon sur ce framework.

http://www.phonegap.com/about

  1. Elips Studio (de Open Plug)

Proposé par OpenPlug, récemment racheté par Alcatel, Elipse permet de créer du code spécifique à chaque plateforme depuis un code commun en Flex. Il s’intègre d’ailleurs aux outils d’Adobe et propose plusieurs licences. Ils supportent iOS, Windows Mobile (< 6,5), Android et Symbian.

http://www.openplug.com/index.php/products/elips-studio

  1. Flash/Flex (de Adobe)

Inutile de présenter Flash/Flex. Si on passe outre les éternelles questions de performances, on peut noter qu’Adobe proposera d’ici très peu de temps la version finale de son outil de compilation pour iPhone. Ainsi, on trouvera les applications sur les systèmes disposant d’une machine Flash (WindowsMobile 7, Android, Symbian et Maemo) et iOs (iPhone et iPad).

http://www.adobe.com/products/flashplayer/

  1. Unity

Unity est un moteur 3D impressionnant puisqu’il est disponible sur des plateformes très hétérogènes : Direct3D, OpenGL, Wii, iPhone, Android et navigateur web.

Ici, il ne restera plus qu’à faire les boites de dialogue natives.

http://unity3d.com/

  1. Unreal Engine ?

Je rajoute cette librairie qui est disponible pour iOS et qui est annoncée en portage sur Android. A terme c’est tout un framework pour faire de la 3D d’excellente qualité. Mais surtout utile pour les jeux ou la réalité augmentée.

http://www.knowyourmobile.com/mobile-games/mobilegamesnews/598275/unreal_engine_3_sdk_for_ios_and_android_coming.html

Pour les frameworks web, ont été cités :

  1. JQueryMobile

JQuery Mobile est la version dédiée aux écrans de smartphones du célèbre framework JavaScript JQuery. La première version stable n’est pas encore disponible. Le projet étant né au début de l’été 2010, les premiers résultats sont attendus pour fin 2010, début 2011.

De nombreuses attentes pèsent sur JQueryMobile de part l’excellente réputation de la version Desktop. Les premières impressions écran venant des versions beta semblent être à la hauteur. Il est intéressant de voir que des designs spécifiques sont prévus pour chaque type d’appareils (smartphones, tablettes…).

Plus d’informations sur http://jquerymobile.com/

A noter, il existe déjà un plugin JQuery pour les écrans tactiles : JQ-Touch, elle cible en priorité l’iPhone. Elle a le gros défaut de ne pas utiliser une version optimisée de JQuery.

http://www.jqtouch.com/

  1. Aptana Studio

Aptana est un environnement de développement taillé pour les technologies Web. Il offre l’avantage d’être open source. Il offre des plug-in permettant de l’intégrer directement dans Eclipse.

Sans être fait pour le mobile, il peut s’avérer être un outil intégré complet pour cet objectif.

http://www.aptana.com/

  1. Sencha

Sencha est un univers ultra complet. Il va de l’environnement de développement, au débugger de code, en passant par les librairies cross-plateform. Misant sur HTML5, CSS3 et JavaScript, il se veut être un pari sur l’avenir. De plus, il possède des composants dédiés aux mobiles, en plus des composants standards. Il offre aussi des librairies à connecter à d’autres technologies, comme GWT de Google.

A noter qu’il existe deux licences, une pour les projets commerciaux (payante) et une pour les projets open-source (gratuite).

http://www.sencha.com

  1. HTML 5

HTML5 est la prochaine version du standard du web pour la description des pages. Actuellement cantonné à du descriptif d’interface, HTML a besoin de Javascript, CSS et autres langages pour faire vivre le web. Cette 5ème mouture apporte des spécifications de fonctionnalités autres que de la simple interface. Si les premiers débats portaient autour de la gestion de codecs audio et vidéo pour gérer les médias sans ajout de code, actuellement, les discussions portent sur les APIs pour accéder aux fonctionnalités bas niveaux tels que les fichiers ou le GPS par exemple. Une autre fonctionnalité très importante que HTML5 apporte c’est la possiblité d’accéder hors ligne au contenu. Dans le cas des web applications pour les smartphones, c’est vital.

Enfin, si le standard n’est pas encore complètement défini, Apple et Google, par les navigateurs par défaut de iOS et Android, prouvent qu’ils croient en cet outil en implémentant aussi vite que possible les fonctionnalités dans le moteur de rendu web WebKit.

Une information résumée sur http://fr.wikipedia.org/wiki/HTML5

  1. GWT

Les outils Web de Google sont devenus une arme absolue pour le web. Ils permettent de développer en Java, avec la puissance de ce langage, pour générer du code JavaScript optimisé et cross-plateforme. Sans être réellement dédié au mobile, on remarquera que Google Maps, développé avec GWT, fonctionne très bien sur un Nexus One.

