Notre bilan du Mobile World Congress 2013 en vidéo

Nous sommes rentrés hier soir du Mobile World Congress (MWC) et nous avons réalisé notre vidéo “bilan” traditionnel juste avant de prendre l'avion. Bon visionnage !

Un MWC 2013 globalement ennuyeux, marqué par la montée en puissance des constructeurs chinois, la présence du silencieux Samsung, la démocratisation du réseau de quatrième génération, l'émergence des OS alternatifs (lire : Qui sera le troisième écosystème mobile aux côtés d’iOS et Android ?), l'essor de la phablette ainsi que l'annonce de quelques surprises.

 

La démocratisation des smartphones de “quatrième génération”

La 4G… Cela nous paraît assez flou, à nous les français. Les opérateurs français commencent timidement à déployer ce réseau de nouvelle génération, néanmoins nous avons encore des difficultés à percevoir les réels avantages différenciant de ce réseau par rapport au réseau 3G/H+. Les constructeurs ont tout de même compris que cela pourrait grandement les aider à se développer, une très grande majorité des constructeurs ont donc présenté des smartphones compatibles 4G. La nouveauté, c'est l'apparition de smartphones à moins de 400 euros équipés de cette technologie. Cela suffira t-il à démocratiser la 4G ? Sûrement pas…

La présence du silencieux Samsung

Samsung ne présentait déjà plus son “flagship” lors du Mobile World Congress, néanmoins cette année le géant coréen – leader du secteur – n'a pas impressionné. Effectivement, le stand était très grand, néanmoins les produits n'avaient rien de “neuf”. Une Galaxy Note 8.0 et quelques smartphones d'entrée de gamme. Samsung en a tout de même profité pour annoncer un grand événement : le 14 mars prochain à New York.

En attendant, les autres constructeurs en ont profité pour prendre de l'avance… Attention au retour de bâtons !

La montée en puissance des constructeurs chinois

Que cela soit Huawei, ZTE ou encore Alcatel One Touch (TCL Mobile), les constructeurs chinois nous prouvent encore une fois qu'ils sont capables de produire des produits de qualité. Cependant, ils seraient également capables – désormais – de les référencer dans nos magasins occidentaux. Le gros souci de ces constructeurs est bien entendu leur manque de notoriété… Néanmoins avec des produits chez nos opérateurs, de belles campagnes de publicité et de gros efforts en marketing : nous pourrions être surpris dès cette année.

A la recherche de la troisième référence

Aux côtés du duopole Samsung et Apple, les constructeurs “tiers” ont bien du mal à trouver une place au chaud. Il faut dire que ces deux constructeurs partagent plus de 90% des bénéfices du milieu. Il faut donc un troisième constructeur capable d'être cité en référence dans les magasins. Au MWC, plusieurs constructeurs semblent vouloir s'imposer : Sony avec des produits “premium”, Nokia l'ancien leader qui a décidé de baisser ses prix, LG Electronics avec une gamme 4G très complète ou enfin HTC qui déploie une énorme énergie dans ses produits. Pour Android, l'enjeu est important car la domination de Samsung pourrait poser problème…

L'essor de la phablette

Voilà un mot-valise, contraction de tablette et smartphone. Les constructeurs ont présenté de très nombreux appareils avec des tailles d'écran entre 5 et 7 pouces qui possèdent une fonctionnalité de téléphonie. Samsung a été le premier constructeur à pousser ce nouveau segment de produits avec de vrais usages. Effectivement, les constructeurs semblent avoir oublié que derrière le concept de “phablette”, il y a avant tout les usages (stylet, multi-fenêtre) que des caractéristiques.

Il ne suffit pas de créer un produit FullHD équipé d'un grand écran 5,5 pouces avec de l'Android pour en faire une phablette… C'est bien trop facile à nos yeux.

L'émergence des OS alternatifs

La journée précédant l'ouverture du salon a été marquée par l'annonce de Firefox OS. Nous avons évoqué ce sujet dans notre édito de la semaine : Qui sera le troisième écosystème mobile aux côtés d’iOS et Android ? On a aussi vu des choses sur Ubuntu Phone tandis que Tizen se prépare. Il y a aussi Jolla et d'autres OS encore plus ciblés. On sent que de nombreuses personnes essayent de venir bousculer iOS et Android (et dans une moindre mesure Windows Phone).

Reste à voir ce qu'il en sera une fois les systèmes finalisés mais cela devrait être assez compliqué pour eux pour essayer de gagner des parts de marché et convaincre les constructeurs de faire des smartphones.

Rendez-vous le 14 mars prochain ! Pour… vous savez quoi !

Présentation des accessoires de la Samsung Galaxy Note 8.0

Pour accompagner la Galaxy Note 8.0, Samsung a développé plusieurs accessoires qui devraient être disponibles en même temps que la tablette.

Lors de ce Mobile World Congress 2013, la grosse annonce de Samsung était la nouvelle tablette Galaxy Note 8.0. Tirant parti de tout le savoir-faire du coréen en matière de stylet, on a ici un produit réussi.

Les produits Android sur le marché sont très nombreux et peu d'accessoiristes s'aventurent dans le domaine, dans la mesure où les ventes sont très variables d'un modèle à l'autre. Il est donc important que les constructeurs y mettent du leur et Samsung l'a bien compris. C'est pour cela que six accessoires seront vendus en parallèle de la tablette.

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Stand Pouch

Cette chaussette pour la tablette permet bien évidemment de protéger la tablette, mais elle a bien d'autres intérêts. Elle peut se plier et offrir deux modes de vue : un très allongé et un autre plus conventionnel comme sur la photo ci-dessus. Sur le stand, trois coloris étaient présentés : vert-jaune / rose / noir-gris.

Book Cover

Pour la Galaxy Note 8.0, rien de mieux que le Book Cover qui protège l'ensemble de la tablette. Sur l'avant, on a une sorte de Smart Cover, dans la mesure où un aimant permet d'éteindre/allumer automatiquement la tablette. Seul le capteur photo est visible, tout comme les différentes connectiques.

Plusieurs coloris étaient présentés : gris / rose / blanc / bordeaux / vert.

Stylet Bluetooth (Bluetooth SPen)

Pour compléter le SPen, Samsung a créé une variante Bluetooth. En plus de la technologie Wacom sur la partie stylet, on retrouve un micro, un haut-parleur et un bouton pour décrocher/raccrocher. Sachant que la tablette aura une déclinaison WiFi+3G cet accessoire prendra tout son sens, surtout lorsqu'on réalise la taille que fait la tablette à côté de son oreille…

Support voiture

Si vous voulez utiliser la tablette dans la voiture, notamment pour ses fonctionnalités de GPS, cet accessoire est idéal. La ventouse se met et s'enlève très facilement grâce à un levier. La tablette est ensuite fermement maintenue :

Clavier Bluetooth

Le clavier tactile n'est pas toujours l'idéal pour taper de longs textes sur une tablette. Vous pourrez donc utiliser n'importe quel clavier Bluetooth ou celui proposé par Samsung. Celui-ci a la particularité d'intégrer les raccourcis Android et de permettre de modifier et contrôler la connectivité/luminosité/musique très simplement.

Battery Pack 

Si la batterie de 4600 mAh de la tablette ne vous suffit pas, vous pouvez utiliser une batterie externe. Samsung propose son modèle officiel, qui est bien évidemment utilisable avec n'importe quel terminal se rechargeant via un connecteur microUSB.

Sur l'appareil, on retrouve quatre diodes qui indiquent l'état de la batterie et un bouton ON/OFF.

Présentation de la nouvelle version d’Opera pour Android

Désormais basé sur WebKit, Opera s'offre une toute nouvelle interface Android. Malheureusement l'entreprise ne communique pas sur une date de sortie.

Le monde des navigateurs est très concurrentiel : Google Chrome, Mozilla Firefox, Internet Explorer, Safari… mais aussi Opera qui est très souvent oublié de par sa faible part de marché. Jusqu'à présent Opera se différenciait avec son moteur de rendu nommé Presto. Il y a quelques jours l'entreprise norvégienne a communiqué sur l'abandon de son moteur sur l'ensemble de ses logiciels (autant pour les ordinateur que les smartphones/tablettes).

A la place la firme va utiliser WebKit que l'on retrouve déjà sur Safari, Google Chrome et Chromium (la version opensource de Chrome). Opera va contribuer à ce projet ce qui va lui permettre de ne plus être autant isolé qu'avant mais l'entreprise perd par la même un gros élément de différenciation. Opera Mobile ne va plus exister et va être remplacé par Opera (tout court). Opera Mini restera quant à lui disponible pour les vieilles versions d'Android. Ce nouvel Opera utilise WebKit et s'accompagne d'une toute nouvelle interface.