On voit que le débat entre WebApps et applications natives a encore de beaux jours devant lui, chaque solution n’apportant pas la réponse parfaite.

On note toutefois de gros défauts dans chacun par rapport à l’autre. Pour les WebApps, le volume de données à échanger, le peu d’API systèmes accessibles et la réactivité peuvent être un frein. De l’autre coté, la diversité des APIs rend le développement compliqué et la maintenance à mettre en place peuvent faire peur sur la durée de vie de l’application.

Les retours d’expérience

Au milieu de tout cela, quelques outils ont pu être utilisés.

Le concepteur de Elips Studio, présent avec nous, nous expliquait privilégier les outils d’Adobe (sur lesquels sont basés leurs outils) car une grande société veut justement être moteur sur le CrossPlateform. Ils veulent donc les suivre et profiter de cette locomotive.

Une approche a été souvent évoquée, c’est celle d’utiliser les outils CrossPlateform pour gérer le noyau de l’application. C’est en général toutes les fonctionnalités autour de la base de données qui sont ainsi implémentées. Cela permet de venir développer par-dessus une interface utilisateur propre à chaque système, répondant aux habitudes de chaque utilisateur.

Pour rester dans les problématiques d’UI, un participant notait avoir réalisé deux projets natifs en parallèles. A chaque fois, les cibles étaient les marchés iOS et Android. Dans le premier projet, toutes les interfaces étaient basées sur le modèle de iOS sans bouton système. Dans le deuxième, chaque cible avait son interface propre, avec notamment l’introduction des boutons des téléphones Android. Le résultat a été sans appel, le projet avec l’UI uniforme s’est très mal vendu sur Android, alors que l’autre n’a pas posé de problème par rapport aux objectifs. Cette démonstration a confronté beaucoup de points de vue sur la nécessité d’éviter d’uniformiser les interfaces. Si les consommateurs font des choix sur leur achat de mobile, mieux vaut les conforter dans leur choix grâce aux applications.

De nombreux reproches ont été faits aux outils basés sur JavaScript. Si les fonctionnalités qui en résultent sont satisfaisantes, ce sont les contraintes en développement qui posent problème. Que ce soit pour les outils qui génèrent du natif que pour du web, la phase de codage pose problème.

En terme de performances, les avis sont assez partagés. En fonction des types d’applications, des cibles et des outils, les résultats peuvent être bien différents. Mais le terme explicite de « boite à bouton » est revenu plusieurs fois pour évoquer le type d’application qui correspondait bien aux outils CrossPlateform que ce soit web ou natif.

Un petit point a permis d’évoquer le développement 3D. Et là Unity semble être une bonne solution. Permettant de développer pour iOS et Android, le framework cherche à s’ouvrir vers d’autres systèmes. Permettant des développements en C/C++, il permet en même temps d’éviter un besoin de formation trop conséquent des développeurs. Soit dit en passant, si des besoins d’interfaces standards se faisaient ressentir en plus du noyau 3D, cet outil semble être assez facile à intégrer dans le code des applications pour chaque système.

Testing

Pour finir, nous avons brièvement évoqué le testing.

Certains framework comme PhoneGap semblent permettre de tester efficacement l’application « à la main ». Les bugs remontés permettent de développer des « bug fixs » pour les autres systèmes en même temps.

Certains ont aussi évoqué avoir utilisé des services de « cloud testing ». Ce sont des sites web basés à l’étranger qui proposent de soumettre l’application à une multitude d’appareils différents et de remonter le log de bug. Si le service ne prend que les fichiers exécutables, il est souvent hébergé à l’étranger. Quid de la sécurité industrielle ?

Ma conclusion

Pour moi, si on en a les moyens, le mieux est d’avoir une ressource par système mais un pilote de projet et une conception multi plateforme. Chaque ressource peut « localiser » l’application pour chaque cible, optimisant l’expérience utilisateur, et le pilotage multiplateforme permet d’assurer les mêmes fonctionnalités à toutes les versions. Ce mode de fonctionnement me parait être le plus qualitatif. En revanche, il est le plus coûteux. Je pense qu’avec une vision à moyen terme (un an ou deux), il est possible d’atteindre une excellente productivité en ayant une phase de conception et une gestion de projet intelligente.

Dans le cadre d’un projet en POC (Proof of concept), la vision multiplateforme semble inutile voire handicapante.

Par contre, pour des projets dont l’interface n’est pas révolutionnaire, ce type d’outils web ou natifs peuvent apporter une réponse rapide pour solutionner le problème.

Pré-commande des HTC Desire HD et Desire Z, disponible le 11 octobre

Les HTC Desire HD et Desire Z, qui ont été présentés hier, sont, apparemment en pré-commande et seront respectivement disponibles dès le 11 et 18 octobre.