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Si vous utilisez déjà Chrome sur votre téléphone, vous allez immédiatement reconnaître qu'Opera a repris de très nombreux codes graphiques du navigateur de Google. On retrouve l'Omnibar qui permet à la fois de faire des recherches, écrire une URL ou encore retrouver un site parmi ceux déjà consultés. On a juste à côté les onglets ouverts et enfin le menu.

Lorsqu'on ouvre le navigateur, on tombe sur le fameux Speed Dial qui permet d'afficher des favoris et les pages disponibles en mode hors connexion. Il est également possible de créer des dossiers : on a alors l'impression d'avoir le même type d'interface que sur un launcher.

Sur la gauche, on retrouve l'historique et sur la droite une partie découverte de contenus. Vous allez pouvoir choisir des sujets prédéfinis et un pays. Dès lors une sélection de sites / actualités s'affichera que vous pourrez alors consulter. L'intégration de cette fonctionnalité est très intelligente dans la mesure où aucun autre concurrent sur mobile ne propose une telle implémentation.

La gestion des onglets est très simple et affiche un petit aperçu pour chaque site. Un mode privé (navigation privée) est intégré et s'identifie par une interface plus sombre.

Nous avons aimé la fonctionnalité Off-Road qui permet d'enregistrer une page pour la regarder plus tard sans connexion. L'algorithme de compression des pages est toujours présent et permet de faire des économies substantielles de bande passante.

Sur le Nexus 4 Chrome réalise 1482.7 ms à SunSpider, là où Opera s'en sort mieux avec 1346.6 ms. Ces deux scores sont très éloignés du HTC 8X qui bat très largement la concurrence avec ses 914 (le plus petit score est le meilleur). Toutefois Opera a encore une marge de progression d'ici à sa sortie publique.

Au final, ce nouvel Opera nous a convaincu avec une interface très proche des codes d'Android. Certains trouveront qu'il s'agit d'une copie de Chrome, mais la firme norvégienne se différencie avec des fonctionnalités inédites : mode Off-road, Speed Dial, recommandation de contenus… Opera Link (synchronisation des onglets ouverts) n'est pas encore implémenté mais devrait arriver dans la version finale. Pour ce qui est d'une déclinaison tablette, il faudra en revanche se montrer un peu plus patient.

Google, la mise à jour de Play Livres résout 90 bugs

Google a déployé ce matin une mise à jour à destination de son application Play Livres (Play Books).

Cette mise à niveau datant d'aujourd'hui, met surtout l'accent sur d'amélioration des performances de l'application en navigation et par-dessus tout la correction d'un ensemble de 90 bugs, incluant les plantages. Rien que ça ! Google met les bouchées doubles, et c'est une excellente nouvelle pour tous les lecteurs.

Projet Ophelia de Dell : une autre clé autonome

À l'instar de la clé USB Cotton Candy, ou de la MK802IIIS que nous avons testé, le projet Ophelia de Dell se veut une clé autonome. Pour rappel, le concept consiste à embarquer sur une clé tout ce qu'il faut pour faire tourner un OS. Il suffit alors de brancher l'engin à un écran ou une TV et hop le tour est joué.

L'engin se compose d'un processeur dual-core Cortex A9 cadencé à 1,6GHz, 8Go de stockage extensible avec une micro SD, Wi-Fi et Bluetooth sont disponibles et le tout fait tourner un Android 4.1.2 Jelly Bean. Remarque importante : le port ici n'est pas USB mais bien un HDMI.

Détail non négligeable, l'appareil est approuvé par Google, vous aurez donc accès à tous les services du géant, dont son magasin en ligne, le Google Play.

Le prix devrait tourner autour des 100$. Pour l'instant aucune date de commercialisation ni disponibilité en France ne sont mentionnées.

Source

HTC confirme Sense 5 pour les One X, One X+, One S et Butterfly

C'est dans un message publié sur la page Facebook officielle de HTC que l'on apprend la sortie prochaine de Sense 5 sur les One X, One X+, One S et Butterfly.

Ce sont donc quatre produits de la gamme HTC 2012 qui ont été confirmés comme “étant éligibles à cette mise à jour” par le constructeur. Attention, cette liste n'est pas définitive et il reste tout de même probable que d'autres appareils s'y invitent lorsque ces quatre modèles en auront bénéficié.

A ce jour, nous ne possédons pas assez d'information pour vous en dire plus sur les fonctionnalités qui seront intégrées, même si on imagine qu'il s'agira théoriquement d'un condensé de l'ensemble des fonctionnalités du HTC One dévoilé à Londres et New York la semaine dernière, incluant le nouveau widget BlinkFeed.

Pour la disponibilité, il est précisé qu'elle arrivera dans les prochains mois.

via Android Police

Prise en main du smartphone Fujitsu Stylistic S01 ciblant les séniors

Fujitsu lancera en partenariat avec Orange un smartphone dédié aux seniors : le Stylistic S01 et sera disponible au mois de mai/juin.

Mais où est passé Android ?

Lorsqu'on regarde la gamme de smartphones Android, on y trouve généralement son compte avec une gamme très large et des produits à tous les prix. Il y a également des éléments différenciateurs comme la protection, là où d'autres s'attardent davantage sur le logiciel, ou plutôt sur la finition. Mais il y a un segment qui est très peu représenté : les seniors.

Cette catégorie de la population n'est pas férue de technologies et les smartphones sont souvent pour eux des “usines à gaz”. Ils préfèrent alors se tourner vers les téléphones classiques (feature-phones), quitte à se priver des fonctionnalités plus que pratiques. C'est à partir de se constat que Fujitsu a créé son Stylistic S01 qui tourne sous Android 4.0 (Ice Cream Sandwich). Orange est ici un partenaire exclusif, car il souhaite rattraper son retard auprès de cette cible, car la part de marché de l'opérateur sur les plus de 65 ans est de seulement 20%.

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Si vous regardez brièvement nos photos ou notre vidéo de prise en main, un utilisateur classique d'Android aura beaucoup de difficultés à trouver ses marques. Au final l'expérience est similaire car on retrouve le Play Store et ses milliers d'applications. Comme vous pouvez le voir juste au-dessous les boutons Android sont bien présents, mais disposés de manière étrange : le bouton Accueil de type physique et les touches Retour et Menu sur la partie tactile.

Un agencement plutôt inhabituel des boutons Android

Du côté matériel, ce téléphone n'est pas un foudre de guerre mais offre le nécessaire pour offrir une bonne expérience à l'utilisateur. Il dispose d'un écran de 4 pouces avec une définition WVGA (800 x 480 pixels). Cet écran est assez spécial car il part du constat que les écrans résistifs traditionnels sont trop sensibles pour la cible. Le S01 embarque une dalle où l'utilisateur doit appuyer fort sur l'écran pour que le geste soit accepté ; il est ensuite validé par un retour haptique. Une légère pression (comme on le fait sur un écran tactile résistif classique) permet uniquement de surligner un bouton et non de valider son action.

Fujitsu surfe sur la vague en proposant à la fois une résistance à l'eau et aux poussières (certification IP58). Par conséquent le microUSB est protégé, mais pas le jack de 3,5 mm. Sur le dos, les doigts ne risquent pas de glisser car le revêtement est de type soft touch. Il présente un appareil photo de 8,1 mégapixels (la partie logicielle fait dans la simplicité avec juste le réglage du flash et du zoom).

Le bureau qui imite les “tuiles”

Sur cette partie, on retrouve également une sorte de languette qui offre la fonctionnalité “Emergency Buzzer”. Lorsqu'elle est ouverte, une alarme est émise sur le téléphone et un SMS contenant la position du Fujitsu Stylistic S01 est envoyé à la famille/amis. Le S01 est également équipé d'une technologie audio qui adapte la gamme de fréquences selon l'âge de l'utilisateur afin qu'il entende correctement son interlocuteur.

Pour terminer, il embarque un processeur simple-coeur Qualcomm Snapdragon MSM8255 cadencé à 1,4 GHz, accompagné de 1 Go de mémoire vive, 4 Go de mémoire interne et un emplacement microSD. Ce dernier est caché sous le capot arrière, sachant qu'il est également possible d'utiliser une batterie de plus grande capacité (celle fournie avec le téléphone fait 1800 mAh).

Un clavier adapté à la cible

L'interface est entièrement revue avec sur le haut une partie notifications, qui lors du appui fort permet d'afficher vos informations récentes et des raccourcis vers les différents paramètres du téléphone. Le bureau fait penser à Windows Phone, dans la mesure où la mise en page est simplifiée et entièrement verticale pour faciliter les opérations. Les différents raccourcis sont très larges pour éviter des clics indésirés.