Il serait disponible dès le 11 octobre sur le site Expansys (UK), contrairement au site Expansys (FR) qui n’affiche une disponibilité qu’au 18 octobre.

Le HTC Desire HD (les caractéristiques) :

- Disponibilité le 10 octobre à €569.00 sur SPShop.be (BE)

- Disponibilité le 11 octobre à £499.99 sur Expansys (UK)

- Disponibilité le 12 octobre à €594.95 sur Expansys (FR)

- Disponibilité le 11 octobre à £469.99 sur Play.com (UK)

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Le HTC Desire Z (les caractéristiques) :

- Disponibilité le 11 octobre à £449.99 sur Expansys (UK)

- Disponibilité le 12 octobre à €534.99 sur Expansys (FR)

- Disponibilité le 11 octobre à £429.29 sur Amazon (UK)

- Disponibilité le 11 octobre £429.99 sur Play.com (UK)

D’ici là, ils seront peut-être chez les opérateurs et subventionnés, mais ça nous donne déjà une idée du prix de ces deux smartphones.

Les vidéos de présentation sont disponibles dans cet article, ainsi que notre comparateur.

Merci à Phandroid pour les sources Anglaises.

mardi 21 septembre 2010

HTC Desire : La mise à jour d&#8217;Orange bientôt en France ?

A en croire ce tweet de Orange UK, la mise à jour pour les HTC Desire d’Orange en 2.2 (FroYo) est en cours de déploiement au Royaume-Uni.

On suppose donc que cette nouvelle mise à jour pour les Desire de Orange F (Français), arrive dans les heures, jours qui suivent (?) …

Via Uliamar, membre du forum FrAndroid.

Les téléphones HTC sous Android 2.2 vont-ils avoir le nouveau HTC Sense ?

La première question que tout le monde s’est posé lors de la conférence HTC était la mise à disposition du nouveau Sense pour les autres téléphones de la marque.

htc-sense-new

Le compte Twitter HTC Spain semblerait répondre favorablement :

On pourrait traduire par :

Le Desire et les autres terminaux avec la version 2.2 (Froyo) seront en mesure d’accueillir HTCSense.com.

Cela pourrait être une bonne nouvelle pour tous les possesseurs de Desire, Evo, Incredible…

Il resterait alors à éclaircir le cas des téléphones isolés n’ayant pas été (encore ?) mis à jour vers Froyo.

Source : Phandroid

Nexus One : Rooter et personnaliser sans utiliser le SDK Android

Il en est des mots briseurs de rêves : « Invite de commande », « SDK Android », « Fastboot »… Tous ces mots là, vous les avez rencontrés en tentant de rooter et de modder votre Nexus One. Tous vos espoirs de liberté, envolés, en seulement quelques lettres, et la vision d’un éternel « stock froyo » s’opposent à présent dans votre esprit, rappelant ainsi le combat entre le bien et le mieux.

Si tous ces mots vous ont retenu en plein élan dans la customisation de votre Nexus One, apposant sur votre front quelques gouttes mêlant peur et désespoir, vous êtes au bon endroit. Ici, quid de mots barbares et de manipulations dantesques, tout est affaire de simplicité : nous vous mâchons tout le travail.

Nous allons vous montrer comment simplement, rapidement et en minimisant les risques, rooter et installer une custom rom pour votre Nexus One.

Petite mise au point lexicale :

Ce n’est pas indispensable mais pourrait vous aider à mieux comprendre ce que l’on va faire, et pourquoi on va le faire.

Root : « racine » en anglais. Ici, cela signifie accéder au plus haut niveau d’administration de votre téléphone, chose indispensable pour pouvoir le modifier plus en profondeur et par exemple installer un autre Recovery.

Recovery : certains le comparent au menu boot de Windows. Nous allons remplacer celui d’origine pour un autre qui offre plus de fonctionnalités, comme par exemple, installer une rom alternative.

Rom : pour faire simple, c’est le firmware de votre téléphone. Tout l’intérêt ici est d’installer des roms alternatives qui boostent, améliorent, et ajoutent des fonctionnalités à votre androphone.

Le tutoriel qui suit peut aussi être exercé pour les autres androphones. Dans la pratique, il ne cible pas spécifiquement le Nexus One.