Les applications du Play Store fonctionnent à merveille dessus, mais on regrette l'absence de cohérence entre l'interface de Fujitsu et le thème Holo d'Android. Il faut toutefois nuancer ce propos dans la mesure où le public visé ne sera pas forcément friand des toutes dernières applications.

Le clavier est également optimisé pour offrir une expérience similaire à un clavier classique d'ordinateur.

Dock de recharge

Au final le Fujitsu Stylistic S01 est une bonne surprise, car il est parfaitement adapté aux seniors.

L'écran de déverrouillage

L'application Messages

L'application Téléphone

Prise en main du Huawei Ascend G350

Le Huawei Ascend G350 est un smartphone entrée-milieu de gamme qui se différencie grâce à sa certification IP68. Il sera lancé au niveau mondial au début du troisième trimestre.

L'annonce principale de Huawei au Mobile World Congress était l'Ascend P2, mais sur le stand du constructeur de nombreux modèles étaient présentés dont l'Ascend Mate et l'Ascend D2… ou encore l'Ascend G350.

Ce smartphone qui est apparu pour la première fois au CES de Las Vegas ne se différencie pas par ses caractéristiques techniques mais plutôt par sa certification IP68 qui lui offre une résistance à l'eau et au sable. Huawei a également utilisé des matériaux spécifiques pour rendre le téléphone résistant aux chutes (mais n'a pas voulu nous le démontrer).

Le design est une réussite, car il mélange soft touch sur le dos et des tranches plus rugueuses qui empêcheront le téléphone de glisser des doigts. Sur l'avant, on retrouve un contour métallique qui lui confère un aspect premium. Deux modèles étaient présentés : un vert kaki/bronze et un autre noir-orange bien plus passe partout.

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Au niveau des caractéristiques techniques, il embarque un processeur double-coeur cadencé à 1 GHz. Il ne s'agit donc pas du téléphone le plus puissant au monde, mais offrira le nécessaire pour utiliser pleinement les connectivités WiFi, Bluetooth et GSM.

Le gros point faible de ce téléphone est son écran de 4 pouces avec une définition WVGA (800 x 480 pixels), qui offre des couleurs délavées, une faible luminosité et des angles de vue restreints. Il semble impossible de pouvoir utiliser le Huawei Ascend G350 autrement qu'avec la luminosité réglée au maximum.

La mémoire interne est plutôt mince : seulement 2 Go et il ne semble pas y avoir de lecteur de cartes microSD. Sur le dos, on retrouve une caméra de 5 mégapixels sans flash et sur l'avant un capteur de 0,3 mégapixels. La partie logicielle offre la possibilité de créer des panoramas et de modifier les réglages classiques : balance des blancs, exposition…

La partie logicielle est assurée par Android 4.1.2 (Jelly Bean) qui ne rencontre aucun lag. Les personnalisations sont peu nombreuses, seules quelques couleurs et icônes sont modifiées par rapport à de l'Android classique. Il n'y a donc pas d'Emotion UI.

On note un écran de notification permettant de sélectionner directement les réseaux WiFi ou des courbes affichant l'état du processeur, de la batterie : peu utile, mais ces informations sont optionnelles.

En conclusion, le Huawei Ascend G350 est plutôt un bon téléphone qui se différencie grâce à sa certification IP68. On regrette seulement le coloris bronze et la qualité plus que médiocre de l'écran.

UMI X2, un smartphone de 5 pouces FullHD et Quad-Core à 260 dollars en Inde

Qui ne rêverait pas d'un smartphone aussi bien fourni à un tel prix ?
Non, il ne s'agit pas de Xiaomi (MIUI) mais bel et bien d'un autre constructeur qui dévoile le UMI X2 à destination de l'Inde.

Pour entrer directement dans le vif du sujet, le IMI X2 intègre un large écran tactile IPS-LCD de 5 pouces avec une définition FullHD (1080 x 1920 pixels) et une densité de pixels d'environ 441 ppp/ppi. Du côté de l'architecture, ce modèle serait propulsé par une mouture quadruple-coeur MediaTek MTK6589 cadencée à 1,2 GHz, accompagnée par un processeur graphique PowerVR SGX544 et 2 Go de mémoire vive (RAM).

Soulignons également la présence d'une caméra frontale de 3 mégapixels et d'une seconde caméra dorsale de 13 mégapixels avec un flash et l'enregistrement vidéo en 1080p. Pas de compatibilité LTE 4G, il supporte néanmoins la 3G et est fourni avec deux emplacements SIM standards. De plus, le Bluetooth, le WiFi et le GPS sont également présents, tout comme une batterie de 2,500 mAh et 32 Go de mémoire interne avec un emplacement microSD.

Selon le constructeur, le UMI X2 sera disponible autour du 15 – 20 mars et sera vendu au tarif de 260 dollars (sans abonnement) sous Android 4.2 Jelly Bean.

Pour ceux qui ont la chance d'habiter en Inde, vous pouvez déjà l'acheter en ligne.

via GSM Arena

Free Mobile continue sa progression malgré les polémiques

Malgré les polémiques sur la fiabilité de son réseau, l'opérateur Free Mobile continue sa progression. Le trublion français a annoncé compter plus de 5,2 millions d'abonnés, soit 800 000 nouveaux clients sur les 3 derniers mois.

Nombre d'abonnés en millions chez les opérateurs français

Plus d'un an après son lancement, Free Mobile continue de progresser. Après avoir déduit les résiliations, Iliad (Free Mobile) a annoncé l'arrivée de 800 000 nouveaux clients. Une progression largement supérieure aux différents concurrents.

A titre de comparaison, le second opérateur français, SFR, comptait 16,6 millions d'abonnés fin 2012 après avoir perdu 770 000 clients sur un an. L'opérateur historique Orange compte 27,19 millions d'abonnés, avec une progression de 232 000 nouveaux durant le dernier trimestre de l'année 2012. Un résultat expliqué en partie grâce au lancement de l'offre Sosh fin 2011 qui a permis de compenser les départs de chez Orange. Enfin, Bouygues Telecom compte 11,3 millions d'abonnés avec une stagnation en 2012, comme Orange, en grande partie expliquée par le lancement massif de l'offre B&YOU, une offre “low-cost”. Enfin, le Ful MVNO français, Virgin Mobile, compte 1,8 million de clients avec un solde migratoire positif en 2012 : + 38 000 clients.

Pour terminer sur Iliad, le chiffre d'affaires sur le dernier trimestre est de 3,15 milliards d'euros (+48,6%), dont 844 millions de chiffre d'affaire pour Free Mobile, soit environ un quart de l'activité du groupe.

Le jeu Real Racing 3 est disponible sur le Google Play

Electronic Arts vient de lancer Real Racing 3 sur le Google Play.

Après Real Racing 2 sorti il y a un an, EA vient de lancer le troisième volet de son célèbre jeu de course mobile.

Avec plus de 45 bolides disponibles, vous pourrez parcourir les circuits les plus prestigieux au monde, comme le Mazda Raceway Laguna Seca, les circuits de Spa-Francorchamps, Silverstone et Hockenheimring. Plus de 900 épreuves comprenant les épreuves coupe, éliminations, défis d'endurance et les courses de vitesse sont au rendez-vous.

Sur Real Racing 3, on note aussi l'intégration d'un nouveau mode multijoueur réinventé nommé Time Shifted Multiplayer. Pour faire simple, Time Shifted permet de jouer à tout moment au mode multi-joueur contre n'importe qui et ce même si vos adversaires ne sont pas connectés. Comme le décrit EA, chaque épreuve contient des doubles asynchrones entièrement interactifs contrôlés par l'IA de vos amis du Game Center, Facebook et d'autres joueurs du monde entier.

Graphiquement parlant, Real Racing 3 fait clairement un bon en avant comparativement au second opus de la série avec des textures et des effets entièrement retravaillés. Il y a également une implémentation plus profonde de la gestion des dégâts sur les véhicules grâce à l'intégration du moteur Mint 3.

Téléchargement

Disponible en téléchargement gratuit sur le Google Play :

• compatible dès Android 2.3.3
• taille de l'application : 6,1 Mo + 1,7 Go de données

Real Racing 3
EA Swiss Sarl

Real Racing 3 révolutionne les jeux de course mobiles : il faut vraiment l'essayer pour y croire.**Ceci est un jeu extrêmement détaillé de qualité supérieure. Veuillez vérifier d'avoir au moins 1,2 Go d'espace libre sur votre appareil.**Les nouvelles caractéristiques inédites incluent des pistes sous licence officielle, une grille de départ de 22...