Important avant la manipulation

Les principes de base à intégrer pour bien comprendre ce tutoriel :

  • vous savez faire un copier/coller ? Pas besoin d’en savoir plus
  • ne vous arrêtez pas à ce langage parfois complexe qui cache une réalité simple
  • on n’est jamais trop prudent

Ce qu’il faut avoir :

  • le cable qui relie votre Nexus One à votre PC
  • une carte microSD, à laisser dans le Nexus One bien sur
  • un téléphone bien chargé histoire d’assurer le coup
  • sur votre Nexus One, un gestionnaire de fichier, comme Astro par exemple

Ce qu’il faut savoir :

  • possibilité d’avoir des problèmes lors d’un retour en garantie
  • possibilité de briquer son téléphone
  • vous perdrez toutes vos données sur le téléphone
  • la manipulation devrait vous prendre environ 30min tout compris.

I/ Sur votre ordinateur :

1 : Téléchargez le nécessaire :

2 : Branchez le téléphone à l’ordinateur, cherchez et installez manuellement les drivers que vous venez de télécharger à l’aide de la fenêtre d’interface qui vient de s’ouvrir

3 : Une fois les drivers installés, sur votre téléphone, activez le débogage USB ainsi que le transfert de fichier en vous en aidant des notifications apparues dans votre barre de statut Android

4 : La carte SD de votre téléphone vient d’être reconnue par Windows, transférez UniversalAndroot, la Rom, la radio et les Google Apps à la racine de votre carte SD et débranchez donc ce téléphone

II/ Sur votre téléphone :

1 : Ouvrir Astro manager, trouvez et installez l’application UniversalAndroot

2 : Une fois installée, ouvrez là, cliquez sur « Root » et attendez.

3 : Une fois que c’est fait, redémarrez l’engin.

4 : Maintenant que vous êtes root, vous pouvez télécharger l’application ROM Manager dispo sur le market

5 : Dans ROM manager,

  • Cliquez sur « Flasher le recovery Clockwormod »
  • Cliquez sur « Sauvegarde Rom actuelle », au moins si ça plante, on aura de quoi se rattraper
  • Cliquez sur « Flasher un recovery autre » et validez pour RA Recovery
  • Cliquez sur « Redémarrage en Recovery » et surtout ATTENDEZ et ne faites rien

III/ Sur votre Recovery

1 : Déplacez vous à l’aide du trackball sur « Wipe », cliquez

2 : Exécutez tous les Wipe sauf « Wipe SD : ext partition ». Cet étape efface toutes vos données présentes sur la mémoire du téléphone. Revenez en arrière en appuyant sur le bouton « Volume Bas »

3 : Allez dans « Flash Zip from SD card » et flashez ———–>>>>>>>>>>>>>>>>>

  • la rom
  • la radio
  • et les Google Apps

4 : Revenez au menu principal, et finissez par cliquer sur « Reboot System Now »

5 : Ne touchez à rien, soyez patients, et profitez bien… :)

- Merci à Florian pour le travail fourni dans ce tutoriel -

Mais aussi :

WhatsApp est disponible sur Android

logo-WhatsAppWhatsApp est une application de messagerie instantanée fonctionnant entre deux smartphones grâce à une connexion internet. Elle permet d’envoyer et recevoir des messages, des photos, des vidéos, une fiche de contact ou encore sa propre localisation. L’application phare de l’Iphone se voit désormais dotée d’une version bêta pour Android.

Lors du lancement de l’application, l’écran affichant les divers conversations apparaît.
Elle reconnaît automatiquement, parmi l’ensemble de vos contacts, ceux qui possèdent l’application (disponible également sous Iphone, BlackBerry, Nokia S60 (beta)).
contact-whatsApp

Les conversations se présentent sous forme de chat comme ci-dessous :
conversation-whatsapp

L’un des gros points forts de cette application est l’envoi rapide de fichiers comme des musiques ou des vidéos.
piecejointe-whatsapp

L’application est paramétrable : statut de l’utilisateur (personnalisable à sa guise), notifications (choix de sonneries, couleur de LED), pseudo.
Il est également possible de bloquer un contact afin de ne plus avoir de conversations avec ce dernier.
settings-whatsapp

L’application est seulement disponible via ce lien pour les utilisateurs d’Android 2.x. Elle est actuellement gratuite.

Testée entre un Milestone et un Iphone. Elle est encore en version bêta : des bugs peuvent encore survenir. Nous attendons vos retours avec impatience ;)

Adobe Flash Player : La faille critique est corrigée

Souvenez-vous, il y a quelques jours, nous vous parlions d’une faille critique dans le support d’Adobe Flash Player.

Cette vulnérabilité a été confirmée pour la version 10.1.92.10 d’Android, une mesure de prévention a aussi été annoncée pour les versions antérieures à la 10.1.82.76 des systèmes d’exploitation Windows, Mac, Linux et Solaris.

C’est pourquoi la désinstallation du support était très fortement conseillée en attendant la mise à niveau, qui est désormais disponible sur l’Android Market (lien) ou en vous rendant directement sur le site officiel d’Adobe.

Le nouveau numéro de version : 10.1.95.1.

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