Télécharger Gratuit Disponible sur Google Play

Prise en main de la HP Slate 7

Mine de rien ce MWC 2013 nous a réservé quelques surprises. L’une d’entres-elles est sans aucun doute la Slate 7, tablette Android 7 pouces fabriquée par HP et sortie de nulle part que nous vous présentions le premier jour du salon ! Nous n’attendions pas le constructeur américain sur ce terrain, mais force est de constater qu’après l’arrivée du premier Chromebook chez HP, cette tablette dévoilée à peine quelques jours plus tard marque sûrement le

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Interview chez LG, Philippe Lasne : “nous souhaitons démocratiser la 4G”

LG a profité du Mobile World Congress pour dévoiler ses nouveaux smartphones : la série L-Style II, la série F ainsi que la série G. Le coréen met l'accent sur ​​une stratégie à trois niveaux avec comme “flagship” le LG Optimus G, un smartphone haut de gamme. Nous avons eu l'occasion de rencontrer Philippe Lasne, Directeur Marketing chez LG France, avec qui nous avons évoqué : les nouveaux produits, la stratégie, les ambitions et les prochains produits 2013.

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Nous vous encourageons à continuer la lecture :

• Lancement du LG Optimus G en France en mars
• Prise en main de la gamme LG L-Style II
• Prise en main du LG Optimus F5

Prise en main des Orange San Remo, Lumo et Nivo

Sur le stand de l'opérateur Orange au Mobile World Congress, nous avons pu découvrir une gamme de smartphones présentée juste avant le grand salon barcelonais. Cette gamme est composée de trois smartphones Android : les Orange San Remo, Lumo et Nivo. Ce sont bien évidemment des téléphones sous marque blanche. Nous avons pu les prendre en main…

Orange San Remo

C'est une pratique assez commune chez les gros opérateurs, que cela soit SFR, Bouygues Telecom ou encore Orange, ils choisissent d'aligner des smartphones “rebrandés” aux couleurs de l'opérateur. L'opération est très rentable : les constructeurs chinois (OEM) peuvent ainsi écouler des stocks de téléphone et commencer à lier des relations avec des opérateurs locaux, tandis que l'opérateur peut augmenter ses marges sur ce type de produits et surtout développer son écosystème de service : VOD, magazines, applications, TV… mais également diminuer ses investissements marketing, et apparaître en même temps sous plusieurs marques.

Depuis que la notion de marque existe, ils régissent l'économie et la consommation. Cela pourrait paraître assez simple, néanmoins c'est bien plus complexe. Chaque marque doit gérer sa cible, son positionnement, son ADN, son identité, sa communication… une réalité qui a des coûts énormes en marketing et en communication. Néanmoins, toutes les marques ne sont pas connues et reconnues, certaines marques jeunes et bien trop loin de nos régions sont en manque de notoriété. C'est le cas des marques chinoises dans la téléphonie. Pour pouvoir entrer dans le marché occidental, ces marques doivent exister en tant que en marque blanche, tout en développant une présence visible à l'extérieur.

Néanmoins, on constate que les marques blanches finissent par basculer dans une logique de marques en affichant clairement leur identité. C'est le cas du taïwanais HTC qui a déjà vendu des appareils sous la marque SPV chez Orange.

Les Lumo et Nivo sont donc fabriqués par Gigabyte, tandis que le San Remo est fabriqué par Alcatel One Touch, nous avons découvert ce modèle sous le nom de Alcatel One Touch Idol.

Sur tous ces téléphones, on retrouve donc l'univers Orange ainsi que quelques fonctionnalités développées au sein des “Labs” d'Orange. Par exemple, “Gestures” permet de configurer des gestes à effectuer sur l'écran afin de lancer des actions : ouverture d'applications, envoi d'un SMS, lancement d'une liste de diffusion… une fonctionnalité intéressante.

Une vidéo de prise en main

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Orange San Remo

L”Orange San Remo est donc ce fameux Alcatel One Touch Ultra. Il est donc en définition “HD” et possède une finition très intéressante pour cette catégorie de produits. Sous Jelly Bean (Android 4.1), il est propulsé par un processeur double-coeur cadencé à 1 Ghz et intègre un slot microSD. Enfin, on retrouve également un capteur de huit mégapixels à l'arrière.

Orange Lumo

L'Orange Lumo est un smartphone 4G avec un écran tactile de 4,5 pouces en résolution qHD (560 x 960 pixels), on retrouve une architecture double-coeur Qualcomm S4 Plus cadencée à 1,2 GHz, un appareil photo de 5 mégapixels et la version d’Android 4.1 Jelly Bean

Un smartphone qui nous a semblé de qualité, il permettra de démocratiser le réseau de quatrième génération grâce à un prix abordable.

Orange Nivo

L'Orange Nivo est l'entrée de gamme, un téléphone équipé d'un écran 4 pouces en définition WVGA. On retrouve également une architecture double-coeur Qualcomm Snapdragon S2 cadencée à 1GHz, un appareil photo de 5 mégapixels et la version d’Android 4.1 Jelly bean en version préinstallée.

Prise en main du YotaPhone, ce smartphone avec un deuxième écran E-ink

Vous vous souvenez, en décembre, on vous avait parlé d'un téléphone un peu spécial qui dispose de deux écrans : un des plus classique avec un écran 4,3 pouces et un autre placé au dos de l'appareil qui est un écran E-Ink. Tout l'avantage des écrans E-Ink est qu'ils permettent d'afficher du contenu sans que cela ne consomme de la batterie.

C'est tout l'objet du YotaPhone qui dispose de ce deuxième écran permettant par exemple d'afficher les notifications, la route que vous devez faire en sortant du métro jusqu'à votre rendez-vous ou encore de lire un eBook avec un confort digne d'un livre papier.

Nous avons pu prendre en main ce smartphone à l'occasion du Mobile World Congress pour nous faire une idée sur le produit et vous partagez le concept avec des exemples d'usage.

Avant toute chose, sachez que le produit n'est pas finalisé et qu'il n'est pas prévu avant le deuxième semestre donc les caractéristiques sont susceptibles de changer. Pour le moment, il dispose d'un écran 4,3 pouces, d'un processeur Dual-Core Snapdragon MSM 8960 (qui devrait être un Quad-Core d'ici à la sortie), de Jelly Bean 4,2, de la compatibilité 4G LTE au niveau européen, du bluetooth, NFC, 32 Go ou 64 Go de stockage, 2 Go de RAM. Il dispose d'un poids de 140 g et de dimensions de 67 x 131 x 9.9mm.

Par contre, le produit ne dispose d'aucun bouton physique en dehors du On/Off et du volume ni de bouton capacitif. Toute l'interface d'Android est ainsi gérée par des gestes de swype en dessous de l'écran. Ainsi, un balayage de droite à gauche amènera vers l'écran d'accueil, tandis que pour simuler le bouton retour, il faudra partir du côté droit et s'arrêter au milieu.

Pour ce qui est de l'écran arrière, on retrouve un écran de 4 pouces qui ne consommera de l'électricité que quand vous chargez une page. YotaPhone est en train de développer une application qui permettra de gérer entièrement cet écran, et des boutons sont ajoutés à différentes applications pour envoyer le contenu sur l'écran E-Ink. De même, Yota va développer des API qui seront disponibles pour que les développeurs tiers puissent tirer parti de ce second écran.

Pour le moment, les usages de ce téléphones se répartissent en deux catégories :

• se tenir au courant des notifications reçues : appels en absences, SMS, Email, temps, alarme, …
• envoyer du contenu : lire un E-Book, voir son calendrier ou sa To-Do  list, ses notifications de réseaux sociaux, flux RSS, photos, …

Le produit que nous avons vu est encore à l'état de prototype et le design n'est pas forcément définitif. Au niveau des fonctionnalités, les choses sont plutôt abouties même si là encore, cela va évoluer. Le produit semble en tout cas très prometteur et je me vois personnellement pouvoir utiliser un tel produit. Ci-dessous notre vidéo de prise en main :

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L’Alcatel One Touch Idol Ultra, le smartphone le “plus fin du monde” prévu chez SFR

Nous avons découvert cet Alcatel One Touch Idol Ultra lors du CES 2013, nous l'avions même pris en main. Deux mois après le salon américain, Alcatel One Touch expose son Idol Ultra et nous apprend que l'opérateur SFR le commercialisera.

Seulement 6,45 mm d'épaisseur, l'Idol Ultra porte bien son nom : il est en effet ultra-mince. L'opérateur SFR a décidé de la référencer, nous devrions le trouver dès 1 euro, son prix “nu” étant de seulement 349 euros.

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Pour rappel, il est propulsé par un processeur double-coeur cadencé à 1,2 Ghz, on retrouve également un écran 4,7 pouces et une définition HD (1280 x 720 pixels). Il tourne sous Jelly Bean (Android 4.1) et intègre quelques fonctionnalités liées à la photographie.